24-05-2022, 11:50 PM
Troisième hors-série phrasette :
Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…
Mais je mets la charrue avant les bœufs, si je ne vous explique pas vous n’allez rien comprendre.
Je me présente, je m'appelle Michel Sylvester.
Jeune sexagénaire, sportif et actif. Il y a déjà quelques temps que j'aurais pu prendre ma retraite mais je n'y pense même pas, mon travail c'est ma vie ! Je voyage à travers la France entière pour rencontrer mes clients et ma réputation est devenue telle que ce sont les (futurs ou non) clients qui me harcellent pour que je passe les voir et non un collègue. En quelque sorte, un vacancier perpétuel qui gagne de l’argent !
Cependant, toute médaille a son revers. De fait, je possède un très bel appartement mais où je ne suis que trop rarement que pour en profiter, je n'ai presque plus d'amis, parce que je ne peux jamais être avec eux – ce qui les lasse. Et pour ce qui est de ma vie sentimentale c'est le néant. Je n’ai pas eu le temps de m’attacher à quelqu’un, vu ma vie !
.
Et, cerise sur le gâteau, je n'ai plus de contacts avec ma famille qui m'a renié quand, à mes trente ans, je leur ai dit que j'étais gay.
En revanche ma vie sexuelle, enfin si j'ose l'appeler ainsi, se passe pas trop mal, bien qu’à présent elle se résume à un escort que je loue pour toute la nuit une fois par mois et quelques brèves rencontres dans des saunas gays quand j'ai le temps d'y aller entre deux rendez-vous.
J'en vois déjà certains qui froncent les sourcils à ma façon de faire, mais je m'en moque complètement. Je fonctionne comme ça depuis plusieurs années et ça me convient très bien. Du moins me convenait…
Flashback,
Aujourd'hui je suis à Bayonne. Ce soir la féria commence et quand il y a du monde on a parfois de bonnes surprises. Il faut que je me dépêche parce que j'ai un date (payant bien sûr) avec un petit minou de 23 ans fort bien fait de sa personne qui m'a promis monts et merveilles.
Il est, parait-il, aussi doué avec sa queue que son cul est accueillant. Il doit me rejoindre au bar de l'hôtel où je loge pour quelques jours. Il ne devrait pas tarder.
Je sirote une bière en l’attendant. Il arrive avec 5 minutes de retard. Il est encore plus beau que sur ses photos. Il se dirige vers moi tout sourire.
— Je suis désolé de mon retard mais dehors c'est de la folie.
— Oui, je peux imaginer ça. Tu veux boire quelque chose Gabin ?
— Un coca s'il te plait, Michel.
Tout en buvant il me parle de ses études, de sa vie estudiantine, me questionne sur mon boulot, mes hobbies. Il s'intéresse à moi comme personne ne l'avait fait depuis longtemps. Je ne me leurre pas. C'est professionnel mais ça entretient la conversation. Et puis de le voir sourire même rire quand je lui raconte une anecdote me ravit. Il est bientôt 21 heures et son estomac gargouille.
— Tu as faim ?
— Un peu oui, ça commence.
— Tu veux qu'on mange au restaurant de l'hôtel où tu préfères aller ailleurs ?
— C'est comme tu voudras mais en venant j'ai vu un gars qui préparait une paella géante et ça sentait bon.
— Je te suis, sois mon guide.
La paella est excellente et je lui propose de faire un tour.
— Si ça ne t'ennuie pas je préfère qu'on rentre à l’hôtel.
— C'est comme tu veux.
On monte dans ma chambre et sitôt la porte fermée il m'enlace et m'embrasse avec passion. Je sens sa queue raidir à travers son pantalon blanc. Eh oui il est tout habillé de blanc mon Gabin sauf un foulard rouge qu'il porte autour du cou. Nos mains ne sont pas inactives non plus. Je sens ses muscles durs sous son tee-shirt et ses fesses sont d'une fermeté exceptionnelle. Les siennes sont plus timorées. Une me caresse le dos tandis que l'autre joue avec mon oreille avant de descendre s'occuper de mon sein.
On s'allonge sur le lit et on continue nos câlins. Petit à petit nos vêtements disparaissent et quand nous ne sommes plus qu'en sous-vêtements, un boxer bleu pour moi et un mini slip blanc pour lui, je lui demande :
— On prend une douche ?
— J'allais te le proposer.
Je quitte mon boxer tandis que lui garde encore son mini slip blanc qui a du mal à contenir son érection. Je l'ai mi molle. Avec l'âge je suis devenu comme ces vieux diésel, longs à la chauffe mais qui une fois en route sont increvables.
Gabin, a réglé l'eau à bonne température puis se place sous le jet de la douche et j'ai la joie de voir apparaître son gourdin à travers son mini slip blanc, devenu transparent. Je me colle à lui et on s'embrasse une nouvelle fois. J’en profite pour terminer de le dénuder, comme Il s'empare de mon gel douche et nous en met dessus. Chacun lave l'autre en le caressant. Aucune partie de nos corps n'échappe à notre lavage.
Puis nous nous retrouvons au lit où chacun laisse libre cours à son imagination pour donner du plaisir à l’autre.
C'est lui qui le premier me prend mais il se retire juste avant de jouir et il me redonne de la vigueur pour qu'à mon tour je m'occupe de sa rondelle.
J'ai toujours eu un problème avec les préservatifs ! Dès que j'en enfile un je débande, pas en plein mais assez pour ne plus pouvoir honorer mon partenaire sans avoir du auparavant me masturber un peu pour redonner de la vigueur à mon sexe. Gabin s'en rend compte et il prend mon sexe mis mou en bouche jusqu'à ce qu'il soit redevenu turgide. Tout comme lui je m'arrête juste avant de jouir.
Et nous continuons comme ça une bonne partie de la nuit. Mais là, je n'arrive plus à me contrôler. Je prends son sexe en main et je le masturbe en même temps que je le sodomise. Il jouit et je n'ai pas le temps de me retirer car dans un dernier mouvement de bassin, j’éjacule à mon tour, avant de m'effondrer sur lui à cause de l'effort que je viens de fournir.
Je me relève doucement, mon cœur bat la chamade. Je sens sa main attraper la mienne et il me tire de sur le lit.
— On a le temps d'aller à la douche.
Et il recommence à me caresser et à me câliner. Dès que je suis remis de mes émotions je lui rends la pareille et après une douche réparatrice où je le fais jouir une nouvelle fois en le suçant on s'est finalement endormi.
Le lendemain matin il dort encore quand je me réveille et de voir son joli sexe légèrement décalotté posé sur sa cuisse me donne envie de le sucer. Il ne bande pas et de le sentir gonfler dans ma bouche est un réel plaisir et de boire son lait une béatitude. Il veut me rendre la pareille mais je refuse. C'est que je n'ai plus vingt ans …
nous allons prendre un brunch dans un café voisin et au retour Gabin a voulu qu'on refasse l’amour. Et cette fois encore, il me fait grimpé des sommets et me laisse pantelant !
Finalement, je me dirige vers l'armoire où il y a un petit coffre et j'en sors une enveloppe que je lui donne pour sa prestation et j'y rajoute un billet en guise de pourboire.
— On va se revoir Michel ?
— J'espère que quand je reviendrai d'ici 3 mois tu seras libre pour moi.
— Tu ne reviens que dans 3 mois ? Pas avant ?
— Non Gabin.
— Dommage. J'aime faire l'amour avec toi, j'aime être avec toi, tu as un petit plus qui me fait craquer.
— C'est presque une déclaration d'amour que tu me fais là.
— Quand même pas, mais j'avoue que t'avoir pour sexfriend ça me plairait beaucoup.
— À moi aussi mais je ne peux pas laisser tomber mon boulot comme ça du jour au lendemain et je ne peux te demander d’arrêter tes études pour me suivre.
— Je t'ai menti Michel, j'ai terminé mes études l'an dernier, c'est pour garder mon appart que je fais escort, en attendant de trouver un boulot. Mais je préfère, généralement, dire que je suis toujours aux études.
— Ok, ben dans 3 mois quand je repasse on en reparle.
Il est déçu et s'en va, non sans m'avoir embrassé longuement. Un mois plus tard c'est un de mes clients qui me trouve LA solution, sans le savoir. J'arrive chez lui, il me fait entrer dans son bureau où un jeune homme se trouve déjà.
— Michel, je te présente Anthony, mon neveu, qui va me succéder dans trois ans. Je suis comme toi, un acharné du travail mais je dois reconnaître que ça me pèse de plus en plus et ma santé en pâti. Alors je forme Anthony pour qu'il me remplace quand je partirai à la retraite. Tu devrais faire pareil.
— J'y songerai quand je serai vieux.
On parle boulot, je les invite au restaurant et une fois qu'ils sont partis j'appelle Gabin.
— Salut Gabin, c'est Michel.
— Oui, j'ai vu ça. Tu es un des rares dont j'ai enregistré le numéro. Tu es revenu dans le coin ?
— Non, pas avant deux mois. C’est pour une proposition de travail que je te téléphone, ça te dit de me rejoindre et que je t'apprenne mon boulot ?
— Tu es sérieux là ?
— Bien sûr que je suis sérieux.
— Evidemment que ça m’intéresse ! Mais… on pourra encore faire l'amour ensemble ?
— Hé, hé, hé ! Bien sûr, mon mignon, autant que tu voudras.
— Alors c'est d’accord.
— Tu peux venir me rejoindre à Lyon après demain ?
— Oui pas de problème. Je t'envoie un SMS pour te dire à quelle heure arrivera mon train.
Depuis ce jour, Gabin me suit de partout en France. On ne fait pas l'amour tous les soirs et comme il a plus de besoins que moi, je ferme les yeux sur les plans qu'il fait. Je l'ai même adopté et je me suis débrouillé pour qu'il hérite de mes biens. Comme il adore conduire je lui laisse souvent le volant de la voiture. Et comme il est doué en affaire, les nôtres se portent à merveille.
Depuis qu'il est avec moi j'ai retrouvé une nouvelle jeunesse du moins dans les affaires parce que d'enfiler un préservatif me fait toujours débander ...
Epilogue :
Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…
Voilà plus d’un mois que, juste après nos galipettes, j’ai ces vertiges.
J’ai réussi, jusqu’à présent, à cacher la vérité à Gabin, parlant de simples fatigues. J’ai consulté différent spécialistes en cachette el la faculté m’a avertie qu’il ne me reste que quelques mois à vivre. Gabin fête ses trente ans dans quinze jours et je veux qu’il passe cette journée sans un seul nuage. Après…
Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…
Mais je mets la charrue avant les bœufs, si je ne vous explique pas vous n’allez rien comprendre.
Je me présente, je m'appelle Michel Sylvester.
Jeune sexagénaire, sportif et actif. Il y a déjà quelques temps que j'aurais pu prendre ma retraite mais je n'y pense même pas, mon travail c'est ma vie ! Je voyage à travers la France entière pour rencontrer mes clients et ma réputation est devenue telle que ce sont les (futurs ou non) clients qui me harcellent pour que je passe les voir et non un collègue. En quelque sorte, un vacancier perpétuel qui gagne de l’argent !
Cependant, toute médaille a son revers. De fait, je possède un très bel appartement mais où je ne suis que trop rarement que pour en profiter, je n'ai presque plus d'amis, parce que je ne peux jamais être avec eux – ce qui les lasse. Et pour ce qui est de ma vie sentimentale c'est le néant. Je n’ai pas eu le temps de m’attacher à quelqu’un, vu ma vie !
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Et, cerise sur le gâteau, je n'ai plus de contacts avec ma famille qui m'a renié quand, à mes trente ans, je leur ai dit que j'étais gay.
En revanche ma vie sexuelle, enfin si j'ose l'appeler ainsi, se passe pas trop mal, bien qu’à présent elle se résume à un escort que je loue pour toute la nuit une fois par mois et quelques brèves rencontres dans des saunas gays quand j'ai le temps d'y aller entre deux rendez-vous.
J'en vois déjà certains qui froncent les sourcils à ma façon de faire, mais je m'en moque complètement. Je fonctionne comme ça depuis plusieurs années et ça me convient très bien. Du moins me convenait…
Flashback,
Aujourd'hui je suis à Bayonne. Ce soir la féria commence et quand il y a du monde on a parfois de bonnes surprises. Il faut que je me dépêche parce que j'ai un date (payant bien sûr) avec un petit minou de 23 ans fort bien fait de sa personne qui m'a promis monts et merveilles.
Il est, parait-il, aussi doué avec sa queue que son cul est accueillant. Il doit me rejoindre au bar de l'hôtel où je loge pour quelques jours. Il ne devrait pas tarder.
Je sirote une bière en l’attendant. Il arrive avec 5 minutes de retard. Il est encore plus beau que sur ses photos. Il se dirige vers moi tout sourire.
— Je suis désolé de mon retard mais dehors c'est de la folie.
— Oui, je peux imaginer ça. Tu veux boire quelque chose Gabin ?
— Un coca s'il te plait, Michel.
Tout en buvant il me parle de ses études, de sa vie estudiantine, me questionne sur mon boulot, mes hobbies. Il s'intéresse à moi comme personne ne l'avait fait depuis longtemps. Je ne me leurre pas. C'est professionnel mais ça entretient la conversation. Et puis de le voir sourire même rire quand je lui raconte une anecdote me ravit. Il est bientôt 21 heures et son estomac gargouille.
— Tu as faim ?
— Un peu oui, ça commence.
— Tu veux qu'on mange au restaurant de l'hôtel où tu préfères aller ailleurs ?
— C'est comme tu voudras mais en venant j'ai vu un gars qui préparait une paella géante et ça sentait bon.
— Je te suis, sois mon guide.
La paella est excellente et je lui propose de faire un tour.
— Si ça ne t'ennuie pas je préfère qu'on rentre à l’hôtel.
— C'est comme tu veux.
On monte dans ma chambre et sitôt la porte fermée il m'enlace et m'embrasse avec passion. Je sens sa queue raidir à travers son pantalon blanc. Eh oui il est tout habillé de blanc mon Gabin sauf un foulard rouge qu'il porte autour du cou. Nos mains ne sont pas inactives non plus. Je sens ses muscles durs sous son tee-shirt et ses fesses sont d'une fermeté exceptionnelle. Les siennes sont plus timorées. Une me caresse le dos tandis que l'autre joue avec mon oreille avant de descendre s'occuper de mon sein.
On s'allonge sur le lit et on continue nos câlins. Petit à petit nos vêtements disparaissent et quand nous ne sommes plus qu'en sous-vêtements, un boxer bleu pour moi et un mini slip blanc pour lui, je lui demande :
— On prend une douche ?
— J'allais te le proposer.
Je quitte mon boxer tandis que lui garde encore son mini slip blanc qui a du mal à contenir son érection. Je l'ai mi molle. Avec l'âge je suis devenu comme ces vieux diésel, longs à la chauffe mais qui une fois en route sont increvables.
Gabin, a réglé l'eau à bonne température puis se place sous le jet de la douche et j'ai la joie de voir apparaître son gourdin à travers son mini slip blanc, devenu transparent. Je me colle à lui et on s'embrasse une nouvelle fois. J’en profite pour terminer de le dénuder, comme Il s'empare de mon gel douche et nous en met dessus. Chacun lave l'autre en le caressant. Aucune partie de nos corps n'échappe à notre lavage.
Puis nous nous retrouvons au lit où chacun laisse libre cours à son imagination pour donner du plaisir à l’autre.
C'est lui qui le premier me prend mais il se retire juste avant de jouir et il me redonne de la vigueur pour qu'à mon tour je m'occupe de sa rondelle.
J'ai toujours eu un problème avec les préservatifs ! Dès que j'en enfile un je débande, pas en plein mais assez pour ne plus pouvoir honorer mon partenaire sans avoir du auparavant me masturber un peu pour redonner de la vigueur à mon sexe. Gabin s'en rend compte et il prend mon sexe mis mou en bouche jusqu'à ce qu'il soit redevenu turgide. Tout comme lui je m'arrête juste avant de jouir.
Et nous continuons comme ça une bonne partie de la nuit. Mais là, je n'arrive plus à me contrôler. Je prends son sexe en main et je le masturbe en même temps que je le sodomise. Il jouit et je n'ai pas le temps de me retirer car dans un dernier mouvement de bassin, j’éjacule à mon tour, avant de m'effondrer sur lui à cause de l'effort que je viens de fournir.
Je me relève doucement, mon cœur bat la chamade. Je sens sa main attraper la mienne et il me tire de sur le lit.
— On a le temps d'aller à la douche.
Et il recommence à me caresser et à me câliner. Dès que je suis remis de mes émotions je lui rends la pareille et après une douche réparatrice où je le fais jouir une nouvelle fois en le suçant on s'est finalement endormi.
Le lendemain matin il dort encore quand je me réveille et de voir son joli sexe légèrement décalotté posé sur sa cuisse me donne envie de le sucer. Il ne bande pas et de le sentir gonfler dans ma bouche est un réel plaisir et de boire son lait une béatitude. Il veut me rendre la pareille mais je refuse. C'est que je n'ai plus vingt ans …
nous allons prendre un brunch dans un café voisin et au retour Gabin a voulu qu'on refasse l’amour. Et cette fois encore, il me fait grimpé des sommets et me laisse pantelant !
Finalement, je me dirige vers l'armoire où il y a un petit coffre et j'en sors une enveloppe que je lui donne pour sa prestation et j'y rajoute un billet en guise de pourboire.
— On va se revoir Michel ?
— J'espère que quand je reviendrai d'ici 3 mois tu seras libre pour moi.
— Tu ne reviens que dans 3 mois ? Pas avant ?
— Non Gabin.
— Dommage. J'aime faire l'amour avec toi, j'aime être avec toi, tu as un petit plus qui me fait craquer.
— C'est presque une déclaration d'amour que tu me fais là.
— Quand même pas, mais j'avoue que t'avoir pour sexfriend ça me plairait beaucoup.
— À moi aussi mais je ne peux pas laisser tomber mon boulot comme ça du jour au lendemain et je ne peux te demander d’arrêter tes études pour me suivre.
— Je t'ai menti Michel, j'ai terminé mes études l'an dernier, c'est pour garder mon appart que je fais escort, en attendant de trouver un boulot. Mais je préfère, généralement, dire que je suis toujours aux études.
— Ok, ben dans 3 mois quand je repasse on en reparle.
Il est déçu et s'en va, non sans m'avoir embrassé longuement. Un mois plus tard c'est un de mes clients qui me trouve LA solution, sans le savoir. J'arrive chez lui, il me fait entrer dans son bureau où un jeune homme se trouve déjà.
— Michel, je te présente Anthony, mon neveu, qui va me succéder dans trois ans. Je suis comme toi, un acharné du travail mais je dois reconnaître que ça me pèse de plus en plus et ma santé en pâti. Alors je forme Anthony pour qu'il me remplace quand je partirai à la retraite. Tu devrais faire pareil.
— J'y songerai quand je serai vieux.
On parle boulot, je les invite au restaurant et une fois qu'ils sont partis j'appelle Gabin.
— Salut Gabin, c'est Michel.
— Oui, j'ai vu ça. Tu es un des rares dont j'ai enregistré le numéro. Tu es revenu dans le coin ?
— Non, pas avant deux mois. C’est pour une proposition de travail que je te téléphone, ça te dit de me rejoindre et que je t'apprenne mon boulot ?
— Tu es sérieux là ?
— Bien sûr que je suis sérieux.
— Evidemment que ça m’intéresse ! Mais… on pourra encore faire l'amour ensemble ?
— Hé, hé, hé ! Bien sûr, mon mignon, autant que tu voudras.
— Alors c'est d’accord.
— Tu peux venir me rejoindre à Lyon après demain ?
— Oui pas de problème. Je t'envoie un SMS pour te dire à quelle heure arrivera mon train.
Depuis ce jour, Gabin me suit de partout en France. On ne fait pas l'amour tous les soirs et comme il a plus de besoins que moi, je ferme les yeux sur les plans qu'il fait. Je l'ai même adopté et je me suis débrouillé pour qu'il hérite de mes biens. Comme il adore conduire je lui laisse souvent le volant de la voiture. Et comme il est doué en affaire, les nôtres se portent à merveille.
Depuis qu'il est avec moi j'ai retrouvé une nouvelle jeunesse du moins dans les affaires parce que d'enfiler un préservatif me fait toujours débander ...
Epilogue :
Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…
Voilà plus d’un mois que, juste après nos galipettes, j’ai ces vertiges.
J’ai réussi, jusqu’à présent, à cacher la vérité à Gabin, parlant de simples fatigues. J’ai consulté différent spécialistes en cachette el la faculté m’a avertie qu’il ne me reste que quelques mois à vivre. Gabin fête ses trente ans dans quinze jours et je veux qu’il passe cette journée sans un seul nuage. Après…
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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