30-05-2022, 01:47 AM
Avertissement : l'explication juste ci-dessus aurait dû se trouver bien plus haut, sous celle de Fab à propos du foc.
Ci dessous, voici ce que je pense de «l'homme-cheval». C'est très bien trouvé sauf que la position dorsale dans le "ventre" de messire cheval en plastique ne doit pas être parfaitement reposante même et surtout avec les jambes à l'équerre des cuisses. Le gars Lucas ne se prive pas d'utiliser, là encore, ce qu'il trouve à proximité de ses mains "quand il fait le demi-cheval". C'est une bonne entrée en matière pour montrer à son coloc-chevalo-humain ce qu'il est en réalité. Et Alex semble apprécier beaucoup cette expérience exploratoire.
Ça me rappelle un souvenir de jeunesse avec le numéro 3 de l'album des Pieds-Nickelés, «Olé, Olé, soyons gais». La séquence se passe en Espagne et les compères ont décidé , pour Croquignol, de jouer le toréador. Ribouldingue avec Filochard se transforment en taureau avec une toile en forme de bovin. Bien entendu "l'animal" est occis par l'épée du toréador : enthousiasme de la foule autour de l'arène, plui de fleurs, de sombreros... Mais, pour faire plus vrai, el toro, au sol et dans un dernier élan d'agonie, étend brusquement sa patte arrière : celle-ci vient heurter le fondement du courageux matador qui saluait les spectateurs. Furieux, ce dernier roue de coup la pauvre bête théoriquement morte. Et, miracle, elle se met à remuer dans un déchirement sinistre où l'on voit en sortir deux énergumènes qui s'administrent généreusement une dégelée bien sentie de marrons. D'où fuite éperdue du trio!
Ci dessous, voici ce que je pense de «l'homme-cheval». C'est très bien trouvé sauf que la position dorsale dans le "ventre" de messire cheval en plastique ne doit pas être parfaitement reposante même et surtout avec les jambes à l'équerre des cuisses. Le gars Lucas ne se prive pas d'utiliser, là encore, ce qu'il trouve à proximité de ses mains "quand il fait le demi-cheval". C'est une bonne entrée en matière pour montrer à son coloc-chevalo-humain ce qu'il est en réalité. Et Alex semble apprécier beaucoup cette expérience exploratoire.
Ça me rappelle un souvenir de jeunesse avec le numéro 3 de l'album des Pieds-Nickelés, «Olé, Olé, soyons gais». La séquence se passe en Espagne et les compères ont décidé , pour Croquignol, de jouer le toréador. Ribouldingue avec Filochard se transforment en taureau avec une toile en forme de bovin. Bien entendu "l'animal" est occis par l'épée du toréador : enthousiasme de la foule autour de l'arène, plui de fleurs, de sombreros... Mais, pour faire plus vrai, el toro, au sol et dans un dernier élan d'agonie, étend brusquement sa patte arrière : celle-ci vient heurter le fondement du courageux matador qui saluait les spectateurs. Furieux, ce dernier roue de coup la pauvre bête théoriquement morte. Et, miracle, elle se met à remuer dans un déchirement sinistre où l'on voit en sortir deux énergumènes qui s'administrent généreusement une dégelée bien sentie de marrons. D'où fuite éperdue du trio!