28-08-2022, 09:10 AM
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Juliette et Marie ont vu le câlin échangé entre les deux cousins ; les deux sœurs se regardent et Juliette dit :
Jul : « Bruno et Dimitri s’entendent bien. Je pense que Bruno a consolé Dimi car son père est trop souvent absent et qu’il lui manque.
Mar : Effectivement ça doit être frustrant comme situation pour un ado.
Jul : Au fait je ne t’ai pas dit, mais André sait que Dimi est gay. Il lui a quand même fallu une bonne semaine pour l’accepter. J’aurai cru qu’il aurait fait un effort pour être présent, je pense que c’est important pour Dimi d’avoir son père auprès de lui.
Mar : Tu as tout à fait raison, la figure paternelle est importante même si son enfant est gay.
Jul : J’espère que ça va s’arranger et qu’André soit un peu plus présent à la maison.
Mar : Tu sais c’est la même chose pour Bruno et Jean, ils ne voient leur père qu’un week-end sur deux à la suite de notre divorce. Ce n’est donc pas facile pour eux non plus !
Il va être temps de rentrer, les deux cousins se disent au revoir. Les deux sœurs font de même. Bruno intervient et demande :
Bru : Est-il possible que Dimi reste un jour ou deux à la maison ?
Mar : Je ne suis pas contre, mais il faut que ta tante et que ton cousin soient d’accord.
Dim : Oh oui, ce serait super !
Jul : Je ne suis pas opposée, mais il ne faut pas que ça dérange ta tante.
Bru : Dis oui maman.
Mar : C’est OK pour moi, tu peux donc rester Dimitri, mais pas de bêtises.
Dim : C’est promis ma tante. Merci.
Bru : Merci maman, je sais que nous allons être sages. Nous pourrons discuter et même aller à la piscine.
Jul : Parfait. Je compte sur toi Dimi pour ne pas te faire remarquer.
Dim : Pas de soucis maman, je serai sage comme une image. »
Éclat de rire général. Dimitri embrasse sa maman et affiche un large sourire tout comme Bruno. Il est certain que c’est l’occasion pour Dimi d’avoir de la compagnie et de ne pas rester seul dans l’appartement durant deux jours à tourner en rond.
La soirée se passe au mieux les deux grands ados n’ont pas cessé de discuter de tout et de musique. Ils partagent semble-t-il les mêmes goûts à quelques exceptions près ! Jean se joint à eux pour écouter des CDs. Ils sont couchés sur le lit de Bruno, arguant sur un solo de guitare ou de batterie. Il y en a pour tous les goûts, allant du « rap » au « rock » en passant par la chanson française.
Après le souper, ils se sont remis à écouter du « métal » et du « Hard-rock ». Jean est lui aussi très content d’avoir son cousin car de ce fait il peut participer à cette soirée musique improvisée. C’est sur le coup de vingt-trois heures que Marie, la tante, vient annoncer le couvre-feu. Bruno coupe alors l’ampli et range les CD. Jean remercie son frère et son cousin. Bruno lui dit qu’il revenir quand il a envie. Les deux frangins se sont rapprochés, la venue de Dimi doit y être pour quelque chose.
Jean passe par la salle de bain. Il laisse la place aux deux grands. C’est tout naturellement qu’ils se mettent nus, ils se sont vus dans le plus simple appareil étant plus jeunes. Ils se regardent et Dimi dit alors :
Dim « Tu es bien monté Bruno, ton pénis est même plus long que le mien.
Bru : Tu trouves, ils sont presque identiques, ça doit être de famille.
Dim : Peut-être. Tu dois faire des ravages auprès des filles !
Bru : Bof, tu sais je n’ai eu que deux copines, bien que d’autres filles me courent après.
Dim : Tu n’es plus vierge, tu as déjà eu l’occasion de baiser l’un ou l’autre.
Bru : Oui, les deux, mais je ne sais pas si elles ont apprécié. Moi un peu, mais je pensais que cela aurait été plus fun !
Dim : Ne t’inquiète pas, ça viendra avec une autre belle fille avec qui tu trouveras peut-être le véritable amour. Tu sais tu n’as que dix-huit ans, alors tu as bien le temps cher cousin.
Bru : Merci Dimi. Et toi, comment vont tes amours cher cousin ?
Dim : Tu sais Max est parti et j’ai découvert Loïc, nous sommes dans la même FAC et nous suivons les mêmes cours. Tout se passe bien entre nous, cela ne fait que trois mois et demi que nous nous connaissons. Mais on s’aime.
Bru : Je suis content pour toi tu sais. Tu t’es trouvé et tu as l’air d’assumer, je trouve ça super. Tu sais aussi que je ne te juge pas, au contraire, je t’apprécie tel que tu es !
Dim : Merci Bruno, c’est super gentil ce que tu me dis.
Bru : Bon, si nous nous dépêchions avant de voir débouler ta tante. »
De fait la porte s’ouvre, tante Marie houspille les deux garçons pour qu’elle puisse elle aussi disposer de la salle de bain. Elle les connaît bien les garçons, nus ou habillés, c’est la même chose, ça fait partie des joies de la vie de famille ! Bref ils se lavent et s’essuient vite pour laisser la place à Marie. C’est donc en tenue d’Adam qu’ils gagnent la chambre de Bruno.
Bruno propose à Dimitri de lui passer un pyjama pour la nuit, ils se regardent et Bruno se souvient que son cousin dort régulièrement tout nu. Un clin d’œil de part et d’autre et voilà les deux cousins couchés dans le même grand lit double, in naturalibus, sans aucune gêne. Ils se sont souvent vu dans le plus simple appareil étant plus jeunes. C’est alors que Bruno dit à Dimi :
Bru : « Tu sais que tu as bien changé depuis deux ans. Tu es un gars bien appareillé, ta queue est presque aussi grande que la mienne.
Dim : C’est possible, tu sais en quelques mois la longueur de la teub peut changer et prendre un à deux centimètres.
Bru : Je te crois, d’ailleurs la mienne prend de l’ampleur !
Dim : Moi aussi Bruno, je commence à bander un peu.
Bru : Tu te souviens de cette soirée en été chez les grands-parents ?
Dim : Oui, la fois où nous nous étions branlés ensemble dans le même lit simple !
Bru : Oui, exactement. Tu sais je ne suis pas gay, mais des branlettes partagées, j’ai toujours aimé !
Dim : Pas de soucis, que cela reste entre nous et pas question de le dire à Loïc.
Bru : Non, bien entendu je vais tenir ma langue.
Dim : OK cousin. »
Bruno empoigne alors le sexe dressé de Dimi et commence à le caresser. Dimi lui aussi s’empare de la queue de son cousin. Les deux garçons se masturbent de concert et au bout de six minutes jutent presque au même moment dans des râles de jouissance retenus pour ne pas ameuter la tante Marie.
Ils se sont finalement endormis l’un à côté de l’autre, apaisés après cette séance de sexe partagée, après s’être remercié l’un l’autre. L’état des draps atteste de ce moment d’intimité partagé.
Juliette et Marie ont vu le câlin échangé entre les deux cousins ; les deux sœurs se regardent et Juliette dit :
Jul : « Bruno et Dimitri s’entendent bien. Je pense que Bruno a consolé Dimi car son père est trop souvent absent et qu’il lui manque.
Mar : Effectivement ça doit être frustrant comme situation pour un ado.
Jul : Au fait je ne t’ai pas dit, mais André sait que Dimi est gay. Il lui a quand même fallu une bonne semaine pour l’accepter. J’aurai cru qu’il aurait fait un effort pour être présent, je pense que c’est important pour Dimi d’avoir son père auprès de lui.
Mar : Tu as tout à fait raison, la figure paternelle est importante même si son enfant est gay.
Jul : J’espère que ça va s’arranger et qu’André soit un peu plus présent à la maison.
Mar : Tu sais c’est la même chose pour Bruno et Jean, ils ne voient leur père qu’un week-end sur deux à la suite de notre divorce. Ce n’est donc pas facile pour eux non plus !
Il va être temps de rentrer, les deux cousins se disent au revoir. Les deux sœurs font de même. Bruno intervient et demande :
Bru : Est-il possible que Dimi reste un jour ou deux à la maison ?
Mar : Je ne suis pas contre, mais il faut que ta tante et que ton cousin soient d’accord.
Dim : Oh oui, ce serait super !
Jul : Je ne suis pas opposée, mais il ne faut pas que ça dérange ta tante.
Bru : Dis oui maman.
Mar : C’est OK pour moi, tu peux donc rester Dimitri, mais pas de bêtises.
Dim : C’est promis ma tante. Merci.
Bru : Merci maman, je sais que nous allons être sages. Nous pourrons discuter et même aller à la piscine.
Jul : Parfait. Je compte sur toi Dimi pour ne pas te faire remarquer.
Dim : Pas de soucis maman, je serai sage comme une image. »
Éclat de rire général. Dimitri embrasse sa maman et affiche un large sourire tout comme Bruno. Il est certain que c’est l’occasion pour Dimi d’avoir de la compagnie et de ne pas rester seul dans l’appartement durant deux jours à tourner en rond.
La soirée se passe au mieux les deux grands ados n’ont pas cessé de discuter de tout et de musique. Ils partagent semble-t-il les mêmes goûts à quelques exceptions près ! Jean se joint à eux pour écouter des CDs. Ils sont couchés sur le lit de Bruno, arguant sur un solo de guitare ou de batterie. Il y en a pour tous les goûts, allant du « rap » au « rock » en passant par la chanson française.
Après le souper, ils se sont remis à écouter du « métal » et du « Hard-rock ». Jean est lui aussi très content d’avoir son cousin car de ce fait il peut participer à cette soirée musique improvisée. C’est sur le coup de vingt-trois heures que Marie, la tante, vient annoncer le couvre-feu. Bruno coupe alors l’ampli et range les CD. Jean remercie son frère et son cousin. Bruno lui dit qu’il revenir quand il a envie. Les deux frangins se sont rapprochés, la venue de Dimi doit y être pour quelque chose.
Jean passe par la salle de bain. Il laisse la place aux deux grands. C’est tout naturellement qu’ils se mettent nus, ils se sont vus dans le plus simple appareil étant plus jeunes. Ils se regardent et Dimi dit alors :
Dim « Tu es bien monté Bruno, ton pénis est même plus long que le mien.
Bru : Tu trouves, ils sont presque identiques, ça doit être de famille.
Dim : Peut-être. Tu dois faire des ravages auprès des filles !
Bru : Bof, tu sais je n’ai eu que deux copines, bien que d’autres filles me courent après.
Dim : Tu n’es plus vierge, tu as déjà eu l’occasion de baiser l’un ou l’autre.
Bru : Oui, les deux, mais je ne sais pas si elles ont apprécié. Moi un peu, mais je pensais que cela aurait été plus fun !
Dim : Ne t’inquiète pas, ça viendra avec une autre belle fille avec qui tu trouveras peut-être le véritable amour. Tu sais tu n’as que dix-huit ans, alors tu as bien le temps cher cousin.
Bru : Merci Dimi. Et toi, comment vont tes amours cher cousin ?
Dim : Tu sais Max est parti et j’ai découvert Loïc, nous sommes dans la même FAC et nous suivons les mêmes cours. Tout se passe bien entre nous, cela ne fait que trois mois et demi que nous nous connaissons. Mais on s’aime.
Bru : Je suis content pour toi tu sais. Tu t’es trouvé et tu as l’air d’assumer, je trouve ça super. Tu sais aussi que je ne te juge pas, au contraire, je t’apprécie tel que tu es !
Dim : Merci Bruno, c’est super gentil ce que tu me dis.
Bru : Bon, si nous nous dépêchions avant de voir débouler ta tante. »
De fait la porte s’ouvre, tante Marie houspille les deux garçons pour qu’elle puisse elle aussi disposer de la salle de bain. Elle les connaît bien les garçons, nus ou habillés, c’est la même chose, ça fait partie des joies de la vie de famille ! Bref ils se lavent et s’essuient vite pour laisser la place à Marie. C’est donc en tenue d’Adam qu’ils gagnent la chambre de Bruno.
Bruno propose à Dimitri de lui passer un pyjama pour la nuit, ils se regardent et Bruno se souvient que son cousin dort régulièrement tout nu. Un clin d’œil de part et d’autre et voilà les deux cousins couchés dans le même grand lit double, in naturalibus, sans aucune gêne. Ils se sont souvent vu dans le plus simple appareil étant plus jeunes. C’est alors que Bruno dit à Dimi :
Bru : « Tu sais que tu as bien changé depuis deux ans. Tu es un gars bien appareillé, ta queue est presque aussi grande que la mienne.
Dim : C’est possible, tu sais en quelques mois la longueur de la teub peut changer et prendre un à deux centimètres.
Bru : Je te crois, d’ailleurs la mienne prend de l’ampleur !
Dim : Moi aussi Bruno, je commence à bander un peu.
Bru : Tu te souviens de cette soirée en été chez les grands-parents ?
Dim : Oui, la fois où nous nous étions branlés ensemble dans le même lit simple !
Bru : Oui, exactement. Tu sais je ne suis pas gay, mais des branlettes partagées, j’ai toujours aimé !
Dim : Pas de soucis, que cela reste entre nous et pas question de le dire à Loïc.
Bru : Non, bien entendu je vais tenir ma langue.
Dim : OK cousin. »
Bruno empoigne alors le sexe dressé de Dimi et commence à le caresser. Dimi lui aussi s’empare de la queue de son cousin. Les deux garçons se masturbent de concert et au bout de six minutes jutent presque au même moment dans des râles de jouissance retenus pour ne pas ameuter la tante Marie.
Ils se sont finalement endormis l’un à côté de l’autre, apaisés après cette séance de sexe partagée, après s’être remercié l’un l’autre. L’état des draps atteste de ce moment d’intimité partagé.