08-08-2020, 03:03 PM
2eme ANNEE 1er semestre : (47 / 100) (Aix) (Une visite surprenante)
L’homme sort de la gare et reste un moment sans bouger, le temps de se réadapter à la vie Européenne plus trépidante puis il hèle un taxi auquel il donne l’adresse inscrite sur son carnet après avoir déposé sa valise dans le coffre.
Le chauffeur le regarde bizarrement, surpris sans doute des vêtements d’une autre époque et de l’âge avancé de son client.
Pendant le trajet qui doit l’amener à destination, le père Antoine ressasse dans sa tête les événements de ses dernières semaines qui l’ont conduit à ce déplacement non programmé.
Déjà l’arrivée d’Okoumé et d’Akim avec la jeune panthère sous le bras alors que la nuit commençait à tomber, ensuite l’histoire incroyable que lui raconte celui qu’il considère comme son fils depuis son plus jeune âge.
Antoine se rappelle bien du bébé sauver du crash d’un avion et de la façon miraculeuse dont il a été recueilli ainsi que la rapidité qu’ont eue ses brûlures à guérir.
Maintenant entendre Okoumé lui raconter ses visites mensuelles à la clairière et son rapport avec l’animal sauvage est une autre paire de manches pour cet homme dévoué à l’église et aux hommes depuis toujours.
Il connaît l’honnêteté du guerrier Massai et il le sait dans l’impossibilité de mentir aussi il est bien obligé de se rendre à l’évidence quant à la justesse des faits qu’il relate avec autant de passion dans le geste et dans la voix.
De plus son jeune fils en a encore les yeux agrandis d’émerveillement de la journée qu’il vient de vivre et serre entre ses bras le jeune mâle qui lui lèche consciencieusement le visage depuis qu’ils sont arrivés.
Ensuite plusieurs jours lui ont été nécessaires pour obtenir cette adresse où il se rend en ce moment, tout y est passé, police, hôpital, ambassade et enfin un prénom et un nom de famille.
Le taxi se gare devant une maison de type provençal avec sur le devant un petit jardin entretenu avec goût, il paye la course et récupère son bagage puis s’approche de la plaque et sourit légèrement en constatant qu’il est à la bonne adresse.
Antoine n’est plus tout jeune et ses déplacements sont extrêmement rares, la fatigue du voyage se ressent fortement en cette fin de journée et c’est d’une main lasse qu’il appuie sur le bouton de sonnette.
Maryse regarde par la fenêtre de sa cuisine et voit l’abbé en soutane blanche, ses yeux se plissent de surprise et elle s’essuie rapidement les mains en se dirigeant vers la porte d’entrée.
L’homme qui attend devant chez elle lui apparaît comme très fatigué et son visage buriné et ascète lui donne immédiatement confiance en lui, un homme de dieu sorti d’une autre époque qui la fait sourire malgré elle.
- Bonsoir mon père.
- Bonsoir ! Excusez-moi de vous déranger de manière aussi tardive mais je dois absolument parler à Monsieur et madame De Bierne, c’est bien ici ?
- Oui ! Je suis Maryse De Bierne et mon époux est dans la maison si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer.
Voyant que le vieil homme peine à porter sa valise, Maryse la lui prend des mains en souriant gentiment et la dépose dans le couloir pendant qu’Antoine entre dans la maison.
Maryse en lui montrant le salon.
- Installez-vous confortablement mon père pendant que je vais chercher mon mari.
Antoine préfère prendre une chaise car l’aspect confortable du canapé lui fait un peu peur de ne pas pouvoir se relever une fois installé dedans, une photo lui saute aux yeux et il se relève pour aller la prendre en main afin de mieux pouvoir la regarder.
Elle représente un couple dont il reconnaît la femme qui l’a accueilli avec entre eux deux un jeune homme au visage angélique et souriant, aux yeux d’un vert si profond qu’ils paraissent sortir du cadre de la photo.
- C’est mon petit-fils Florian !
Antoine sursaute car il n’avait pas vu la personne entrer et se placer derrière lui, l’homme le regarde et il se sent pris en faute.
Il repose le cadre à sa place en s’excusant.
- Je dois vous paraître bien impoli ?
Michel en observant attentivement la personne qui se tient devant lui.
- Je pensais plutôt à curieux, vous vouliez nous parler mon père ?
- En effet oui mais ma démarche va vous paraître des plus curieuses voire étonnante.
Michel regarde la photo qui semblait subjuguer le vieil ecclésiastique.
- Est ce que ça concerne mon petit-fils Florian ?
- Oui !!
Michel sourit et se détend, invitant d’un geste de la main son visiteur de s’asseoir.
- Plus rien ne devrait m’étonner alors, mais asseyez-vous donc, vous me paraissez épuisé.
Il attend que l’homme s’installe et voyant sa femme arriver avec un plateau et des verres, attend qu’elle ait fait le service avant de poser la question qui lui démange les lèvres.
- Connaissez-vous mon petit-fils ?
- (Antoine) Oui et j’ai aidé sans doute à ce qu’il reste en vie.
2eme ANNEE 1er semestre : (48 / 100) (Orléans/Thillois) (fin)
Arnault et Aléxie atteignent le point d’apnée après lequel ils sont obligés de se séparer, ils se tiennent toujours dans les bras l’un de l’autre debout au milieu de la chambre.
Ce n’est pas l’envie qui leur manque d’aller plus loin dans leurs besoins de câlins et de sexe mais tout simplement le temps et le lieu qui ne s’y prêtent pas.
De toute façon ils ont prévu leurs week-ends en connaissance de cause et en prévoyant de les passer ensemble chez Aléxie, celui-ci ayant bien l’intention d’avouer à ses parents ce qu’ils ont sans doute déjà deviné étant donné les regards appuyés qu’ils posent sur eux régulièrement depuis ces deux semaines qu’Arnault est parmi eux.
Ludovic sort de sa chambre et rejoint sa mère dans la cuisine, son sourire ne dit rien qui vaille à celle-ci qui commence à bien le connaître depuis son opération.
- Qu’est-ce que tu manigances encore ?
- Rien m’man ! Juste que j’ai hâte d’être à la semaine prochaine.
- (Henriette étonnée) Ah oui ! Et pourquoi donc ?
- Tu ne te rappelles plus ? Florian doit me retirer la plaque que j’ai dans la tête.
- Et c’est ça qui te fait sourire comme ça ?
- Oui parce que je vais pouvoir rester une semaine à l’hôpital avec « Flo », Flavien et….
Il allait prononcer le prénom de Mélanie mais se retient.
- … tous les autres.
- Tu n’as pas peur ?
Ludovic avec un grand sourire.
- Florian m’a expliqué que ce n’était rien du tout, juste quelques minutes d’interventions sous anesthésie.
Henriette soupire amusée malgré tout.
- Rien du tout ! Il en a de bonnes celui-là, je me demande ce que ça sera quand il nous avouera que c’est quelque chose ?
- Dis m’man ? Comment ça se fait qu’il est comme ça « Flo » ?
- (Henriette en riant) C’est sans doute comme pour Obélix, il a dû tomber dans une marmite de potion magique ou un truc comme ça étant petit Hi ! Hi !
- (Ludovic) Sauf que lui, ce serait plutôt Astérix niveau carrure et Obélix c’est « Flav » Hi ! Hi !
Henriette s’essuie les yeux.
- Bon ! Redevenons un petit peu sérieux tu veux ? Va chercher les garçons, il va être temps de se mettre à table ton père va arriver d’ici cinq minutes.
- D’accord m’man !
Henriette regarde avec dévotion son petit dernier courir jusqu’aux chambres, par contre elle sursaute quand elle l’entend les appeler en frappant à leur porte.
- À table les amoureux !!!!
***/***
Carole poursuit les garçons dans les escaliers, elle les entend rigoler et se moquer d’elle et ils s’apprêtent à fermer la porte de leur chambre quand d’un pied elle vient la bloquer et qu’ensuite elle les attrape tous les deux par le col en les faisant reculer vers le lit.
Les deux garçons morts de rires se laissent faire et quand elle les lâche avec une dernière poussée, ils s’affalent sur le matelas en faisant semblant d’être effrayés.
Carole en souriant devant le tableau que lui donnent les deux grands benêts.
- Alors ! Qu’est ce qu’ils ont dit ?
- (Sébastien amusé) Devine ? Avec ce que tu as entendu, tu devrais déjà avoir ta petite idée non ?
- (Sylvain) Allez ! Réfléchis un peu.
- Tu sais bien que je suis blonde alors c’est pas mon fort.
Sylvain avec une grimace.
- C’est vrai qu’avec vous deux je suis servi.
Retournement de situation car les jumeaux comme s’ils n’attendaient que ça lui sautent dessus et le bloquent sur le lit.
Les cris d’orfraies qu’il pousse alors ne les arrêtent pas et il se pâme sous les chatouilles jusqu’à ce que des voix venant de l’étage du dessous ne le rappellent à l’ordre.
- Qu’est ce qu’il se passe là-haut ?
Sylvain en reprenant sa respiration.
- C’est un complot de blonds contre ton fils m’man !! À l’aide !!
- Ça suffit le chahut ! Faites-moi le plaisir de redescendre et de mettre la table.
Un peu péteux de s’être fait sermonner, les trois amis redescendent vite fait et sous le regard faussement courroucé de Fabienne se pressent d’installer les couverts.
Ce n’est qu’après le dîner que Sébastien lâche l’information tant attendue.
- Ah oui au fait je ne t’ai pas dit ? Flavien t’attend chez Mireille, il parlait avec elle d’un truc sur un nouveau ou une nouvelle pensionnaire qui partagerait sa chambre avec lui.
Sylvain qui enchaîne en faisant un clin d’œil à son mec.
- Elle avait l’air contente Mireille d’accueillir quelqu’un en plus.
Sébastien regarde sa sœur avec un grand sourire.
- Si elle savait la pauvre.
Carole les yeux ronds se lève comme un ressort et fonce vers son téléphone.
- Et c’est seulement maintenant que vous me le dites ?
Sébastien en se moquant d’elle.
- Faute à qui hein ? Tu aurais été plus gentille avec ton frère chéri tout à l’heure, tu serais déjà là-bas.
2eme ANNEE 1er semestre : (49 /100) (Paris) (Chan/Yuan) (suite)
Quand il ouvre la porte de la chambre, Yuan perçoit un son qui lui secoue les tripes et le fait bander encore plus fort.
Ses poils se dressent et tous ses sens s’éveillent comme jamais ils ne l’ont fait jusqu’à présent, comme un automate il se dirige vers le lit où ses deux amis sont déjà enlacés et ensuite comme dans un rêve il les rejoint en laissant tomber sa serviette au sol.
Il se sent comme happé dans un maelström de sensations nouvelles toutes plus fortes les unes que les autres, son cerveau défaille quand son corps se retrouve au contact et qu’il est couvert de baisers.
Des mains aux doigts électrisants lui parcourent tout le corps, le faisant vibrer à l’unisson de ses amis.
Il se pâme sous les caresses que lui prodiguent ses deux amants avec leurs mains et leurs corps, ses yeux sombrent dans ceux de Florian qui émet une nouvelle fois ce son presque inaudible qui lui amène une irrésistible envie de ne faire plus qu’un avec les deux garçons nus contre lui.
Thomas arrive à se reprendre suffisamment pour comprendre ce qu’il va arriver s’il ne fait rien pour l’endiguer, il sait très bien que Florian le regrettera aussitôt après l’avoir fait et qu’il s’en voudra de ne pas avoir suivi ses propres conseils et d’avoir amené Yuan dans un état de dépendance affective alors qu’il est toujours seul.
Maintenant l’envie du beau blond reprend de plus belle sous les caresses et les ondes émises par Florian qui hypnotise le jeune chinois en le fixant avec ses yeux de prédateur, le peu de raisonnement qu’il lui reste ne va pas durer bien longtemps s’il ne fait rien dans les secondes qui viennent.
Il faut qu’il trouve à tout prix le moyen de stopper l’énorme excitation communicative qui déchaîne à l’heure actuelle le petit rouquin qui s’apprête déjà à jouir du jeune homme qui se donne maintenant corps et âme à lui, Florian agile comme un félin se déplace souplement et s’allonge sur Yuan puis lui relève les cuisses pour venir frotter son sexe énorme de désir contre la corolle vierge et déjà consentante qui frémit au contact du gland qui l’amène dans des strates de plaisirs jusque-là encore insoupçonnées.
Thomas approche son visage de celui de son ami et se frotte à lui en laissant sa peau glisser doucement contre celle de Florian qui au contact de son chéri frissonne de pur bonheur et détache son regard de sa « proie » consentante, un bref sursaut de conscience lui fait se reprendre et basculer entre les deux garçons en fermant très fort les yeux et surtout en tentant avec plus ou moins de succès de reprendre entièrement le contrôle de son corps.
Thomas réagit très vite et bascule sur lui puis s’empale doucement sur le sexe hyper tendu du jeune rouquin qui aussitôt sursaute et ouvre des yeux affolés, vite rassuré malgré tout quand il se rend compte que celui qui lui donne et prend tant de plaisir est Thomas.
Yuan n’est toujours pas redescendu sur terre et sa libido lui envoie des pulsions qu’il n’arrive pas à gérer avec sa tête, son regard troublé est maintenant fixé sur le sexe de Thomas se balançant au rythme de ses va et vient enfiévrés sur le bas-ventre de Florian dont la virilité a pris entièrement possession de l’intimité du grand blond.
Son visage s’approche et la vue de ce magnifique membre entouré de sa pilosité blonde lui donne une envie irrésistible d’y porter les lèvres et les mains, il n’hésite que quelques secondes avant de se lâcher complètement et de venir prendre en main la hampe à la douceur de satin tout en déposant des petits baisers enfiévrés sur le gland décalotté et suintant de l’excitation de son ami.
Un râle de plaisir s’échappe alors de la gorge de Thomas qui ne s’attendait pas à cette prise en main et en bouche de la part du jeune asiatique, Florian surpris relève la tête et comprend aussitôt ce qui a amené ce cri d’extase.
Il regarde avec gourmandise le corps fin et longiligne de Yuan et l’envie de s’occuper de lui donner du plaisir lui fait se déplacer suffisamment pour atteindre à son tour le sexe raide et vibrant du jeune chinois.
Sa main empoigne la bête et commence à la caresser avec des mouvements lents de bas en haut, Yuan frissonne sous la palpation lancinante et s’active encore plus sur le membre de Thomas qu’il embouche maintenant presque entièrement et qu’il sent grossir de plus en plus s’attendant à très vite récolter le fruit de ses efforts.
Florian arrive lui aussi au point de fusion, il est conscient qu’il en va de même pour ses amis.
Thomas resserre de plus en plus ses sphincters et Yuan a le sexe qui pulse de plus en plus fort, la délivrance arrive quasiment simultanément et les quelques secondes qui suivent voient résonner la chambre des gémissements d’orgasmes des trois garçons.
Chan et Dante bien sûr entendent et comprennent sans pour autant en connaître pour l’instant exactement le rôle de chacun dans ce déferlement de plaisirs, mais ils sont certains qu’il n’y a eus personne de laisser de côté et sont heureux pour Yuan qu’ils avaient senti triste tout à l’heure d’être seul pendant que le bonheur irradiait autour de lui.
Pour leurs parts, ils ont été sages en se contentant de s’apprivoiser en s’embrassant et en se caressant tout en restant dans une pudeur que certains diront surannée mais qu’ils ont inconsciemment choisi afin de prendre le temps d’analyser leurs sentiments réciproques l’un envers l’autre.
L’homme sort de la gare et reste un moment sans bouger, le temps de se réadapter à la vie Européenne plus trépidante puis il hèle un taxi auquel il donne l’adresse inscrite sur son carnet après avoir déposé sa valise dans le coffre.
Le chauffeur le regarde bizarrement, surpris sans doute des vêtements d’une autre époque et de l’âge avancé de son client.
Pendant le trajet qui doit l’amener à destination, le père Antoine ressasse dans sa tête les événements de ses dernières semaines qui l’ont conduit à ce déplacement non programmé.
Déjà l’arrivée d’Okoumé et d’Akim avec la jeune panthère sous le bras alors que la nuit commençait à tomber, ensuite l’histoire incroyable que lui raconte celui qu’il considère comme son fils depuis son plus jeune âge.
Antoine se rappelle bien du bébé sauver du crash d’un avion et de la façon miraculeuse dont il a été recueilli ainsi que la rapidité qu’ont eue ses brûlures à guérir.
Maintenant entendre Okoumé lui raconter ses visites mensuelles à la clairière et son rapport avec l’animal sauvage est une autre paire de manches pour cet homme dévoué à l’église et aux hommes depuis toujours.
Il connaît l’honnêteté du guerrier Massai et il le sait dans l’impossibilité de mentir aussi il est bien obligé de se rendre à l’évidence quant à la justesse des faits qu’il relate avec autant de passion dans le geste et dans la voix.
De plus son jeune fils en a encore les yeux agrandis d’émerveillement de la journée qu’il vient de vivre et serre entre ses bras le jeune mâle qui lui lèche consciencieusement le visage depuis qu’ils sont arrivés.
Ensuite plusieurs jours lui ont été nécessaires pour obtenir cette adresse où il se rend en ce moment, tout y est passé, police, hôpital, ambassade et enfin un prénom et un nom de famille.
Le taxi se gare devant une maison de type provençal avec sur le devant un petit jardin entretenu avec goût, il paye la course et récupère son bagage puis s’approche de la plaque et sourit légèrement en constatant qu’il est à la bonne adresse.
Antoine n’est plus tout jeune et ses déplacements sont extrêmement rares, la fatigue du voyage se ressent fortement en cette fin de journée et c’est d’une main lasse qu’il appuie sur le bouton de sonnette.
Maryse regarde par la fenêtre de sa cuisine et voit l’abbé en soutane blanche, ses yeux se plissent de surprise et elle s’essuie rapidement les mains en se dirigeant vers la porte d’entrée.
L’homme qui attend devant chez elle lui apparaît comme très fatigué et son visage buriné et ascète lui donne immédiatement confiance en lui, un homme de dieu sorti d’une autre époque qui la fait sourire malgré elle.
- Bonsoir mon père.
- Bonsoir ! Excusez-moi de vous déranger de manière aussi tardive mais je dois absolument parler à Monsieur et madame De Bierne, c’est bien ici ?
- Oui ! Je suis Maryse De Bierne et mon époux est dans la maison si vous voulez bien vous donner la peine d’entrer.
Voyant que le vieil homme peine à porter sa valise, Maryse la lui prend des mains en souriant gentiment et la dépose dans le couloir pendant qu’Antoine entre dans la maison.
Maryse en lui montrant le salon.
- Installez-vous confortablement mon père pendant que je vais chercher mon mari.
Antoine préfère prendre une chaise car l’aspect confortable du canapé lui fait un peu peur de ne pas pouvoir se relever une fois installé dedans, une photo lui saute aux yeux et il se relève pour aller la prendre en main afin de mieux pouvoir la regarder.
Elle représente un couple dont il reconnaît la femme qui l’a accueilli avec entre eux deux un jeune homme au visage angélique et souriant, aux yeux d’un vert si profond qu’ils paraissent sortir du cadre de la photo.
- C’est mon petit-fils Florian !
Antoine sursaute car il n’avait pas vu la personne entrer et se placer derrière lui, l’homme le regarde et il se sent pris en faute.
Il repose le cadre à sa place en s’excusant.
- Je dois vous paraître bien impoli ?
Michel en observant attentivement la personne qui se tient devant lui.
- Je pensais plutôt à curieux, vous vouliez nous parler mon père ?
- En effet oui mais ma démarche va vous paraître des plus curieuses voire étonnante.
Michel regarde la photo qui semblait subjuguer le vieil ecclésiastique.
- Est ce que ça concerne mon petit-fils Florian ?
- Oui !!
Michel sourit et se détend, invitant d’un geste de la main son visiteur de s’asseoir.
- Plus rien ne devrait m’étonner alors, mais asseyez-vous donc, vous me paraissez épuisé.
Il attend que l’homme s’installe et voyant sa femme arriver avec un plateau et des verres, attend qu’elle ait fait le service avant de poser la question qui lui démange les lèvres.
- Connaissez-vous mon petit-fils ?
- (Antoine) Oui et j’ai aidé sans doute à ce qu’il reste en vie.
2eme ANNEE 1er semestre : (48 / 100) (Orléans/Thillois) (fin)
Arnault et Aléxie atteignent le point d’apnée après lequel ils sont obligés de se séparer, ils se tiennent toujours dans les bras l’un de l’autre debout au milieu de la chambre.
Ce n’est pas l’envie qui leur manque d’aller plus loin dans leurs besoins de câlins et de sexe mais tout simplement le temps et le lieu qui ne s’y prêtent pas.
De toute façon ils ont prévu leurs week-ends en connaissance de cause et en prévoyant de les passer ensemble chez Aléxie, celui-ci ayant bien l’intention d’avouer à ses parents ce qu’ils ont sans doute déjà deviné étant donné les regards appuyés qu’ils posent sur eux régulièrement depuis ces deux semaines qu’Arnault est parmi eux.
Ludovic sort de sa chambre et rejoint sa mère dans la cuisine, son sourire ne dit rien qui vaille à celle-ci qui commence à bien le connaître depuis son opération.
- Qu’est-ce que tu manigances encore ?
- Rien m’man ! Juste que j’ai hâte d’être à la semaine prochaine.
- (Henriette étonnée) Ah oui ! Et pourquoi donc ?
- Tu ne te rappelles plus ? Florian doit me retirer la plaque que j’ai dans la tête.
- Et c’est ça qui te fait sourire comme ça ?
- Oui parce que je vais pouvoir rester une semaine à l’hôpital avec « Flo », Flavien et….
Il allait prononcer le prénom de Mélanie mais se retient.
- … tous les autres.
- Tu n’as pas peur ?
Ludovic avec un grand sourire.
- Florian m’a expliqué que ce n’était rien du tout, juste quelques minutes d’interventions sous anesthésie.
Henriette soupire amusée malgré tout.
- Rien du tout ! Il en a de bonnes celui-là, je me demande ce que ça sera quand il nous avouera que c’est quelque chose ?
- Dis m’man ? Comment ça se fait qu’il est comme ça « Flo » ?
- (Henriette en riant) C’est sans doute comme pour Obélix, il a dû tomber dans une marmite de potion magique ou un truc comme ça étant petit Hi ! Hi !
- (Ludovic) Sauf que lui, ce serait plutôt Astérix niveau carrure et Obélix c’est « Flav » Hi ! Hi !
Henriette s’essuie les yeux.
- Bon ! Redevenons un petit peu sérieux tu veux ? Va chercher les garçons, il va être temps de se mettre à table ton père va arriver d’ici cinq minutes.
- D’accord m’man !
Henriette regarde avec dévotion son petit dernier courir jusqu’aux chambres, par contre elle sursaute quand elle l’entend les appeler en frappant à leur porte.
- À table les amoureux !!!!
***/***
Carole poursuit les garçons dans les escaliers, elle les entend rigoler et se moquer d’elle et ils s’apprêtent à fermer la porte de leur chambre quand d’un pied elle vient la bloquer et qu’ensuite elle les attrape tous les deux par le col en les faisant reculer vers le lit.
Les deux garçons morts de rires se laissent faire et quand elle les lâche avec une dernière poussée, ils s’affalent sur le matelas en faisant semblant d’être effrayés.
Carole en souriant devant le tableau que lui donnent les deux grands benêts.
- Alors ! Qu’est ce qu’ils ont dit ?
- (Sébastien amusé) Devine ? Avec ce que tu as entendu, tu devrais déjà avoir ta petite idée non ?
- (Sylvain) Allez ! Réfléchis un peu.
- Tu sais bien que je suis blonde alors c’est pas mon fort.
Sylvain avec une grimace.
- C’est vrai qu’avec vous deux je suis servi.
Retournement de situation car les jumeaux comme s’ils n’attendaient que ça lui sautent dessus et le bloquent sur le lit.
Les cris d’orfraies qu’il pousse alors ne les arrêtent pas et il se pâme sous les chatouilles jusqu’à ce que des voix venant de l’étage du dessous ne le rappellent à l’ordre.
- Qu’est ce qu’il se passe là-haut ?
Sylvain en reprenant sa respiration.
- C’est un complot de blonds contre ton fils m’man !! À l’aide !!
- Ça suffit le chahut ! Faites-moi le plaisir de redescendre et de mettre la table.
Un peu péteux de s’être fait sermonner, les trois amis redescendent vite fait et sous le regard faussement courroucé de Fabienne se pressent d’installer les couverts.
Ce n’est qu’après le dîner que Sébastien lâche l’information tant attendue.
- Ah oui au fait je ne t’ai pas dit ? Flavien t’attend chez Mireille, il parlait avec elle d’un truc sur un nouveau ou une nouvelle pensionnaire qui partagerait sa chambre avec lui.
Sylvain qui enchaîne en faisant un clin d’œil à son mec.
- Elle avait l’air contente Mireille d’accueillir quelqu’un en plus.
Sébastien regarde sa sœur avec un grand sourire.
- Si elle savait la pauvre.
Carole les yeux ronds se lève comme un ressort et fonce vers son téléphone.
- Et c’est seulement maintenant que vous me le dites ?
Sébastien en se moquant d’elle.
- Faute à qui hein ? Tu aurais été plus gentille avec ton frère chéri tout à l’heure, tu serais déjà là-bas.
2eme ANNEE 1er semestre : (49 /100) (Paris) (Chan/Yuan) (suite)
Quand il ouvre la porte de la chambre, Yuan perçoit un son qui lui secoue les tripes et le fait bander encore plus fort.
Ses poils se dressent et tous ses sens s’éveillent comme jamais ils ne l’ont fait jusqu’à présent, comme un automate il se dirige vers le lit où ses deux amis sont déjà enlacés et ensuite comme dans un rêve il les rejoint en laissant tomber sa serviette au sol.
Il se sent comme happé dans un maelström de sensations nouvelles toutes plus fortes les unes que les autres, son cerveau défaille quand son corps se retrouve au contact et qu’il est couvert de baisers.
Des mains aux doigts électrisants lui parcourent tout le corps, le faisant vibrer à l’unisson de ses amis.
Il se pâme sous les caresses que lui prodiguent ses deux amants avec leurs mains et leurs corps, ses yeux sombrent dans ceux de Florian qui émet une nouvelle fois ce son presque inaudible qui lui amène une irrésistible envie de ne faire plus qu’un avec les deux garçons nus contre lui.
Thomas arrive à se reprendre suffisamment pour comprendre ce qu’il va arriver s’il ne fait rien pour l’endiguer, il sait très bien que Florian le regrettera aussitôt après l’avoir fait et qu’il s’en voudra de ne pas avoir suivi ses propres conseils et d’avoir amené Yuan dans un état de dépendance affective alors qu’il est toujours seul.
Maintenant l’envie du beau blond reprend de plus belle sous les caresses et les ondes émises par Florian qui hypnotise le jeune chinois en le fixant avec ses yeux de prédateur, le peu de raisonnement qu’il lui reste ne va pas durer bien longtemps s’il ne fait rien dans les secondes qui viennent.
Il faut qu’il trouve à tout prix le moyen de stopper l’énorme excitation communicative qui déchaîne à l’heure actuelle le petit rouquin qui s’apprête déjà à jouir du jeune homme qui se donne maintenant corps et âme à lui, Florian agile comme un félin se déplace souplement et s’allonge sur Yuan puis lui relève les cuisses pour venir frotter son sexe énorme de désir contre la corolle vierge et déjà consentante qui frémit au contact du gland qui l’amène dans des strates de plaisirs jusque-là encore insoupçonnées.
Thomas approche son visage de celui de son ami et se frotte à lui en laissant sa peau glisser doucement contre celle de Florian qui au contact de son chéri frissonne de pur bonheur et détache son regard de sa « proie » consentante, un bref sursaut de conscience lui fait se reprendre et basculer entre les deux garçons en fermant très fort les yeux et surtout en tentant avec plus ou moins de succès de reprendre entièrement le contrôle de son corps.
Thomas réagit très vite et bascule sur lui puis s’empale doucement sur le sexe hyper tendu du jeune rouquin qui aussitôt sursaute et ouvre des yeux affolés, vite rassuré malgré tout quand il se rend compte que celui qui lui donne et prend tant de plaisir est Thomas.
Yuan n’est toujours pas redescendu sur terre et sa libido lui envoie des pulsions qu’il n’arrive pas à gérer avec sa tête, son regard troublé est maintenant fixé sur le sexe de Thomas se balançant au rythme de ses va et vient enfiévrés sur le bas-ventre de Florian dont la virilité a pris entièrement possession de l’intimité du grand blond.
Son visage s’approche et la vue de ce magnifique membre entouré de sa pilosité blonde lui donne une envie irrésistible d’y porter les lèvres et les mains, il n’hésite que quelques secondes avant de se lâcher complètement et de venir prendre en main la hampe à la douceur de satin tout en déposant des petits baisers enfiévrés sur le gland décalotté et suintant de l’excitation de son ami.
Un râle de plaisir s’échappe alors de la gorge de Thomas qui ne s’attendait pas à cette prise en main et en bouche de la part du jeune asiatique, Florian surpris relève la tête et comprend aussitôt ce qui a amené ce cri d’extase.
Il regarde avec gourmandise le corps fin et longiligne de Yuan et l’envie de s’occuper de lui donner du plaisir lui fait se déplacer suffisamment pour atteindre à son tour le sexe raide et vibrant du jeune chinois.
Sa main empoigne la bête et commence à la caresser avec des mouvements lents de bas en haut, Yuan frissonne sous la palpation lancinante et s’active encore plus sur le membre de Thomas qu’il embouche maintenant presque entièrement et qu’il sent grossir de plus en plus s’attendant à très vite récolter le fruit de ses efforts.
Florian arrive lui aussi au point de fusion, il est conscient qu’il en va de même pour ses amis.
Thomas resserre de plus en plus ses sphincters et Yuan a le sexe qui pulse de plus en plus fort, la délivrance arrive quasiment simultanément et les quelques secondes qui suivent voient résonner la chambre des gémissements d’orgasmes des trois garçons.
Chan et Dante bien sûr entendent et comprennent sans pour autant en connaître pour l’instant exactement le rôle de chacun dans ce déferlement de plaisirs, mais ils sont certains qu’il n’y a eus personne de laisser de côté et sont heureux pour Yuan qu’ils avaient senti triste tout à l’heure d’être seul pendant que le bonheur irradiait autour de lui.
Pour leurs parts, ils ont été sages en se contentant de s’apprivoiser en s’embrassant et en se caressant tout en restant dans une pudeur que certains diront surannée mais qu’ils ont inconsciemment choisi afin de prendre le temps d’analyser leurs sentiments réciproques l’un envers l’autre.
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=71.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 3
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=69.0 le colocataire
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=267.0 Florian 18 ans surdoué livre4 tome 4
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=86.0 Florian 18 ans surdoué li
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