25-03-2022, 07:51 PM
Second phare :
Il y a quelques temps, j'ai lu une annonce sur une revue gay pour une téléréalité. « La production cherche douze candidats et organisera un casting dans différentes villes de France. » Et j'ai rangé ça dans un coin de mon cerveau.
Je me présente. Je m'appelle Hadrien et j'ai 21 ans. Du haut de mon mètre quatre-vingt-cinq et de mes quatre-vingts kilos de muscles entretenus, je suis ce que l'on appelle généralement un beau gosse. Blond, les yeux d'un bleu très clair, un sourire ravageur -mais oui- qui dévoile une rangée de dents très blanches et régulières, je suis un tombeur. Toutes les femmes me draguent mais je suis comme Ziggy : je préfère les garçons.
Je m’étais trouvé un job en or mais avec la COVID 19 la boite a dû fermer. C'est vrai qu'un sauna gay n'est pas essentiel pour l’économie. Et pourtant on devait bien avoir une bonne centaine de clients par jour et le double ou le triple, durant les week-ends. Si j'avais choisi ce boulot c'est parce que je suis une bête de sexe et qu'il m'en faut toujours plus et le sauna est un parfait lieu de drague. Après le boulot, il n’était pas rare que je fasse des extras avec un mignon que je draguais dans la soirée plutôt que de faire le ménage. Dame nature m'a très bien doté et depuis mes 13 ans j'ai appris progressivement à utiliser mon vit - que je maitrise maintenant à la perfection.
Je suis donc pour le moment en chômage technique, parce que même si le sauna a rouvert récemment la clientèle ne s'y bouscule pas encore et les patrons suffisent au travail actuel.
Je décide de tenter ma chance en allant passer le casting pour cette téléréalité. Quand j'arrive je suis surpris de voir qu'il y a peu de monde. Je vais m'inscrire et on me donne un épais dossier à remplir.
Je m'installe sur une des tables et je commence la paperasse.
Nom, prénom, date de naissance … jusque-là rien de bien différent d'un autre formulaire. Les pages suivantes deviennent plus intéressantes. Elles portent sur notre sexualité et les questions sont, pour certaines, de plus en plus indiscrètes. Mais je remplis le tout avec un maximum de franchise. Je relis mon dossier et je vais le rendre. On me demande de me rendre chambre 421. je frappe et on me répond d’entrer. Il y a trois personnes et, au vu du matériel, je comprends que ça va être une séance de photos.
– Salut, heu, quel est ton prénom ?
– Hadrien. Bonjour tout le monde.
– Bon, Hadrien, comme tu peux t'en rendre compte, tu es ici pour une séance photo. On va commencer par te coiffer et te maquiller et puis tu nous improviseras un strip-tease. Le but est que tu finisses à poil, bien sûr. Qu’on puisse juger de tes réactions face à un objectif, de ta plastique et différents autres critères.
– Ok, j'ai droit à un peu de musique ?
– Si tu veux.
Au fur et à mesure que je m'effeuille le gars prend des photos et quand je suis nu, il me demande de prendre des poses.
– Tu peux te branler un peu pour qu'on voit ce que ta bite donne en érection ?
– Ok, pas de souci.
– Putain la bête ! Alan, va prendre les mensurations mais n'en profite pas pour la tripoter plus que nécessaire.
– Wow elle est bien droite, alors longueur 21,5 cm, circonférence 19,5 cm et diamètre 6,5 cm toison pubienne entretenue, courte et rasé pour le reste. Fesse glabre. C'est bon pour moi.
– Ok, on a fini, tu peux te rhabiller et aller chambre 220.
Dans cette chambre-là, il y a deux personnes qui m'expliquent ce qu'il se passera durant la téléréalité.
On sera (enfin on, si je suis sélectionné) à douze mecs gays, enfermés, à poil, dans un phare au milieu de l'océan et on sera filmé 24 heures sur 24 et ça sera diffusé sur une chaine cryptée. Il n'y aura aucune zone sans caméra. On pourra y faire ce que l'on veut, baiser avec qui on veut et, une fois par semaine, la production nous proposera des défis qui – si on les réussi - augmenteront notre cagnotte commune qui, elle, sera divisée en douze parts égales à la fin du mois d'enfermement. nous assurant quand même un fixe de départ de 10 000 euros chacun.
Également, certains ''spectateurs'' pourront aussi nous offrir des primes pour faire telle ou telle chose. Et là, les primes seront uniquement pour le ou les seuls désignés. Et il y a de généreux sponsors, m'a-t-on laissé entendre. Il y aura même une cagnotte en ligne pour les moins fortunés et dans ce cas-là une proposition de gage sera tirée au sort et devra être exécutée, si, bien sûr, le(s) gars désigné(s) sont d’accord.
Mais même si le sexe est libre entre nous, il ne doit pas y avoir de sexe forcé. Tout acte entre deux ou plusieurs personnes doit être librement consenti. En cas de non-respect de cette règle se sera l'exclusion immédiate et tout l'argent gagné serait partagé entre les autres participants.
On me demande si j'ai bien compris, je pose quelques questions de détail auxquelles on me répond sans détour.
– Je comprends ton inquiétude. Alors pour faire court nous avons tout prévu. Une semaine avant d'aller au phare, les sélectionnés auront une série de tests médicaux poussés. Et dans les trois mois à venir nous demanderons tous les mois de faire un test sanguin des plus complet.
– Et on saura quand si on est ou non choisi ?
– Cette ville est la dernière où on fait un casting. Donc, d'ici un mois tu sauras si tu as été présélectionné. Dans le cas d'une réponse positive, tu seras convoqué à Paris, tous frais payés, bien sûr, et tu seras soumis à différents entretiens, avant la sélection finale. D'autres questions ?
– Non, pas pour le moment.
– Dans ce cas, au plaisir de te revoir Hadrien.
… Vingt-cinq jours plus tard.
Je reçois une convocation pour la semaine suivante à Paris. J’y monte en train et c'est un jeune mec qui porte une pancarte avec mon prénom qui m'attend à la gare. Je me dirige vers lui avec mon plus beau sourire.
– Salut, je suis Hadrien.
– Enchanté, moi c'est Antoine. Tu me suis, on va tout de suite à ton rendez-vous et après je t'emmènerai à ton hôtel.
On s'enfonce dans les couloirs du métro en discutant et il me dit qu’on doit changer deux fois avant d’arriver. Antoine est sympa, il fait partie de la prod mais il a un copain et ils sont un couple fermé, donc inutile de le draguer.
Dommage car il est bien mon genre de mec. Quoique, mon genre de mec, je n'en ai pas trop. Ce que je cherche chez un mec, c'est qu'il soit chaud, entreprenant et assez beau gosse, bien sûr. J'ai un penchant pour les mecs un peu plus petits que moi et de style crevette mais si c'est un mec bien bâti et chaud, pourquoi pas. S'il est passif c'est un plus, après je m'adapte aussi à mon partenaire. Cependant, mon cul, je ne le donne pas si facilement pour autant. Il faut que le mec le mérite.
On se retrouve dans un grand appartement haussmannien où six personnes m’attendent. Après les banalités d'usage sur ma santé, mon voyage, ils entrent dans le vif du sujet.
– Comme tu le sais, tu as été présélectionné mais nous ne sommes pas tous d'accord sur ta présence dans l’émission, sauf si tu acceptes le rôle à jouer pour nous au phare. Pour faire court nous avons besoin de deux ''indicateurs'' qui nous informeront de ce que l'on ne peut pas voir à l'image comme les rapprochements entre deux personnes, les rivalités amoureuses, les coups bas en douce. Tu vois ce que je veux dire ?
– Oui en gros faire le mouchard et la langue de pute.
– C'est tout à fait ça. Acceptes-tu ?
– Ce n’est pas trop dans mon caractère mais je suppose que si je refuse, je suis viré.
– Tu réfléchis vite et bien. Alors, tu acceptes ?
– Faut voir. Ça me rapporte quoi de le faire ?
– Déjà ta sélection et un bonus de 5 000 euros.
– Ok, dans ce cas-là j’accepte. Et qui sera l’autre ? Il saura que j’existe ? Il saura qui je suis ?
– Nous n'avons pas encore décidé qui sera l'autre et non, il ne saura pas qui tu es, sinon ça ne serait pas marrant mais toi non plus tu ne sauras pas qui il est. On te donnera… on vous donnera aussi des instructions ou une ligne de conduite à tenir pour animer l’émission.
– Et les autres candidats sont comment ?
– Ça, tu le découvriras en même temps que les autres. La seule chose que je peux te dire c'est qu'ils sont tous aussi mignons et bien faits que toi mais chacun dans son genre.
Bien ! La réunion est close. Demain matin, vers dix heures, quelqu'un passera te prendre à ton hôtel et te conduira à nos bureaux. On te briffera dans le détail. Comme ça tu sauras ce que nous attendons exactement de toi et tu signeras ton contrat.
Je reste quatre jours à Paris, entre rendez-vous de prod et tourisme, avant de rentrer. Il ne me reste que trois semaines pour que tout soit en ordre pour mon départ. Semaines que j'emploie principalement à baiser – ah, l'avantage de vivre encore chez ses parents, sans soucis d’intendance. Et c'est le retour à Paris. Pour être sûr qu'on ne se croise pas, la prod nous a mis dans des hôtels différents. Tous les jours c'est une valse de rendez-vous : médicaux, derniers conseils et j'en passe. Enfin c'est le jour J. Une équipe de caméramans débarque dans ma chambre d’hôtel, à l'aube, ils me surprennent au pied du lit. Par réflexe, j'ai juste le temps d'enfiler un boxer… qui est complètement déformé par ma gaule matinale cherchant à s’en échapper. Pourtant ça ne fait qu’une paire d’heures que le jeune employé de la réception vient de partir, les jambes flageolantes. Je m'enferme à la salle de bain pour me doucher mais la porte s'ouvre aussitôt et les caméramans entrent me filmer sous toutes les coutures, en train de faire ma toilette.
C'est le départ en voiture. Direction la Bretagne. Juste avant d'arriver, on me demande d'enfiler une cagoule à travers laquelle ma bouche est libre mais où je ne vois strictement plus rien. Puis c'est un parcours à l’aveugle, de la voiture au bateau, fait avec l'aide d'un gars et c’est parti pour une bonne heure de trajet. Certains ont le mal de mer. J'en entends même vomir. Le bateau accoste enfin. On nous aide à descendre et on nous fait plus ou moins aligner.
– Chers téléspectateurs et amis, comme vous pouvez vous en rendre compte nos douze candidats ont rejoint le phare.
Messieurs, je vais vous demander de vous mettre nus, sans quitter vos cagoules.
On commence à se foutre à poil et le commentateur fait des commentaires sur ce qu'il voit.
– HOULALA, ça c'est du gros et du lourd. J'en connais beaucoup qui voudraient bien être ici pour tester ce beau matos, pas vrai ?
Je vois que vous êtes tous nus à présent et je me réjouis du spectacle que vous nous donnez. Si j'en crois l'audimat, je ne suis pas le seul à l’être. Messieurs, enlevez vos cagoules s'il vous plait que je vous présente.
Dans un premier temps je ne vois rien. Puis je m'habitue au soleil et, WOW ! que du très, très, mignon. Je ne vais pas avoir à me forcer pour baiser, c’est une certitude.
– Maintenant, je vous invite à me suivre pour la visite des lieux. Déjà vous avez dû remarquer la terrasse autour du phare où vous pourrez vous faire bronzer par beau temps. Entrons.
Comme vous le constatez, c'est assez vaste comme pièce à vivre et avec, ici, tout l'équipement moderne pour y cuisiner. Les frigos sont pleins. Montons au premier.
Ici, comme vous pouvez le voir toute une série de lits de deux, trois places ou plus. À vous de les utiliser à votre guise. Suivez-moi au second à présent.
Là, c'est une salle de sport assez complète et dans ce coin, vous avez un sauna et un hammam, sans compter des douches à jets multi-massant. Montons maintenant à la partie du troisième étage.
Comme vous vous en rendez compte elle est spéciale. Nous l'appelons la salle de jeux. Il y a, rangé dans cette armoire, tout un tas de sextoys, dans celle-ci plusieurs tenues sexy aux thèmes différents et dans sa voisine d'autres accessoires pour des moments plus chauds et plus hards. Il y a des menottes, des entraves, etc. Je vous laisse le soin de découvrir ça tout seuls. Et au-dessus, c’est le phare lui-même, où il vous est strictement interdit d’entrer.
On redescend, il nous fait encore quelques recommandations – plus pour le public que pour nous - et tout ce petit monde s'en va. Ils ne reviendront, sauf urgence, que dans 30 jours.
– je ne sais pas vous les gars, mais moi, je me les gèle, alors je rentre.
– On te suit. C'est vrai qu'il ne fait pas chaud, chaud.
On va tous s'installer sur les canapés et poufs du salon. La conversation est longue à vraiment démarrer. La télé s'allume seule et on voit le présentateur une coupe de champ à la main.
– Les garçons, il y a tout ce qu'il faut dans le frigo pour arroser votre arrivée. Aussi, je vous dis à la bonne votre et amusez-vous bien.
Je me lève en même temps que Lionel et Grégory, je crois. Je n'ai pas retenu encore tous les prénoms.
Pendant que Gregory apporte quatre bouteilles de champagne, Lionel et moi on cherche les verres dans les placards. Une fois servit, on trinque tous au mois à venir, à nos futures relations et chacun se présente un peu mieux aux autres. Tout ça nous mène ‘très’ joyeusement jusqu'à l'heure du repas, qu'on trouve tout préparé dans le frigo. On finit juste de manger quand la télé se rallume seule et le présentateur nous lance le défi « pour faire connaissance » : une partouze de bienvenu. Ça saute de joie et ça crie dans tous les sens. On a une heure pour se préparer.
On monte au premier étage où sont les douches. Certains se font une toilette intime plus que soignée et on se retrouve tous à la salle de jeux. L'écran géant, installé là, s'allume et le présentateur nous donne les consignes.
– Dans la première armoire vous trouverez un sac contenant des numéros. Ils vont par paire.
Tirez-en un chacun et formez les couples.
Je me retrouve avec Lionel. On commence par s’embrasser, puis fellations réciproques à tour de rôle et bouffage de cul. Je lui broute la rosette quand :
– Vas-y Hadri, baise-moi. J'en ai trop envie.
– Laisse-moi encore un peu te manger l’oignon pour bien te préparer.
– C'est pas la peine, j'encaisse bien t'en fait pas.
– Ça n'a rien à voir, ton cul me plait trop, alors je vais te grignoter encore un peu.
– Ok, comme tu veux, je kiffe aussi de me le faire bouffer.
Une dizaine de minutes plus tard, je fais mettre Lionel à quatre pattes et je commence à le pénétrer. C'est vrai qu'il doit en avoir pris des kilomètres parce que ça rentre tout seul et rapidement il me demande d'y aller plus fort.
Je lève les yeux sur l'écran qui montre nos exploits à tour de rôle. La prod choisit les moments les plus chauds de chaque couple qu'elle diffuse. Toutes les éjaculations sont filmées en gros plan sauf la mienne et celle de Julien, parce qu'on a fécondé nos partenaires.
La prod nous accorde quelques minutes de repos et c'est reparti pour un second round avec un autre partenaire. Les éjaculations sont un peu plus longues à arriver mais elles finissent par jaillir.
Pour le troisième round la prod éteint toutes les lumières et nous demande de changer de place. Je frôle au passage plusieurs personnes et au top de la prod on prend le premier qu'on touche.
C'est avec des caméras à vision nocturne qu'ils nous filment maintenant. Je n'ai pas la moindre idée de qui est mon partenaire en revanche ce que je sais c'est que c'est un excellent suceur et il a un cul… très, très accueillant.
Le premier défi de la semaine est lancé le lendemain matin. Chacun a jusqu’à vendredi minuit pour faire jouir les onze autres participants de la façon qu'il veut. Pour se faire la production m'a suggéré de faire faire des groupes de trois qui s’interchangent et comme ça, en six fois, chacun aura fait jouir les autres. On a réussi à le faire quatre fois dans le temps imparti, multipliant d’autant notre bonus.
Le premier week-end arrive et les défis des sponsors aussi. Je dois, avec Marc, un mec juste assez bien musclé, sans être bodybuildé, qui en plus à une queue quasi jumelle à la mienne – on est les hors normes du « phare » - et une mignonne gueule d’ange, sodomiser le petit Luc (jolie crevette d’un mètre soixante-deux) qui est une grosse cochonne. Bien sûr que j’accepte, ainsi que Marc et Luc n'hésite pas une fraction de seconde à crier : ouiiii ! Et c'est sous les encouragements de nos amis que Luc jouit, sans même se toucher, grâce à nos fougueux coups de queues. Il se paye même le luxe d'avaler nos éjaculations sans en laisser perdre la moindre goute.
Après cette première semaine la production me demande un rapport sur les garçons. Il y en a six uniquement passifs et sur les six qui restent, quatre sont 100% versatiles. Il n'y a guère que Marc et moi qui sommes à considérer actifs, même si, par deux fois pour Marc et une fois pour moi, le sexe d’un de nos comparses a visité nos entrailles dans le feu de l’action.
…
A la fin de la troisième semaine un très riche sponsor propose une somme mirobolante pour qu'à tour de rôle, Marc et moi, on se sodomise. Tout comme moi Marc ne roule pas sur l'or et lui a un loyer à assumer, c’est pourquoi, il est prêt à accepter.
– Tu en penses quoi Hadrien, perso, j'ai vraiment besoin de ce fric. Accepte s'il te plait. Tu pourras me faire ce que tu veux.
– J'ai aussi besoin de ce fric mais tu as aussi une bite de cheval et je ne suis pas très habitué à me faire baiser… et jamais encore par pareil calibre.
– Je te promets d'être aussi doux que possible, de bien te bouffer le cul avant et de mettre beaucoup de lubrifiant. Je te baise cinq minutes pour le show, puis tu pourras me baiser jusqu'à ce que tu jouisses. Accepte, s'il te plait !!!
– D'accord j'accepte mais avant de me prendre, tu me prépares avec des godes.
– Ah oui, bonne idée ça. On peut se faire une séance de sextoys pour nous élargir le trou avant ce soir.
On enchante évidemment tous les spectateurs présents l’après-midi.
Il est dix-neuf heures, l’heure H. On commence par une douche lascive et coquine puis c'est en nous tenant par la main qu'on monte à la salle de jeux où on commence à faire l’amour. Et c'est tout en douceur que Marc me sodomise.
Comme il me l'a promis il se retire au bout de cinq minutes mais je lui demande de continuer un peu. Eh oui, j'avoue, sa grosse queue me fait -ô surprise- un putain de bien que je crains jouir sans me toucher. Puis c'est mon tour de m'occuper de lui et lui aussi parait fort agréablement surpris des sensations que lui donne mes coups de gourdin, son gland est écarlate et suinte de plus en plus. Mais c'est finalement en 69 et en se délectant du sperme de l'autre, qu'on se fait jouir.
La dernière semaine est une pure folie. Des défis tous les jours, des éjaculations à la chaine et, tous autant qu'on est, plus on baise, plus on a envie de baiser. C'est à regret que nous voyons le trentième jour arriver. Et pour remercier nos sponsors et spectateurs, on improvise une partouze - bien plus chaude et acrobatique que la première - où chacun laisse libre court à son imagination. Pour le final, c'est Luc qui, à sa demande, reçoit tout notre sperme sur lui et, à sa grande surprise, on l’immobilise et on se met à le lécher pour le nettoyer. On le fait si bien qu'il nous en rajoute une dose.
Trente et unième jour, le bateau et la production arrivent, ils nous rendent nos habits et le soir lors d'une émission sur le plateau ils nous donnent nos chèques respectifs et quand j'en vois le montant je suis abasourdi. J'ai plein d'idées en tête mais je ne crois pas être le seul.
…
J'ai parlé de mon job à Marc et à Luc, avec qui je suis resté en ‘contact’. Et, après un tas de paperasse, Marc, Luc et moi avons repris le sauna qui, à nouveau, tourne à merveille.
Ah oui, encore un truc que j'oublie de vous dire. On forme un trouple ouvert et il ne faut pas croire que c'est le petit Luc qui se fait le plus souvent enfiler….
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