30-05-2022, 06:31 PM
CHAPITRE CXLIII
''Iterum atque iterum''
''Iterum atque iterum''
Arrivé dans l'intimité de leur chambre Rhonin se dirigea vers son maître d'une démarche féline. Il l'enlaça et posa sa tête sur sa poitrine. Burydan l'enveloppa de ses bras musclés et le serra très fort contre son corps chaud. Rhonin releva sa jolie frimousse vers lui, ses grands yeux bleus réclamant un baiser... que Burydan s'empressa de lui donner. Un long baiser profond, humide et langoureux. Il brûlait de désir pour son petit minet. Il avait envie de lui arracher ses vêtements, de le jeter sur le lit et de le besogner jusqu'à ce qu'il s'évanouisse de plaisir Malgré la journée qu'ils avaient passé au lit, faisant et refaisant l'amour comme des bêtes, il avait de nouveau envie du petit corps de son blondinet. Rhonin ne pu retenir un gémissement quand Burydan approfondit encore le baiser, l'étouffant pratiquement de sa langue.
Il se recula, laissant Burydan la bouche ouverte et la langue sortie. Il commença à caresser le corps de son beau mâle. Ses épaules larges, ses biceps durs comme la pierre, ses flancs épais et posa sa main sur son entrejambe. Il commença à masser la phénoménale érection de Burydan.
Il entreprit de retirer la chemise de son étalon. Celui-ci s'apprêtait à lui rendre la pareille, mais Rhonin dit :
- Non, laissez votre esclave vous dévêtir, maître...
Burydan sourit. Rhonin voulait jouer au maître et à l'esclave... soit, il se laissa faire.
Une fois son mâle torse nu, Rhonin le caressa, adorant voir ses muscles tressaillir sur son passage, et saisit les énormes pectoraux à pleine main pour an apprécier toute la fermeté.
Il se mit à genoux et enleva les chaussures et les chaussettes de Burydan. Il le regarda, sourit, et se pencha. Il couvrit ses pieds de gros baisers mouillés avant de les lécher avec application.
Burydan regardait son petit esclave, prosterné devant lui et il banda encore plus fort. ''T'inquiète pas, bébé, pensa-t-il, lorsque ce sera à mon tour de te déshabiller, je vais bien m'en occuper de tes petits petons...''
Une fois les pieds de Burydan brillants de salive, Rhonin se remit à genoux et commença à lécher les abdos noueux tout en dégrafant lentement les chausses de son mâle. Il les fit glisser le long des jambes musclées, les enleva et regarda le sous-vêtement de Burydan déformé par une belle érection. Il caressa la queue à travers la fine étoffe, puis frotta son visage contre elle avant de la couvrir de baisers et de la lécher et la mordiller tout doucement.
Rhonin se releva. L'étoffe était devenu presque transparente tellement il l'avait lécher et on devinait la couleur sombre de la bite de son maître à travers.
- Allongez vous sur le lit, maître...
Burydan s'allongea, se cala contre les oreillers pour ne manquer aucune miette du spectacle qu'il savait imminent. Et il ne fut pas déçu. Rhonin commença à s’effeuiller lentement... très lentement...
Sa chemise tomba au sol. Il se caressa nonchalamment le torse et agaça de ses pouces ses petits tétons roses. Il passa sa main sur son ventre en massant son érection et en se mordant les lèvres. Il enleva ses chaussures et ses chaussettes et fit tomber ses chausses. Son sous-vêtement était déformé par une sublime érection. Il se retourna et enleva le dernier morceau de tissu qui masquait encore son corps. Burydan saliva en voyant apparaître son superbe petit cul tout rond, tout doux, tout chaud... Rhonin caressa ses fesses en regardant Burydan intensément. Il les écarta et se pencha pour montrer son petit trou palpitant à Burydan, qui le regardait, fasciné, en se caressant la queue, tellement dure qu'elle lui faisait presque mal.
Rhonin se retourna, mit les mains derrière la tête et exposa aux yeux avides de son maître sa bite dure comme la pierre, fièrement dressée.
- Viens sucer la gosse bite de ton maître, esclave !
Rhonin sourit, se mit à quatre pattes sur le lit et s'avança entre les cuisses écartées de Burydan. Il lui retira son sous-vêtement, faisant apparaître sa grosse queue, complètement décalottée et luisante de désir. Il la prit dans son poing, la contempla sous toutes les coutures et commença à l’embrasser et la la lécher avec application. Il planta ses yeux bleus dans les yeux gris et avala le gland joufflu.
- Oh oui... dit son maître.
Rhonin s'appliqua, suçant le beau morceau de chair palpitante. Il prit son temps pour s'approprier les dimensions plantureuses ce cette belle queue, avant de l'avaler complètement, jusqu'à la garde. Burydan poussait des gémissements rauques à chaque fois que son blondinet le prenait en gorge profonde et caressait ses beaux cheveux blonds, accompagnant ses hochements de tête.
- Arrête, esclave, arrête...
Rhonin sortit la bite dégoulinante de salive de sa bouche, s'essuya les lèvres d'un revers de main et regarda Burydan, le sourcil interrogateur.
- Tu vas me faire jouir... A quatre pattes !
Rhonin obéit. Son maître passa derrière lui et appuya entre ses omoplates.
- Cambre toi !
Rhonin se pencha en avant et cambra ses reins.
- T'as envie hein... t'as envie de te faire bouffer la chatte ? Dis le !
- Oh oui maître, léchez moi...
- Supplie moi...
- Oh je vous en supplie, maître, léchez mon petit trou...
Burydan sourit, cracha sur l’œillet de son minet et le lécha comme un dingue, encore et encore.
Rhonin gémissait comme un perdu, couinait quand il sentait la langue de Burydan le pénétrer, feulait quand il sentait ses doigts élargir son entrée, et mourait d'envie de se faire prendre comme une bête...
- Oh je n'en peux plus, maître, j'ai le cul en feu... baisez moi, maître, je voue en supplie, baisez votre petit esclave...
Burydan cracha dans sa main et lubrifia sa grosse bite. Il la fit rebondir sur les fesses de Rhonin.
- Tu sens ? Tu sens à quel point elle est dure ? Je vais te faire couiner, esclave. Je vais t’en mettre plein le cul et te faire japper comme un chiot !
Burydan appuya son gland contre l'entrée de son blondinet et le pénétra d'un lent mouvement régulier, sombrant dans la chaleur brûlante de son minet. Il lui mit les derniers pouces d'un petit coup de reins sec, arrachant un hoquet à Rhonin.
- Tu la sens ? Tu la sens ma bite ?
- Oh oui maître...
- T'aimes ça, hein, t'aimes avoir une grosse bite dans le cul...
- Oh oui, maître, j'aime sentir votre queue me remplir complètement... limez moi, maître, ramonez moi mon petit cul...
Et Burydan lima son petit esclave en levrette, variant les rythmes et la profondeur de la sodomie. Il le fit changer plusieurs fois de position pour faire durer le plaisir aussi longtemps que possible.
Caler entre les cuisses de Rhonin, Burydan allait et venait en lui. En appui sur un des ses avant-bras, il avait planté ses yeux dans les siens et avait poser une main sur sa bouche pour étouffer ses cris de plaisir. Il se tortilla et trouva l'angle parfait pour rosser la petite glande à étincelles (1) de son blondinet. Il le martela, le pilonna comme un forcené en grognant. Rhonin était en transe.
- Tu la sens ma bite, tu sens comme elle te nique ?
- Mmmmm.... mmmm...
Burydan se lâcha complètement et il vit... il vit les yeux bleus de Rhonin chavirer... il enleva sa main pour entendre le petit gémissement de son minet... ce petit gémissement d'agonie qu'il poussait quand il jouissait... et Burydan adorait ça...
Burydan se coucha contre son minet, enfouit sa tête dans son cou et lui donna plusieurs puissants coups de reins. Tout son corps se tendit et, dans un rugissement rauque, il noya les entrailles de Rhonin de sperme chaud, sa bite pulsant à chaque giclée. Puis il se vautra sur lui, humant à plein poumon les effluves musquées du petit corps en sueur de son blondinet, mélangées à celui de leurs foutres.
Ils mirent un long moment à revenir à la réalité. Burydan regarda Rhonin. Sourire aux lèvres. Il lui piqua un petit bisou et les grands yeux bleus s'ouvrir, brillants.
- Je suis désolé bébé...
- Dé... désolé... de... de quoi ?
- Je me suis laissé un peu... emporté... je n'aime pas être... méchant avec toi... tout ce que je t'ai dit c'était... c'était...
- Tout ce que tu m'as dit c'était un jeu... j'aime être ton petit esclave sexuel de temps en temps... souvent, même... et puis tout ce que tu m'as fait... ou fait faire... c'était... génial... et tu m'as de nouveau fait jouir comme un perdu sans que j'ai besoin de me toucher...
- Je t'aime bébé...
- Moi plus...
Burydan sourit. Ils s'embrassèrent, se débarbouillèrent et se caressèrent un long, un très très long moment avant de s'endormir, enlacés et heureux.
(1) : © mon renardeau chéri.