18-03-2022, 02:24 AM
Bien cher Lion, cher Lange et bien d'autres, bonsoir,
Le Parisien de naissance que je suis depuis un certain temps s'est régalé avec les derniers posts ci-dessus de deux de nos auteurs préférés. D'ascendance du Pays Noir nordique (Houillères d'Anzin, si ça parle à l'ami "à la crinière"), je me sens encore capable de donner une conférence en langue picarde du Valenciennois, le "rouchis". Mon cher papa disait bien "le ouagon" et j'utilise encore " el wassingue pou ressuer par tchière". Mon épouse, peu habituée, se demandait pourquoi une de mes tantes, établie dans le Haut Var, demandait ce qu'on voulait manger "pour le dîner" à midi... Je précise connaître ces deux pays voisins que j'aime et où je me suis rendu assez souvent, en particulier pour y trouver, dans l'un, la fameuse cassonade "Græffe", si bonne sur les "mollé gaufres" de ma tante à Wallers (Prononcer "Ouallé" SVP) que nous allions chercher à Peruwelz, en traversant la «basilique-frontière» N-D de Bon-Secours où il y avait une porte en France et une autre en Belgique, ce qui facilitait le passage en douane ! . On s'y rendait aussi pour le chocolat Côte d'Or, introuvable en France dans les années 50. Pour mes voyages en Helvétie, je n'avais garde d'oublier l'achat de "Suchard lait-noisettes en 400 grammes" qui n'a pas le même goût que par chez nous ; normal : le lait des alpages est très différent de celui de Bretagne, Normandie, Limousin...
Voilà, amis, quelques souvenirs qu'évoquent les précisions bienvenues de nos amis. Je les remercie bien vivement tous deux et souhaite, à tout le monde , une bonne suite malgré les événements que nous voyons en ce moment pas si loin que ça de nos contrées. Espérons que ces horreurs s'arrêtent le plus vite possible!
KLO.
Le Parisien de naissance que je suis depuis un certain temps s'est régalé avec les derniers posts ci-dessus de deux de nos auteurs préférés. D'ascendance du Pays Noir nordique (Houillères d'Anzin, si ça parle à l'ami "à la crinière"), je me sens encore capable de donner une conférence en langue picarde du Valenciennois, le "rouchis". Mon cher papa disait bien "le ouagon" et j'utilise encore " el wassingue pou ressuer par tchière". Mon épouse, peu habituée, se demandait pourquoi une de mes tantes, établie dans le Haut Var, demandait ce qu'on voulait manger "pour le dîner" à midi... Je précise connaître ces deux pays voisins que j'aime et où je me suis rendu assez souvent, en particulier pour y trouver, dans l'un, la fameuse cassonade "Græffe", si bonne sur les "mollé gaufres" de ma tante à Wallers (Prononcer "Ouallé" SVP) que nous allions chercher à Peruwelz, en traversant la «basilique-frontière» N-D de Bon-Secours où il y avait une porte en France et une autre en Belgique, ce qui facilitait le passage en douane ! . On s'y rendait aussi pour le chocolat Côte d'Or, introuvable en France dans les années 50. Pour mes voyages en Helvétie, je n'avais garde d'oublier l'achat de "Suchard lait-noisettes en 400 grammes" qui n'a pas le même goût que par chez nous ; normal : le lait des alpages est très différent de celui de Bretagne, Normandie, Limousin...
Voilà, amis, quelques souvenirs qu'évoquent les précisions bienvenues de nos amis. Je les remercie bien vivement tous deux et souhaite, à tout le monde , une bonne suite malgré les événements que nous voyons en ce moment pas si loin que ça de nos contrées. Espérons que ces horreurs s'arrêtent le plus vite possible!
KLO.