Immunité (SF, gay, derniers épisodes)

[Lange128]

Bonjour, Lange !

Je n'ai pas vu le conseil des 250 mots par jour : ça doit être dans leur Académie, mais je n'ai pas encore eu le temps de m'y mettre, trop occupé actuellement à lire les vieux textes de Docti. Mais, pour après le 1er septembre, est-ce que ça en vaut la peine ?

250 mots par jour... C'est une idée tentante, en tant que discipline personnelle : se lever le matin et taper 250 mots en 15 à 30 minutes... Le début de matinée, juste après le réveil, est la période la plus favorable à l'écriture (au moins pour  moi)  parce que c'est pendant la nuit que me viennent toutes mes idées, mais je ne m'y suis jamais mis. Le gros souci s, c'est que si je ne suis pas inspiré, les 250 mots n'auront aucun intérêt et ne seront pas montrables, et que si je commence à développer une idée intéressante, je partirai pour au moins 1500 mots et deux heures...

L'idée des vestaliens me semble un peu foireuse : j'aime bien les histoires sentimentales, moi... C'est pour ça que je lis les histoires gay. Elles sont bien plus sentimentales que les histoires hétéro. En général, bien sûr, je ne parle pas de Moloch.

Bonjour [member=67]emmanolife[/member].

J’ai fait un essai avec l’Académie mais je n’ai pas encore souscrit d’abonnement, j’attends de voir comment un long récit sera reçu sur le site, jusqu’à présent je n’ai fait que de petits défis. C’est peut-être pour cela qu’ils m’envoient des suggestions. Pour le moment j’écris plutôt 1000 mots en deux heures tous les 4-5 jours, en général le soir.

Comme j’ai bientôt fini « Immunité », je me trouve devant un écran blanc qu’il faudra remplir et je réfléchis « à haute voix » à diverses possibilités. Le problème avec les histoires sentimentales, c’est qu’elles se ressemblent toutes et qu’une fois que les héros se sont déclaré leur amour on peut arrêter en disant qu’ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.

Mais c’est aussi vrai qu’avec une histoire comme celle des vestaliens j’aurais vite fait le tour du sujet et que ce serait difficile de trouver une intrigue sur la durée une fois le décor planté. Le métier d’écrivain n’est pas simple et je ne publie que le « premier jet » de mes récits, il ne faut pas s’attendre à quelque chose de parfait de ma part.