10-01-2022, 08:24 AM
... et la seconde.
https://static.actu.fr/uploads/2021/10/f...60x640.jpg
Coney Island est comme une foire perpétuelle, un peu ringarde, avec des attractions datées, mais ma famille d’accueil comme exchange student s’est dit que ça me plairait.
Ils sont gentils, les Bottomfingers, la famille chez qui je loge ce trimestre. Un peu cons, faut dire. Daddy perd sa vie dans un entrepôt de Bezos, Mommy cumule deux boulots, quatre heures dans un 7-eleven à vendre des merdes à d’autres nuls, et quatre autres à nettoyer chez des voisines. Quant aux enfants, Sharon est la pétasse vulgaire de la high school locale, et Jason est le garçon en surpoids qui s’y fait harceler, le gamin qui va un jour venir à l’école avec une des armes surnuméraires de son père et faire un carnage. S’il arrive à en débloquer la sécurité, ce qui n’est heureusement pas certain.
Les trois mois ont été longs, je vous jure, entre la malbouffe, les engueulades avec les voisins, j’aurais souvent voulu revenir en Europe, mais mes parents m’ont régulièrement persuadé que ce serait une ‘expérience’…
Dans une semaine, je pars à New Orleans, Louisiane, pour un avenir… un trimestre meilleur, chez le DeVille, vieille bourgeoisie wasp (*), je les ai facebookés, le fils, Jonah, est efféminé à crever, je vais me le faire, c’est sûr !
Mais là, je suis encore coincé pour une looongue semaine avec les Bottomfingers, et là, c’est une photo que cette grosse vache de Sharon a prise, terriblement mal cadrée, on n’y voit que sa mère, à droite, elle a esquivé les mâles de la famille, mais elle y a introduit Aaron, à gauche. Le garçon Black avec la casquette et le masque, vous voyez ?
Aaron est dans la classe qui m’a été attribuée pour le trimestre, on partage les cours, dont celui d’EPS, pour lesquels j’ai été drillé par mon frère ainé ‘‘expose ta bite, les Américains sont presque tous coupés, ils phasent à crever sur les prépuces, ça se raconte et les meufs sont curieuses, tu vas te taper des foufounes, mec’’. Sauf que les filles, perso… Et sauf que je suis plus dans le trip bite… Mais si Aaron a vu la mienne, l’inverse n’est pas vrai, il est discret pour ce qui le concerne, et en même temps, pas trop dans sa façon de mater, lui.
- Joanie, Dick’’ j’ai dit, ‘’ça ne vous ennuie pas si je vais parler avec un pote de classe ? On se retrouve à quelle heure au parking ?’’
- OK, let’s meet at 8pm at the parking lot ?
- Sounds fair, thanks’’ j’ai dit avec un grand sourire rassurant.
J’ai rejoint Aaron, figé à la même place.
- Hello, Aaron.
- Tu connais mon nom ?
- On est ensemble en classe depuis trois mois, je te rappelle…
- Oui, tu es l’exchange student… Thomas ?
- Européen, oui, et pas raciste, si tu as remarqué. Comme d’autres choses, je pense…
Je me dis que si Aaron avait pu rougir, il l’aurait fait, mais là, ça ne se voyait pas trop. En tout cas bien moins que son regard soutenu sous les douches après le cours d’EPS, le garçon me désirait, c’était trop clair ! Après, la légende urbaine sur les Blacks bien membrés, hein !
- Ça te dit d’aller dans le train fantôme ? C’est un peu nul, mais bon…
- Oui… Je… Ce que tu veux…’’ il a bafouillé.
Je l’ai pris par la main et l’ai trainé jusqu’à l’attraction, où j’ai pris deux billets, suivi d’un Aaron qui, je le supposais, n’en croyait pas sa chance, et souriait, naïvement, sincèrement.
La nacelle – ou quel qu’en soit le nom – s’est engouffrée dans le tunnel, et à la première apparition d’un spectre, j’ai pris sa main pour le rassurer, puis je l’ai posée sur mon sexe, il a souri.
Quand notre véhicule a légèrement ralenti devant une Morticia Addams assez mal-foutue, j’ai tiré Aaron du carrosse de fortune.
Et autant je suis plutôt actif, d’habitude, j’ai eu envie de lui en moi, pour la science, on dira…
- Tu en as envie, je pense. Je te suce ou… ?’’ ai-je dit, en passant la main sous sa ceinture. ‘’Hmmm… ce ne sera pas nécessaire’’ ai-je murmuré en sentant la raideur de son membre fébrile. En passant les doigts sur les traits fins de son visage, j’ai dit ‘’Tes ancêtres devaient être Sénégalais, ou du moins de l’ouest de l’Afrique, tu es beau, Aaron, tu manques juste un peu d’assurance’’. Il ne lui a pas fallu plus d’encouragements. Il n’était pas surdimensionné comme la légende le dit, ni trop endurant….
J’ai rejoint le parking en pressant mon jeans – et mon boxer – sur la raie de mes fesses, la semaine s’est finie sans que j’offre mon cul ou ma queue à personne, j’étais entièrement focalisé sur Jonah de la Nouvelle-Orléans, comprenez-moi…
(*) WASP = White Anglo-Saxon Protestant, l’upper-class auto-proclamée des Etats-Unis.
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Coney Island est comme une foire perpétuelle, un peu ringarde, avec des attractions datées, mais ma famille d’accueil comme exchange student s’est dit que ça me plairait.
Ils sont gentils, les Bottomfingers, la famille chez qui je loge ce trimestre. Un peu cons, faut dire. Daddy perd sa vie dans un entrepôt de Bezos, Mommy cumule deux boulots, quatre heures dans un 7-eleven à vendre des merdes à d’autres nuls, et quatre autres à nettoyer chez des voisines. Quant aux enfants, Sharon est la pétasse vulgaire de la high school locale, et Jason est le garçon en surpoids qui s’y fait harceler, le gamin qui va un jour venir à l’école avec une des armes surnuméraires de son père et faire un carnage. S’il arrive à en débloquer la sécurité, ce qui n’est heureusement pas certain.
Les trois mois ont été longs, je vous jure, entre la malbouffe, les engueulades avec les voisins, j’aurais souvent voulu revenir en Europe, mais mes parents m’ont régulièrement persuadé que ce serait une ‘expérience’…
Dans une semaine, je pars à New Orleans, Louisiane, pour un avenir… un trimestre meilleur, chez le DeVille, vieille bourgeoisie wasp (*), je les ai facebookés, le fils, Jonah, est efféminé à crever, je vais me le faire, c’est sûr !
Mais là, je suis encore coincé pour une looongue semaine avec les Bottomfingers, et là, c’est une photo que cette grosse vache de Sharon a prise, terriblement mal cadrée, on n’y voit que sa mère, à droite, elle a esquivé les mâles de la famille, mais elle y a introduit Aaron, à gauche. Le garçon Black avec la casquette et le masque, vous voyez ?
Aaron est dans la classe qui m’a été attribuée pour le trimestre, on partage les cours, dont celui d’EPS, pour lesquels j’ai été drillé par mon frère ainé ‘‘expose ta bite, les Américains sont presque tous coupés, ils phasent à crever sur les prépuces, ça se raconte et les meufs sont curieuses, tu vas te taper des foufounes, mec’’. Sauf que les filles, perso… Et sauf que je suis plus dans le trip bite… Mais si Aaron a vu la mienne, l’inverse n’est pas vrai, il est discret pour ce qui le concerne, et en même temps, pas trop dans sa façon de mater, lui.
- Joanie, Dick’’ j’ai dit, ‘’ça ne vous ennuie pas si je vais parler avec un pote de classe ? On se retrouve à quelle heure au parking ?’’
- OK, let’s meet at 8pm at the parking lot ?
- Sounds fair, thanks’’ j’ai dit avec un grand sourire rassurant.
J’ai rejoint Aaron, figé à la même place.
- Hello, Aaron.
- Tu connais mon nom ?
- On est ensemble en classe depuis trois mois, je te rappelle…
- Oui, tu es l’exchange student… Thomas ?
- Européen, oui, et pas raciste, si tu as remarqué. Comme d’autres choses, je pense…
Je me dis que si Aaron avait pu rougir, il l’aurait fait, mais là, ça ne se voyait pas trop. En tout cas bien moins que son regard soutenu sous les douches après le cours d’EPS, le garçon me désirait, c’était trop clair ! Après, la légende urbaine sur les Blacks bien membrés, hein !
- Ça te dit d’aller dans le train fantôme ? C’est un peu nul, mais bon…
- Oui… Je… Ce que tu veux…’’ il a bafouillé.
Je l’ai pris par la main et l’ai trainé jusqu’à l’attraction, où j’ai pris deux billets, suivi d’un Aaron qui, je le supposais, n’en croyait pas sa chance, et souriait, naïvement, sincèrement.
La nacelle – ou quel qu’en soit le nom – s’est engouffrée dans le tunnel, et à la première apparition d’un spectre, j’ai pris sa main pour le rassurer, puis je l’ai posée sur mon sexe, il a souri.
Quand notre véhicule a légèrement ralenti devant une Morticia Addams assez mal-foutue, j’ai tiré Aaron du carrosse de fortune.
Et autant je suis plutôt actif, d’habitude, j’ai eu envie de lui en moi, pour la science, on dira…
- Tu en as envie, je pense. Je te suce ou… ?’’ ai-je dit, en passant la main sous sa ceinture. ‘’Hmmm… ce ne sera pas nécessaire’’ ai-je murmuré en sentant la raideur de son membre fébrile. En passant les doigts sur les traits fins de son visage, j’ai dit ‘’Tes ancêtres devaient être Sénégalais, ou du moins de l’ouest de l’Afrique, tu es beau, Aaron, tu manques juste un peu d’assurance’’. Il ne lui a pas fallu plus d’encouragements. Il n’était pas surdimensionné comme la légende le dit, ni trop endurant….
J’ai rejoint le parking en pressant mon jeans – et mon boxer – sur la raie de mes fesses, la semaine s’est finie sans que j’offre mon cul ou ma queue à personne, j’étais entièrement focalisé sur Jonah de la Nouvelle-Orléans, comprenez-moi…
(*) WASP = White Anglo-Saxon Protestant, l’upper-class auto-proclamée des Etats-Unis.
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.