29-07-2022, 06:27 PM
Cinquième Policeman
Salut,
Je m’appelle Simon. Je vis à Houston. J'ai 25 ans et je tiens un food-truck qui est bientôt totalement à moi. Il ne me reste plus que quelques traites à payer.
Moitié Américain et moitié Français par ma mère je suis un grand blond, bien fait de sa personne, avec un corps que j’entretiens.
''Mens sana in corpore sano'' (Comme le dirait KLO75, en réinventant surement la devise. Pas vrai ?)
J'ai une belle gueule d'ange – Mais oui, on me le dit - et un sourire charmeur ce qui ne gâche rien. Ce n’est pas que je n'étais doué pour les études mais ça ne me disait rien. Mes parents n'ont pas insisté et je me suis retrouvé à les aider dans le restaurant familial. J'y ai fait mon apprentissage comme 'chef ‘. Cuisiner me plaisait beaucoup mais il me manquait le grand air.
Aussi je suis parti en Floride, bosser dans un restaurant de plage. J'y suis resté un petit moment mais, coincé dans la cuisine, ça a fini par ressembler au resto de mes parents. Puis je suis parti faire un tour au Mexique et là, je me suis éclaté sur un stand qui faisait de la nourriture rapide pour les ouvriers. Ça m'a donné l'idée d'ouvrir mon food-truck.
Je suis rentré et j'en ai parlé à mes parents. Un food-truck était à vendre et je l'ai acheté – vive le crédit. Un de mes potes a refait la mécanique, un autre l'électricité et mes parents ont complété ce qu'il manquait dedans et depuis quelques mois je bosse à mon compte et je m'en sors pas mal. Il faut dire qu'à Houston en ce moment ça bouge beaucoup. Il y a pas mal de gros chantiers, un peu partout en ville. Au début j'étais statique, c'est à dire que je restais au même endroit. J'avais ma clientèle d'habitués mais pas de quoi faire éclater le chiffre d’affaires.
C'est Tom, qui lui vend des glaces, qui me dit qu'il fallait que je bouge. Et je l'ai suivi dans sa tournée. Comme nous sommes complémentaires, depuis on se suit et on change de place en même temps.
Tom, il faut que je vous en parle, parce que c'est un garçon fantastique. Il est - presque - aussi beau et bien gaulé que moi (quoi mes chevilles ?), et en plus il a un humour de fou. Son seul mais gros défaut c'est qu'il n'est pas gay, contrairement à moi. Quand on n'a pas de clients il passe son temps à me montrer des photos de sa copine qui va bientôt éclater à cause des jumeaux qu'ils attendent. Il en est déjà gaga !
Dans nos changements de place, trois fois par semaine, on n’est pas loin du grand poste de police – les deux entrées principales et le coté parking. Ce sont des bons clients les policiers - et ça peut toujours servir d’être bien avec eux. C'est pour ça que quand ils viennent acheter quelque chose à manger on les soigne encore mieux que les autres clients, pourtant déjà choyés.
Depuis quelques jours, sortis tout droit de l’école de police, il y a des nouveaux venus… une bonne quantités même. Et les anciens sont venus nous les présenter et leurs ont vanter la qualité de nos marchandises. Il y en a des très mignons et, métier oblige, ils ont tous un physique de sportif, mais aucun ne m'a vraiment fait frémir et tomber en amour.
Aucun… jusqu'à ce que Garry vienne me demander un hamburger.
Il est arrivé en roulant les mécaniques, casquette vissée sur la tête, ray ban sur les yeux, et un uniforme impeccable qui le moulait comme une seconde peau. D’ailleurs, son uniforme le moulait tellement qu'on voyait qu'il portait à gauche et qu’il y avait un sacré matos sous la braguette.
-- Salut, moi c'est Garry, mes potes m'ont dit que tu fais des hamburgers à se taper le cul par terre, tellement ils sont bons. Alors je viens tester ça !
-- Salut Garry, moi c'est Simon et tes collègues ont raison. Je fais les meilleurs hamburgers de tout le quartier. Bon, après, j’avoue que je suis le seul à en faire par ici, y a que des bureaux.
Il sourit à ma boutade, dévoilant deux rangs de perles blanches et fort bien alignées. Il quitta ses lunettes et là, je restais sans voix. Ses yeux étaient… simplement magnifiques. Je faillis même en faire bruler un steak, pour tout vous dire. Heureusement que Larry, son sergent, est arrivé pour que je puisse me reconcentrer sur mon travail. Larry n'était pas loin de la retraite et, de temps en temps, il passait même nous voir ses jours de congés avec ses petits-enfants auxquels on offrait, qui un hamburger ou une glace, suivant l’heure.
On tapa la causette le temps que les hamburgers cuisent et qu'ils les mangent puis ils repartirent bosser. Le cul de Garry moulé dans son uniforme… mmm, je ne vous en parle même pas, un pur bonheur visuel.
J'avais annoncé ma sexualité à Tom qui ne s'en était pas offusqué et ce clown se moquait de moi, quand je me faisais draguer par des femmes d'un certain âge. Ce qui était paradoxal, c'est que lui se faisait plutôt draguer par des mecs et pas des dégueux, en plus… va comprendre !
Je ne sais plus quel client avait lancé l'idée d'une carte de fidélité. Au début avec Tom ça nous avait fait sourire et puis l'idée a fait son chemin et, finalement, on avait fait chacun des cartes à nos noms avec derrière 12 cases et l’espace pour les coordonnées du client – justificatif pour le fisc. Quand la carte était pleine on calculait le montant et le client bénéficiait d’une ristourne de dix pourcents sur sa commande suivante, ne payant que la différence.
C'est grâce à ça que j'ai appris le nom de famille de Garry, que j'ai eu son téléphone et son adresse. Il n'était pas mon meilleur client mais pas loin. Maintenant quand ils venaient avec Larry qui était son coéquipier, il discutait bien plus et parfois de choses personnelles mais ni lui ni moi n'avions jamais parler copine (ou copain) jusque-là.
Un jour où il n'y avait pas encore de clients, je branchais une application de drague sur mon téléphone. Je regardais les profils proches mais rien de bien transcendant. J'allais l'arrêter quand tout un groupe de clients arriva et ils étaient pressés en plus. Le temps de préparer et de les servir, mon téléphone vibra dans ma poche. Je n'avais vraiment pas le temps de regarder qui c’était.
Ce n'est qu'après ce coup de feu inattendu qu'en face de moi, je vis Garry et Larry qui patientaient, un peu en retrait. Garry pianotait sur son téléphone et le mien vibra à nouveau. Je pris le temps de regarder les messages Et ce qu'il y avait d’écrit sur le premier me fit sourire. 'j'ignorais que mon gaydar était en panne Simon, sinon je serais passé pour autre chose qu’un hamburger depuis longtemps. Sans l’appli, que j’ai ouverte pour patienter, je serai encore à admirer discrètement mon cuisto préféré. Je me suis traité de con. Lol !’.
Le deuxième c’était une photo de lui en maillot de bain minimaliste sur une plage. Wow !
Il avait replacé son téléphone dans sa poche et arriva tout sourire avec Larry. Je pris leur commande et on parla surtout des petits enfants de Larry. Ce n'est que quand ils partirent que je lui répondis. Il se retourna et me fit un grand sourire.
Le soir même il m'invitait chez lui. On ne mangea pas de hamburgers mais des hot dogs à la sauce blanche, sans parler des saucisses fourrées, et on en abusa une bonne partie de la nuit… parce que, lui comme moi, on aimait ce genre nourriture !
Depuis…
Salut,
Je m’appelle Simon. Je vis à Houston. J'ai 25 ans et je tiens un food-truck qui est bientôt totalement à moi. Il ne me reste plus que quelques traites à payer.
Moitié Américain et moitié Français par ma mère je suis un grand blond, bien fait de sa personne, avec un corps que j’entretiens.
''Mens sana in corpore sano'' (Comme le dirait KLO75, en réinventant surement la devise. Pas vrai ?)
J'ai une belle gueule d'ange – Mais oui, on me le dit - et un sourire charmeur ce qui ne gâche rien. Ce n’est pas que je n'étais doué pour les études mais ça ne me disait rien. Mes parents n'ont pas insisté et je me suis retrouvé à les aider dans le restaurant familial. J'y ai fait mon apprentissage comme 'chef ‘. Cuisiner me plaisait beaucoup mais il me manquait le grand air.
Aussi je suis parti en Floride, bosser dans un restaurant de plage. J'y suis resté un petit moment mais, coincé dans la cuisine, ça a fini par ressembler au resto de mes parents. Puis je suis parti faire un tour au Mexique et là, je me suis éclaté sur un stand qui faisait de la nourriture rapide pour les ouvriers. Ça m'a donné l'idée d'ouvrir mon food-truck.
Je suis rentré et j'en ai parlé à mes parents. Un food-truck était à vendre et je l'ai acheté – vive le crédit. Un de mes potes a refait la mécanique, un autre l'électricité et mes parents ont complété ce qu'il manquait dedans et depuis quelques mois je bosse à mon compte et je m'en sors pas mal. Il faut dire qu'à Houston en ce moment ça bouge beaucoup. Il y a pas mal de gros chantiers, un peu partout en ville. Au début j'étais statique, c'est à dire que je restais au même endroit. J'avais ma clientèle d'habitués mais pas de quoi faire éclater le chiffre d’affaires.
C'est Tom, qui lui vend des glaces, qui me dit qu'il fallait que je bouge. Et je l'ai suivi dans sa tournée. Comme nous sommes complémentaires, depuis on se suit et on change de place en même temps.
Tom, il faut que je vous en parle, parce que c'est un garçon fantastique. Il est - presque - aussi beau et bien gaulé que moi (quoi mes chevilles ?), et en plus il a un humour de fou. Son seul mais gros défaut c'est qu'il n'est pas gay, contrairement à moi. Quand on n'a pas de clients il passe son temps à me montrer des photos de sa copine qui va bientôt éclater à cause des jumeaux qu'ils attendent. Il en est déjà gaga !
Dans nos changements de place, trois fois par semaine, on n’est pas loin du grand poste de police – les deux entrées principales et le coté parking. Ce sont des bons clients les policiers - et ça peut toujours servir d’être bien avec eux. C'est pour ça que quand ils viennent acheter quelque chose à manger on les soigne encore mieux que les autres clients, pourtant déjà choyés.
Depuis quelques jours, sortis tout droit de l’école de police, il y a des nouveaux venus… une bonne quantités même. Et les anciens sont venus nous les présenter et leurs ont vanter la qualité de nos marchandises. Il y en a des très mignons et, métier oblige, ils ont tous un physique de sportif, mais aucun ne m'a vraiment fait frémir et tomber en amour.
Aucun… jusqu'à ce que Garry vienne me demander un hamburger.
Il est arrivé en roulant les mécaniques, casquette vissée sur la tête, ray ban sur les yeux, et un uniforme impeccable qui le moulait comme une seconde peau. D’ailleurs, son uniforme le moulait tellement qu'on voyait qu'il portait à gauche et qu’il y avait un sacré matos sous la braguette.
-- Salut, moi c'est Garry, mes potes m'ont dit que tu fais des hamburgers à se taper le cul par terre, tellement ils sont bons. Alors je viens tester ça !
-- Salut Garry, moi c'est Simon et tes collègues ont raison. Je fais les meilleurs hamburgers de tout le quartier. Bon, après, j’avoue que je suis le seul à en faire par ici, y a que des bureaux.
Il sourit à ma boutade, dévoilant deux rangs de perles blanches et fort bien alignées. Il quitta ses lunettes et là, je restais sans voix. Ses yeux étaient… simplement magnifiques. Je faillis même en faire bruler un steak, pour tout vous dire. Heureusement que Larry, son sergent, est arrivé pour que je puisse me reconcentrer sur mon travail. Larry n'était pas loin de la retraite et, de temps en temps, il passait même nous voir ses jours de congés avec ses petits-enfants auxquels on offrait, qui un hamburger ou une glace, suivant l’heure.
On tapa la causette le temps que les hamburgers cuisent et qu'ils les mangent puis ils repartirent bosser. Le cul de Garry moulé dans son uniforme… mmm, je ne vous en parle même pas, un pur bonheur visuel.
J'avais annoncé ma sexualité à Tom qui ne s'en était pas offusqué et ce clown se moquait de moi, quand je me faisais draguer par des femmes d'un certain âge. Ce qui était paradoxal, c'est que lui se faisait plutôt draguer par des mecs et pas des dégueux, en plus… va comprendre !
Je ne sais plus quel client avait lancé l'idée d'une carte de fidélité. Au début avec Tom ça nous avait fait sourire et puis l'idée a fait son chemin et, finalement, on avait fait chacun des cartes à nos noms avec derrière 12 cases et l’espace pour les coordonnées du client – justificatif pour le fisc. Quand la carte était pleine on calculait le montant et le client bénéficiait d’une ristourne de dix pourcents sur sa commande suivante, ne payant que la différence.
C'est grâce à ça que j'ai appris le nom de famille de Garry, que j'ai eu son téléphone et son adresse. Il n'était pas mon meilleur client mais pas loin. Maintenant quand ils venaient avec Larry qui était son coéquipier, il discutait bien plus et parfois de choses personnelles mais ni lui ni moi n'avions jamais parler copine (ou copain) jusque-là.
Un jour où il n'y avait pas encore de clients, je branchais une application de drague sur mon téléphone. Je regardais les profils proches mais rien de bien transcendant. J'allais l'arrêter quand tout un groupe de clients arriva et ils étaient pressés en plus. Le temps de préparer et de les servir, mon téléphone vibra dans ma poche. Je n'avais vraiment pas le temps de regarder qui c’était.
Ce n'est qu'après ce coup de feu inattendu qu'en face de moi, je vis Garry et Larry qui patientaient, un peu en retrait. Garry pianotait sur son téléphone et le mien vibra à nouveau. Je pris le temps de regarder les messages Et ce qu'il y avait d’écrit sur le premier me fit sourire. 'j'ignorais que mon gaydar était en panne Simon, sinon je serais passé pour autre chose qu’un hamburger depuis longtemps. Sans l’appli, que j’ai ouverte pour patienter, je serai encore à admirer discrètement mon cuisto préféré. Je me suis traité de con. Lol !’.
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Il avait replacé son téléphone dans sa poche et arriva tout sourire avec Larry. Je pris leur commande et on parla surtout des petits enfants de Larry. Ce n'est que quand ils partirent que je lui répondis. Il se retourna et me fit un grand sourire.
Le soir même il m'invitait chez lui. On ne mangea pas de hamburgers mais des hot dogs à la sauce blanche, sans parler des saucisses fourrées, et on en abusa une bonne partie de la nuit… parce que, lui comme moi, on aimait ce genre nourriture !
Depuis…
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