08-04-2022, 01:28 PM
CHAPITRE 022 : « Camp provisoire de recherches archéologiques. » « Samuel »
Les semaines qui suivirent, ils mirent tout en œuvre pour suivre le planning annoncé lors de cette réunion, c’est donc au soir de la dernière journée avant la première exploration humaine officielle à l’intérieur de la caverne, qu’ils fêtent tous le début des véritables recherches.
Le barnum servant de cantine reçoit tous les personnels encore présents sur le camp de base, les équipes de forages étant pour la plupart repartis une fois leurs missions terminées.
Ne reste plus qu’une équipe gardée auprès d’eux sous le prétest d’un éventuel risque d’éboulement, mais qui n’est composé que d’hommes de confiance, avec parmi eux et par chance, quelques Asians fidèles, employés régulièrement depuis plusieurs décennies par le chef géologue de l’expédition.
La soirée festive et bruyante montre combien tous sont enfin heureux de pouvoir commencer leur véritable travail, le verbe haut due aux boissons alcoolisées donne un brouhaha difficile à la tenue d’une conversation privée.
Comme prévu par Samuel, le personnel Asian hormis bien entendu ceux dans le secret, avalent leur nourriture largement arrosée de cette sauce épicée qui devrait d’ici peu commencer à faire parler d’elle.
Les premiers départs aux latrines précipités arrivent aux environs de minuit, juste quand ceux de la première équipe de recherches se décident à aller se reposer pour être en forme le lendemain.
***/***
Pietro avec son neveu sont assit devant une boisson chaude, avec le sourire aux lèvres d’entendre le concert de gémissement venant de toutes les parties du campement.
- Je pense que demain beaucoup vont se faire porter pâles ! Hi ! Hi !
- Michu va devoir revoir ses équipes pour les deux prochains jours, mais j’espère qu’une seule suffira pour découvrir ce qu’il y a à découvrir.
- Je me sens soudainement nerveux mon oncle, imagine qu’il n’y ait rien de spécial à découvrir ?
- Je vois de quoi tu parles, mais dis-toi bien qu’il y aura toujours des réponses à trouver sur l’origine de ce qui a déclenché la dernière grande glaciation, c’est déjà en soit quelque chose de très important pour nous autres spécialistes scientifiques.
Pietro hésite à poser l’ultime question, celle qui le tarabuste depuis sa première conversation d’avec son neveu et sortant des chemins conventionnels d’une éducation cartésienne.
Samuel s’en amuse du fait qu’il le voit bien hésitant et qu’il n’a jamais vraiment compris malgré qu’il connaisse bien la façon de penser de son oncle, que ce dernier ne la lui ait jamais posée.
- Pourquoi ne me le demandes tu pas, alors que tu en meures d’envie depuis des semaines ?
- De quoi tu parles ?
- De ce que j’espère véritablement trouver dans cette caverne !
Pietro reste un instant sans voix que son neveu lise en lui comme dans un livre ouvert.
- Et donc ? y a-t-il une réponse à cette question ?
- Si tu me promets de ne pas ameuter tout le camp en me traitant de fou à lier, je veux bien te répondre ! Hi ! Hi !
- J’essaierai de garder mon sang froid alors, mais ne me dis pas que… tu… non…
- Si tu fais allusion aux restes d’un corps, celui du maitre marchand ou mieux…
Samuel se signe plusieurs fois en s’agenouillant avant de continuer sa phrase.
- … de « l’unique », alors je répondrai que oui, c’est ce que j’espère découvrir dans cette caverne.
- Je ne voudrais pas t’ôter toutes tes illusions mon garçon, mais j’ai bien peur pourtant que tes espoirs ne soient pas couronnés de succès et je m’en vois désoler pour toi, comment veux tu qu’un corps puisse s'être conserver après aussi longtemps ? le plus vieux squelette jamais découvert date de moins de quarante mille ans et il ne restait pas grand-chose d’exploitable conviens en !!
- Mon esprit sait que tu as raison mon oncle, mais mon cœur pense autrement.
- Ton cœur ? que vient-il faire là-dedans celui-là, je me demande un peu !!
- J’en suis le premier étonné croit le bien, mais quelque chose au fond de moi me dis que je trouverais là la réponse que j’attends depuis toujours et qui hante continuellement mes nuits.
Pietro voit bien qu’en parlant, Samuel devient rêveur, un peu comme s’il vivait cet espoir alors qu’il lui parle, une idée toute aussi loufoque lui vient alors sur ce qui l’inquiétait lui et son épouse, sur le comportement monacal de son neveu à l’âge où tous sont à la recherche de l’autre moitié et des plaisirs de la chair.
- Est-ce en lien avec le fait que tu n’as pas encore eu de liaison amoureuse ?
Samuel semble sortir soudainement de son état léthargique pour planter son regard dans celui de son oncle, marquant la surprise qu’il éprouve de se voir poser une telle question.
Pourtant après quelques secondes son regard change, tandis que l’idée s’auto-analyse dans sa tête et qu’il y trouve là une réponse plausible à toutes ses questions existentielles sur le sujet et qu’il s’est posé à de nombreuses reprises.
- Cela se pourrait en effet, quoique je ne vois pas comment l’expliquer !!
- Nous ferions mieux d’essayer de dormir quelques heures, de toute façon nous en saurons plus demain, alors rien ne sert de se faire des scénarios délirants qui ne se produiront jamais.
- Hum !!!
***/***
« Le lendemain matin. »
L’astre de jour est déjà haut dans le ciel quand Samuel émerge du sommeil, se levant d’un bond pour constater que son oncle est déjà parti en lui laissant un mot l’informant qu’il serait de l’équipe de l’après midi, qu’il pouvait se recoucher et se reposer encore un peu.
L’idée lui plait bien, mais la curiosité l’en empêche, s’habillant sommairement et rapidement, pour faire un tour du camp qui à première vue semble particulièrement calme.
Pourtant quelques gémissements ici et là, lui démontre que son plan semble avoir fonctionner comme prévu, il ne peut s’empêcher de sourire malgré qu’il les plaigne quand même un peu.
Un sourire qu’il perd très vite une fois arriver aux latrines, l’odeur épouvantable s’en échappant dès l’ouverture de l’une des portes lui donnant l’envie de vomir.
Il cherche donc un endroit discret pour soulager son envie d’uriner, sa pudeur le faisant aller jusqu’à sortir du camp pour trouver un coin le rassurant suffisamment pour baisser culotte.
Il en est là à se soulager, les jambes semi-écartées avec un soupire de satisfaction, quand un frisson le parcourt de la tête aux pieds et que son sexe contre toute attente entre en érection, coupant nette la miction en court.
Son regard se porte vers la chose maintenant en peine gloire, lui amenant un rictus à la fois, surpris, amuser et curieux, l’interrogeant alors à haute voix avec un certain humour.
- Eh bien mon grand ?? qu’est-ce qu’il t’arrive ce matin ?? tu veux que papa joue avec toi ?? c’est ça ?? tu sais bien que papa ne te refuse jamais se genre de petit plaisir !! Comment ?? ici… tout de suite ?? comme tu veux mon lapinou, mais tu fais vite hein, que personne ne te surprenne.
Un petit rire amuser suit le monologue, tandis que sa main droite entre en mouvement pour mettre en application ses paroles, quelques vas et viens suffisent pourtant pour l’amener au point de non-retour.
Une sensation inhabituelle lui fait comprendre que le plaisir sera à la hauteur de ses espérances, sa main gauche vient s’appuyer sur le tronc de l’arbre face à lui pour garder sa stabilité alors que son corps commence à ressentir un plaisir sans commune mesure et qui d’un coup lui irradie le sexe dans un orgasme jusque-là inconnu.
Le temps semble s’arrêter alors que son corps ressent toujours se maelstrom de sensations d’un plaisir inégaler qui semble ne jamais vouloir cesser, un instant son cerveau entre dans une frayeur son nom à l’idée de devoir mourir de cette façon.
Heureusement pour lui qu’à cette pensée l’orgasme redescend rapidement, pour le laisser sans forces s’affaler sur les genoux à même le sol, le tronc inonder d’une substance laiteuse d’une abondance sans commune mesure avec les souvenirs qu’il a de ses innombrables masturbations depuis qu’il est en âge de le faire.
- Wouah hou !! C’était quoi se truc de ouf !!
Les semaines qui suivirent, ils mirent tout en œuvre pour suivre le planning annoncé lors de cette réunion, c’est donc au soir de la dernière journée avant la première exploration humaine officielle à l’intérieur de la caverne, qu’ils fêtent tous le début des véritables recherches.
Le barnum servant de cantine reçoit tous les personnels encore présents sur le camp de base, les équipes de forages étant pour la plupart repartis une fois leurs missions terminées.
Ne reste plus qu’une équipe gardée auprès d’eux sous le prétest d’un éventuel risque d’éboulement, mais qui n’est composé que d’hommes de confiance, avec parmi eux et par chance, quelques Asians fidèles, employés régulièrement depuis plusieurs décennies par le chef géologue de l’expédition.
La soirée festive et bruyante montre combien tous sont enfin heureux de pouvoir commencer leur véritable travail, le verbe haut due aux boissons alcoolisées donne un brouhaha difficile à la tenue d’une conversation privée.
Comme prévu par Samuel, le personnel Asian hormis bien entendu ceux dans le secret, avalent leur nourriture largement arrosée de cette sauce épicée qui devrait d’ici peu commencer à faire parler d’elle.
Les premiers départs aux latrines précipités arrivent aux environs de minuit, juste quand ceux de la première équipe de recherches se décident à aller se reposer pour être en forme le lendemain.
***/***
Pietro avec son neveu sont assit devant une boisson chaude, avec le sourire aux lèvres d’entendre le concert de gémissement venant de toutes les parties du campement.
- Je pense que demain beaucoup vont se faire porter pâles ! Hi ! Hi !
- Michu va devoir revoir ses équipes pour les deux prochains jours, mais j’espère qu’une seule suffira pour découvrir ce qu’il y a à découvrir.
- Je me sens soudainement nerveux mon oncle, imagine qu’il n’y ait rien de spécial à découvrir ?
- Je vois de quoi tu parles, mais dis-toi bien qu’il y aura toujours des réponses à trouver sur l’origine de ce qui a déclenché la dernière grande glaciation, c’est déjà en soit quelque chose de très important pour nous autres spécialistes scientifiques.
Pietro hésite à poser l’ultime question, celle qui le tarabuste depuis sa première conversation d’avec son neveu et sortant des chemins conventionnels d’une éducation cartésienne.
Samuel s’en amuse du fait qu’il le voit bien hésitant et qu’il n’a jamais vraiment compris malgré qu’il connaisse bien la façon de penser de son oncle, que ce dernier ne la lui ait jamais posée.
- Pourquoi ne me le demandes tu pas, alors que tu en meures d’envie depuis des semaines ?
- De quoi tu parles ?
- De ce que j’espère véritablement trouver dans cette caverne !
Pietro reste un instant sans voix que son neveu lise en lui comme dans un livre ouvert.
- Et donc ? y a-t-il une réponse à cette question ?
- Si tu me promets de ne pas ameuter tout le camp en me traitant de fou à lier, je veux bien te répondre ! Hi ! Hi !
- J’essaierai de garder mon sang froid alors, mais ne me dis pas que… tu… non…
- Si tu fais allusion aux restes d’un corps, celui du maitre marchand ou mieux…
Samuel se signe plusieurs fois en s’agenouillant avant de continuer sa phrase.
- … de « l’unique », alors je répondrai que oui, c’est ce que j’espère découvrir dans cette caverne.
- Je ne voudrais pas t’ôter toutes tes illusions mon garçon, mais j’ai bien peur pourtant que tes espoirs ne soient pas couronnés de succès et je m’en vois désoler pour toi, comment veux tu qu’un corps puisse s'être conserver après aussi longtemps ? le plus vieux squelette jamais découvert date de moins de quarante mille ans et il ne restait pas grand-chose d’exploitable conviens en !!
- Mon esprit sait que tu as raison mon oncle, mais mon cœur pense autrement.
- Ton cœur ? que vient-il faire là-dedans celui-là, je me demande un peu !!
- J’en suis le premier étonné croit le bien, mais quelque chose au fond de moi me dis que je trouverais là la réponse que j’attends depuis toujours et qui hante continuellement mes nuits.
Pietro voit bien qu’en parlant, Samuel devient rêveur, un peu comme s’il vivait cet espoir alors qu’il lui parle, une idée toute aussi loufoque lui vient alors sur ce qui l’inquiétait lui et son épouse, sur le comportement monacal de son neveu à l’âge où tous sont à la recherche de l’autre moitié et des plaisirs de la chair.
- Est-ce en lien avec le fait que tu n’as pas encore eu de liaison amoureuse ?
Samuel semble sortir soudainement de son état léthargique pour planter son regard dans celui de son oncle, marquant la surprise qu’il éprouve de se voir poser une telle question.
Pourtant après quelques secondes son regard change, tandis que l’idée s’auto-analyse dans sa tête et qu’il y trouve là une réponse plausible à toutes ses questions existentielles sur le sujet et qu’il s’est posé à de nombreuses reprises.
- Cela se pourrait en effet, quoique je ne vois pas comment l’expliquer !!
- Nous ferions mieux d’essayer de dormir quelques heures, de toute façon nous en saurons plus demain, alors rien ne sert de se faire des scénarios délirants qui ne se produiront jamais.
- Hum !!!
***/***
« Le lendemain matin. »
L’astre de jour est déjà haut dans le ciel quand Samuel émerge du sommeil, se levant d’un bond pour constater que son oncle est déjà parti en lui laissant un mot l’informant qu’il serait de l’équipe de l’après midi, qu’il pouvait se recoucher et se reposer encore un peu.
L’idée lui plait bien, mais la curiosité l’en empêche, s’habillant sommairement et rapidement, pour faire un tour du camp qui à première vue semble particulièrement calme.
Pourtant quelques gémissements ici et là, lui démontre que son plan semble avoir fonctionner comme prévu, il ne peut s’empêcher de sourire malgré qu’il les plaigne quand même un peu.
Un sourire qu’il perd très vite une fois arriver aux latrines, l’odeur épouvantable s’en échappant dès l’ouverture de l’une des portes lui donnant l’envie de vomir.
Il cherche donc un endroit discret pour soulager son envie d’uriner, sa pudeur le faisant aller jusqu’à sortir du camp pour trouver un coin le rassurant suffisamment pour baisser culotte.
Il en est là à se soulager, les jambes semi-écartées avec un soupire de satisfaction, quand un frisson le parcourt de la tête aux pieds et que son sexe contre toute attente entre en érection, coupant nette la miction en court.
Son regard se porte vers la chose maintenant en peine gloire, lui amenant un rictus à la fois, surpris, amuser et curieux, l’interrogeant alors à haute voix avec un certain humour.
- Eh bien mon grand ?? qu’est-ce qu’il t’arrive ce matin ?? tu veux que papa joue avec toi ?? c’est ça ?? tu sais bien que papa ne te refuse jamais se genre de petit plaisir !! Comment ?? ici… tout de suite ?? comme tu veux mon lapinou, mais tu fais vite hein, que personne ne te surprenne.
Un petit rire amuser suit le monologue, tandis que sa main droite entre en mouvement pour mettre en application ses paroles, quelques vas et viens suffisent pourtant pour l’amener au point de non-retour.
Une sensation inhabituelle lui fait comprendre que le plaisir sera à la hauteur de ses espérances, sa main gauche vient s’appuyer sur le tronc de l’arbre face à lui pour garder sa stabilité alors que son corps commence à ressentir un plaisir sans commune mesure et qui d’un coup lui irradie le sexe dans un orgasme jusque-là inconnu.
Le temps semble s’arrêter alors que son corps ressent toujours se maelstrom de sensations d’un plaisir inégaler qui semble ne jamais vouloir cesser, un instant son cerveau entre dans une frayeur son nom à l’idée de devoir mourir de cette façon.
Heureusement pour lui qu’à cette pensée l’orgasme redescend rapidement, pour le laisser sans forces s’affaler sur les genoux à même le sol, le tronc inonder d’une substance laiteuse d’une abondance sans commune mesure avec les souvenirs qu’il a de ses innombrables masturbations depuis qu’il est en âge de le faire.
- Wouah hou !! C’était quoi se truc de ouf !!
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