19-05-2021, 01:05 PM
T'es tarabiscoté, KLO7514 !
Je viens seulement de comprendre l'allusion avec Alec...
Je viens seulement de comprendre l'allusion avec Alec...
Amitiés de Louklouk !
19-05-2021, 01:05 PM
T'es tarabiscoté, KLO7514 !
Je viens seulement de comprendre l'allusion avec Alec...
Amitiés de Louklouk !
20-05-2021, 12:03 AM
Hi hi...Pas trop "tara" quand même. Quant à "biscoté", c'était vrai autrefois quand mes «biscotaux» étaient plus vaillants, mon cher ami Louklouk. En tous cas, j'ai bien apprécié ce dernier texte où , sans trop me tromper, je crois déceler une «patte connue» au style si particulier et peu commun.
23-05-2021, 04:59 PM
Coucou les gens,
Je livre l'ordre des auteurs par récit. Ce qui donne comme "nominationnés" : 1 - @ Lange128 2 - [member=168]lelivredejeremie[/member] 3 - [member=206]gaetanbg[/member] 4 - [member=87]Louklouk[/member] @ Lange128, c'est ton tour, nous attendons ta photo ! Merci de choisir une photo du web et copier le lien de celle-ci style : http://--------etc----------.jpg pour pouvoir faire le transfert. (ça ne fonctionne pas avec un document ne finissant – ou n’intégrant pas – .jpg, du moins pas de façon à être intégré au texte, à ma connaissance) Au format inférieur à 700Xxxx, pour pouvoir faire le transfert sans sortir du cadre. (mais pas trop petit non plus)
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
Je vais essayer de mettre ma photo, un peu grande mais je n'en ai pas d'autre, je ne vous dis pas qui sont ces personnes pour ne pas vous influencer :
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29-05-2021, 08:15 AM
Premier duo,
- Je… je l’ai tué, Toby, je l’ai tué… - Calme-toi, Jonas’’ a-t-il murmuré, les mains posées sur mes épaules nues, en fixant le corps qui flotte dans la piscine. Pas que sur mes épaules, d’ailleurs, à part ce seul ridicule jockstrap que Martin m’a autorisé tout le week-end, je ne porte rien. Je n’ai même pas pensé à m’habiller, quand j’ai réalisé, j’ai attrapé mon portable et j’ai appelé le premier qui me vienne à l’esprit, le seul dont j’imagine qu’il pourrait encore m’aider. Malgré que je le mérite tellement peu… - Qu’est-ce qui s’est passé ? - Il est devenu fou. - Ouais, bon, 'devenu', faut le dire vite, il avait de solides prédispositions, hein ! Ce n’est pas comme si je ne t’avais pas prévenu, avoue. Enfin, soit, raconte. Pas faux, pas faux… Quand j’avais quitté Tobias, j’avais pris ses récriminations pour de la rancœur envers le garçon de la moitié de son âge auquel j’avais choisi d’offrir mon corps, pour un plaisir sublimé, du moins au début, avant que je réalise la dépendance de Martin à certaines substances. - Deux jours de rêve", il a dit,"‘à m’aimer au-delà de ce que j’avais connu"… un cauchemar, en fait. J’aurais dû m’en apercevoir dès hier matin, il était agité, le regard halluciné… J’était à peine arrivé qu’il m’a frappé et forcé à me déshabiller, et j’ai été entravé jusqu’il y a une heure, son idée tordue du shibari, les menottes accrochées à la structure du lit, le collier de chien avec la laisse… - Tous les clichés du bondage, du mauvais porn, à la limite du snuff-movie" m’a-t-il murmuré à l’oreille en faisant lentement glisser ses mains vers mes pectoraux, alors que je commençais à me demander si la situation ne commençait pas un peu à l’exciter. - J’imagine qu’il avait déjà pris de la meth' vendredi soir, puis toute la journée d’hier et cette nuit, il a descendu des cachets de MDMA avec de l’alcool, il m’a… quatre fois, il m’a violé ! - Hmmm… - Quoi ? - Rien, je ne le défends pas, c’est juste que tu m’as assez reproché de ne pas pouvoir te faire l’amour aussi souvent pendant nos week-ends, je dis ça, je ne dis rien, mais dans le genre avide… - Mais ça n’a rien à voir ! Il m’a forcé, je te dis ! Quand il m’a libéré ce matin, j’ai nettoyé du sang sur mes cuisses… mon sang, Toby ! Le gant de toilette est dans la douche. - OK, mettons que je n’ai rien dit, j’essaie juste de cadrer les événements… Mais comment s’est-il retrouvé dans la piscine ? - Toujours ses jeux à la con, il… a parlé d’asphyxie érotique, mais en passant un niveau, en me baisant avec la tête sous l’eau… Je me suis vu mourir, je te jure ! Alors, je l’ai retourné, j’avais la haine… Et avant que je réalise, il ne bougeait plus. Mais c’était un accident, je n’ai pas voulu ça, jamais ! - Soit, oui… Raisonnons avec logique, quelqu’un sait que tu étais ici ? - Non, j’ai dit à mes parents que je ne rentrais pas cette semaine pour bosser sur mon mémoire de fin d’études. - Bien. La noyade pourra s’expliquer, la police retrouvera l’alcool et l’extasy dans son organisme, un malheureux accident… Il faudra seulement effacer les traces de ton séjour ici. - Les tr… ? - Jonas, les menottes, les cordes, tout ce que tu as pu toucher, récupère-les et rhabille-toi. Je fais le tour du chalet pour repérer ce qui pourrait te relier à lui, allez, va ! Une fois rentré chez lui, Tobias m’a préparé un en-cas et un mug de thé. - Je… pourrais être ton alibi… il faudra juste coordonner nos histoires, alors tu es ici depuis hier matin, nous avons passé toute la journée ensemble et nous avons fait l’amour hier soir, puis… - Il faudrait tellement entrer dans les détails, ou tu glisses un petit fantasme, là ? - C’est juste histoire d’être crédible, tu as passé la nuit chez moi, ce n’est pas pour que je continue à corriger tes compos… puis, sans parler de fantasme, ton corps m’a manqué, Jonas. Mais aussi, mon mensonge aura un prix, sinon, je pourrais revenir sur ma déclaration, si tu vois... - Mais tu serais complice ! Puis les preuves ont disparu, là. - J’ai été ton prof, presque un mentor, j’aurai voulu t’empêcher de gâcher ta vie… Quant aux preuves, j’ai récupéré le gant de toilette chargé de ton adn et probablement du sien, il pourrait réapparaitre… A mon âge, je te demande quoi ? Vingt ans de ta vie, qu’un garçon comme toi passerait surement de manière bien moins agréable en prison. - Tu me demandes l’exclusivité, aussi ? - Je ne suis pas cruel, Jonas, je te veux une fois par semaine, sinon, si je ne peux pas assister à la… fusion, je demande un rapport complet.
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29-05-2021, 11:34 AM
Ouh !
Eh ben c'est joyeux, tout ça ! Mais je ne vois pas qui aurait pu commettre une histoire aussi primesautière...
Amitiés de Louklouk !
29-05-2021, 11:52 AM
(29-05-2021, 11:34 AM)Louklouk link a écrit :Ouh ! Oui, ce n'est pas une histoire loukloukienne... Nous attendons la tienne. (29-05-2021, 11:34 AM)Louklouk link a écrit : Jérémie ?
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02-06-2021, 11:39 AM
Deuxième duo, Opéra de Vienne, deux heures avant ma première première, Parsifal, de Richard Wagner. Je fais un stage pour découvrir les différents métiers du théâtre. Je m’efforce de rester discret et en retrait, tout le monde est tendu. Il n’y aura pas de public dans la salle, la représentation sera diffusée en direct sur Arte avec une importante audience prévue, les chanteurs étant tous exceptionnels. J’ai plutôt flashé sur Nikolay, le jeune double de Parsifal qui pourra faire ce que Jonas n’ose pas. Mais Nikolay n’est pas là et on ne peut pas l’atteindre sur son portable. Réunion de crise avec le co-metteur en scène, Evgeny, le directeur du théâtre et les autres responsables. — Nous ne pouvons plus attendre, dit le directeur, on prend un remplaçant. Cela ne devrait pas poser de problème puisque son rôle est muet. Qui pourrait le reprendre ? Je sens que je deviens soudain le centre d’attraction, tous les regards se tournent vers moi. — Lui, dit Evgeny en me désignant. — Moi ? fais-je, étonné. — Tu m’as dit que tu avais déjà fait du théâtre. — C’était en amateur. — Tu as suivi plusieurs répétitions et tu n’avais d’yeux que pour Nikolay. On ne va pas discuter plus longtemps. Va dans sa loge, Tatiana regardera pour le costume, vous avez la même taille. Dans un étant second, je suis la costumière jusqu’à la loge. Elle me demande : — Tu as mis un boxer noir ? — Non, j’ai un slip vert. — Ça ne va pas, tu dois changer. Tiens, voici celui de Nikolay, ne t’inquiète pas, on l’a lavé depuis la dernière répétition. Je prends le sous-vêtement, cela me fait une drôle d’impression de toucher celui d’un autre. J’hésite à me déshabiller. — Tu veux que je sorte ? me demande la costumière. — Euh, non. J’enlève tous mes habits et je mets le boxer. Tatiana regarde ma bite peu discrètement, je n’ose pas lui demander si celle de Nikolay est plus grosse, elle ne l’a peut-être jamais vue. Elle me tend un peignoir puis va chercher la maquilleuse. Je passe ensuite le costume, il me va bien après quelques petites retouches. Je me rends sur le plateau pour les dernières mises au point. Evgeny me donnera des conseils entre les scènes et m’en rappellera le déroulement. Début du spectacle, mon cœur bat la chamade, je me calme, absorbé par mon rôle. Le premier acte me paraît très court bien qu’il dure une heure et demie, je termine torse nu. Long entracte, je suis inquiet du jugement de ma performance, tout le monde me dit que c’était parfait, ils sont trop bons. Deuxième acte, plus érotique. Les filles-fleurs me déshabillent, je me retrouve en boxer noir alors que Jonas me regarde d’un air dubitatif. Je descends de l’estrade et j’enlève mon sous-vêtement. Normalement je dois mettre un slip blanc, le dos tourné au public qui ne voit que mes fesses. Je réalise que j’ai oublié de prendre le slip. Le spectacle doit continuer, je remonte sur l’estrade en passant devant un cadreur qui me filme de face. Une des filles-fleurs me tend le slip avec un sourire. Je le remets tant bien que mal, en espérant que le réalisateur aura détourné pudiquement ses caméras. Je termine l’acte à nouveau torse nu. Deuxième entracte, j’ose à peine sortir du plateau. Toute l’équipe est hilare, puis Jonas me réconforte en me disant qu’il n’aurait jamais osé le faire. Je bois de l’eau lorsque Nikolay vient vers moi. — Je suis désolé, me dit-il, j’étais bloqué sur l’autoroute, un carambolage monstre, et un camion avait percuté l’antenne du réseau mobile au bord de la route. — Cela peut arriver. J’espère que je n’ai pas été trop mauvais. — Je n’ai vu que la fin du deuxième acte sur un écran, il me semble que tu as un peu improvisé. — J’ai oublié le slip. J’espère que le réalisateur ne m’a pas montré de face. — Si, le monde entier a vu ta bite. La honte, même ma mère regarde la retransmission. — Allons, me dit Nikolay, le ridicule ne tue pas. Et tu as une belle bite, cela aurait été dommage de la cacher. — Tu dis ça pour me consoler. — Cela me pose un problème : lors de la prochaine série de représentations avec du public je devrai faire comme toi, sinon les gays amateurs d’opéra seront déçus. — Et cela te pose un problème de jouer nu ? — Oui, ma bite est plus petite que la tienne.
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à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr) La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr) Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr) -La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
02-06-2021, 03:46 PM
Jamais de vert en scène, mm pas pour un boxer, comme au théâtre, logique… Après, normalement, personne ne le verrait, sauf si le metteur en scène exige la nudité pour satisfaire toutes les catégories de public, le fan service s’invite décidément dans toutes les activités ! Et là, je réalise que perso je connais plus de gays que d’amateurs d’opéra, mais aucun qui cumule les deux, pourtant il doit statistiquement y en avoir, déjà Lange, on dirait
Sinon, question candide, qui est le mec torse nu ? 8)
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
02-06-2021, 04:38 PM
(02-06-2021, 03:46 PM)lelivredejeremie link a écrit :Sinon, question candide, qui est le mec torse nu ? 8) Je ne vais pas révéler si c’est moi qui ai écrit le texte, mais comme j’ai mis la photo je peux dire que le mec torse nu s’appelle Nikolay Sidorenko, c’est un acteur russe qui vit en Allemagne. Le mec barbu est Jonas Kaufmann que tous les amateurs d’opéra connaissent, gays ou pas.
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02-06-2021, 09:42 PM
Révèle rien ! Tout le monde sait que t'aimes Wagner, Lange !
Quant à Jonas Kaufmann, je ne l'avais pas reconnu... Et pis moi, c'est Nicolaï Gedda (1925-2017), tu comprends...
Amitiés de Louklouk !
02-06-2021, 11:03 PM
Il n'y a pas grand chose à confirmer :
(02-06-2021, 04:38 PM)Lange128 link a écrit :... je peux dire que le mec torse nu s’appelle Nikolay SidorenkoMerci ! Belle bête, un peu brut de fonderie, comme svt les Slaves, ça peut plaire :-*
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
06-06-2021, 05:21 PM
Troisième duo,
Il avait besoin d'argent, le jeune David, et son ami Florent avait fini par le décider à aller se faire rémunérer chez un sien ami, un type ni beau ni moche à la quarantaine encore plaisante... Et friqué ! C'était un écrivain qui avait son petit succès... et Florent, dont cet homme avait été le professeur au lycée, avait bien vendu le physique de son impécunieux ami. Précisons ici que ces jeunes gens étaient fort intimes, en termes d'amitié, mais qu'il n'y avait jamais rien eu d'autre entre eux : ils ne s'étaient même jamais vus à poil. David était arrivé ce samedi matin vers dix heures, seul. C'est qu'il se souciait peu de se faire niquer devant son meilleur ami ! Florent d'ailleurs avait décidé dès le début qu'il n'y serait pas. Il avait été l'amant de Jean-Pierre, et parfois encore... Ce qui lui avait avait donné l'idée de cette transaction était que le jeune David se vantait depuis toujours d'être super bien équipé. Et se disait actif-passif. Bref, ce qu'il fallait pour plaire en société... Or donc, Jean-Pierre lui avait offert le champagne, après l'avoir dénudé. Et les choses n'avaient pas tardé : cet homme était charmant, et soucieux du bien-être de son hôte, fût-il tarifé. Il avait donc baisé David avec élégance, puis en avait exigé la réciproque... mais là « avec sauvagerie » ! Ce n'était pas trop dans le tempérament de David, ça, m'enfin... Le tout s'était fait près de la piscine de cette somptueuse villa, Et là, le nommé Jean-Pierre posait les mains sur le épaules de David, pour lui parler affaires : si ce garçon acceptait de rencontrer d'autres hommes, il n'aurait pas à se plaindre des revenus y afférents... — J'ai quatre amis, tous un peu plus jeunes que moi... et mieux foutus... qui auraient plaisir à avoir commerce avec toi... dans les deux sens du terme ! David fit une drôle de tête, ce qui fit sourire Jean-Pierre. Qui précisa : — Ils ont la classe absolue, tous les quatre, et ne seront pas chiens. Bien sûr, tu es libre. D'ailleurs, si tu ne veux pas d'eux, je suis disposé à resigner avec toi. L'homme avait mis une chemise, à cause de sa peau craignant le soleil ; il prit la main de David pour se la poser sur la queue, bel objet en vérité. Il baratina encore un peu le jeune homme, qui finit par accepter ; David décida même qu'il prendrait tous les mecs dans la journée. — T'as le moral, toi ! fit Jean-Pierre, hilare. Tu ne le regretteras pas, je te le promets. Bon ! Je les appelle, et on se champagnise ? Ainsi fut fait. Le premier de ces Messieurs parut dans la demi-heure : un grand brun velu et racé, qui fit l'amour à David avec classe, comme annoncé. Le second, châtain, parut une bonne heure plus tard, et le troisième, superbe rouquin, dans la foulée : il fut donc décidé que David serait pris en sandwich, avec changement de cavaliers... Et David dut gicler sur les museaux réunis de ses trois nouveaux clients. Le champagne aidant, il se trouvait en une aimable ébriété, et il eut des compliments sur son sourire... Drôle de situation que se retrouver sur une terrasse ensoleillée et entouré de quatre beaux mecs, certes d'une vingtaine d'années plus âgés que lui, mais si... charmants ! — J'en reprendrais bien p'tit coup, moi, fit enfin le brun. — Hep ! Rappelez-vous que David se doit encore à Frédéric ! fit le patron. — David ! Tu me louerais pas ton adorable petit trou, avant que la star arrive ? David regarda Jean-Pierre, qui le laissa libre de décider ; au fond, pourquoi pas ? Il était bien alésé, le David, alors, se faire un peu de tune supplémentaire... Du coup, les deux autres demandèrent si... Et David accepta : fructueuse journée ! Se faire tirer par de beaux mecs super bien élevés... et qui ne lésinaient pas sur les écus ! Et il osa : — Pourquoi « la star » ? — Ah ! Eh ben, répondit le brun, nous on n'est pas trop mal... mais Frédéric, lui, il est dix fois plus beau que nous quatre réunis ! — Hein ? — Tu verras, gentil garçon. Et t'auras p'têt' même envie de lui donner ton fric, tellement il est beau ! Et David de se faire tirer, en toute douceur, par les trois mecs, en alternance. Et Jean-Pierre finalement en reprit une dose aussi ; il avait bien précisé qu'il ne fallait pas « détruire » cet adorable petit cul avant l'arrivée de Frédéric. Lequel s'annonça vers sept heures ; Jean-Pierre avait déjà mis en place l'apéro dînatoire. Ce qu'on n'avait pas dit à David était que Frédéric était noir. Il se déloqua immédiatement, et David comprit tout de suite les propos qu'on lui avait tenus : si le mot « sublime » a un sens, il s'appliquait là ; sous ses yeux. Le martiniquais Frédéric était... à tomber par terre. Et lorsque son regard se planta en celui de David, accompagné d'un sourire à damner les anges... il entendit le brun lui souffler : — Tu vois ce que je vois ? Frédéric tendit la main à David, qui se leva, pour être aussitôt enlacé en les bras fins et musclés de « la star ». David n'avait jamais fait l'amour avec un noir. Il eut un long frémissement... surtout lorsque le mec prit ses petites fesses en mains. La suite fut des plus conventionnelles : Frédéric lui fit des choses charmantes mais rien d'extraordinaire : du parfait, seulement. Et les autres regardèrent en se tripotant gentiment... entre deux gorgées de champagne. Mais ces Messieurs avaient affaire en ville, qui finirent par quitter cet endroit de délices... non sans avoir abondamment alimenté la cagnotte de David, et au-delà même de ses espérances les plus flatteuses. On resta donc en compagnie du bel Antillais, dont la conversation était à la fois sérieuse et primesautière. Et le physique, donc ! Frédéric fit parler David. Et Jean-Pierre s'y mit aussi. Frédéric déclara enfin : — J'espère que cette journée ne t'aura pas été trop... difficile. Un garçon comme toi ne devrait pas avoir à faire ça. Mais... si tu en as encore envie... je suis prêt à te le demander encore... à ton tarif, évidemment. — Euh... Pas tout de suite, alors... — Ah ! Ah ! Bien sûr ! À ton rythme ! Ah ! Ah ! Qu'il était beau, quand il riait, Frédéric ! On parla de tout, et du reste. Certes, ces Messieurs avaient une autre culture que David, m'enfin, il comprenait presque tout. Et puis il refit l'amour avec Frédéric... comme avec Jean-Pierre. Les deux ensemble, avec sandwich à la clé... Enfin, Frédéric lui proposa : — Je te ramène chez toi ? David accepta, qui était venu en tramway. Dans la belle auto de Frédéric, ce mec posa la main sur la cuisse de David... qui posa la main sur cette main -là. — T'es étonnant, gentil garçon, dit Frédéric. J'ai encore envie de toi. Est-ce que... tu me vendrais encore un peu de ton temps, et un peu de ta beauté ? — Oui, Frédéric. — On va chez moi, alors. Je suis seul : mon fils, qui a ton âge, est chez sa mère — nous sommes divorcés. Tu m'as fait du bien, garçon, et... ça me fait plaisir de t'aider. — Merci, Frédéric. Le moment fut de la plus parfaite tendresse. Non seulement Frédéric était d'une incomparable beauté, mais... c'était aussi la crème des hommes. Où les choses furent de la plus parfaite perfection, oui-da ! David décréta même : — Plus d'argent à partir de minuit... — Ce qui ne m'empêche pas de te faire des cadeaux... Un long rêve, que cette nuit-là ! Au matin, David alla à la salle de bains. Pour tomber sur un garçon noir et aussi nu que lui. — T'es qui, toi ? fit le garçon, l'air un peu rogue. — Un ami de Frédéric. — Je vois. — Toi ? — Quentin. Son fils, donc. — Ne m'en veuille pas, s'te plaît ! Je reviendrai plus ! — Mon père vit sa vie.Moi, c'est Quentin, fit le minet en tendant la main à David, qui la prit. — David. — J'allais me doucher... Je suppose que le vieux s'est rendormi ?... Tu viens ? David suivit donc le fin minet en la douche italienne. Il venait de baiser Monsieur, aussi était-il moins en forme que le joli, très joli Quentin, qui bandait à toute force : oh, le bel engin qu'iceluy ! Sans doute ce jeune homme n'avait-il pas la beauté rayonnante de son père, mais... combien son sourire était touchant ! David osa enfin : — T'es vachement beau, Quentin. — Plus que mon vieux ? — Chut ! Il y eut un moment d'indécision, alors, et Quentin susurra : — J'peux te prendre dans mes bras ? Ce fut David qui enlaça ce jeune homme. La suite vous est devinable : ces jeunes gens ne tardèrent pas à s'embrasser vivement. Avant que David suçât le beau vit de Quentin. Exactement la réplique de celui de son père, en un peu plus petit cependant. Ce fut au moment où il prenait dans le gosier l'ardent plaisir du garçon qu'on entendit : — Oh, pardon ! La voix de Papa, donc, qui se retira. — J't'ai cassé la baraque, là... souffla Quentin. — Quentin... Tu m'as rien cassé du tout... si tu acceptes qu'on fasse connaissance. — Peut-être... que c'est déjà commencé ? On se sourit un peu bêtement, en baissant les yeux. Ces jeunes gens s'entresavonnèrent alors avec toute la douceur du monde. — Faut que j'aille parler à ton père, dit enfin David. — Pas trop longtemps, hein ? — Je viens prendre mes affaires... dit David à Frédéric. — Si j'ai bien compris... t'as une petite romance en cours, non ? — Je sais pas encore. — Si je double ton tarif... tu m'accepterais en toi ? — Oh ! Frédéric ! — Oui, j'ai honte, mais... avant que tu deviennes mon gendre... David gambergea un petit temps... avant d'accepter. Lorsqu’il retrouva Quentin, il n'eut pas besoins de mentir : — Je vous ai matés... comme hier soir, d'ailleurs. Qu'est-ce que tu me dis ? — Je suis dans une merde financière pas croyable. Maintenant, avec les derniers événements... je peux voir venir, et j'ai plus ni envie ni besoin de recommencer.. surtout si je veux plaire à un gentil garçon. Nommé Quentin. — Mais... mon père... — C'est à vous que je voudrais plaire, Monsieur, pas à votre père. Cet homme est adorable, mais vous... vous êtes un ange. — David ? fit Quentin, bien incertain. — Je ne te mens pas, Quentin. Je vous donne à imaginer le moment d'émotion qui s'abattit dans la carrée ! Le jeune et joli Quentin fondit en larmes. Vite récupéré par un David qui lécha tout ce qu'il y avait à lécher, larmes en premier ! — Tu crois qu'on peut, tous les deux ? souffla Quentin. — Ce qu'on voudra, on le pourra, mon p 'tit ange ! — Tu me prives grandement, p'tit con ! fit Frédéric en un demi sourire, quelques jours plus tard. — Combien je t’aurais aimé... si j'avais eu ton âge ! — Ne sois pas insultant. — Je ne veux pas l'être : t'es sublime, et tu le sais bien ! Mais... je suis amoureux. Et c'est à ton enfant que j'ai donné mon âme (ciel : un alexandrin !). — Et moi, je suis un vieux con. — Eh oui ! Mais je pense que tu as encore de l'avenir... tellement t'es beau et gentil ! — Merci ! — Tu m'accepteras comme gendre... si Quentin veut bien de moi ? Bien sûr, que David fut agréé comme gendre ! Mais... il y eut dans les jours qui suivirent une drôle d'embrouille, et totalement inattendue : — Comme il a de la chance, ce Quentin-là ! fit Florent, mi-figue, mi-raisin. — Tu dis quoi, là ? — Tu as compris, je crois. Oui, David avait compris. Florent ! Comment avait-il pu ne pas voir Florent, Florent ! Mais les choses, aujourd'hui, étaient scellées. Ô combien il en souffrit, David ! Il s'en ouvrit à Quentin, qui lui offrit de lui rendre sa liberté, ce que David refusa. Et puis... il y eut une soirée, chez Quentin — en l'absence de son père — où une petite vingtaine de loupiots étaient conviés. On n'avait pensé à rien, sauf à changer les idées du pauvre Florent. Et ça marcha mieux qu'imaginé ! Car ce jeune homme repartit sous le bras d'un joli minet blond et de bonne famille, et aux dernières nouvelles, ça se passe mieux que bien, c't'affaire ! Papa Frédéric, lui, regarde toujours David avec une réelle admiration... d'où est venue l'autorisation donnée par Quentin à David de passer par-ci, par-là, un moment près de lui... Quand on vous dit que tout n'est pas si triste que ça, en ce bas monde !...
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06-06-2021, 09:39 PM
Dans les récits de Louklouk, il y a tjs ce truc de bienveillance entre les personnages En plus, celui-ci réunit deux petits fantasmes persos, celui (bizarre car pas justifié) du sexe tarifé et celui plus banal du grand Black, que demande le peuple ? 8)
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.
09-06-2021, 11:56 AM
Quatrième duo,
Il ne me reste plus que la dernière épreuve à franchir, mais ce n'est pas la moindre. On m'y prépare depuis que j'ai cinq ans, âge où je fus enlevé à ma famille par des moines de l'ordre des Guerriers Pratiquants. Cet ordre est craint et redouté, même par Rome. Il y a très peu de monastères mais tous sont riches et nulle personne n'a le droit d'y entrer à part les moines, les initiés et quelques hauts seigneurs. De cinq à douze ans mon éducation a été très diverse et variée. Le sport au sens large, le maniement d'armes diverses et les études se complètent. La discipline est stricte. Le plupart du temps on vit nu. Seuls les professeurs et les moines sont habillés. A partir de douze ans, on passe chez les grands. les apprentissages s’intensifient. Au fil du temps, l'un d'entre nous disparaît sans que nul ne sache pourquoi et sans âge précis puisque ça s’échelonne de douze et quelque à quatorze ans. Depuis quelques temps mes nuits était agitées et un matin je me suis réveillé mouillé au niveau du sexe. La honte que j’allais me payer quand le frère dont nous dépendons verrait ça. Mais il ne se passa rien. Pourtant la tache était évidente. Sur un claquement de mains, on devait quitter nos chemises de nuit et se mettre en rang pour rejoindre le réfectoire. La journée s’écoula et le soir, à ma grande surprise, mes draps étaient propres. Ils avaient été changés dans la journée. Ce n'est que deux jours plus tard que je me réveillais mouillé une fois de plus. Mais cette fois je réussis à toucher ce que je prenais pour de l’urine. C'était visqueux et gluant. Je reniflais mes doigts et ça ne sentait rien. Après le petit-déjeuner, au lieu d'aller avec les autres, on me conduisit chez le père supérieur qui m'avertit que je partais pour un autre monastère de suite. Je n'eus pas mon mot à dire et parti sans au revoir. Après trois jours de trajet, avec mon accompagnateur, j'arrivais devant un monastère tout aussi austère que celui que je venais de quitter. Les deux premiers jours, je restais enfermé dans ma cellule la plupart du temps, sauf pour des examens autant physiques que pour juger mon habileté aux armes et des tests pour savoir où j'en étais de mes connaissances. Le troisième jour un moine entra accompagné d'un garçon, très beau et un peu plus âgé que moi. Il devait avoir un ou deux ans de plus. Comme moi il était nu. Le moine lui dit : — Tu sais ce que tu as à faire, alors exécution. Le garçon s'approcha de moi en souriant. — N'aies pas peur, je vais t'apprendre quelque chose que tu vas beaucoup aimer. Il prit mon sexe en main, le décalotta, fit couler de la salive dessus et commença à faire des vas et viens avec. Très rapidement mon sexe durcit et j'étais parcouru de frissons de plaisir. Ça me rappelait quelque chose mais je ne savais pas encore quoi. Il me caressa aussi les couilles et très vite je ne sus plus ce qu'il m'arrivait et quelques gouttes d’un liquide blanchâtre sortirent de mon sexe en me procurant un intense plaisir. Le moine renvoya le garçon dont le sexe pointait raide en sortant et il me conduisit dans une salle de cours où onze autres garçons de mon âge étudiaient. Et ce n'est que le soir que je pus discuter un peu avec eux. On avait tous entre douze ans et demi, pour le plus jeune et treize ans quatre mois, pour l’ainé. On était tous arrivés de la même façon, pour certains il y avait quelques semaines, jusqu’à moi seulement trois jours. Je complétai la classe et le dortoir. Un moine arriva. Il frappa dans ses mains. Tous les garçons s'allongèrent sur leur lit. Je le fis avec un temps de retard. Il frappa une nouvelle fois dans ses mains et les garçons commencèrent à jouer avec leur sexe comme me l'avait montré le garçon le matin même. Mes voisins de lit m'encouragèrent du regard en souriant et je fis comme eux. Et très vite on produisit tous quelques gouttes de sperme qu'on essuya avec le chiffon mis à notre disposition. Puis la lumière s'éteignit et on s'endormit. Le matin, au réveil le moine entra et comme la veille au soir, chacun dut se masturber – agréable mise en route. Puis la journée type commença. Petit-déjeuner, sport, douche, cours, repas, cours, sport, repas, douche, dortoir et branlette surveillée – jamais un moine ne nous toucha sexuellement, ils surveillaient de loin, c’est tout. Ce soir-là, mon voisin de lit vint me rejoindre dans mon lit dès que la lumière fut éteinte. On parla à voix très basse. Il venait d'un autre monastère que le mien mais les règles y étaient identiques. Les mois passèrent et on ne se contentait plus de nos deux branlettes obligatoires. Mon voisin m'avait fait découvrir tout un tas de choses. La branlette réciproque, les caresses et la première fois où il m'avait embrassé, je me demandais bien où il voulait en venir. C'est mon autre voisin qui m'initia à la fellation. D'autres mois passèrent encore, on était devenus des vrais pro de la branlette. On savait nous faire jouir rapidement ou très lentement. Et l'année de mes quinze ans, je fus conduit dans un autre couvent. Après une semaine d'isolement où on me testa autant physiquement qu’intellectuellement, je rejoignis ma classe. On était douze par classe, on partageait tout : le même dortoir, la même table, le même bloc sanitaire par contre, on n'était plus nus constamment. On portait une coule ou une cuculle de chanvre marron et des tongs. Dans ce monastère on n'avait cours que le matin. L'après-midi était consacré au sport. Après le repas du soir, les cours reprenaient mais ils n'étaient pas fait pour enrichir notre savoir mais nos aptitudes sexuelles. Pour se faire notre classe avait été jumelée avec une classe de terminale et chacun de nous avait son mentor. Et c'est sous la surveillance d'un moine que chaque soir on apprenait quelque chose de nouveau. D'abord les caresses avec les mains, puis les caresses avec la bouche …. c'est ainsi - qu'officiellement - j'appris ce qu'était la fellation puis plus tard, la sodomie en passif. Ce n'est pas que je n'aimais pas être passif, car mon mentor se débrouillait fort bien pour me procurer du plaisir, mais j'aurais aimé pouvoir le sodomiser aussi, seulement c'était strictement interdit par le règlement intérieur. Seuls les plus âgés pouvaient sodomiser les plus jeunes. Entre gens de la même classe il n'y avait pas de règles précises. Donc très vite certains d'entre nous, dont moi, bien sûr, on testa le côté actif de la chose. Et on se retrouva à avoir plusieurs candidats chacun. Dame nature m'avait très bien doté niveau taille de l’engin et nombreux de mes camarades de chambre aimaient passer la nuit avec moi. Chaque année, au début de l’été, on passait un examen des connaissances acquises. Et on n'obtenait pas de diplôme mais quelques traits tatoués dans notre chair. Plus notre tatouage était orné, meilleur on était. Le mien était très enluminé déjà. Mon année préférée a été celle qui correspondrait à la classe de première en France. En effet le week-end on était réunis à trois. mon élève, mon mentor et moi et, souvenez-vous, on n'avait pas le droit de sodomiser les plus vieux que nous. Je me retrouvais donc toujours entre les deux. Le pied d’enfer. Cette année-là mon tatouage s'embellit encore plus. Et quand je passais dans la dernière classe, les élèves de première se disputaient mes faveurs tout comme ceux de seconde. Là sur cette photo (c'est moi torse nu), je viens de passer mon examen final. J'attends le résultat du jury qui est partie prenante puisque que c'est à eux que je viens de faire l’amour. Derrière moi c'est un de mes professeurs qui me soutient moralement. Lui a son tatouage sur la main. Il ne quittera jamais plus le couvent. Moi je suis appelé à parcourir le monde pour y apprendre de nouvelles méthodes, de nouvelles positions, de nouvelles façons de faire l’amour. Plus vieux je deviendrai professeur à mon tour, j'irai voir les puissants et les nantis en tant que professeur émérite du conservatoire de l'amour entre hommes et je leur enseignerai mon savoir. Telle sera ma destinée si les membres du jury m'en jugent digne. J’ai bon espoir, ils ont tous puissamment joui !
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