22-07-2022, 01:23 PM
CHAPITRE 065 : « En Asian ». » « Le Doc. »
« Quelques semaines plus tard. »
Alexandre raccompagne le dernier patient venu pour une simple auscultation, le soupçonnant comme beaucoup d’autres avant lui de n’avoir fait le chemin que dans le but de rencontrer celui qui dans leurs pensées n’est rien de moins que « l’unique », mais qu’ils nomment « Le Doc. » par prudence envers les réactions du temple.
Les médias eux aussi se sont donnés le mot, n’utilisant plus que ce diminutif pour ne pas recevoir les foudres de la censure nationale allant depuis toujours de pair avec la religion Taoïste.
Du coup toute la bande entre dans un « train-train » quotidien qui leur convient parfaitement, apprenant ainsi tous à mieux se connaitre et surtout à s’appréciés.
Florian reste concentrer sur ce qu’il aime par-dessus tout et qui commence à lui donner une notoriété parmi le corps médical, reconnaissant autant son habilité que son extraordinaire savoir-faire.
Ils apprennent des pratiques médicales encore inédites sur ce monde avec des regards d’émerveillement, prenant très vite la main sur certaines opérations qui jusque là n’auraient jamais été tentées.
L’hospice se voit reconnaitre un taux de réussites record, recevant de nombreuses offrandes qui aides à moderniser l’équipement et c’est donc dans cette ambiance ou travail et réussites vont de paires, qu’arrive ce matin-là une étrange procession.
Le moine directeur de l’hospice entre dans la salle d’opération, alors que le jeune rouquin lui tourne le dos en se contorsionnant des fesses dans une étrange danse dont il avait déjà entendu parler sans jamais y assister.
Pourtant il est nettement visible que son degré de concentration reste entier, aussi suit-il discrètement l’opération en cours d’un regard ou reflète toutes ses émotions tant professionnelles que venant de ses croyances profondes.
Ce n’est qu’une fois terminé et quand il voit Florian passer la main à son assistant pour qu’il termine, qu’il toussote pour faire remarquer sa présence.
- Hum… Hum !!!
Florian l’avait comme de bien entendu remarqué depuis son entrée dans le bloc, aussi n’est-il pas surpris de l’entendre et même lui réserve-t-il une blague bien à lui en se retournant vers le vieil homme pour lui faire face.
- Oui mon fils ??
Florian voit bien que sa blague de potache va beaucoup trop loin, quand l’homme tombe littéralement à genoux devant lui en tremblant.
Il l’aide à se relever en s’en voulant d’avoir prit encore une fois leur foi religieuse comme thème à ses plaisanteries, n’étant pas pour sa part adepte de quelque croyance que ce soit.
Excusez mes blagues à deux balles, c’est juste que toute cette dévotion que je ressens à mon encontre finie par me mettre une trop grande pression. Je vous écoute sur le motif de votre présence ici, j’imagine que ce doit être important pour que vous veniez jusqu’au bloc pour m’en informer.
Le vieil homme se relève avec difficulté, gardant les mains de Florian dans les siennes en les serrant fortement, montrant par là que quoiqu’il en dise ne changera rien à sa pensée le concernant.
- Deux prêtresses sont à l’accueil et demandent à vous rencontrer !!
- J’entends bien l’information sans pour autant voir en quoi cela vous inquiète ?
- Je… Je…. Que dois-je faire ?
- Faites-les patienter dans mon bureau le temps que je me douche et offrez leurs une boisson pour m’excuser de les faire attendre.
- C’est tout ??
- Comment ça ?? vous attendiez quel autre genre de réaction de ma part ?
- Je… non rien!! Entendu, je vais les prévenir !!
Florian le regarde s’éloigner en se posant la question, autant de la raison de leurs présences que de celle qui semblait affecter le vieux moine.
Sachant qu’il est attendue par deux de celles qui ont voulus le séquestrer, il prend son temps pour se nettoyer et se changer, n’apparaissant à son bureau qu’après une bonne heure à les avoir fait attendre.
De suite il comprend laquelle des deux détient l’autorité et sans doute le plus puissant pouvoir, une idée lui vient alors en voyant le soleil de cette belle journée de printemps entrer par la fenêtre.
Une moue que n’importe lequel de ses amis aurait vite interprétée pour ce qu’elle valait, mais qui pour les deux femmes qui se lèvent en sa présence, ne ressemble qu’à une marque d’irrespect envers elles et se quelles représentent.
- Asseyez-vous je vous prie, j’attendais une visite de ce genre depuis déjà un moment et je suis étonné que cela vous ait pris autant de temps, sans doute la façon dont nous nous sommes échappés de vos mercenaires vous ont donné à réfléchir ?
L’attaque verbale est tellement brutale et inattendue, que la plus âgée manque de s’en étrangler de rage.
- Si vous êtes venues pour vous excusez alors voilà chose faite, je vous remercie de votre visite et je ne vous retiens pas !!
Cette fois s’en est visiblement trop pour celle qui déjà est rouge de colère, elle se lève d’un bond encore souple pour son âge et attrape Florian par le col de sa blouse.
- Espèce d’impertinent !! Savez-vous à qui vous vous adressez seulement ??
- Et vous… le savez-vous seulement ?
Au moment ou Florian termine sa phrase, la pièce s’assombrit soudainement alors que la deuxième prêtresse qui jusque-là était restée sans prendre parti, pousse un cri de frayeur en pointant la fenêtre d’un doigt tremblant, s’évanouissant dans la foulée.
Au loin dans l’espace, cachant le soleil, une ombre noir est apparue avec deux immenses yeux verts qui semblent transpercés la prêtresse de part en part.
Florian profite de son désarroi pour se libérer de son étreinte, s’approchant de la fenêtre en faisant un signe de main vers le « Kannn » qui disparait alors aussi soudainement qu’il était apparu.
Il va s’assoir à son bureau en laissant aux deux femmes le temps de reprendre leurs esprits, une fois chose faite il se lève de nouveau pour ouvrir la porte et d’un geste universel de la main les invités à sortir.
- Maintenant que vous avez eu votre réponse, il est inutile de revenir !! Demandez donc à vos dieux si d’autres questions se posent à vous, je suis certain qu’ils y répondront dans le sens qui vous conviendra le mieux ! Hi ! Hi !
Voyant que l’une d’elle, toujours la même, va pour protester, ses yeux reprennent le temps d’un instant cette apparence terrifiante qui du coup coupe toute velléité de discussion à ses deux femmes qui se retiennent avec peine de prendre leurs jambes à leurs cous, sous l’effet dévastatrice de la terreur animale qu’elles ressentent à l’instant présent.
- Mesdames au plaisir de ne plus vous voir !!
Les deux prêtresses ont à peine tournée l’angle du couloir, que déjà nombres de têtes apparaissent à l’encoignure des portes des pièces attenantes, Florian en reconnaissant les curieux s’en amuse.
- Je vois que vous n’êtes pas débordée par le travail !!
- Du coup tu ne sais pas ce qu’elles voulaient ?
- Tient… c’est vrai ça !! Bah !! A mon avis elles ont due oublié elles aussi !!
Toshio reste celui parmi les présents marquer par l’inquiétude et ne se prive pas de le faire savoir.
- Pourquoi aller jusqu’à dévoiler la présence du « Kannn » ? c’était la dernière chose à faire si tu voulais nier ce que tu es réellement.
- Hum !!
- On fait quoi maintenant ? mon avis qu’il ne nous reste que peu de temps après ça avant que cela ne rapplique de partout, on est loin de la discrétion et de l’ambiguïté que tu semblais vouloir maintenir autour de ta personne.
« Quelques semaines plus tard. »
Alexandre raccompagne le dernier patient venu pour une simple auscultation, le soupçonnant comme beaucoup d’autres avant lui de n’avoir fait le chemin que dans le but de rencontrer celui qui dans leurs pensées n’est rien de moins que « l’unique », mais qu’ils nomment « Le Doc. » par prudence envers les réactions du temple.
Les médias eux aussi se sont donnés le mot, n’utilisant plus que ce diminutif pour ne pas recevoir les foudres de la censure nationale allant depuis toujours de pair avec la religion Taoïste.
Du coup toute la bande entre dans un « train-train » quotidien qui leur convient parfaitement, apprenant ainsi tous à mieux se connaitre et surtout à s’appréciés.
Florian reste concentrer sur ce qu’il aime par-dessus tout et qui commence à lui donner une notoriété parmi le corps médical, reconnaissant autant son habilité que son extraordinaire savoir-faire.
Ils apprennent des pratiques médicales encore inédites sur ce monde avec des regards d’émerveillement, prenant très vite la main sur certaines opérations qui jusque là n’auraient jamais été tentées.
L’hospice se voit reconnaitre un taux de réussites record, recevant de nombreuses offrandes qui aides à moderniser l’équipement et c’est donc dans cette ambiance ou travail et réussites vont de paires, qu’arrive ce matin-là une étrange procession.
Le moine directeur de l’hospice entre dans la salle d’opération, alors que le jeune rouquin lui tourne le dos en se contorsionnant des fesses dans une étrange danse dont il avait déjà entendu parler sans jamais y assister.
Pourtant il est nettement visible que son degré de concentration reste entier, aussi suit-il discrètement l’opération en cours d’un regard ou reflète toutes ses émotions tant professionnelles que venant de ses croyances profondes.
Ce n’est qu’une fois terminé et quand il voit Florian passer la main à son assistant pour qu’il termine, qu’il toussote pour faire remarquer sa présence.
- Hum… Hum !!!
Florian l’avait comme de bien entendu remarqué depuis son entrée dans le bloc, aussi n’est-il pas surpris de l’entendre et même lui réserve-t-il une blague bien à lui en se retournant vers le vieil homme pour lui faire face.
- Oui mon fils ??
Florian voit bien que sa blague de potache va beaucoup trop loin, quand l’homme tombe littéralement à genoux devant lui en tremblant.
Il l’aide à se relever en s’en voulant d’avoir prit encore une fois leur foi religieuse comme thème à ses plaisanteries, n’étant pas pour sa part adepte de quelque croyance que ce soit.
Excusez mes blagues à deux balles, c’est juste que toute cette dévotion que je ressens à mon encontre finie par me mettre une trop grande pression. Je vous écoute sur le motif de votre présence ici, j’imagine que ce doit être important pour que vous veniez jusqu’au bloc pour m’en informer.
Le vieil homme se relève avec difficulté, gardant les mains de Florian dans les siennes en les serrant fortement, montrant par là que quoiqu’il en dise ne changera rien à sa pensée le concernant.
- Deux prêtresses sont à l’accueil et demandent à vous rencontrer !!
- J’entends bien l’information sans pour autant voir en quoi cela vous inquiète ?
- Je… Je…. Que dois-je faire ?
- Faites-les patienter dans mon bureau le temps que je me douche et offrez leurs une boisson pour m’excuser de les faire attendre.
- C’est tout ??
- Comment ça ?? vous attendiez quel autre genre de réaction de ma part ?
- Je… non rien!! Entendu, je vais les prévenir !!
Florian le regarde s’éloigner en se posant la question, autant de la raison de leurs présences que de celle qui semblait affecter le vieux moine.
Sachant qu’il est attendue par deux de celles qui ont voulus le séquestrer, il prend son temps pour se nettoyer et se changer, n’apparaissant à son bureau qu’après une bonne heure à les avoir fait attendre.
De suite il comprend laquelle des deux détient l’autorité et sans doute le plus puissant pouvoir, une idée lui vient alors en voyant le soleil de cette belle journée de printemps entrer par la fenêtre.
Une moue que n’importe lequel de ses amis aurait vite interprétée pour ce qu’elle valait, mais qui pour les deux femmes qui se lèvent en sa présence, ne ressemble qu’à une marque d’irrespect envers elles et se quelles représentent.
- Asseyez-vous je vous prie, j’attendais une visite de ce genre depuis déjà un moment et je suis étonné que cela vous ait pris autant de temps, sans doute la façon dont nous nous sommes échappés de vos mercenaires vous ont donné à réfléchir ?
L’attaque verbale est tellement brutale et inattendue, que la plus âgée manque de s’en étrangler de rage.
- Si vous êtes venues pour vous excusez alors voilà chose faite, je vous remercie de votre visite et je ne vous retiens pas !!
Cette fois s’en est visiblement trop pour celle qui déjà est rouge de colère, elle se lève d’un bond encore souple pour son âge et attrape Florian par le col de sa blouse.
- Espèce d’impertinent !! Savez-vous à qui vous vous adressez seulement ??
- Et vous… le savez-vous seulement ?
Au moment ou Florian termine sa phrase, la pièce s’assombrit soudainement alors que la deuxième prêtresse qui jusque-là était restée sans prendre parti, pousse un cri de frayeur en pointant la fenêtre d’un doigt tremblant, s’évanouissant dans la foulée.
Au loin dans l’espace, cachant le soleil, une ombre noir est apparue avec deux immenses yeux verts qui semblent transpercés la prêtresse de part en part.
Florian profite de son désarroi pour se libérer de son étreinte, s’approchant de la fenêtre en faisant un signe de main vers le « Kannn » qui disparait alors aussi soudainement qu’il était apparu.
Il va s’assoir à son bureau en laissant aux deux femmes le temps de reprendre leurs esprits, une fois chose faite il se lève de nouveau pour ouvrir la porte et d’un geste universel de la main les invités à sortir.
- Maintenant que vous avez eu votre réponse, il est inutile de revenir !! Demandez donc à vos dieux si d’autres questions se posent à vous, je suis certain qu’ils y répondront dans le sens qui vous conviendra le mieux ! Hi ! Hi !
Voyant que l’une d’elle, toujours la même, va pour protester, ses yeux reprennent le temps d’un instant cette apparence terrifiante qui du coup coupe toute velléité de discussion à ses deux femmes qui se retiennent avec peine de prendre leurs jambes à leurs cous, sous l’effet dévastatrice de la terreur animale qu’elles ressentent à l’instant présent.
- Mesdames au plaisir de ne plus vous voir !!
Les deux prêtresses ont à peine tournée l’angle du couloir, que déjà nombres de têtes apparaissent à l’encoignure des portes des pièces attenantes, Florian en reconnaissant les curieux s’en amuse.
- Je vois que vous n’êtes pas débordée par le travail !!
- Du coup tu ne sais pas ce qu’elles voulaient ?
- Tient… c’est vrai ça !! Bah !! A mon avis elles ont due oublié elles aussi !!
Toshio reste celui parmi les présents marquer par l’inquiétude et ne se prive pas de le faire savoir.
- Pourquoi aller jusqu’à dévoiler la présence du « Kannn » ? c’était la dernière chose à faire si tu voulais nier ce que tu es réellement.
- Hum !!
- On fait quoi maintenant ? mon avis qu’il ne nous reste que peu de temps après ça avant que cela ne rapplique de partout, on est loin de la discrétion et de l’ambiguïté que tu semblais vouloir maintenir autour de ta personne.
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