16-06-2022, 12:03 PM
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Ils s’éclipsèrent, la grand-mère eut un sourire aux lèvres. En entrant dans la cabine, Sofiane fut gêné car un boxer et des chaussettes sales étaient bien en vue sur la couette, le garçon d’étage les avaient ramassés par terre et soigneusement étalés en venant préparer le lit pour la nuit.
— Excusez-moi, dit-il, je ne savais pas que j’aurais une visite.
— Vous êtes excusé, fit la jeune fille en riant.
Sofiane prit les sous-vêtements sales et les mit dans un sac au fond de l’armoire, il enleva sa veste et la posa sur un cintre.
— Alors, voilà ma cabine, dit le jeune homme. J’ai même pris mon MacBook Pro, il a un écran 16 pouces Liquid Retina XDR, une puce Apple M1 Max avec 10 cœurs, 64 Go de mémoire, un SSD de 1 To. Vous voulez une démonstration ?
— Je pensais à autre chose, monsieur Sofiane.
— À quoi, mademoiselle Sophie ?
— Un instant, je vais me laver les mains.
Lorsqu’elle ressortit de la salle de bain, elle avait enlevé sa robe et était en sous-vêtements, un soutien-gorge et une culotte noirs en dentelle, et elle tenait une boîte de préservatifs à la main.
— Je vois que vous avez pensé à tout, dit-elle.
— C’est ma mère, fit Sofiane, gêné, elle les a mis dans ma valise sans me dire.
— Vous n’aviez qu’à faire vos bagages vous-même.
Elle se rapprocha de Sofiane, le prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement. Cet assaut inattendu eut une conséquence elle aussi inattendue puisque le jeune homme banda. La jeune fille avait dû le remarquer.
— Mademoiselle… je suis confus.
— Allons, Sofiane, tu es bien timide, laisse-moi faire.
Elle lui déboutonna sa chemise tout en lui caressant le torse, elle décrocha la ceinture et ouvrit la braguette. Le pantalon chut. Elle tâta le membre dressé sur l’étoffe blanche du boxer puis le libéra. Sofiane mit ses mains devant pour le cacher.
— Mademoiselle, vous ne pensez pas sérieusement que je faire faire l’amour avec vous ?
— Si, je le pense.
— Je ne voudrais pas vous déflorer avant la nuit de noces.
— C’est déjà fait.
— L’abbé Tisier interdit les relations sexuelles avant le mariage sous peine d’aller en enfer.
— Tu crois à ces sornettes ?
— Oui, Mademoiselle Sophie. Je ne vous permets pas de mettre en cause mes convictions religieuses. Je vais me rhabiller.
— Dommage, tu as une belle bite, plus longue que celle de Pedro, le fils du cuisinier qui m’a dépucelée. Je pense que tu préfères t’envoyer en l’air avec le serveur, tu es gay ?
— Mademoiselle, je crois vous avoir apporté la preuve qu’une jeune fille me fait de l’effet.
Sophie n’insista pas, elle remit sa robe et quitta rapidement la cabine de en claquant la porte. Sofiane poussa un soupir de soulagement en se demandant comment il avait fait pour bander devant une fille, cela pourrait pourtant être utile afin de concevoir des enfants. Il envoya un SMS à Sufyan, passa des habits chauds et monta sur le pont pour lui raconter ses malheurs.
— Tu l’aurais baisée, si tu avais été à ma place ? demanda Sofiane.
— Je ne sais pas, probablement pas. Tu n’aurais pas dû la laisser entrer dans ta cabine.
— Oui, je ne sais pas ce m’a pris. J’espère qu’elle a compris et quel se cherchera un autre amant.
Les deux hommes restèrent silencieux pendant quelques minutes, perdus dans leurs pensées.
— Dernier jour pour moi, fit Sofiane, alors que pour toi ce n’est que le début de la saison. Tu as parfois congé ?
— Demain, puisqu’il n’y a personne à midi. De 10 à 15 heures.
— Je t’invite pour le déjeuner. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
— Je ne suis pas difficile, ce que je n’ai jamais sur le bateau : un hamburger et des frites.
— Halal ?
— Non, je t’ai dit que je mets la religion de côté.
— J’irai déposer ma valise à la gare, ma grand-mère rentre en bus, moi en train. Je reviendrai te chercher après.
Sofiane eut de la peine à s’endormir. Ils se demandait s’il n’avait pas été trop mufle avec Sophie. Sa grand-mère s’abstint heureusement de lui demander des détails le lendemain au petit déjeuner.
Vers 10 heures, il était de retour au port. Sufyan et lui s’étaient donné rendez-vous loin du bateau pour ne pas se faire remarquer par d’autres membres de l’équipage. Ils prirent le tram jusqu’au centre et déjeunèrent dans le restaurant rapide d’une chaîne suisse où la nourriture était meilleure que dans les américaines. Après une glace et un café, Sofiane demanda :
— On va au zoo ou au musée d’art ?
— Je n’ai pas de préférences, ce que tu désires.
— J’ai une autre idée.
Les deux hommes sortirent du restaurant et marchèrent une centaine de mètres, où se trouvait un hôtel. Sofiane entra et se dirigea vers l’ascenseur.
— Tu as une chambre ? s’étonna Sufyan.
— J’en ai pris une, je vais prolonger mes vacances d’un jour, mes parents ne sont pas encore rentrés. Tu viens faire une sieste avec moi ?
— Pourquoi pas ? Ça me changera de me reposer dans un vrai lit et pas dans une couchette. Tu me réveilleras à temps ?
— Pas de souci, je mets une alerte sur mon smartphone et je te paie le taxi.
La chambre était confortable, mais la décoration n’était pas très originale et l’on aurait pu se trouver n’importe où dans le monde. Il faisait chaud car la climatisation était éteinte.
— Il y a plus de place que sur le bateau, fit Sofiane en découvrant le lit, mais il manque l’eau du fleuve. On se met à l’aise ?
— Fais comme chez toi.
Sofiane se déshabilla, posa ses habits sur le dossier d’une chaise. Il laissa son boxer blanc. Sufyan l’imita, gardant son slip turquoise. Ils se couchèrent sur les couettes après avoir tiré un peu les rideaux. La chambre était dans une semi-obscurité. Sofiane regardait la bosse du slip de l’Égyptien, on devinait nettement le contour du sexe, et dit :
— Je peux te demander quelque chose d’indiscret ?
— Oui, pas de politesses entre nous, je ne suis pas ta Mademoiselle de je ne sais plus quoi.
— Tu es musulman, es-tu circoncis ?
— Qu’attends-tu pour regarder ?
Sofiane baissa le slip de Sufyan, dévoilant un pénis circoncis, comme il s’y attendait, plutôt court mais avec un large gland, reposant sur de grosses couilles.
— Elle te plaît ? demanda l’Égyptien.
— Tu te rases, pas moi. Je peux la toucher pour te faire bander ?
— Je t’ai dit de faire comme chez toi.
— Chez moi je me touche moi-même.
Sofiane prit le pénis dans sa main et le caressa doucement.
— Tu es aussi gay ? demanda-t-il.
— Tu as bandé avec une fille sans être hétéro, je peux bien bander avec un garçon sans être gay. Sur le bateau tout le monde se branle dans les cabines, quelle que soit son orientation. On ne peut pas rester neuf mois sans se soulager.
— Pas de souci. Tu veux quand même voir ma bite ?
— Oui, j’ai envie de jouer avec ton prépuce, et ensuite de te sucer, et ensuite de t’enculer. Le menu te convient ?
— Service cinq étoiles, comme sur le bateau.
Sofiane raccompagna Sufyan au port, ils se quittèrent à une centaine de mètres du bateau après avoir échangé un baiser furtif.
— On reste en contact ? demanda Sofiane.
— Tu as mon numéro de portable.
— Tu m’inviteras à ton mariage avec Yasmine ?
— Bien sûr, si tu m’invites au tien avec Sophie.
— Bon vent !
— Bon vent !
Sofiane se dit qu’ils se reverraient rapidement, et que, ce jour-là, leurs malheurs seraient terminés.
Ils s’éclipsèrent, la grand-mère eut un sourire aux lèvres. En entrant dans la cabine, Sofiane fut gêné car un boxer et des chaussettes sales étaient bien en vue sur la couette, le garçon d’étage les avaient ramassés par terre et soigneusement étalés en venant préparer le lit pour la nuit.
— Excusez-moi, dit-il, je ne savais pas que j’aurais une visite.
— Vous êtes excusé, fit la jeune fille en riant.
Sofiane prit les sous-vêtements sales et les mit dans un sac au fond de l’armoire, il enleva sa veste et la posa sur un cintre.
— Alors, voilà ma cabine, dit le jeune homme. J’ai même pris mon MacBook Pro, il a un écran 16 pouces Liquid Retina XDR, une puce Apple M1 Max avec 10 cœurs, 64 Go de mémoire, un SSD de 1 To. Vous voulez une démonstration ?
— Je pensais à autre chose, monsieur Sofiane.
— À quoi, mademoiselle Sophie ?
— Un instant, je vais me laver les mains.
Lorsqu’elle ressortit de la salle de bain, elle avait enlevé sa robe et était en sous-vêtements, un soutien-gorge et une culotte noirs en dentelle, et elle tenait une boîte de préservatifs à la main.
— Je vois que vous avez pensé à tout, dit-elle.
— C’est ma mère, fit Sofiane, gêné, elle les a mis dans ma valise sans me dire.
— Vous n’aviez qu’à faire vos bagages vous-même.
Elle se rapprocha de Sofiane, le prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement. Cet assaut inattendu eut une conséquence elle aussi inattendue puisque le jeune homme banda. La jeune fille avait dû le remarquer.
— Mademoiselle… je suis confus.
— Allons, Sofiane, tu es bien timide, laisse-moi faire.
Elle lui déboutonna sa chemise tout en lui caressant le torse, elle décrocha la ceinture et ouvrit la braguette. Le pantalon chut. Elle tâta le membre dressé sur l’étoffe blanche du boxer puis le libéra. Sofiane mit ses mains devant pour le cacher.
— Mademoiselle, vous ne pensez pas sérieusement que je faire faire l’amour avec vous ?
— Si, je le pense.
— Je ne voudrais pas vous déflorer avant la nuit de noces.
— C’est déjà fait.
— L’abbé Tisier interdit les relations sexuelles avant le mariage sous peine d’aller en enfer.
— Tu crois à ces sornettes ?
— Oui, Mademoiselle Sophie. Je ne vous permets pas de mettre en cause mes convictions religieuses. Je vais me rhabiller.
— Dommage, tu as une belle bite, plus longue que celle de Pedro, le fils du cuisinier qui m’a dépucelée. Je pense que tu préfères t’envoyer en l’air avec le serveur, tu es gay ?
— Mademoiselle, je crois vous avoir apporté la preuve qu’une jeune fille me fait de l’effet.
Sophie n’insista pas, elle remit sa robe et quitta rapidement la cabine de en claquant la porte. Sofiane poussa un soupir de soulagement en se demandant comment il avait fait pour bander devant une fille, cela pourrait pourtant être utile afin de concevoir des enfants. Il envoya un SMS à Sufyan, passa des habits chauds et monta sur le pont pour lui raconter ses malheurs.
— Tu l’aurais baisée, si tu avais été à ma place ? demanda Sofiane.
— Je ne sais pas, probablement pas. Tu n’aurais pas dû la laisser entrer dans ta cabine.
— Oui, je ne sais pas ce m’a pris. J’espère qu’elle a compris et quel se cherchera un autre amant.
Les deux hommes restèrent silencieux pendant quelques minutes, perdus dans leurs pensées.
— Dernier jour pour moi, fit Sofiane, alors que pour toi ce n’est que le début de la saison. Tu as parfois congé ?
— Demain, puisqu’il n’y a personne à midi. De 10 à 15 heures.
— Je t’invite pour le déjeuner. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
— Je ne suis pas difficile, ce que je n’ai jamais sur le bateau : un hamburger et des frites.
— Halal ?
— Non, je t’ai dit que je mets la religion de côté.
— J’irai déposer ma valise à la gare, ma grand-mère rentre en bus, moi en train. Je reviendrai te chercher après.
Sofiane eut de la peine à s’endormir. Ils se demandait s’il n’avait pas été trop mufle avec Sophie. Sa grand-mère s’abstint heureusement de lui demander des détails le lendemain au petit déjeuner.
Vers 10 heures, il était de retour au port. Sufyan et lui s’étaient donné rendez-vous loin du bateau pour ne pas se faire remarquer par d’autres membres de l’équipage. Ils prirent le tram jusqu’au centre et déjeunèrent dans le restaurant rapide d’une chaîne suisse où la nourriture était meilleure que dans les américaines. Après une glace et un café, Sofiane demanda :
— On va au zoo ou au musée d’art ?
— Je n’ai pas de préférences, ce que tu désires.
— J’ai une autre idée.
Les deux hommes sortirent du restaurant et marchèrent une centaine de mètres, où se trouvait un hôtel. Sofiane entra et se dirigea vers l’ascenseur.
— Tu as une chambre ? s’étonna Sufyan.
— J’en ai pris une, je vais prolonger mes vacances d’un jour, mes parents ne sont pas encore rentrés. Tu viens faire une sieste avec moi ?
— Pourquoi pas ? Ça me changera de me reposer dans un vrai lit et pas dans une couchette. Tu me réveilleras à temps ?
— Pas de souci, je mets une alerte sur mon smartphone et je te paie le taxi.
La chambre était confortable, mais la décoration n’était pas très originale et l’on aurait pu se trouver n’importe où dans le monde. Il faisait chaud car la climatisation était éteinte.
— Il y a plus de place que sur le bateau, fit Sofiane en découvrant le lit, mais il manque l’eau du fleuve. On se met à l’aise ?
— Fais comme chez toi.
Sofiane se déshabilla, posa ses habits sur le dossier d’une chaise. Il laissa son boxer blanc. Sufyan l’imita, gardant son slip turquoise. Ils se couchèrent sur les couettes après avoir tiré un peu les rideaux. La chambre était dans une semi-obscurité. Sofiane regardait la bosse du slip de l’Égyptien, on devinait nettement le contour du sexe, et dit :
— Je peux te demander quelque chose d’indiscret ?
— Oui, pas de politesses entre nous, je ne suis pas ta Mademoiselle de je ne sais plus quoi.
— Tu es musulman, es-tu circoncis ?
— Qu’attends-tu pour regarder ?
Sofiane baissa le slip de Sufyan, dévoilant un pénis circoncis, comme il s’y attendait, plutôt court mais avec un large gland, reposant sur de grosses couilles.
— Elle te plaît ? demanda l’Égyptien.
— Tu te rases, pas moi. Je peux la toucher pour te faire bander ?
— Je t’ai dit de faire comme chez toi.
— Chez moi je me touche moi-même.
Sofiane prit le pénis dans sa main et le caressa doucement.
— Tu es aussi gay ? demanda-t-il.
— Tu as bandé avec une fille sans être hétéro, je peux bien bander avec un garçon sans être gay. Sur le bateau tout le monde se branle dans les cabines, quelle que soit son orientation. On ne peut pas rester neuf mois sans se soulager.
— Pas de souci. Tu veux quand même voir ma bite ?
— Oui, j’ai envie de jouer avec ton prépuce, et ensuite de te sucer, et ensuite de t’enculer. Le menu te convient ?
— Service cinq étoiles, comme sur le bateau.
Sofiane raccompagna Sufyan au port, ils se quittèrent à une centaine de mètres du bateau après avoir échangé un baiser furtif.
— On reste en contact ? demanda Sofiane.
— Tu as mon numéro de portable.
— Tu m’inviteras à ton mariage avec Yasmine ?
— Bien sûr, si tu m’invites au tien avec Sophie.
— Bon vent !
— Bon vent !
Sofiane se dit qu’ils se reverraient rapidement, et que, ce jour-là, leurs malheurs seraient terminés.
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