11-08-2020, 02:15 PM
(Modification du message : 18-10-2022, 03:22 PM par fablelionsilencieux.)
Première mouture venue du Québec ;
Priape
Tabernacle ! ça y est, j’ai franchi le Rubicon… triomphai-je in petto, quelques secondes.
Heu, en fait le rubicond c’est moi et je viens de franchir le seuil de pierre bleue du sex-shop gay "Chez Priape" devant lequel je passe à chaque jours – ou presque - depuis plus d’un an.
Bon, avec un - gros - léger détours, je l’avoue, je parcours la rue Sainte Catherine située au cœur du village gay de Montréal pour faire du lèche vitrine en attente de pouvoir y magasiner et, aujourd’hui, c’est le grand jour… j’ai eu 18 ans samedi !!!
Donc, en ce lundi printanier où j’ai décidé, plutôt que d’aller en classe, d’approfondir mes cours d’éducation sexuelle, c’est les joues bien rouge mais les yeux grands ouverts que j’entame mon circuit dans cette caverne d’Ali Baba.
J’ai le magasin pour moi seul, vu l’heure matinale et j’en prend plein les mirettes ; des jouets de tous styles : du simple dildo pour débutant au modèle ‘bras’ king-size – vibrant ou non -, cock-rings de toute matières, masturbateurs, menottes, fouets, cages de chasteté et même certains instruments qui me sont inconnus, côtoient les DVD, livres, fringues, harnais et autres fantaisies en cuir ou tissu, du sol au plafond. Je fais mes emplettes en fonction de mon budget et de mes envies bien définies, à force de rêver les posséder en m’en servir.
Une Fuck Machine Power Banger Kink trône fièrement sur le comptoir et, ô vision céleste, derrière celui-ci se tient un splendide spécimen d’homo erectus. D’ailleurs, parlant d’erectus, la mi molle que j’avais depuis mon entrée vient de prendre toute la place disponible dans mon boxer. Pourtant je n’en voit que la moitié supérieure mais quelle moitié !!
Heureusement que je suis habillé en style skateur, pantalon large et chemisette flottante.
Il est torse nu et porte un harnais de cuir noir sur son grand corps musclé, deux lanières partent d’un anneaux au niveaux de son plexus solaire et entourent son cou massif pour disparaitre dans son dos, deux autres lanières sur la même attache le ceinture sous ses pectoraux aux tétons percés et une dernière, elle, descend entre ses plaquettes de chocolat et part se cacher sous la large boucle de ceinture d’un pantalon en cuir, j’imagine, la tablette du meuble le cisaillant là.
Il me fait un sourire encourageant, voyant bien que ce doit être ma first dans ce genre d’établissement.
À nouveau le rose aux joues mais sans perdre de ma raideur, je dépose mes achats qu’il scanne avant de les glisser dans un sac noir, neutre. Gel lubrifiant à base d’eau ; une poire à lavement ; un plug de petite taille ; un dildo vibrant moyen et, pour finir, mon coup de cœur ; un jockstrap en cuir.
— Attention ! me dit-il. Ce Jock en cuir Saint at Large a été redessiné pour être plus ajusté que l'ancienne collection. Il vaut mieux être sûr de la taille. Ça n’as pas l’élasticité d’un jock de sport. Sinon, ici, le fessier n’est pas mis en valeur !
— Ben, je ne suis pas certains, c’est M ou L mais j’hésite !
La dessus il fait le tour du comptoir et me tourne le dos :
—Tu as de la chance, c’est le modèle que je porte.
Et je me rend compte que son ‘pantalon’ n’est autre qu’un chaps qui met ses joufflues en valeur… j’en dégluti de travers, un rosebud diamant est bien visible au centre de sa lune et lui sans se départir de son ton professionnel m’explique les spécificités du sous-vêtement.
Il se retourne vers moi et j’ai le regard rivé sur l’imposante bosse que forme la poche contenant ses attributs. Pourtant tout à l’air au repos, là-dedans.
— On va exceptionnellement te laisser faire un essayage pour avoir la bonne taille ! termine-t-il son monologue. Suis-moi aux cabines.
Comme un automate j’emboite le pas du vendeur, hypnotisé par son bijou anal et les chairs généreuses qui l’entourent. Au passage il attrape la mensuration supérieure en rayon et nous arrivons au fond du local où se trouve deux cabines.
— Voila ! fait-il en me tendant les deux jocks. Je t’attend ici. Et il referme le rideau derrière moi.
Je me fout à poil et enfile le plus petit. Il me semble un rien trop serré mais, la vue dans le miroir, me fait un boule d’enfer. Évidemment, le fait d’avoir le périscope qui sort par la ceinture ne me simplifie pas le choix. Mais je ne débande pas d’un iota, m’excitant sur mon propre arrière train que je caresse, là où il manque du tissu.
J’essaye le second. J’ai la sensation que c’est le bon. Il me remonte le popotin en pousse au crime. Je suis tellement surexcité que j’ai le méat qui suinte et est proche de l’explosion.
C’est là que je vois la tête du vendeur, alors qu’il se met à me parler :
— Celui-ci me parait parfait, l’autre te congestionnait un peu trop ! ton gland virait au rouge…
Je comprend qu’il n’a rien raté de mon exhibition, le rideau étant resté entrouvert. Et c’est ma tête qui vire du coup au cramoisi.
—… Tu le garde sur toi ou tu remets ton boxer ? Comme s’il me posait la question pour une paire de basquet.
— Je… je… vais le garder. Je réussi à bafouiller.
— Ok, je remets celui-là en rayon ! Me fait-il en se penchant devant moi pour récupérer l’article posé sur le tabouret à mon côté.
Dans son geste, son bras glisse tout du long sur mon frein, aller et retour. Je suis en apnée, j’ai subit un électrochoc et prie pour ne pas verser ma semence, fort proche du goulot.
Lui, égal à lui-même, me remontre son cul et va replacer le morceau de cuir sur son cintre.
Je parviens à m’habiller sans trop effleurer mon gourdin toujours vertical. J’ai fait descendre au maximum mon jeans pour avoir la tête de l’ogive cinq centimètres en dehors du tissu rêche. Seul mes pans de chemise sont, par-dessus, en contact. Mais je dois veiller à ce que quand je bouge les lés de tissus ne jouent pas au rideaux et laisse deviner qui se montre à la fenêtre. Surtout en sortant du magasin si je ne descends pas en pression.
Et l’autre force de la nature, imperturbable, malgré ce qu’il a vu et peut encore entrevoir ou deviner, m’attend à la caisse.
Moi, j’ai des sueurs et des crampes tellement l’envie de purger mes noix se fait sentir. Je paye et, au moment de partir, ose poser la question qui me brule les lèvres :
— Comment fais-tu pour rester de bois devant les clients comme moi que tu vois à poil et bandé ?
Il me fait un clin d’œil et baisse la poche du jock sous ses bourses, me dévoilant ainsi que la lanière descendante du harnais se termine par un cock ring qui sert de base à une cage de chasteté en plastique transparent, la hampe bloquée vers le bas et dans l’impossibilité de se déployer sans douleur.
—Tu comprend qu’avec ça je n’ai pas trop envie et puis j’ai l’habitude aussi. Mon chum et collègue est sacrément jaloux !
Une voix grave résonne méchamment dans mon dos :
— Et alors ! je part faire des courses au dépanneur du coin et je te surprend les bonbons à l’air !!!
Tu vas voir tes fesses ce soir !
Je pivote, près à prendre mes jambes à mon cou … et … j’en reste baba !
le master tout de cuir vêtu est un lilliputien à coté de la baraque qui vient de me servir.
Bien qu’il ait l’air musclé sec sous sa chemise noire largement ouverte jusqu’au nombril, je ne pense pas qu’il dépasse les cent-soixante-cinq centimètres, talons des bottes et casquette comprise. Mais il dégage une autorité naturelle de ce petit bonhomme qui domine le grand gaillard.
Le nabot me toise des pied à la tête en louchant allègrement sur mon entre-jambe de puceau. J’ai l’air d’être une souris devant un gros matou affamé.
Je pogne les anses de mon sac d’achats et, m’en servant d’écran à l’endroit stratégique, sort au plus vite dans la rue en frissonnant…
C’est une dizaine de jours plus tard que je retourne dans cet antre de la luxure … j’ai attendu d’être sur que le soumis soit occupé par un client pour aller demander conseil sur d’autres fringues et essayages au boss.
Si je vous dit qu’il m’a offert un rosebud similaire à celui du colosse, me croyez-vous ?
Bien sûr c’est lui qui me l’a mis, … et pas que !!!
Priape
Tabernacle ! ça y est, j’ai franchi le Rubicon… triomphai-je in petto, quelques secondes.
Heu, en fait le rubicond c’est moi et je viens de franchir le seuil de pierre bleue du sex-shop gay "Chez Priape" devant lequel je passe à chaque jours – ou presque - depuis plus d’un an.
Bon, avec un - gros - léger détours, je l’avoue, je parcours la rue Sainte Catherine située au cœur du village gay de Montréal pour faire du lèche vitrine en attente de pouvoir y magasiner et, aujourd’hui, c’est le grand jour… j’ai eu 18 ans samedi !!!
Donc, en ce lundi printanier où j’ai décidé, plutôt que d’aller en classe, d’approfondir mes cours d’éducation sexuelle, c’est les joues bien rouge mais les yeux grands ouverts que j’entame mon circuit dans cette caverne d’Ali Baba.
J’ai le magasin pour moi seul, vu l’heure matinale et j’en prend plein les mirettes ; des jouets de tous styles : du simple dildo pour débutant au modèle ‘bras’ king-size – vibrant ou non -, cock-rings de toute matières, masturbateurs, menottes, fouets, cages de chasteté et même certains instruments qui me sont inconnus, côtoient les DVD, livres, fringues, harnais et autres fantaisies en cuir ou tissu, du sol au plafond. Je fais mes emplettes en fonction de mon budget et de mes envies bien définies, à force de rêver les posséder en m’en servir.
Une Fuck Machine Power Banger Kink trône fièrement sur le comptoir et, ô vision céleste, derrière celui-ci se tient un splendide spécimen d’homo erectus. D’ailleurs, parlant d’erectus, la mi molle que j’avais depuis mon entrée vient de prendre toute la place disponible dans mon boxer. Pourtant je n’en voit que la moitié supérieure mais quelle moitié !!
Heureusement que je suis habillé en style skateur, pantalon large et chemisette flottante.
Il est torse nu et porte un harnais de cuir noir sur son grand corps musclé, deux lanières partent d’un anneaux au niveaux de son plexus solaire et entourent son cou massif pour disparaitre dans son dos, deux autres lanières sur la même attache le ceinture sous ses pectoraux aux tétons percés et une dernière, elle, descend entre ses plaquettes de chocolat et part se cacher sous la large boucle de ceinture d’un pantalon en cuir, j’imagine, la tablette du meuble le cisaillant là.
Il me fait un sourire encourageant, voyant bien que ce doit être ma first dans ce genre d’établissement.
À nouveau le rose aux joues mais sans perdre de ma raideur, je dépose mes achats qu’il scanne avant de les glisser dans un sac noir, neutre. Gel lubrifiant à base d’eau ; une poire à lavement ; un plug de petite taille ; un dildo vibrant moyen et, pour finir, mon coup de cœur ; un jockstrap en cuir.
— Attention ! me dit-il. Ce Jock en cuir Saint at Large a été redessiné pour être plus ajusté que l'ancienne collection. Il vaut mieux être sûr de la taille. Ça n’as pas l’élasticité d’un jock de sport. Sinon, ici, le fessier n’est pas mis en valeur !
— Ben, je ne suis pas certains, c’est M ou L mais j’hésite !
La dessus il fait le tour du comptoir et me tourne le dos :
—Tu as de la chance, c’est le modèle que je porte.
Et je me rend compte que son ‘pantalon’ n’est autre qu’un chaps qui met ses joufflues en valeur… j’en dégluti de travers, un rosebud diamant est bien visible au centre de sa lune et lui sans se départir de son ton professionnel m’explique les spécificités du sous-vêtement.
Il se retourne vers moi et j’ai le regard rivé sur l’imposante bosse que forme la poche contenant ses attributs. Pourtant tout à l’air au repos, là-dedans.
— On va exceptionnellement te laisser faire un essayage pour avoir la bonne taille ! termine-t-il son monologue. Suis-moi aux cabines.
Comme un automate j’emboite le pas du vendeur, hypnotisé par son bijou anal et les chairs généreuses qui l’entourent. Au passage il attrape la mensuration supérieure en rayon et nous arrivons au fond du local où se trouve deux cabines.
— Voila ! fait-il en me tendant les deux jocks. Je t’attend ici. Et il referme le rideau derrière moi.
Je me fout à poil et enfile le plus petit. Il me semble un rien trop serré mais, la vue dans le miroir, me fait un boule d’enfer. Évidemment, le fait d’avoir le périscope qui sort par la ceinture ne me simplifie pas le choix. Mais je ne débande pas d’un iota, m’excitant sur mon propre arrière train que je caresse, là où il manque du tissu.
J’essaye le second. J’ai la sensation que c’est le bon. Il me remonte le popotin en pousse au crime. Je suis tellement surexcité que j’ai le méat qui suinte et est proche de l’explosion.
C’est là que je vois la tête du vendeur, alors qu’il se met à me parler :
— Celui-ci me parait parfait, l’autre te congestionnait un peu trop ! ton gland virait au rouge…
Je comprend qu’il n’a rien raté de mon exhibition, le rideau étant resté entrouvert. Et c’est ma tête qui vire du coup au cramoisi.
—… Tu le garde sur toi ou tu remets ton boxer ? Comme s’il me posait la question pour une paire de basquet.
— Je… je… vais le garder. Je réussi à bafouiller.
— Ok, je remets celui-là en rayon ! Me fait-il en se penchant devant moi pour récupérer l’article posé sur le tabouret à mon côté.
Dans son geste, son bras glisse tout du long sur mon frein, aller et retour. Je suis en apnée, j’ai subit un électrochoc et prie pour ne pas verser ma semence, fort proche du goulot.
Lui, égal à lui-même, me remontre son cul et va replacer le morceau de cuir sur son cintre.
Je parviens à m’habiller sans trop effleurer mon gourdin toujours vertical. J’ai fait descendre au maximum mon jeans pour avoir la tête de l’ogive cinq centimètres en dehors du tissu rêche. Seul mes pans de chemise sont, par-dessus, en contact. Mais je dois veiller à ce que quand je bouge les lés de tissus ne jouent pas au rideaux et laisse deviner qui se montre à la fenêtre. Surtout en sortant du magasin si je ne descends pas en pression.
Et l’autre force de la nature, imperturbable, malgré ce qu’il a vu et peut encore entrevoir ou deviner, m’attend à la caisse.
Moi, j’ai des sueurs et des crampes tellement l’envie de purger mes noix se fait sentir. Je paye et, au moment de partir, ose poser la question qui me brule les lèvres :
— Comment fais-tu pour rester de bois devant les clients comme moi que tu vois à poil et bandé ?
Il me fait un clin d’œil et baisse la poche du jock sous ses bourses, me dévoilant ainsi que la lanière descendante du harnais se termine par un cock ring qui sert de base à une cage de chasteté en plastique transparent, la hampe bloquée vers le bas et dans l’impossibilité de se déployer sans douleur.
—Tu comprend qu’avec ça je n’ai pas trop envie et puis j’ai l’habitude aussi. Mon chum et collègue est sacrément jaloux !
Une voix grave résonne méchamment dans mon dos :
— Et alors ! je part faire des courses au dépanneur du coin et je te surprend les bonbons à l’air !!!
Tu vas voir tes fesses ce soir !
Je pivote, près à prendre mes jambes à mon cou … et … j’en reste baba !
le master tout de cuir vêtu est un lilliputien à coté de la baraque qui vient de me servir.
Bien qu’il ait l’air musclé sec sous sa chemise noire largement ouverte jusqu’au nombril, je ne pense pas qu’il dépasse les cent-soixante-cinq centimètres, talons des bottes et casquette comprise. Mais il dégage une autorité naturelle de ce petit bonhomme qui domine le grand gaillard.
Le nabot me toise des pied à la tête en louchant allègrement sur mon entre-jambe de puceau. J’ai l’air d’être une souris devant un gros matou affamé.
Je pogne les anses de mon sac d’achats et, m’en servant d’écran à l’endroit stratégique, sort au plus vite dans la rue en frissonnant…
C’est une dizaine de jours plus tard que je retourne dans cet antre de la luxure … j’ai attendu d’être sur que le soumis soit occupé par un client pour aller demander conseil sur d’autres fringues et essayages au boss.
Si je vous dit qu’il m’a offert un rosebud similaire à celui du colosse, me croyez-vous ?
Bien sûr c’est lui qui me l’a mis, … et pas que !!!
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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