02-09-2022, 07:54 PM
Ça fait en gros 6 semaines que je n'avais pas commenté ce récit. J'ai été occupé par un courrier administratif, puis j'ai commencé par combler un retard de 2 mois sur un récit de Phil.
Jules dit à Antoine qu'il y a tout un pan de sa vie que lui-même ne connais pas véritablement. Il l'incite à en parler s'il est prêt à la faire.
Antoine commence à partir de sa petite enfance. Il n'a pas été scolarisé. C'est d'abord une gouvernante âgée qui s'est occupé de lui, puis un premier précepteur rapidement remplacé par un autre. Ce dernier avait à la fois beaucoup de connaissance et était exigeant au niveau du travail. Antoine a réussi brillamment le BAC à 17 ans lorsque ce précepteur a été déplace par sa hiérarchie. Les parents d'Antoine l'ont alors jugé capable de continuer ses études tout seul. On l'a installé dans son appartement actuel et avec internet, il a accès à touts les bibliothèques universitaires. Ici, il a aussi découvert son amour pour la nature et la montagne. Sinon, il connaît juste les gens du coin et se contente de branlettes.
Jules est étonné qu'il soit à ce point solitaire et totalement puceau. Mais il veut que ça change et dit qu'il va lui montrer le chemin, petit à petit et en douceur.
Ils dorment ensemble. Pendant la nuit, Antoine s'aperçoit que Jules a passé son bras à la hauteur de mon ventre, puis encore plus tard la main de Jules est sur sa verge, ce qui perturbe Antoine qui laisse faire.
Pendant quelques semaines, Antoine essai de rester seul par crainte que les découvertes aillent trop vite. Puis un vendredi soir, il invite Jules qui en est très content. Ça se renouvelle ensuite les week-ends, mais il faut un certain temps pour qu'Antoine accepte qu'il dorme dans son appartement.
Un matin, il voit Jules endormi totalement nu et est attiré par la vue de son pénis qui mouille et ses odeurs. Il s'apprête à lui prendre le gland en bouche quand il se ressaisit. Mais jules éjacule et Antoine le fait aussi.
Au réveil, Jules se dit très heureux de ce qu'Antoine a fait cette nuit, alors qu'Antoine est gêné qu'il s'en soit aperçu.
Jules s'est levé le premier et fait le café. Il est nu et descend le pantalon de pyjama d'Antoine et lui demande de ne pas se cacher, qu'il est beau et que lui, Jules, doit pouvoir le regarder. Par contre, Jules précise qu'il a envie de le pénétrer, envie de lui depuis longtemps et lui demande de ne pas le faire trop attendre car il n'aura plus beaucoup de patience.
On n'a pas d'info sur le temps qui s'est écoulé depuis l'incident à la Bergerie, mais Jules semble s'impatienter assez vite alors qu'il avait dit à Antoine qu'il ne le forcerait pas.
Antoine cherche de plus en plus la compagnie et a accepté un travail d'accompagnateur en montagne pour les touristes. Dans les familles qu'il accompagne, deux jumeaux de 17 ans sont très intéressés et voudraient qu'il organise une visite animalière. Il propose à leur parents qu'ils montent une fin d'après midi pour passer la nuit à la Bergerie et les parents les rejoindront le lendemain.
Après avoir transpiré dans la montée et s'être changés à l'extérieur, les jumeaux restent en boxer et du coup, Antoine fait pareil. Ils se mettent à bronzer au soleil couché sur des couvertures. Antoine comprend que les jumeaux avaient préféré le bronzage intégral mais ils y renoncent. Pareil pour se coucher, les jumeaux se déshabillent naturellement, mais comme ils constatent qu'Antoine a gardé le boxer, ils remettent le leur en s'excusant. Antoine est stupide. Comme lui aussi préfère dormir nu, il aurait mieux fait d'enlever son boxer aussi. Du reste, pendant la nuit, les jumeaux ont retiré leur boxer et c'est nus qu'ils s'embrassent et se donnent du plaisir. Antoine admire le tableau et finalement éjacule en même temps qu'eux.
En y repensant, Antoine a vu de l'amour dans l'étreinte des 2 frères là, où il voit un besoin physique dans la démarche de Jules. Je trouve son avis trop tranché entre les deux cas et donc trop négatif envers Jules.
Les parents des jumeaux arrivent avec Jules. Ils redescendent avec leurs fils après un repas apprécié. Antoine et Jules restent à la bergerie et font un bronzage intégral. Antoine est attiré par le corps de Jules, notamment ses odeurs et finit par embrasser son gland puis un autre avec de la salive qui fait monter le précum et finalement une fellation. Mais après avoir fait ça (Jules a éjaculé dans sa bouche), il se sent coupable, alors que Jules est satisfait. Il lui demande si c'était mieux qu'avec les jumeaux et est surpris et déçu d'apprendre qu'Antoine n'a été que spectateur. Sa réaction : "Mais tu es encore plus con que je ne le pensais !" déçoit Antoine.
Ils font 2 H de marche tous les deux et le soir, Antoine décide de parler de leur avenir. Jules veut quitter ce lieu pour rejoindre une grande ville et dit qu'il en a assez d'attendre Antoine qui ne veut pas pratiquer la sodomie. Mais il souhaiterait quand même qu'Antoine l'accompagne.
Ils redescendent le lendemain matin, mais en passant à l'hôtel des jumeaux, Antoine apprend qu'ils sont partis avec 3 jours d'avance. Blaise a quand même laissé un mot à Antoine pour le cas où il passerait à Paris.
Au début juillet, Jules n'a pas préparé son sac pour suivre Antoine à la Bergerie. Il précise qu'il va aller habiter ailleurs et donne à Antoine le choix entre le suivre dans un petit appart deux pièces ou partir seul dans une colocation avec cinq étudiants.
Antoine répond qu'une séparation physique serait une bonne chose avec un retour de Jules les week-ends. Mais Jules répond qu'il n'a pas l'intention de revenir, qu'il veut vivre sa vie et s'en va.
Antoine est déçu de ce départ précipité. S'il reconnaît que Jules l'a déniaisé et initié au plaisir du sexe, il n'a pas aimé son impatience grandissante, il finit par penser qu'il a été traité comme un objet sexuel.
Toutefois, Jules repasse en milieu d'après midi, lui rend les clés, le remercie et l'embrasse avec beaucoup de tendresse avant de repartir. Antoine n'a pas réagi alors qu'il aurait pu tomber dans les bras de Jules qui lui a laissé quelques heures pour réfléchir et au moins lui demander où il allait pour éventuellement pouvoir le recontacter. Mais rien de tout ça et finalement Antoine regrette de s'être retrouvé seul.
Toutefois, le directeur de l'institut (en septembre ?) lui propose de donner des cours de littérature
française et d'histoire à des élèves de seize à dix-huit ans. Mais il devra aussi surveiller le sommeil de ses élèves les 2 soirs où il fait cours. Bizarrement, les portes des chambres doivent rester ouvertes et c'est le surveillant qui les ferme quand tout le monde dort (ils avaient intérêt à ne pas être gênés par la lumière). Pour s'assurer que tout le monde dort, il devait toucher chacun au front ou à un bras.
Les cours se passent bien et passionnent les élèves. La première nuit, les garçons qui ont eu un tournoi de basket dans l'après midi, s'endorment assez vite. La deuxième nuit, Antoine voit des branlettes et une fellation réciproque et au dernier passage, deux gars enlacés dorment dans le même lit.
Quelques temps plus tard (combien ?), lors de la dernière tournée de nuit, un garçon de 18 ans attire Antoine vers lui en lui demandant de se laisser faire, plonge la main dans son boxer, constate qu'il mouille et finalement lui fait une branlette et pousse Antoine à faire de même. Ils éjaculent tous les deux et quand Antoine repart, Louis, l'élève le remercie.
Sans l'expérience avec Jules, Antoine aurait très mal pris ce qu'a fait Louis.
Entre deux périodes de cours, alors qu'Antoine est dans son appartement, il reçoit le visite de Louis qui vient s'excuser pour lui avoir forcé la main, mais précise qu'il a tellement aimé que si c'était à refaire, il recommencerait.
Antoine était en boxer lorsqu'il a ouvert à Louis et est allé mettre un bermuda. Louis confirme ce dont Antoine se doute à savoir qu'il n'a pas mis de sous vêtement sous son short. Chacun porte ses mains sur l'entrejambe de l'autre et libère ce qu'il y a sous le tissu.
Ils restent allongés nus sans chercher à aller beaucoup plus loin. Puis Louis dit qu'il doit être retourné dans son lit à 6 H pour conserver son droit de sortie et qu'il veut aussi réfléchir avant de poursuivre plus loin. C'est le genre d'argument qui correspond tout à fait aux préoccupations d'Antoine.
Antoine demande d'ailleurs à ne plus faire la surveillance de nuit. Le directeur comprend parfaitement, en précisant aussi que ce que font les étudiants majeurs hors de l'établissement ne le concerne pas.
Un jour, Louis qui avait entendu parler de la Bergerie demande à Antoine de l'y emmener avant les chutes de neige.
Jules dit à Antoine qu'il y a tout un pan de sa vie que lui-même ne connais pas véritablement. Il l'incite à en parler s'il est prêt à la faire.
Antoine commence à partir de sa petite enfance. Il n'a pas été scolarisé. C'est d'abord une gouvernante âgée qui s'est occupé de lui, puis un premier précepteur rapidement remplacé par un autre. Ce dernier avait à la fois beaucoup de connaissance et était exigeant au niveau du travail. Antoine a réussi brillamment le BAC à 17 ans lorsque ce précepteur a été déplace par sa hiérarchie. Les parents d'Antoine l'ont alors jugé capable de continuer ses études tout seul. On l'a installé dans son appartement actuel et avec internet, il a accès à touts les bibliothèques universitaires. Ici, il a aussi découvert son amour pour la nature et la montagne. Sinon, il connaît juste les gens du coin et se contente de branlettes.
Jules est étonné qu'il soit à ce point solitaire et totalement puceau. Mais il veut que ça change et dit qu'il va lui montrer le chemin, petit à petit et en douceur.
Ils dorment ensemble. Pendant la nuit, Antoine s'aperçoit que Jules a passé son bras à la hauteur de mon ventre, puis encore plus tard la main de Jules est sur sa verge, ce qui perturbe Antoine qui laisse faire.
Pendant quelques semaines, Antoine essai de rester seul par crainte que les découvertes aillent trop vite. Puis un vendredi soir, il invite Jules qui en est très content. Ça se renouvelle ensuite les week-ends, mais il faut un certain temps pour qu'Antoine accepte qu'il dorme dans son appartement.
Un matin, il voit Jules endormi totalement nu et est attiré par la vue de son pénis qui mouille et ses odeurs. Il s'apprête à lui prendre le gland en bouche quand il se ressaisit. Mais jules éjacule et Antoine le fait aussi.
Au réveil, Jules se dit très heureux de ce qu'Antoine a fait cette nuit, alors qu'Antoine est gêné qu'il s'en soit aperçu.
Jules s'est levé le premier et fait le café. Il est nu et descend le pantalon de pyjama d'Antoine et lui demande de ne pas se cacher, qu'il est beau et que lui, Jules, doit pouvoir le regarder. Par contre, Jules précise qu'il a envie de le pénétrer, envie de lui depuis longtemps et lui demande de ne pas le faire trop attendre car il n'aura plus beaucoup de patience.
On n'a pas d'info sur le temps qui s'est écoulé depuis l'incident à la Bergerie, mais Jules semble s'impatienter assez vite alors qu'il avait dit à Antoine qu'il ne le forcerait pas.
Antoine cherche de plus en plus la compagnie et a accepté un travail d'accompagnateur en montagne pour les touristes. Dans les familles qu'il accompagne, deux jumeaux de 17 ans sont très intéressés et voudraient qu'il organise une visite animalière. Il propose à leur parents qu'ils montent une fin d'après midi pour passer la nuit à la Bergerie et les parents les rejoindront le lendemain.
Après avoir transpiré dans la montée et s'être changés à l'extérieur, les jumeaux restent en boxer et du coup, Antoine fait pareil. Ils se mettent à bronzer au soleil couché sur des couvertures. Antoine comprend que les jumeaux avaient préféré le bronzage intégral mais ils y renoncent. Pareil pour se coucher, les jumeaux se déshabillent naturellement, mais comme ils constatent qu'Antoine a gardé le boxer, ils remettent le leur en s'excusant. Antoine est stupide. Comme lui aussi préfère dormir nu, il aurait mieux fait d'enlever son boxer aussi. Du reste, pendant la nuit, les jumeaux ont retiré leur boxer et c'est nus qu'ils s'embrassent et se donnent du plaisir. Antoine admire le tableau et finalement éjacule en même temps qu'eux.
En y repensant, Antoine a vu de l'amour dans l'étreinte des 2 frères là, où il voit un besoin physique dans la démarche de Jules. Je trouve son avis trop tranché entre les deux cas et donc trop négatif envers Jules.
Les parents des jumeaux arrivent avec Jules. Ils redescendent avec leurs fils après un repas apprécié. Antoine et Jules restent à la bergerie et font un bronzage intégral. Antoine est attiré par le corps de Jules, notamment ses odeurs et finit par embrasser son gland puis un autre avec de la salive qui fait monter le précum et finalement une fellation. Mais après avoir fait ça (Jules a éjaculé dans sa bouche), il se sent coupable, alors que Jules est satisfait. Il lui demande si c'était mieux qu'avec les jumeaux et est surpris et déçu d'apprendre qu'Antoine n'a été que spectateur. Sa réaction : "Mais tu es encore plus con que je ne le pensais !" déçoit Antoine.
Ils font 2 H de marche tous les deux et le soir, Antoine décide de parler de leur avenir. Jules veut quitter ce lieu pour rejoindre une grande ville et dit qu'il en a assez d'attendre Antoine qui ne veut pas pratiquer la sodomie. Mais il souhaiterait quand même qu'Antoine l'accompagne.
Ils redescendent le lendemain matin, mais en passant à l'hôtel des jumeaux, Antoine apprend qu'ils sont partis avec 3 jours d'avance. Blaise a quand même laissé un mot à Antoine pour le cas où il passerait à Paris.
Au début juillet, Jules n'a pas préparé son sac pour suivre Antoine à la Bergerie. Il précise qu'il va aller habiter ailleurs et donne à Antoine le choix entre le suivre dans un petit appart deux pièces ou partir seul dans une colocation avec cinq étudiants.
Antoine répond qu'une séparation physique serait une bonne chose avec un retour de Jules les week-ends. Mais Jules répond qu'il n'a pas l'intention de revenir, qu'il veut vivre sa vie et s'en va.
Antoine est déçu de ce départ précipité. S'il reconnaît que Jules l'a déniaisé et initié au plaisir du sexe, il n'a pas aimé son impatience grandissante, il finit par penser qu'il a été traité comme un objet sexuel.
Toutefois, Jules repasse en milieu d'après midi, lui rend les clés, le remercie et l'embrasse avec beaucoup de tendresse avant de repartir. Antoine n'a pas réagi alors qu'il aurait pu tomber dans les bras de Jules qui lui a laissé quelques heures pour réfléchir et au moins lui demander où il allait pour éventuellement pouvoir le recontacter. Mais rien de tout ça et finalement Antoine regrette de s'être retrouvé seul.
Toutefois, le directeur de l'institut (en septembre ?) lui propose de donner des cours de littérature
française et d'histoire à des élèves de seize à dix-huit ans. Mais il devra aussi surveiller le sommeil de ses élèves les 2 soirs où il fait cours. Bizarrement, les portes des chambres doivent rester ouvertes et c'est le surveillant qui les ferme quand tout le monde dort (ils avaient intérêt à ne pas être gênés par la lumière). Pour s'assurer que tout le monde dort, il devait toucher chacun au front ou à un bras.
Les cours se passent bien et passionnent les élèves. La première nuit, les garçons qui ont eu un tournoi de basket dans l'après midi, s'endorment assez vite. La deuxième nuit, Antoine voit des branlettes et une fellation réciproque et au dernier passage, deux gars enlacés dorment dans le même lit.
Quelques temps plus tard (combien ?), lors de la dernière tournée de nuit, un garçon de 18 ans attire Antoine vers lui en lui demandant de se laisser faire, plonge la main dans son boxer, constate qu'il mouille et finalement lui fait une branlette et pousse Antoine à faire de même. Ils éjaculent tous les deux et quand Antoine repart, Louis, l'élève le remercie.
Sans l'expérience avec Jules, Antoine aurait très mal pris ce qu'a fait Louis.
Entre deux périodes de cours, alors qu'Antoine est dans son appartement, il reçoit le visite de Louis qui vient s'excuser pour lui avoir forcé la main, mais précise qu'il a tellement aimé que si c'était à refaire, il recommencerait.
Antoine était en boxer lorsqu'il a ouvert à Louis et est allé mettre un bermuda. Louis confirme ce dont Antoine se doute à savoir qu'il n'a pas mis de sous vêtement sous son short. Chacun porte ses mains sur l'entrejambe de l'autre et libère ce qu'il y a sous le tissu.
Ils restent allongés nus sans chercher à aller beaucoup plus loin. Puis Louis dit qu'il doit être retourné dans son lit à 6 H pour conserver son droit de sortie et qu'il veut aussi réfléchir avant de poursuivre plus loin. C'est le genre d'argument qui correspond tout à fait aux préoccupations d'Antoine.
Antoine demande d'ailleurs à ne plus faire la surveillance de nuit. Le directeur comprend parfaitement, en précisant aussi que ce que font les étudiants majeurs hors de l'établissement ne le concerne pas.
Un jour, Louis qui avait entendu parler de la Bergerie demande à Antoine de l'y emmener avant les chutes de neige.