26-04-2022, 05:05 PM
Premier hors-série phrasette :
[b]Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…
[/b]Quelle soirée ! Et quelle nut, aussi ! Ah, putain, j'm'en souviendrai, de ma soirée chez les folles !
Je suis, sans me vanter, un des meilleurs du club de basket de l'université — pas trop de mérite, car y a pas que des flèches, là-d'dans ! — et pas le moins bien foutu. Comme je suis pas bégueule, v'là-t-y pas que j'accepte un pot par-ci, un pot par-là... avant de comprendre que le club gay du campus avait fait une fixette sur moi.
Ça c'est su, évidemment, et je suis devenu la risée des autres, à commencer par les nanas. Qui pourtant n'ont pas à se plaindre de mes tirs au panier, les cochonnes !
M'enfin... j'avoue que mon petit ego n'a pas été déçu, car un bataillon de folles piaillantes dans une salle, ça fait du bruit ! Et la moindre de mes actions étant saluée de décibels aigus... mes coéquipiers n'ont pas tardé à être jaloux, me soupçonnant même de virer gay...
Désagréables suspicions qui eurent un résultat heureux quoique inattendu : les nanas sont devenues encore plus demandeuses qu'avant, et chaudes aussi, afin de me conserver à la cause hétérote ! Ceci augmentant encore la jalousie des autres...
Bref, les choses en étaient là quand, début décembre, je fus officiellement invité par le club gay à sa soirée de fin d'année. Je connaissais tous ces mecs, sympa pour la plupart d'ailleurs... et fort exubérants, sauf quelques timides effarouchés.
Ouais, super soirée, en vérité ! Je fréquente pas de gay, sans doute par hasard... et parce que le milieu du sport est tellement macho !
On a déconné et picolé un max, dans cette belle villa des parents de l'un d'eux, heureusement partis aux sports d'hiver. J'ai compté plus de quarante mecs... et un seul hétéro, moi !
In fine, la moitié est restée dormir : moi, je sais plus.
Enfin, si : puisque je me retrouve dans cette chambrette, vaseux comme rarement, et sortant d'un grand lit qui... pouvait bien recevoir trois personnes, et dont les draps m'ont tout l'air d'avoir été fortement agités...
Oh putain d'putain ! Mais qu'est-ce... qu'est-ce qui s'est passé ? J'me rappelle pus rien, là ! Et mes fringues, elles sont où ? Pas que je sois pudique, dans les vestiaires, m'enfin...
Sans réfléchir, je me passe la main sur le cul... la rondelle, pour dire vrai et... je me la sens toute pleine de gel, apparemment, ou...?
Je renifle mes doigts : lavande ! Donc pas du foutre, mais... je m'essuie soigneusement avec le drap, et j'entends alors un vaste éclat de rire collectif, et j'entrouvre la porte : oui, ça rigole bien en bas et j'entends même le plop rassurant d'une bouteille de bulles qu'on débouche...
Je pousse le nez, et le reste suit. De la rambarde, j'aperçois un tas de mecs, tous à poil, qui prennent l'apéro : y a d'l'ambiance ! Mais Marie-France m'aperçoit et hurle :
— Ouaiiiis ! Chouchou est réveillé ! Viens vite !
Marie-France est un gentil mec, patron du club, et dont le prénom, Patrick, ne lui seyait évidemment pas dans sa position sociale... Une petite gueule d'effronté, et un aplomb à toute épreuve !
C'est aussi ça qui m'amuse, chez les folles : leur culot.
Je rejoins donc l'assemblée : comme par miracle, le paracétamol apparaît.
— Va te poser près d'Anatole, il t'a sauvé la vie !
— Hein ?
— Avant que tu t'endormes, il t'a fait avaler deux aspirines, c'est pourquoi tu tiens debout asteur !
Je connais pas bien Anatole, un long et fin mec blond à la gueule de premier de la classe... ou de premier communiant, ou les deux. Pour l'instant, il me fait un adorable sourire et je me serre contre lui.
— Merci ! je fais, incertain. Tu m'as... sauvé la vie, alors ?
— Non, seulement ta journée ! dit le minet, tout intimidé.
C'est alors que je remarque son long serpent rose, posé entre ses cuisses. Il a un prépuce long comme j'en n'ai jamais vu sous les douches ! Je me reprends et lui demande :
— Tu fais quoi, toi, à la fac ?
Une modeste conversation s'engage alors... et j'ai la curieuse impression d'avoir déjà vu ce visage. En attendant d'en savoir plus, je le remercie d'avoir eu le réflexe « aspirine », et il sourit :
— T'es cent fois plus baraqué que moi, mais... je sais que la gueule de bois peut toucher tout le monde !
— Merci, alors ! Et d'ailleurs... j'me sens effectivement mieux, là !
— Alors on trinque ?
Je trinque avec ce p'tit mec quasi transparent et que je pourrais envoyer au plafond d'une simple pichenette... idée qui me fait sourire.
— C'est ma pomme, qui te fait sourire ? demande alors doucement le minet.
— Euh... non, non ! je fais, gêné, je... me demandais ce que tu donnerais, au basket !
— Oh Je suis grand, mais... pour les muscles, c'est pas ça !
— Ça se travaille, ça !
— Tu me donnerais deux, trois conseils ?
— Évidemment !
C'est à ce moment que j'entends une voix forte me demander :
— Et ta jolie rondelle, toujours en forme ?
Éclat de rire général : je rougis violemment.
— Qu'est-ce qu'elle a, ma rondelle ? je fais, hargneux.
— Sympa, quand on sait lui parler !
Encore une rigolade. Je m'énerve, mais mon voisin me prend le bras et me tend sa flûte en me soufflant :
— On trinque : ils rigolent, j't'assure ! Fais-en autant ! Je commence, tiens ! La rondelle de Quentin, c'est comme un panier de basket : c'est pas tout le monde qui y arrive ! Ça se mérite, ça ! dit le mecton, sûr de lui.
J'en reste bouche bée, alors que les autres applaudissent et hurlent carrément.
— Pourtant, hier soir, elle faisait pas de manières ! insiste Marie-France, hein, les mecs ?
— Ouiiii !
Je regarde Anatole qui me souffle à l'oreille :
— Chut ! Ferme-la, c'est bon !
J'obéis, alors que les témoignages s'accumulent dans le salon : à les entendre, je me serais fait passer dessus par toute la compagnie...
— Tu te la rappelles, celle-là ? me demande un grand rouquin en tirant sur son prépuce.
— Rien du tout !
— Alors c'est que t'as l'habitude, hein, mon joli p'tit cochon ! ajoute Marie-France,
Ça commence à me gonfler, tout ça ! Mais je sens la main de mon blondinet se poser sur ma cuisse, doucement.
— Chut, j'te dis ! Rigole, et c'est tout !
Je me force à obéir... mais imaginer que toute cette bande de folle m'ait niqué alors que j'étais pété comme trente-six cochons !...
— Je m'explique quand même pas que tu te rappelles de rien ! fait un grand noir en se prenant la tige.
— C'est que décidément, elle est pas assez grosse, tiens ! réplique Anatole.
— Mais c'est la plus grosse du club ! hurle un autre.
— Alors c'est qu'elle sait pas y faire, c'est tout ! conclut mon blondinet, qui ajoute cependant : et maintenant, faut que je parle à la mascotte du club, si vous permettez !
— Noooon !
Le minet se lève pourtant et me tend la main, que je saisis pour le suivre. Il m'entraîne à la chambre où je me suis réveillé... non sans avoir chopé une bouteille de bulles au passage. Et on commence par trinquer en buvant au goulot l'un après l'autre...
— Est-ce que, j'attaque, vous m'avez tous niqué ?
— Ah ! Ah ! Ah ! Non, vraiment pas ! Mais... on voulait profiter de toi, c'est vrai !
— Hein ? Et comment ?
— Quand on a été tous à poil, après que les puceaux sont partis, t'étais pas le dernier à dire des conneries ! Ni a picoler... Un a eu l'idée de te faire croire que... et avant ça, comme t'étais bourré comme tout... tu t'es fait tripoter, caresser, lécher... et sucer aussi par tous les mecs qui restaient... ceux de ce matin.
— Oh putain ! Mais...
— T'as bandé juste un peu — on a des photos — mais rien de plus. Après... on m'a demandé de te beurrer le trou avec du gel... pour te faire croire, ce matin... T'as cru ?
— J'ai eu un doute évidemment, mais... je sentais rien au cul... J'ai rien pris, tu me jures ?
— Rien ! Sauf...
— Hein ?
— Ben, fait Anatole en baissant le nez, si, un peu...
— Et quoi ?
— Ben... tu vas me casser la gueule mais...
— Non !
— Ben... je t'ai... sucé, fait l'Anatole, en regardant ailleurs. Tu bandais pas, mais t'as gémi quand même. Et pis... j'ai léché ton p'tit trou, bien.
— Ah !
— Et t'as presque crié, doucement.
— Et le matin... je t'ai mis le gel et... un doigt aussi. Là, tu ronflais gentiment.
— Oh putain d'putain d'putain !
— Tu m'en veux, évidemment.
— Je sais pas quoi dire, Ana... tole !
Jamais je me suis trouvé con comme ça ! J'ai pas envie de casser la gueule à ce p'tit con d'pédé... qui pleure, maintenant, tiens !
— Ho ! Qu'est-ce qui t'arrive, là ?
— J'm'en veux !
— T'aurais pu refuser !
— Ben... non, parce que... Oh ! Oh !
— C'est si grave que ça ? Tu m'as enculé ?
— Nooon ! Ils ont voulu tout ça parce que... Oh !...
— Cause, minet, je casse la gueule à personne, moi... et surtout pas à toi ! je fais gentiment.
— Ben... tout le club sait que... t'es... important pour moi.
Oups ! Là, j'ai le grand frisson : ce p'tit mec est amoureux de moi ? Et je fais quoi, moi ?
— Excuse-moi, Quentin !
— Tu m'as rien dit, alors j'excuse rien !
— Je t'aime, Quentin, fait alors le mecton en me plantant dans les yeux un regard gris-bleu qui me file le frisson de l'année. Coincé, je m'efforce de trouver la parade... introuvable, évidemment, et je sors :
— On reparlera de tout ce que tu viens de me dire, entre nous. Ils fermeront leur gueule, tes copains ?
— C'est déjà prévu : ils sont réglos.
Je sais pas ce qui me prend alors : je le saisis pour le serrer contre moi, fortement. Il ne tarde pas à bander et, ô honte ! Je bande aussi.
Et puis... et puis je cherche sa bouche, sa toute fine bouche qui happe littéralement la mienne. C'est fin, c'est délicat comme les empressements d'une pucelle — j'en ai croisé plusieurs, et même plus ! — et c'est, in fine, oh, c'est délicieux !
— J'y crois pas, comme c'est bon quand tu m'embrasses, souffle Anatole.
— Tu le fais drôlement bien aussi, p'tit gars.
P'tit gars qui soudain s'évanouit de mes bras pour venir me prendre la bite en bouche, ouh ! Bien sûr, je bande encore plus : c'est que je suis un grand sensible, moi ! Et vite... j'ai envie de niquer, aussi ! Un grand sensible, je vous dis !
Mais je vais pas tirer ce p'tit mec — il n'a qu'un an de moins que moi, en fait — et il m'a touché en me disant... Oh putain ! Il m'a dit ce qu'aucune meuf m'a jamais dit : « Je t'aime ! ».
— Tu crois que... si... si on fait juste ce que tu veux... on pourrait... redormir ensemble ? murmure le minet.
— Tout ce que tu veux si on se tire d'ici, et vite !
— On dira que tu m'enlèves ! fait Anatole en souriant.
— Tes bonnes copines comprendront !
On se sépare : on a presque débandé. Anatole me dit :
— T'es encore plus beau que dans tous mes rêves !
— Toi, t'as jamais été dans mes rêves... et t'es super beau quand même ! je fais... sincère.
Les dernières révélations du minet m'ont ôté mon mal à la tronche. Il déclare allez chercher nos fringues, en bas... d'où j'entends monter une sorte d'ovation, suivie d'applaudissements. Je suis où, là ? Une fois habillés, on descend, et nouveaux applaudissements ! J'ai vraiment l'impression d'être tombé dans un piège... Le minet m'emmène chez lui et comme on est samedi et que j'ai rien de mieux à faire...
Sympa studette... pas « folle » du tout !
— Tu sais quoi ? On va se doucher sévère !
Il se déloque, et je suis bêtement. Il me savonne délicatement, sans perdre son fin sourire... ni ses regards admiratifs, qui me touchent, nom de dieu ! Et ce qui me touche encore plus... c'est ses mains toutes fines qui... me font bander, tiens. Et la belle gaule ! Moins imposante que la sienne... Je la ferme, incapable de trouver un mot...
— Je vais pas te violer mais... est-ce que tu accepterais que je te fasse jouir un maximum ?
J'ai un grand soupir qu'il prend pour un oui... et il se met à me sucer. Bien, très bien ! Guidé vers son paddock, je me laisse aller... jusqu'à ce qu'il me broute la rondelle. Oh que c'est bon ! Mais j'ai pas envie de me faire défoncer, hein ? Il m'apaise l'esprit... ou presque :
— Je suis puceau, et je voudrais que ce soit toi qui...
Et v'lan ! Le gars Quentin préposé au perçage des p'tits pédés, maintenant ! Mais je vais pas faire ma pimbêche, surtout qu'il est mignon comme tout, et que j'ai la trique du siècle. Je fais tout ce qu'il me dit et même ! Même je lui lèche sa p'tite rosette toute douce... J'ai peur de lui faire mal, mais j'y arrive bien et... oh putain, quelle séance !
Il est résistant, le p'tit, et moi aussi ! Et il aime ça, et moi aussi !... J'y suce même la bite, plusieurs fois !
Bref, me v'là aimé d'un super bon coup, avec possibilité de me faire toutes les folles de la ville ! J'vas explorer mon Anatole, d'abord. Il est trop gentil. Avant même de gicler comme un démon dans son p'tit trou, je me suis demandé ce que ça faisait, une pine dans le cul... La sienne.
[b]Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…
[/b]Quelle soirée ! Et quelle nut, aussi ! Ah, putain, j'm'en souviendrai, de ma soirée chez les folles !
Je suis, sans me vanter, un des meilleurs du club de basket de l'université — pas trop de mérite, car y a pas que des flèches, là-d'dans ! — et pas le moins bien foutu. Comme je suis pas bégueule, v'là-t-y pas que j'accepte un pot par-ci, un pot par-là... avant de comprendre que le club gay du campus avait fait une fixette sur moi.
Ça c'est su, évidemment, et je suis devenu la risée des autres, à commencer par les nanas. Qui pourtant n'ont pas à se plaindre de mes tirs au panier, les cochonnes !
M'enfin... j'avoue que mon petit ego n'a pas été déçu, car un bataillon de folles piaillantes dans une salle, ça fait du bruit ! Et la moindre de mes actions étant saluée de décibels aigus... mes coéquipiers n'ont pas tardé à être jaloux, me soupçonnant même de virer gay...
Désagréables suspicions qui eurent un résultat heureux quoique inattendu : les nanas sont devenues encore plus demandeuses qu'avant, et chaudes aussi, afin de me conserver à la cause hétérote ! Ceci augmentant encore la jalousie des autres...
Bref, les choses en étaient là quand, début décembre, je fus officiellement invité par le club gay à sa soirée de fin d'année. Je connaissais tous ces mecs, sympa pour la plupart d'ailleurs... et fort exubérants, sauf quelques timides effarouchés.
Ouais, super soirée, en vérité ! Je fréquente pas de gay, sans doute par hasard... et parce que le milieu du sport est tellement macho !
On a déconné et picolé un max, dans cette belle villa des parents de l'un d'eux, heureusement partis aux sports d'hiver. J'ai compté plus de quarante mecs... et un seul hétéro, moi !
In fine, la moitié est restée dormir : moi, je sais plus.
Enfin, si : puisque je me retrouve dans cette chambrette, vaseux comme rarement, et sortant d'un grand lit qui... pouvait bien recevoir trois personnes, et dont les draps m'ont tout l'air d'avoir été fortement agités...
Oh putain d'putain ! Mais qu'est-ce... qu'est-ce qui s'est passé ? J'me rappelle pus rien, là ! Et mes fringues, elles sont où ? Pas que je sois pudique, dans les vestiaires, m'enfin...
Sans réfléchir, je me passe la main sur le cul... la rondelle, pour dire vrai et... je me la sens toute pleine de gel, apparemment, ou...?
Je renifle mes doigts : lavande ! Donc pas du foutre, mais... je m'essuie soigneusement avec le drap, et j'entends alors un vaste éclat de rire collectif, et j'entrouvre la porte : oui, ça rigole bien en bas et j'entends même le plop rassurant d'une bouteille de bulles qu'on débouche...
Je pousse le nez, et le reste suit. De la rambarde, j'aperçois un tas de mecs, tous à poil, qui prennent l'apéro : y a d'l'ambiance ! Mais Marie-France m'aperçoit et hurle :
— Ouaiiiis ! Chouchou est réveillé ! Viens vite !
Marie-France est un gentil mec, patron du club, et dont le prénom, Patrick, ne lui seyait évidemment pas dans sa position sociale... Une petite gueule d'effronté, et un aplomb à toute épreuve !
C'est aussi ça qui m'amuse, chez les folles : leur culot.
Je rejoins donc l'assemblée : comme par miracle, le paracétamol apparaît.
— Va te poser près d'Anatole, il t'a sauvé la vie !
— Hein ?
— Avant que tu t'endormes, il t'a fait avaler deux aspirines, c'est pourquoi tu tiens debout asteur !
Je connais pas bien Anatole, un long et fin mec blond à la gueule de premier de la classe... ou de premier communiant, ou les deux. Pour l'instant, il me fait un adorable sourire et je me serre contre lui.
— Merci ! je fais, incertain. Tu m'as... sauvé la vie, alors ?
— Non, seulement ta journée ! dit le minet, tout intimidé.
C'est alors que je remarque son long serpent rose, posé entre ses cuisses. Il a un prépuce long comme j'en n'ai jamais vu sous les douches ! Je me reprends et lui demande :
— Tu fais quoi, toi, à la fac ?
Une modeste conversation s'engage alors... et j'ai la curieuse impression d'avoir déjà vu ce visage. En attendant d'en savoir plus, je le remercie d'avoir eu le réflexe « aspirine », et il sourit :
— T'es cent fois plus baraqué que moi, mais... je sais que la gueule de bois peut toucher tout le monde !
— Merci, alors ! Et d'ailleurs... j'me sens effectivement mieux, là !
— Alors on trinque ?
Je trinque avec ce p'tit mec quasi transparent et que je pourrais envoyer au plafond d'une simple pichenette... idée qui me fait sourire.
— C'est ma pomme, qui te fait sourire ? demande alors doucement le minet.
— Euh... non, non ! je fais, gêné, je... me demandais ce que tu donnerais, au basket !
— Oh Je suis grand, mais... pour les muscles, c'est pas ça !
— Ça se travaille, ça !
— Tu me donnerais deux, trois conseils ?
— Évidemment !
C'est à ce moment que j'entends une voix forte me demander :
— Et ta jolie rondelle, toujours en forme ?
Éclat de rire général : je rougis violemment.
— Qu'est-ce qu'elle a, ma rondelle ? je fais, hargneux.
— Sympa, quand on sait lui parler !
Encore une rigolade. Je m'énerve, mais mon voisin me prend le bras et me tend sa flûte en me soufflant :
— On trinque : ils rigolent, j't'assure ! Fais-en autant ! Je commence, tiens ! La rondelle de Quentin, c'est comme un panier de basket : c'est pas tout le monde qui y arrive ! Ça se mérite, ça ! dit le mecton, sûr de lui.
J'en reste bouche bée, alors que les autres applaudissent et hurlent carrément.
— Pourtant, hier soir, elle faisait pas de manières ! insiste Marie-France, hein, les mecs ?
— Ouiiii !
Je regarde Anatole qui me souffle à l'oreille :
— Chut ! Ferme-la, c'est bon !
J'obéis, alors que les témoignages s'accumulent dans le salon : à les entendre, je me serais fait passer dessus par toute la compagnie...
— Tu te la rappelles, celle-là ? me demande un grand rouquin en tirant sur son prépuce.
— Rien du tout !
— Alors c'est que t'as l'habitude, hein, mon joli p'tit cochon ! ajoute Marie-France,
Ça commence à me gonfler, tout ça ! Mais je sens la main de mon blondinet se poser sur ma cuisse, doucement.
— Chut, j'te dis ! Rigole, et c'est tout !
Je me force à obéir... mais imaginer que toute cette bande de folle m'ait niqué alors que j'étais pété comme trente-six cochons !...
— Je m'explique quand même pas que tu te rappelles de rien ! fait un grand noir en se prenant la tige.
— C'est que décidément, elle est pas assez grosse, tiens ! réplique Anatole.
— Mais c'est la plus grosse du club ! hurle un autre.
— Alors c'est qu'elle sait pas y faire, c'est tout ! conclut mon blondinet, qui ajoute cependant : et maintenant, faut que je parle à la mascotte du club, si vous permettez !
— Noooon !
Le minet se lève pourtant et me tend la main, que je saisis pour le suivre. Il m'entraîne à la chambre où je me suis réveillé... non sans avoir chopé une bouteille de bulles au passage. Et on commence par trinquer en buvant au goulot l'un après l'autre...
— Est-ce que, j'attaque, vous m'avez tous niqué ?
— Ah ! Ah ! Ah ! Non, vraiment pas ! Mais... on voulait profiter de toi, c'est vrai !
— Hein ? Et comment ?
— Quand on a été tous à poil, après que les puceaux sont partis, t'étais pas le dernier à dire des conneries ! Ni a picoler... Un a eu l'idée de te faire croire que... et avant ça, comme t'étais bourré comme tout... tu t'es fait tripoter, caresser, lécher... et sucer aussi par tous les mecs qui restaient... ceux de ce matin.
— Oh putain ! Mais...
— T'as bandé juste un peu — on a des photos — mais rien de plus. Après... on m'a demandé de te beurrer le trou avec du gel... pour te faire croire, ce matin... T'as cru ?
— J'ai eu un doute évidemment, mais... je sentais rien au cul... J'ai rien pris, tu me jures ?
— Rien ! Sauf...
— Hein ?
— Ben, fait Anatole en baissant le nez, si, un peu...
— Et quoi ?
— Ben... tu vas me casser la gueule mais...
— Non !
— Ben... je t'ai... sucé, fait l'Anatole, en regardant ailleurs. Tu bandais pas, mais t'as gémi quand même. Et pis... j'ai léché ton p'tit trou, bien.
— Ah !
— Et t'as presque crié, doucement.
— Et le matin... je t'ai mis le gel et... un doigt aussi. Là, tu ronflais gentiment.
— Oh putain d'putain d'putain !
— Tu m'en veux, évidemment.
— Je sais pas quoi dire, Ana... tole !
Jamais je me suis trouvé con comme ça ! J'ai pas envie de casser la gueule à ce p'tit con d'pédé... qui pleure, maintenant, tiens !
— Ho ! Qu'est-ce qui t'arrive, là ?
— J'm'en veux !
— T'aurais pu refuser !
— Ben... non, parce que... Oh ! Oh !
— C'est si grave que ça ? Tu m'as enculé ?
— Nooon ! Ils ont voulu tout ça parce que... Oh !...
— Cause, minet, je casse la gueule à personne, moi... et surtout pas à toi ! je fais gentiment.
— Ben... tout le club sait que... t'es... important pour moi.
Oups ! Là, j'ai le grand frisson : ce p'tit mec est amoureux de moi ? Et je fais quoi, moi ?
— Excuse-moi, Quentin !
— Tu m'as rien dit, alors j'excuse rien !
— Je t'aime, Quentin, fait alors le mecton en me plantant dans les yeux un regard gris-bleu qui me file le frisson de l'année. Coincé, je m'efforce de trouver la parade... introuvable, évidemment, et je sors :
— On reparlera de tout ce que tu viens de me dire, entre nous. Ils fermeront leur gueule, tes copains ?
— C'est déjà prévu : ils sont réglos.
Je sais pas ce qui me prend alors : je le saisis pour le serrer contre moi, fortement. Il ne tarde pas à bander et, ô honte ! Je bande aussi.
Et puis... et puis je cherche sa bouche, sa toute fine bouche qui happe littéralement la mienne. C'est fin, c'est délicat comme les empressements d'une pucelle — j'en ai croisé plusieurs, et même plus ! — et c'est, in fine, oh, c'est délicieux !
— J'y crois pas, comme c'est bon quand tu m'embrasses, souffle Anatole.
— Tu le fais drôlement bien aussi, p'tit gars.
P'tit gars qui soudain s'évanouit de mes bras pour venir me prendre la bite en bouche, ouh ! Bien sûr, je bande encore plus : c'est que je suis un grand sensible, moi ! Et vite... j'ai envie de niquer, aussi ! Un grand sensible, je vous dis !
Mais je vais pas tirer ce p'tit mec — il n'a qu'un an de moins que moi, en fait — et il m'a touché en me disant... Oh putain ! Il m'a dit ce qu'aucune meuf m'a jamais dit : « Je t'aime ! ».
— Tu crois que... si... si on fait juste ce que tu veux... on pourrait... redormir ensemble ? murmure le minet.
— Tout ce que tu veux si on se tire d'ici, et vite !
— On dira que tu m'enlèves ! fait Anatole en souriant.
— Tes bonnes copines comprendront !
On se sépare : on a presque débandé. Anatole me dit :
— T'es encore plus beau que dans tous mes rêves !
— Toi, t'as jamais été dans mes rêves... et t'es super beau quand même ! je fais... sincère.
Les dernières révélations du minet m'ont ôté mon mal à la tronche. Il déclare allez chercher nos fringues, en bas... d'où j'entends monter une sorte d'ovation, suivie d'applaudissements. Je suis où, là ? Une fois habillés, on descend, et nouveaux applaudissements ! J'ai vraiment l'impression d'être tombé dans un piège... Le minet m'emmène chez lui et comme on est samedi et que j'ai rien de mieux à faire...
Sympa studette... pas « folle » du tout !
— Tu sais quoi ? On va se doucher sévère !
Il se déloque, et je suis bêtement. Il me savonne délicatement, sans perdre son fin sourire... ni ses regards admiratifs, qui me touchent, nom de dieu ! Et ce qui me touche encore plus... c'est ses mains toutes fines qui... me font bander, tiens. Et la belle gaule ! Moins imposante que la sienne... Je la ferme, incapable de trouver un mot...
— Je vais pas te violer mais... est-ce que tu accepterais que je te fasse jouir un maximum ?
J'ai un grand soupir qu'il prend pour un oui... et il se met à me sucer. Bien, très bien ! Guidé vers son paddock, je me laisse aller... jusqu'à ce qu'il me broute la rondelle. Oh que c'est bon ! Mais j'ai pas envie de me faire défoncer, hein ? Il m'apaise l'esprit... ou presque :
— Je suis puceau, et je voudrais que ce soit toi qui...
Et v'lan ! Le gars Quentin préposé au perçage des p'tits pédés, maintenant ! Mais je vais pas faire ma pimbêche, surtout qu'il est mignon comme tout, et que j'ai la trique du siècle. Je fais tout ce qu'il me dit et même ! Même je lui lèche sa p'tite rosette toute douce... J'ai peur de lui faire mal, mais j'y arrive bien et... oh putain, quelle séance !
Il est résistant, le p'tit, et moi aussi ! Et il aime ça, et moi aussi !... J'y suce même la bite, plusieurs fois !
Bref, me v'là aimé d'un super bon coup, avec possibilité de me faire toutes les folles de la ville ! J'vas explorer mon Anatole, d'abord. Il est trop gentil. Avant même de gicler comme un démon dans son p'tit trou, je me suis demandé ce que ça faisait, une pine dans le cul... La sienne.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)