19-06-2022, 12:13 AM
Les Malheurs de Sofiane
Troisième texte,
Sofiane est le petit dernier d'une famille nombreuse. Il n'est ni meilleur ni pire que ses frères et sœurs mais ceux et celles-ci lui reprochent d'être le chouchou de leur mère. C'est vrai qu'elle lui passe beaucoup plus de choses qu'à eux. Et tous en éprouvent du ressentiment.
Pour des raisons familiales, les parents sont partis une semaine, laissant aux deux ainés le soin de gérer le reste de la famille. C'est à partir de ce jour-là que les malheurs de Sofiane commencent.
Sofiane n'est pas très grand pour son âge. Il est bien proportionné mais petit et fin. Sa sœur aînée lui donne toutes les tâches ménagères à faire et pour l'humilier elle lui fait enfiler la blouse que sa mère à l'habitude de mettre. Il râle un peu mais finit par obéir. Et c'est sous les quolibets de ses frères et sœurs qu'il continue sa tâche. Son frère en profite pour faire des photos de lui. Et comme il est en short et en pantoufles quand il se penche vers l'avant on voit le haut de ses cuisses ce qui est encore plus ridicule.
Le repas fini, c'est aussi lui qui débarrasse la table tandis que ses frères et sœurs sont sur leurs téléphones. Il a transpiré et il va se doucher. Les bienfaits de l'eau ruisselant sur son corps et ses hormones bouillonnantes font qu'il se met à bander… et il commence à se masturber. Plongé loin dans sa béatitude il ne se rend pas compte qu'un de ses frères est parvenu à ouvrir la porte. Et quand il jouit, il est coupé dans son plaisir par les rires de ses frères et sœurs qui sont tous là à le filmer avec leurs téléphones. Par réflexe il cache son sexe mais il sait que c'est trop tard, que le mal est fait. Il s'enfuit en courant dans sa chambre. À sa grande surprise personne ne le suit. Et c'est après avoir tourné un grand moment dans son lit qu'il finit par s’endormir.
La fratrie étant en vacances c'est tard que tout le monde se réveille. Quand il se lève à son tour, il rejoint la cuisine en pyjama, il est surpris de voir son frère ainé et sa sœur en plein conciliabules. D'habitude c'est chien et chat tous les deux. Il prend son petit-déjeuner et il se retrouve tout d'un coup entouré par toute la fratrie. Ils le portent jusqu'à un fauteuil où il l’attachent. Il crie, se débat et se retrouve bâillonné. Ses sœurs approchent avec leurs affaires de maquillage. Elles s'attaquent à ses sourcils qu'elles épilent. Puis c'est au tour du fond de teint, du rimmel et du blush. On lui enlève son bâillon et c'est au tour de ses lèvres. On lui pose une perruque blond platine sur la tête.
— Putain, on dirait vraiment une meuf le frangin.
— Il fait même pas travelo, maquillé comme ça.
— On va voir ce que ça donne quand il aura enfilé vos fringues.
— Ça va pas dans votre tête ! Jamais je ne les enfilerai.
— Si tu ne le fais pas on envoie la vidéo de ta branlette à tous tes potes et aux nôtres.
— Allez-vous faire enculer, bande de connards.
La claque qu'il prend le fait taire et pleurer. Ses frères et sœurs le mettent à poil. Une de ses frangines lui tend un string minimaliste où il a du mal à ranger son service trois pièces. Puis c'est un soutien-gorge rembourré par des chaussettes qu'il doit endosser. Puis une vieille robe noire très courte qui ne cache que la moitié de ses fesses qu'il doit enfiler.
— Putain, ça va pas, il est trop poilu.
— Y'a qu'à l’épiler.
Ni une, ni deux les épilateurs entrent en scène. Il hurle de douleur et on lui remet le bâillon. Ses larmes coulent et le rimmel aussi. C'est enfin fini, plus un poils sur le corps. Il doit encore enfiler des DIM Up noir, sexy, à résille. Et pour couronner le tout, des talons hauts.
Bien sûr tout au long de cette humiliation les téléphones ont filmé. Ses sœurs ont fait quelques retouches de maquillage. Tous l’entourent. On lui rajoute quelques colifichets dont des boucles d'oreilles et un collier assorti, puis un sac à main.
— Marche un peu pour voir.
Il ne bouge pas. Une forte poussée dans le dos l'oblige à faire quelques pas qui sont chancelants.
Tous se marrent. Quand il passe à côté de son frère ainé ce dernier lui colle une grande claque sur les fesses.
— Allez, remue du cul quand tu marches Salope !
— Elle est toute belle notre ‘’frérotte’’ comme ça. Si on allait faire un tour. Je suis sûr que notre Anne-Sophie a envie de prendre l’air.
C'est résigné qu'il suivit la fratrie. Sa démarche incertaine les faisait rire. Ils croisent certaines connaissances auxquelles fièrement ils exhibent le pauvre Sofiane qui, s'il trouvait un trou de souris, s'y cacherait. Un des potes de son frère ainé – céfran qui ne cache pas sa bisexualité - en profite même pour lui caresser les fesses en lui faisant un grand clin d'œil, en passant sa langue sur ses lèvres. D'autres les traitent de malade et de connards. Un attroupement se crée, le ton monte, on en vient aux mains, si bien que la police débarque et embarque tout ce petit monde.
Vu sa tenue on met Sofiane dans une cellule à part où il y a déjà un autre garçon qui comme lui est travesti en fille.
— Putain, que tu es belle. Je ne t'ai jamais vu avant. Tu assures grave. Tu sors d’où ?
— C'est mes frères et sœurs qui pour m'humilier m'ont travesti en pute.
— Tu sais que tu fais illusion. J'en bande.
Tout en disant ça le mec attrape la main de Sofiane et la colle dans sa culotte après avoir relevé sa robe. Le pauvre Sofiane, qui est encore puceau, ne sait pas quoi faire.
— Tu attends quoi pour me branler ?
— Mais j'ai jamais fait ça moi !
— Tu fais comme pour toi. Tu vas pas me dire que tu ne t'es jamais branlé.
— Ça oui, mais j'ai jamais branlé un autre mec.
— Si tu veux pas me branler, tu n'as qu'à me sucer. Allez, décide-toi. À moins que tu préfères que je t’encule. Mais j'ai pas de capotes.
Complètement perdu et choisissant le moindre mal, Sofiane commence à faire des allers-retours sur le sexe de l'autre mec qui jouit très vite en gémissant fort. Ni une ni deux le gars se met à genoux, relève la robe de Sofiane sort sa bite par un côté du string et commence à lui tailler une pipe.
Sofiane, tétanisé, ne bouge pas d'un poil, n'arrive même pas à bander et c'est comme ça qu'il est surpris par les policiers, venus le chercher pour l’interroger. C'est à moitié poussé et tiré par les pandores qu'il s'assoit sur la chaise de la salle d’interrogatoires.
— Bon Sofiane, on a vu les vidéos qu'on fait tes frères et tes sœurs. On a vu que tu n'étais pas consentant. On a prévenu tes parents qui seront de retour dans la soirée. On va te raccompagner chez toi où tu pourras te changer. On va prendre ta déposition et on va garder tes frères et sœurs jusqu'au retour de tes parents qui décideront quoi faire. Bon, vas y raconte nous comment ça s’est passé.
Après avoir fait sa déposition, les policiers raccompagnent Sofiane chez lui et pour la première fois il se voit dans une glace et, surprise, il se trouve beau.
Beau, belle, il hésite sur l'adjectif à choisir. Il remet la perruque qu'il avait enlevée et là il se trouve sublime. Sa queue grossit tant qu'elle lui fait mal. Elle est sortie du string et pointe en relevant le bas de sa robe, tellement il/elle est excité-e. Il court dans sa chambre, s'installe sur son lit, de façon à se voir dans le miroir de l’armoire, et se branle frénétiquement jusqu'à jouir si fort qu'il en hurle de plaisir. Son érection ne passe pas. Il se masturbe et jouit encore… et encore. C'est la sonnette de la porte d'entrée qui le force à s’arrêter. Il regarde par l'œilleton de la porte qui sonne encore. C'est ses parents. Il débande aussitôt et leur ouvre.
Sa mère en le voyant pose ses mains sur sa bouche pour étouffer le cri qu'elle pousse. Son père reste planté sur place et arrive juste à dire :
— Mais pourquoi, pourquoi ils t'ont fait ça ? Ils vont le payer.
Et dans un élan d'émotions ils s'enlacent tous les trois…
Comment cette partie de l’histoire se finit n'a pas d’importance.
… Quelques années plus tard Sofiane a fondé sa petite famille. Il est prof dans un lycée technique. Pendant les vacances scolaires les grands-parents aiment avoir leurs petits-enfants. Et avec l'aide de son épouse qui est complice de son fantasme Sofiane se transforme en Anne-Sophie. Parce qu'il faut bien le reconnaître, Anne-Sophie est bien plus performante au lit que Sofiane.
Troisième texte,
Sofiane est le petit dernier d'une famille nombreuse. Il n'est ni meilleur ni pire que ses frères et sœurs mais ceux et celles-ci lui reprochent d'être le chouchou de leur mère. C'est vrai qu'elle lui passe beaucoup plus de choses qu'à eux. Et tous en éprouvent du ressentiment.
Pour des raisons familiales, les parents sont partis une semaine, laissant aux deux ainés le soin de gérer le reste de la famille. C'est à partir de ce jour-là que les malheurs de Sofiane commencent.
Sofiane n'est pas très grand pour son âge. Il est bien proportionné mais petit et fin. Sa sœur aînée lui donne toutes les tâches ménagères à faire et pour l'humilier elle lui fait enfiler la blouse que sa mère à l'habitude de mettre. Il râle un peu mais finit par obéir. Et c'est sous les quolibets de ses frères et sœurs qu'il continue sa tâche. Son frère en profite pour faire des photos de lui. Et comme il est en short et en pantoufles quand il se penche vers l'avant on voit le haut de ses cuisses ce qui est encore plus ridicule.
Le repas fini, c'est aussi lui qui débarrasse la table tandis que ses frères et sœurs sont sur leurs téléphones. Il a transpiré et il va se doucher. Les bienfaits de l'eau ruisselant sur son corps et ses hormones bouillonnantes font qu'il se met à bander… et il commence à se masturber. Plongé loin dans sa béatitude il ne se rend pas compte qu'un de ses frères est parvenu à ouvrir la porte. Et quand il jouit, il est coupé dans son plaisir par les rires de ses frères et sœurs qui sont tous là à le filmer avec leurs téléphones. Par réflexe il cache son sexe mais il sait que c'est trop tard, que le mal est fait. Il s'enfuit en courant dans sa chambre. À sa grande surprise personne ne le suit. Et c'est après avoir tourné un grand moment dans son lit qu'il finit par s’endormir.
La fratrie étant en vacances c'est tard que tout le monde se réveille. Quand il se lève à son tour, il rejoint la cuisine en pyjama, il est surpris de voir son frère ainé et sa sœur en plein conciliabules. D'habitude c'est chien et chat tous les deux. Il prend son petit-déjeuner et il se retrouve tout d'un coup entouré par toute la fratrie. Ils le portent jusqu'à un fauteuil où il l’attachent. Il crie, se débat et se retrouve bâillonné. Ses sœurs approchent avec leurs affaires de maquillage. Elles s'attaquent à ses sourcils qu'elles épilent. Puis c'est au tour du fond de teint, du rimmel et du blush. On lui enlève son bâillon et c'est au tour de ses lèvres. On lui pose une perruque blond platine sur la tête.
— Putain, on dirait vraiment une meuf le frangin.
— Il fait même pas travelo, maquillé comme ça.
— On va voir ce que ça donne quand il aura enfilé vos fringues.
— Ça va pas dans votre tête ! Jamais je ne les enfilerai.
— Si tu ne le fais pas on envoie la vidéo de ta branlette à tous tes potes et aux nôtres.
— Allez-vous faire enculer, bande de connards.
La claque qu'il prend le fait taire et pleurer. Ses frères et sœurs le mettent à poil. Une de ses frangines lui tend un string minimaliste où il a du mal à ranger son service trois pièces. Puis c'est un soutien-gorge rembourré par des chaussettes qu'il doit endosser. Puis une vieille robe noire très courte qui ne cache que la moitié de ses fesses qu'il doit enfiler.
— Putain, ça va pas, il est trop poilu.
— Y'a qu'à l’épiler.
Ni une, ni deux les épilateurs entrent en scène. Il hurle de douleur et on lui remet le bâillon. Ses larmes coulent et le rimmel aussi. C'est enfin fini, plus un poils sur le corps. Il doit encore enfiler des DIM Up noir, sexy, à résille. Et pour couronner le tout, des talons hauts.
Bien sûr tout au long de cette humiliation les téléphones ont filmé. Ses sœurs ont fait quelques retouches de maquillage. Tous l’entourent. On lui rajoute quelques colifichets dont des boucles d'oreilles et un collier assorti, puis un sac à main.
— Marche un peu pour voir.
Il ne bouge pas. Une forte poussée dans le dos l'oblige à faire quelques pas qui sont chancelants.
Tous se marrent. Quand il passe à côté de son frère ainé ce dernier lui colle une grande claque sur les fesses.
— Allez, remue du cul quand tu marches Salope !
— Elle est toute belle notre ‘’frérotte’’ comme ça. Si on allait faire un tour. Je suis sûr que notre Anne-Sophie a envie de prendre l’air.
C'est résigné qu'il suivit la fratrie. Sa démarche incertaine les faisait rire. Ils croisent certaines connaissances auxquelles fièrement ils exhibent le pauvre Sofiane qui, s'il trouvait un trou de souris, s'y cacherait. Un des potes de son frère ainé – céfran qui ne cache pas sa bisexualité - en profite même pour lui caresser les fesses en lui faisant un grand clin d'œil, en passant sa langue sur ses lèvres. D'autres les traitent de malade et de connards. Un attroupement se crée, le ton monte, on en vient aux mains, si bien que la police débarque et embarque tout ce petit monde.
Vu sa tenue on met Sofiane dans une cellule à part où il y a déjà un autre garçon qui comme lui est travesti en fille.
— Putain, que tu es belle. Je ne t'ai jamais vu avant. Tu assures grave. Tu sors d’où ?
— C'est mes frères et sœurs qui pour m'humilier m'ont travesti en pute.
— Tu sais que tu fais illusion. J'en bande.
Tout en disant ça le mec attrape la main de Sofiane et la colle dans sa culotte après avoir relevé sa robe. Le pauvre Sofiane, qui est encore puceau, ne sait pas quoi faire.
— Tu attends quoi pour me branler ?
— Mais j'ai jamais fait ça moi !
— Tu fais comme pour toi. Tu vas pas me dire que tu ne t'es jamais branlé.
— Ça oui, mais j'ai jamais branlé un autre mec.
— Si tu veux pas me branler, tu n'as qu'à me sucer. Allez, décide-toi. À moins que tu préfères que je t’encule. Mais j'ai pas de capotes.
Complètement perdu et choisissant le moindre mal, Sofiane commence à faire des allers-retours sur le sexe de l'autre mec qui jouit très vite en gémissant fort. Ni une ni deux le gars se met à genoux, relève la robe de Sofiane sort sa bite par un côté du string et commence à lui tailler une pipe.
Sofiane, tétanisé, ne bouge pas d'un poil, n'arrive même pas à bander et c'est comme ça qu'il est surpris par les policiers, venus le chercher pour l’interroger. C'est à moitié poussé et tiré par les pandores qu'il s'assoit sur la chaise de la salle d’interrogatoires.
— Bon Sofiane, on a vu les vidéos qu'on fait tes frères et tes sœurs. On a vu que tu n'étais pas consentant. On a prévenu tes parents qui seront de retour dans la soirée. On va te raccompagner chez toi où tu pourras te changer. On va prendre ta déposition et on va garder tes frères et sœurs jusqu'au retour de tes parents qui décideront quoi faire. Bon, vas y raconte nous comment ça s’est passé.
Après avoir fait sa déposition, les policiers raccompagnent Sofiane chez lui et pour la première fois il se voit dans une glace et, surprise, il se trouve beau.
Beau, belle, il hésite sur l'adjectif à choisir. Il remet la perruque qu'il avait enlevée et là il se trouve sublime. Sa queue grossit tant qu'elle lui fait mal. Elle est sortie du string et pointe en relevant le bas de sa robe, tellement il/elle est excité-e. Il court dans sa chambre, s'installe sur son lit, de façon à se voir dans le miroir de l’armoire, et se branle frénétiquement jusqu'à jouir si fort qu'il en hurle de plaisir. Son érection ne passe pas. Il se masturbe et jouit encore… et encore. C'est la sonnette de la porte d'entrée qui le force à s’arrêter. Il regarde par l'œilleton de la porte qui sonne encore. C'est ses parents. Il débande aussitôt et leur ouvre.
Sa mère en le voyant pose ses mains sur sa bouche pour étouffer le cri qu'elle pousse. Son père reste planté sur place et arrive juste à dire :
— Mais pourquoi, pourquoi ils t'ont fait ça ? Ils vont le payer.
Et dans un élan d'émotions ils s'enlacent tous les trois…
Comment cette partie de l’histoire se finit n'a pas d’importance.
… Quelques années plus tard Sofiane a fondé sa petite famille. Il est prof dans un lycée technique. Pendant les vacances scolaires les grands-parents aiment avoir leurs petits-enfants. Et avec l'aide de son épouse qui est complice de son fantasme Sofiane se transforme en Anne-Sophie. Parce qu'il faut bien le reconnaître, Anne-Sophie est bien plus performante au lit que Sofiane.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)