22-08-2022, 10:16 PM
Parler de souvenirs de camps scouts peut être ambigu, c’est pour cela que j’ai précisé à quel âge se sont déroulés ces évènements afin de ne pas enfreindre les règles de publication. C’est certainement une incohérence avec d’anciens épisodes où Koen n’avait pas fait autant de découvertes avant de connaître Frédéric. L’édition critique qui paraîtra prochainement dans la Bibliothèque de la Pléiade vous donnera plus de précisions à ce sujet.
Je tiens également à présenter mes excuses à l’un de mes lecteurs fidèles si Koen a une interprétation très personnelle de l’esprit scout. Il ne l’était plus au moment où se déroule ce récit (heureusement).
Je remercie enfin le jeune cycliste belge, mais habitant près de la frontière néerlandaise, qui m’a inspiré à l’insu de son plein gré le personnage de Castor, au cas où il lirait mon récit pour apprendre le français.
Chapitre 15 - Fin des vacances d’automne (2)
Jeudi 8 octobre 1964, une auberge dans la campagne néerlandaise
— On se met à l’aise ? demanda Koen à Castor, Hubrecht à l’état civil.
— Euh… oui, bien sûr.
Koen se déshabilla et se coucha sur l’un des lits jumeaux, mais il garda son slip pour ne pas paraître trop direct avec son ami. Hubrecht enleva ses chaussures, son maillot, il hésitait pour le cuissard.
— Ne te gêne pas pour moi, dit Koen.
— C’est que… je n’ai rien mis dessous.
— Je m’étais toujours demandé si on mettait un slip, j’ai la réponse. Je t’ai déjà vu nu au camp scout, et même plus.
— Oui, je me rappelle. Bon, tu assumeras les conséquences.
Hubrecht enleva son cuissard, sa queue prit l’ascenseur. Elle paraissait disproportionnée par rapport à son corps mince et musclé.
— Elle a grossi depuis la dernière fois, observa Koen, nous devions avoir 16 ans.
— J’ai eu une puberté tardive, dit Hubrecht en riant, tu as bonne mémoire.
— Elle est même plus longue que la mienne à présent. Mets-toi à quatre pattes, je vais inspecter ton périnée.
Hubrecht obéit, Koen tâta longuement les couilles et le point situé entre celles-ci et l’anus, ce qui renforça encore l’érection du cycliste et une goutte de précum suinta de son gland décalotté.
— Tu fais beaucoup de vélo ? demanda Koen.
— Oui, je suis allé en Suisse avec mes parents cet été, dans les Grisons. J’ai gravi le Stelvio, un col qui monte à 2 758 mètres.
— Je pensais qu’il était en Italie.
— Exact, c’est juste de l’autre côté de la frontière. Tu as bientôt fini ?
— Oui, je vais encore tester le tonus de l’anus. Tu n’aimes pas ?
— Je crains seulement de juter.
— C’est vrai, aux scouts tu terminais toujours le premier.
— C’était le but de jouir le plus vite possible, dit Castor.
— On prenait de mauvaises habitudes. J’ai fini, je n’ai rien trouvé de suspect, nous pouvons faire la sieste.
Koen alla se laver les mains, puis ils se couchèrent. La chambre n’était pas chauffée, ils se couvrirent. Au bout de quelques minutes, Koen remarqua que son compagnon ne dormait pas et lui demanda pourquoi.
— Je bande toujours, répondit-il.
— Tu peux te branler, cela ne me dérange pas.
— Ouais, mais j’ai pensé à autre chose.
— À quoi ?
— Tu m’as dit que tu pouvais avoir des aventures et que cela ne gênait pas ton ami.
— Exact.
— Pourrais-tu me sucer ? Cela m’éviterait d’aller au bordel à Amsterdam.
— Pourquoi pas ? Je n’y avais pas pensé.
— Menteur, fit Hubrecht.
— Bon, j’y avais pensé mais on me reproche souvent d’être trop direct. Pour une fois, je voulais agir avec tact et diplomatie.
— Et vire aussi ton slip, j’aimerais mater ta queue.
Koen obtempéra, écarta la couverture et approcha sa bouche du gland de son ami, encore impressionné par la taille de sa bite, il était surtout déçu qu’elle était plus grosse que la sienne. Il devrait revoir les notes qu’il avait faites deux ans plus tôt dans son carnet. Il la caressa délicatement pour calmer Hubrecht et ne pas provoquer d’éjaculation précoce, il comprima légèrement ses testicules, plus petits que la moyenne, sans les serrer trop fort pour ne pas lui faire mal. Il titilla le frein, effleura la couronne du gland avec sa langue, avant de le gober, en serrant la base du pénis. Sa bouche descendit le long de la hampe et il débuta des va-et-vient, assez lents. Hubrecht se détendit, il dit :
— Continue, j’aime bien ce que tu me fais.
Koen sentit l’excitation de son ami monter rapidement, il sortit le membre de sa bouche pour voir le pénis secoué de spasmes et la semence se répandre sur le ventre en de nombreux jets dont les plus puissants atteignirent la poitrine. Il alla à la salle de bain chercher un gant de toilette pour enlever les traces de l’orgasme.
— Merci, Yapok, de m’avoir fait découvrir ceci, dit Castor, c’est l’amitié scoute.
— De rien, j’ai fait ma B.A. quotidienne. As-tu progressé dans ta découverte de l’homosexualité ? Ça ne t’a pas appris grand-chose, les filles sucent aussi leurs mecs.
— Les garçons le font mieux, dit-on.
— Tu veux aussi me sucer ?
— Non, j’aimerais découvrir autre chose, j’ai un peu peur de te le demander.
— Dis toujours.
— J’aimerais que tu… me sodomises, si ça ne te dérange pas.
— Pas du tout, j’ai déjà dépucelé analement un prince.
— Un prince ? Des Pays-Bas ?
— Non, il n’y en avait pas de disponible, fit Koen.
— Je pensais, avec ton père premier ministre… Ça ouvre des portes.
— Je ne peux pas te dire son vrai nom, je ne sais pas si les gazettes en ont parlé. Son surnom est Hyacinthe.
— Je suis moins célèbre que lui… pour le moment. Tu pourras peut-être dire un jour que tu as dépucelé le futur vainqueur du Tour de France.
— Oseras-tu avouer ton homosexualité ? C’est mal vu chez les sportifs.
Koen se leva, prit des préservatifs et du lubrifiant dans une poche de sa veste.
— Tu en as toujours avec toi ? demanda Hubrecht en souriant.
— Oui, je te rappelle notre devise « Sois prêt dans ton corps en te faisant fort et actif, en te rendant capable de faire la chose juste au bon moment, et fais-la s'il le faut ».
Castor babillard prit spontanément la bite de Yapok curieux dans sa main, la décalotta et la caressa jusqu’à l’obtention d’une belle érection, Koen l’invita à passer lui-même le préservatif pour s’entraîner car il n’avait encore jamais essayé. Yapok prit du gel et assouplit longuement les sphincters de Castor avec les doigts avant de le pénétrer très doucement. Hubrecht semblait apprécier, malgré la sensation nouvelle et inhabituelle. Ils allèrent jusqu’au bout, jusqu’à ce que Koen jouit dans les entrailles accueillantes de son ami avent de se retirer et de faire disparaître discrètement la capote sale.
— Voilà, dit Koen à Hubrecht, pas trop mal au cul ?
— Non, tu es un pro du dépucelage.
— Merci pour le compliment. Quelle conclusion quant à ton orientation sexuelle ?
— Je suis gay ! J’en suis sûr !
— Bienvenue dans le cercle des incompris. On fait la sieste, à présent ?
— Oui, on devrait demander qu’on nous réveille, sinon nous allons passer la nuit ici.
— Et pourquoi pas ? On pourrait aviser nos parents : mauvais temps, pneu crevé, que sais-je encore. Et la copine de mon frère est en visite, je suis un peu jaloux, elle me l’a volé. Ça ne me dérange pas de ne pas la voir.
— Tu couchais avec ton frère ? Vous osiez ? demanda Hubrecht.
— Non, il n’a pas voulu. Juste quelques branlettes, comme tout le monde.
— Je ne l’ai jamais fait avec le mien. D’accord, on reste. Tu permettras que je te rende la pareille lorsque j’aurai récupéré ?
— Évidemment, sinon quel intérêt aurions-nous de passer la nuit ici dans cette chambre glaciale ? Ça permettra de nous réchauffer.
Hubrecht gagna effectivement plusieurs fois le Tour de France quelques années plus tard, il ne parla jamais publiquement de son homosexualité et Koen avait toujours du plaisir à repenser à sa grosse bite, surtout en érection car elle était beaucoup plus discrète au repos sur les photos de presse.
Je tiens également à présenter mes excuses à l’un de mes lecteurs fidèles si Koen a une interprétation très personnelle de l’esprit scout. Il ne l’était plus au moment où se déroule ce récit (heureusement).
Je remercie enfin le jeune cycliste belge, mais habitant près de la frontière néerlandaise, qui m’a inspiré à l’insu de son plein gré le personnage de Castor, au cas où il lirait mon récit pour apprendre le français.
Chapitre 15 - Fin des vacances d’automne (2)
Jeudi 8 octobre 1964, une auberge dans la campagne néerlandaise
— On se met à l’aise ? demanda Koen à Castor, Hubrecht à l’état civil.
— Euh… oui, bien sûr.
Koen se déshabilla et se coucha sur l’un des lits jumeaux, mais il garda son slip pour ne pas paraître trop direct avec son ami. Hubrecht enleva ses chaussures, son maillot, il hésitait pour le cuissard.
— Ne te gêne pas pour moi, dit Koen.
— C’est que… je n’ai rien mis dessous.
— Je m’étais toujours demandé si on mettait un slip, j’ai la réponse. Je t’ai déjà vu nu au camp scout, et même plus.
— Oui, je me rappelle. Bon, tu assumeras les conséquences.
Hubrecht enleva son cuissard, sa queue prit l’ascenseur. Elle paraissait disproportionnée par rapport à son corps mince et musclé.
— Elle a grossi depuis la dernière fois, observa Koen, nous devions avoir 16 ans.
— J’ai eu une puberté tardive, dit Hubrecht en riant, tu as bonne mémoire.
— Elle est même plus longue que la mienne à présent. Mets-toi à quatre pattes, je vais inspecter ton périnée.
Hubrecht obéit, Koen tâta longuement les couilles et le point situé entre celles-ci et l’anus, ce qui renforça encore l’érection du cycliste et une goutte de précum suinta de son gland décalotté.
— Tu fais beaucoup de vélo ? demanda Koen.
— Oui, je suis allé en Suisse avec mes parents cet été, dans les Grisons. J’ai gravi le Stelvio, un col qui monte à 2 758 mètres.
— Je pensais qu’il était en Italie.
— Exact, c’est juste de l’autre côté de la frontière. Tu as bientôt fini ?
— Oui, je vais encore tester le tonus de l’anus. Tu n’aimes pas ?
— Je crains seulement de juter.
— C’est vrai, aux scouts tu terminais toujours le premier.
— C’était le but de jouir le plus vite possible, dit Castor.
— On prenait de mauvaises habitudes. J’ai fini, je n’ai rien trouvé de suspect, nous pouvons faire la sieste.
Koen alla se laver les mains, puis ils se couchèrent. La chambre n’était pas chauffée, ils se couvrirent. Au bout de quelques minutes, Koen remarqua que son compagnon ne dormait pas et lui demanda pourquoi.
— Je bande toujours, répondit-il.
— Tu peux te branler, cela ne me dérange pas.
— Ouais, mais j’ai pensé à autre chose.
— À quoi ?
— Tu m’as dit que tu pouvais avoir des aventures et que cela ne gênait pas ton ami.
— Exact.
— Pourrais-tu me sucer ? Cela m’éviterait d’aller au bordel à Amsterdam.
— Pourquoi pas ? Je n’y avais pas pensé.
— Menteur, fit Hubrecht.
— Bon, j’y avais pensé mais on me reproche souvent d’être trop direct. Pour une fois, je voulais agir avec tact et diplomatie.
— Et vire aussi ton slip, j’aimerais mater ta queue.
Koen obtempéra, écarta la couverture et approcha sa bouche du gland de son ami, encore impressionné par la taille de sa bite, il était surtout déçu qu’elle était plus grosse que la sienne. Il devrait revoir les notes qu’il avait faites deux ans plus tôt dans son carnet. Il la caressa délicatement pour calmer Hubrecht et ne pas provoquer d’éjaculation précoce, il comprima légèrement ses testicules, plus petits que la moyenne, sans les serrer trop fort pour ne pas lui faire mal. Il titilla le frein, effleura la couronne du gland avec sa langue, avant de le gober, en serrant la base du pénis. Sa bouche descendit le long de la hampe et il débuta des va-et-vient, assez lents. Hubrecht se détendit, il dit :
— Continue, j’aime bien ce que tu me fais.
Koen sentit l’excitation de son ami monter rapidement, il sortit le membre de sa bouche pour voir le pénis secoué de spasmes et la semence se répandre sur le ventre en de nombreux jets dont les plus puissants atteignirent la poitrine. Il alla à la salle de bain chercher un gant de toilette pour enlever les traces de l’orgasme.
— Merci, Yapok, de m’avoir fait découvrir ceci, dit Castor, c’est l’amitié scoute.
— De rien, j’ai fait ma B.A. quotidienne. As-tu progressé dans ta découverte de l’homosexualité ? Ça ne t’a pas appris grand-chose, les filles sucent aussi leurs mecs.
— Les garçons le font mieux, dit-on.
— Tu veux aussi me sucer ?
— Non, j’aimerais découvrir autre chose, j’ai un peu peur de te le demander.
— Dis toujours.
— J’aimerais que tu… me sodomises, si ça ne te dérange pas.
— Pas du tout, j’ai déjà dépucelé analement un prince.
— Un prince ? Des Pays-Bas ?
— Non, il n’y en avait pas de disponible, fit Koen.
— Je pensais, avec ton père premier ministre… Ça ouvre des portes.
— Je ne peux pas te dire son vrai nom, je ne sais pas si les gazettes en ont parlé. Son surnom est Hyacinthe.
— Je suis moins célèbre que lui… pour le moment. Tu pourras peut-être dire un jour que tu as dépucelé le futur vainqueur du Tour de France.
— Oseras-tu avouer ton homosexualité ? C’est mal vu chez les sportifs.
Koen se leva, prit des préservatifs et du lubrifiant dans une poche de sa veste.
— Tu en as toujours avec toi ? demanda Hubrecht en souriant.
— Oui, je te rappelle notre devise « Sois prêt dans ton corps en te faisant fort et actif, en te rendant capable de faire la chose juste au bon moment, et fais-la s'il le faut ».
Castor babillard prit spontanément la bite de Yapok curieux dans sa main, la décalotta et la caressa jusqu’à l’obtention d’une belle érection, Koen l’invita à passer lui-même le préservatif pour s’entraîner car il n’avait encore jamais essayé. Yapok prit du gel et assouplit longuement les sphincters de Castor avec les doigts avant de le pénétrer très doucement. Hubrecht semblait apprécier, malgré la sensation nouvelle et inhabituelle. Ils allèrent jusqu’au bout, jusqu’à ce que Koen jouit dans les entrailles accueillantes de son ami avent de se retirer et de faire disparaître discrètement la capote sale.
— Voilà, dit Koen à Hubrecht, pas trop mal au cul ?
— Non, tu es un pro du dépucelage.
— Merci pour le compliment. Quelle conclusion quant à ton orientation sexuelle ?
— Je suis gay ! J’en suis sûr !
— Bienvenue dans le cercle des incompris. On fait la sieste, à présent ?
— Oui, on devrait demander qu’on nous réveille, sinon nous allons passer la nuit ici.
— Et pourquoi pas ? On pourrait aviser nos parents : mauvais temps, pneu crevé, que sais-je encore. Et la copine de mon frère est en visite, je suis un peu jaloux, elle me l’a volé. Ça ne me dérange pas de ne pas la voir.
— Tu couchais avec ton frère ? Vous osiez ? demanda Hubrecht.
— Non, il n’a pas voulu. Juste quelques branlettes, comme tout le monde.
— Je ne l’ai jamais fait avec le mien. D’accord, on reste. Tu permettras que je te rende la pareille lorsque j’aurai récupéré ?
— Évidemment, sinon quel intérêt aurions-nous de passer la nuit ici dans cette chambre glaciale ? Ça permettra de nous réchauffer.
Hubrecht gagna effectivement plusieurs fois le Tour de France quelques années plus tard, il ne parla jamais publiquement de son homosexualité et Koen avait toujours du plaisir à repenser à sa grosse bite, surtout en érection car elle était beaucoup plus discrète au repos sur les photos de presse.
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