08-08-2022, 01:40 PM
CHAPITRE 072 : « Sur l’ile » » « Samuel »
« Quelques jours plus tard. »
Florian lève les yeux eu ciel en voyant le jet privé d’Alexandre commencé son processus d’atterrissage sur le petit aérodrome de l’ile, annonçant l’arrivée des trois retardataires.
Le plaisir peut se lire à livre ouvert sur ses traits, une larme s’échappant même de ses yeux en souvenir de l’état total d’épuisement de Samuel lors de sa reprise de conscience dans son corps.
Thomas, Antonin et Lorgan, penchés tous trois sur lui à lui donner de leur énergie, juste au moment crucial semble-t-il pour ne pas qu’il se perde d’épuisement dans les limbes de l’espace profond.
Un sourire lui vient alors du plaisir d’avoir réussi et de se retrouver avec ceux qu’il aime, pour il n’en doute pas un instant vivre de nouvelles aventures.
Plusieurs idées sont sorties de leurs chapeaux depuis son arrivée sur l’ile et les réunions dans ce sens qui ont eues lieues.
Aucune décision pourtant n’a encore été prise, Florian attendant le retour de Samuel et de leurs autres compagnons, chacun ayant son mot à dire dans de telles circonstances.
Les familles Petitjean, Dupuis et Deschamps, sont arrivées la veille au soir et il a pu découvrir « encore » quelques garçons qui ma fois ne manquaient pas d’intérêts.
Pour ce que concerne les adultes, le fait de le voir en vie alors qu’ils l’ont connu alors qu’ils le sortaient des décombres datant de milliers d’années, a apporté un grand moment de consternation pour finir par une franche rigolade de la façon qu’ils ont eues de se sortir des mains du temple.
La veillée a donc consisté à mettre au courant ces scientifiques qui apprennent d’ambler ce que représente ou plutôt représentait Thomas, Antonin, Lorgan, Alexandre et bien entendu lui-même, dans cet autre univers qui était le leur.
Les plus âgés posèrent essentiellement des questions de natures scientifique et spirituelles, tandis que les plus jeunes cherchaient à en découvrir plus sur leurs relations, disons plus intimes.
Les questions qu’ils posèrent sans honte ni excès de pudeur, mirent Antonin, Lorgan et Thomas, dans un embarras bien visible qui amusa les ainés, tandis que Florian ne ratait rien et se délectait visiblement des mimiques de son amour de toujours, face à ce bombardement de questionnements intimes sur leurs relations à tous.
Pietro comprenant dès le départ qu’il n’arriverait plus à endiguer la curiosité des jeunes visant essentiellement le dessous de la ceinture, il prétesta la fatigue du voyage pour monter dans sa chambre, vite suivit par son épouse et les autres parents, visiblement tous dépasser par cet intérêt libidineux venant de leurs progénitures respectives.
Pourtant au moment ou à leurs tours ils décidèrent d’aller se coucher, chacun des deux camps partis de son côté avec malgré tout le sourire et le regard déjà prometteur d’y revenir rapidement.
Le souvenir de la première nuit passée avec ses trois amants, ramena Florian à celui de la première nuit qu’ils repassèrent ensemble sur ce monde, lui faisant retrouver l’état d’excitation qu’il a alors vécu après tout ce temps où ils ont été séparés.
Pourtant l’image qui se grave alors dans sa tête n’est pas celle d’un ou plusieurs de ses blondinets, mais bien celle d’un noir corbeau de celui qui actuellement doit sans doute refaire ces premiers pas sur le tarmac.
De penser à Samuel, Florian se relève d’un bond pour courir vers l’aéroport situer non loin et arriver juste à temps pour l’accueillir à sa sortie, remarquant du coin de l’œil qu’il n’est pas le seul à avoir eu la même idée, Alexandre et Toshio, serrant déjà leurs amoureux contre eux.
Samuel commençait à faire grise mine, quand un « Psstt !! » sonore lui fait tourner la tête et apercevoir la coupe rousse en bataille de celui qu’il aime plus que tout au monde.
Les deux garçons se jettent dans les bras l’un de l’autre, avant d’éprouver un besoin de discrétion envers tous ces regards curieux dirigés vers eux.
Le trajet jusqu’à l’hôtel particulier du maitre de l’ile se fait alors dans une franche camaraderie, chacun étant heureux de retrouver les autres.
Étonnamment personne n’aborde le sujet des nouveaux arrivants, sans doute parce que tous comprennent qu’il sera bien temps de crever l’abcès et qu’il leur faut profiter de leur retrouvaille sans se mettre déjà la pression.
Arriver aux portes de la maison, les couples se séparent pour emmener les bagages dans les chambres respectives, c’est en montant l’escalier que Florian s’aperçoit du changement soudain de Samuel, qui de prolixe jusque là est devenu subitement silencieux, voir renfermer sur lui-même.
Il se doute bien de la raison première d’un tel changement d’humeur et ne peut que se louer d’avoir prit la décision qui a été la sienne, alors qu’au petit déjeuné Thomas lui posait justement la question.
Le passage de la porte de la chambre fut le moment le plus tendu, Samuel n’osant pas y pénétrer de peur sans doute de n’y voir rien indiquant qu’il n’y vivrait pas seul.
Pourtant son regard accroche rapidement sur quelques bibelots et vêtements familier, qui très vite le libère de cette impression d’étouffement qui était le sien, comprenant que cette chambre est également celle de Florian.
Du coup il y entre avec une curiosité toute nouvelle, cherchant à y trouver des indices du nombre prévu d’occupant, c’est le lit de taille conventionnel qui lui en donne la réponse.
Florian a tout suivit avec le sourire, heureux d’avoir prit la bonne décision et cela même s’il est conscient que ça n’a pas forcement plut à tout le monde.
- Tu t’attendais à quoi, je te vois tout surprit ?
- Je…
Samuel sent bien qu’aucun son n’arrive plus à sortir de sa gorge, aussi s’y prend-t-il autrement en venant prendre Florian par le cou, le visage couvert de larmes.
- Allons… allons… pas besoin de te mettre dans un état pareil !! J’imaginais nos retrouvailles d’une autre façon ! Hi ! Hi !
Samuel s’écarte de l’espace nécessaire à pouvoir le fixer les yeux dans les yeux, un regard qui de suite met Florian dans tous ses états en lui faisant comprendre une fois de plus l’importance qu’a pour lui ce garçon revenu à lui d’un passé lointain.
Un geste du pied de sa part referme la porte en la faisant claquer fortement, mettant le tempo sur ce qui va suivre alors que déjà chacun débarrasse l’autre de ses vêtements, pour ensuite venir s’allonger nus sur le lit et poursuivre de façon plus en tendresse cette union des corps et des âmes.
Le plaisir absolu que ressent Florian lui amène le souvenir d’autres plaisirs de la même trempe, commençant à regarder d’un autre regard cet amant qui agit sur lui tel un aimant et c’est au moment de la dernière jouissance que son esprit s’ouvre enfin pour lui amener le trouble.
Le corps nu et le visage de Samuel venant se mettre en surimpression du visage et du corps également nu qu’il a en souvenir de celui de Kim.
Samuel qui rouvre à son tour les yeux après le long frisson d’orgasme qui vient une énième fois de ressentir, s’aperçoit du trouble de son chéri et s’en inquiète, pensant inconsciemment qu’il est en rapport avec ses autres compagnons qu’il vient juste de retrouver.
- Quelque chose ne va pas ? tu n’as pas aimé ?
- Bien sûr que non allons !! C’est juste que je viens de réaliser quelque chose, qui maintenant me saute aux yeux !!
- Qu’est-ce que c’est ?
- Tu te rappelles de Kim ?
- Kim ?? non… ah, si… Tu parles de ce garçon qu’à l’époque tu cherchais partout et c’est d’ailleurs grâce à cette recherche que nous nous sommes rapprochés !!
- C’est bien de lui qu’il s’agit !!
- Et donc quoi ??
- Je viens juste de remarquer que tu avais la même taille, la même corpulence, les mêmes yeux, le même âge, la même façon de faire l’amour et…
- Et donc tu te disais que j’étais peut-être une réincarnation de lui ! Hi ! Hi ! Sauf que j’ai vécu à la même époque que lui rappelle-toi !!
- Hum !!
« Quelques jours plus tard. »
Florian lève les yeux eu ciel en voyant le jet privé d’Alexandre commencé son processus d’atterrissage sur le petit aérodrome de l’ile, annonçant l’arrivée des trois retardataires.
Le plaisir peut se lire à livre ouvert sur ses traits, une larme s’échappant même de ses yeux en souvenir de l’état total d’épuisement de Samuel lors de sa reprise de conscience dans son corps.
Thomas, Antonin et Lorgan, penchés tous trois sur lui à lui donner de leur énergie, juste au moment crucial semble-t-il pour ne pas qu’il se perde d’épuisement dans les limbes de l’espace profond.
Un sourire lui vient alors du plaisir d’avoir réussi et de se retrouver avec ceux qu’il aime, pour il n’en doute pas un instant vivre de nouvelles aventures.
Plusieurs idées sont sorties de leurs chapeaux depuis son arrivée sur l’ile et les réunions dans ce sens qui ont eues lieues.
Aucune décision pourtant n’a encore été prise, Florian attendant le retour de Samuel et de leurs autres compagnons, chacun ayant son mot à dire dans de telles circonstances.
Les familles Petitjean, Dupuis et Deschamps, sont arrivées la veille au soir et il a pu découvrir « encore » quelques garçons qui ma fois ne manquaient pas d’intérêts.
Pour ce que concerne les adultes, le fait de le voir en vie alors qu’ils l’ont connu alors qu’ils le sortaient des décombres datant de milliers d’années, a apporté un grand moment de consternation pour finir par une franche rigolade de la façon qu’ils ont eues de se sortir des mains du temple.
La veillée a donc consisté à mettre au courant ces scientifiques qui apprennent d’ambler ce que représente ou plutôt représentait Thomas, Antonin, Lorgan, Alexandre et bien entendu lui-même, dans cet autre univers qui était le leur.
Les plus âgés posèrent essentiellement des questions de natures scientifique et spirituelles, tandis que les plus jeunes cherchaient à en découvrir plus sur leurs relations, disons plus intimes.
Les questions qu’ils posèrent sans honte ni excès de pudeur, mirent Antonin, Lorgan et Thomas, dans un embarras bien visible qui amusa les ainés, tandis que Florian ne ratait rien et se délectait visiblement des mimiques de son amour de toujours, face à ce bombardement de questionnements intimes sur leurs relations à tous.
Pietro comprenant dès le départ qu’il n’arriverait plus à endiguer la curiosité des jeunes visant essentiellement le dessous de la ceinture, il prétesta la fatigue du voyage pour monter dans sa chambre, vite suivit par son épouse et les autres parents, visiblement tous dépasser par cet intérêt libidineux venant de leurs progénitures respectives.
Pourtant au moment ou à leurs tours ils décidèrent d’aller se coucher, chacun des deux camps partis de son côté avec malgré tout le sourire et le regard déjà prometteur d’y revenir rapidement.
Le souvenir de la première nuit passée avec ses trois amants, ramena Florian à celui de la première nuit qu’ils repassèrent ensemble sur ce monde, lui faisant retrouver l’état d’excitation qu’il a alors vécu après tout ce temps où ils ont été séparés.
Pourtant l’image qui se grave alors dans sa tête n’est pas celle d’un ou plusieurs de ses blondinets, mais bien celle d’un noir corbeau de celui qui actuellement doit sans doute refaire ces premiers pas sur le tarmac.
De penser à Samuel, Florian se relève d’un bond pour courir vers l’aéroport situer non loin et arriver juste à temps pour l’accueillir à sa sortie, remarquant du coin de l’œil qu’il n’est pas le seul à avoir eu la même idée, Alexandre et Toshio, serrant déjà leurs amoureux contre eux.
Samuel commençait à faire grise mine, quand un « Psstt !! » sonore lui fait tourner la tête et apercevoir la coupe rousse en bataille de celui qu’il aime plus que tout au monde.
Les deux garçons se jettent dans les bras l’un de l’autre, avant d’éprouver un besoin de discrétion envers tous ces regards curieux dirigés vers eux.
Le trajet jusqu’à l’hôtel particulier du maitre de l’ile se fait alors dans une franche camaraderie, chacun étant heureux de retrouver les autres.
Étonnamment personne n’aborde le sujet des nouveaux arrivants, sans doute parce que tous comprennent qu’il sera bien temps de crever l’abcès et qu’il leur faut profiter de leur retrouvaille sans se mettre déjà la pression.
Arriver aux portes de la maison, les couples se séparent pour emmener les bagages dans les chambres respectives, c’est en montant l’escalier que Florian s’aperçoit du changement soudain de Samuel, qui de prolixe jusque là est devenu subitement silencieux, voir renfermer sur lui-même.
Il se doute bien de la raison première d’un tel changement d’humeur et ne peut que se louer d’avoir prit la décision qui a été la sienne, alors qu’au petit déjeuné Thomas lui posait justement la question.
Le passage de la porte de la chambre fut le moment le plus tendu, Samuel n’osant pas y pénétrer de peur sans doute de n’y voir rien indiquant qu’il n’y vivrait pas seul.
Pourtant son regard accroche rapidement sur quelques bibelots et vêtements familier, qui très vite le libère de cette impression d’étouffement qui était le sien, comprenant que cette chambre est également celle de Florian.
Du coup il y entre avec une curiosité toute nouvelle, cherchant à y trouver des indices du nombre prévu d’occupant, c’est le lit de taille conventionnel qui lui en donne la réponse.
Florian a tout suivit avec le sourire, heureux d’avoir prit la bonne décision et cela même s’il est conscient que ça n’a pas forcement plut à tout le monde.
- Tu t’attendais à quoi, je te vois tout surprit ?
- Je…
Samuel sent bien qu’aucun son n’arrive plus à sortir de sa gorge, aussi s’y prend-t-il autrement en venant prendre Florian par le cou, le visage couvert de larmes.
- Allons… allons… pas besoin de te mettre dans un état pareil !! J’imaginais nos retrouvailles d’une autre façon ! Hi ! Hi !
Samuel s’écarte de l’espace nécessaire à pouvoir le fixer les yeux dans les yeux, un regard qui de suite met Florian dans tous ses états en lui faisant comprendre une fois de plus l’importance qu’a pour lui ce garçon revenu à lui d’un passé lointain.
Un geste du pied de sa part referme la porte en la faisant claquer fortement, mettant le tempo sur ce qui va suivre alors que déjà chacun débarrasse l’autre de ses vêtements, pour ensuite venir s’allonger nus sur le lit et poursuivre de façon plus en tendresse cette union des corps et des âmes.
Le plaisir absolu que ressent Florian lui amène le souvenir d’autres plaisirs de la même trempe, commençant à regarder d’un autre regard cet amant qui agit sur lui tel un aimant et c’est au moment de la dernière jouissance que son esprit s’ouvre enfin pour lui amener le trouble.
Le corps nu et le visage de Samuel venant se mettre en surimpression du visage et du corps également nu qu’il a en souvenir de celui de Kim.
Samuel qui rouvre à son tour les yeux après le long frisson d’orgasme qui vient une énième fois de ressentir, s’aperçoit du trouble de son chéri et s’en inquiète, pensant inconsciemment qu’il est en rapport avec ses autres compagnons qu’il vient juste de retrouver.
- Quelque chose ne va pas ? tu n’as pas aimé ?
- Bien sûr que non allons !! C’est juste que je viens de réaliser quelque chose, qui maintenant me saute aux yeux !!
- Qu’est-ce que c’est ?
- Tu te rappelles de Kim ?
- Kim ?? non… ah, si… Tu parles de ce garçon qu’à l’époque tu cherchais partout et c’est d’ailleurs grâce à cette recherche que nous nous sommes rapprochés !!
- C’est bien de lui qu’il s’agit !!
- Et donc quoi ??
- Je viens juste de remarquer que tu avais la même taille, la même corpulence, les mêmes yeux, le même âge, la même façon de faire l’amour et…
- Et donc tu te disais que j’étais peut-être une réincarnation de lui ! Hi ! Hi ! Sauf que j’ai vécu à la même époque que lui rappelle-toi !!
- Hum !!
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