En vacances avec ma cousine et sa meilleure amie (reprise docti)

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- C’est bon ! dit-elle enfin.


J’ouvre donc les yeux et je la regarde manger. Ou plutôt, je regarde son décolleté… Elle a enfilé à la va vite un t-shirt blanc plutôt transparent et qui laisse plus que deviner la forme des ses deux gros seins qui se baladent sans soutien-gorge. Après cette vision matinale, qui ne me laisse pas indifférent, j’abandonne Clémence qui part à son cours de cheval.Lorsque Clémence revint de sa séance d’équitation, elle avait l’air épuisée.

- C’était bien ? demandai-je
- Trop bien ! Mais c’était fatiguant, j’ai perdu l’habitude !
- Tu as l’air crevée !
- Oui ! Je vais prendre une douche, ça me fera du bien !
- Ca te dirait un petit massage après ça ? Pour te détendre !
- Ouais carrément ! Trop cool Cyril !

Clémence part à la douche. Je m’étonne moi-même de mon audace. Cette fois je vais pouvoir admirer Clémence de très près et j’ai trop hâte de sentir mes mains sur son corps ! Je me mets torse nu histoire d’être plus à l’aise et j’attends que Clem sorte de la douche. Un quart d’heure plus tard, je la vois débarquer enroulée dans une grande serviette blanche, les cheveux encore un peu humides.

- On va dans ma chambre ? suggère-t-elle.
- Je te suis.

Une fois dans la pièce, je me tourne et je lui dis :

- Je te laisse te mettre en sous-vêtements et t’allonger sur le lit.
- Ahah tu es très pro, Cyril ! dit elle avant d’ajouter quelques secondes plus tard : c’est bon !

Je me retourne et je la retrouve allongée sur le ventre, elle tourne la tête vers moi et me sourit.

- Quand tu veux, dit-elle.

Je prends place à côté d’elle sur le lit.

- Ferme les yeux et détend toi…

Pendant qu’elle ferme les yeux, moi je garde les miens grands ouverts. Elle porte des sous-vêtements turquoise. Son corps est magnifique et elle sent légèrement le savon. Je pose mes mains sur sa nuque et je commence à masser. Ca lui plait bien, je crois !

- Cyril, tu es doué ! J’ai un peu mal au dos, tu crois que tu pourrais masser par là ?
- Ta lanière de soutien-gorge… Je peux ?
- Oui, vas-y.

Alors je dégrafe doucement son soutif, comme ça il n’y a plus d’obstacle entre mes mains et son dos. Je vous avoue qu’à ce moment, je bande comme un fou. Heureusement que Clem a les yeux fermés ! Je pose mes mains à plat sur son dos et je fais des mouvements circulaires très doux. Le contact avec son corps chaud est incroyable ! Sa peau est lisse et douce. J’essaye d’insister là où je sens le plus de tension. Puis je descends vers le bas du dos pour masser la jolie cambrure de ses reins. Clémence ne parle plus : elle a l’air complètement détendue, complètement ailleurs. De temps en temps, elle pousse des petits soupirs qui m’encouragent à continuer … toujours plus bas. Volontairement, je déborde un peu sur le haut de ses fesses. Clem ne réagit pas. Mon sexe est en feu par contre, j’ai l’impression que ma braguette va exploser. Je n’arrive plus à résister devant son beau petit cul alors je pose doucement mes mains sur ses fesses. Clem ne réagit pas du tout, à ma grande surprise.

Alors je commence à lui masser les fesses comme si de rien n’était… Comment vous décrire cette sensation, ce petit cul à la fois ferme et moelleux sous mes mains. J’attrape doucement la culotte de Clémence et je commence à la faire glisser le long des ses jambes. Cette fois, je sens son corps se raidir un peu et je crois que je suis allé trop loin. Mais Clem ne dit rien et semble se détendre à nouveau. Alors je lui retire complètement sa culotte que je laisse tomber au pied du lit. A ma grande surprise, elle écarte un peu les jambes ce qui me donne une vue sur son petit trou et sur ses grandes lèvres. Je passe un doigt entre ses jambes, sur sa chatte que je caresse doucement. Puis mon doigt s’enfonce dans son antre. Je sens son vagin se contracter puis se desserrer tandis que ma belle soupire doucement. Je commence un va et vient avec moi doigt qui coulisse de mieux en mieux. Alors j’en rentre un deuxième puis un troisième. Clem s’est mise à quatre pattes pour me faciliter la tâche.


- Lèche moi maintenant… dit-elle dans un soupire.
J’attrape son cul et je commence à lui lécher la chatte de haut en bas, sur toute la longueur de sa fente. Clémence est entrain de gémir maintenant. De plus en plus fort au rythme de mes coups de langue. Soudain, elle se retourne et s’allonge sur le dos. Pour la première fois, nos regards se croisent et je lis le plaisir dans ses yeux.


- Continue ! dit-elle.


Je reprends mes caresses tandis que d’une main elle se caresse le clito et que de l’autre, elle maintient ma tête contre son intimité. Le soutien-gorge turquoise est resté collé à sa poitrine.

- Montre-moi tes seins ! dis-je.

Clem arrache le soutif et l’envoie voler à l’autre bout de la chambre. Je peux enfin voir la poitrine de Clémence ! Dans le même temps, je retire mon pantalon et mon caleçon pour libérer mon sexe.

- Elle est énorme !
- J’ai envie de toi Clem !
- On ne peut pas faire ça Cyril ! Toute à l’heure, je t’ai laissé faire parce que c’était tellement bon. Mais j’ai un mec…
- On est déjà allé tellement loin ! Je ne peux pas croire que tu n’en aies pas envie !

Clémence plonge son regard dans le mien. Sa poitrine sa soulève au rythme de sa respiration haletante.

- Tu sais quoi Cyril ? Vas-y, baise-moi ! Après, il faudra oublier. Mais pour l’instant, je veux sentir ta bite en moi !! Je ne veux pas le regretter plus tard alors baise moi comme une chienne !

En entendant ça, j’enfonce ma bite d’un seul coup dans la chatte de Clémence. Elle rentre sans encombre et je commence à faire des va-et-vient. Je la prends en missionnaire pendant plusieurs minutes. Clem se tripote les tétons et se mordille les lèvres sous l’effet du plaisir. Puis, comme elle s’approche de l’orgasme, elle passe ses mains dans mon dos pour me serrer contre elle. Soudain, je sens tout son corps se raidir et elle jouit sous mes coups de bite.

- C’était tellement bon… murmure-t-elle.
- C’est pas fini, dis-je.

Clem n’a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive que je la mets à quatre pattes et que je commence à la prendre en levrette. Je n’ai pas encore joui et je compte bien prendre mon pied moi aussi. J’ai les mains sur les hanches de Clémence et j’enfonce ma bite bien profondément en elle à chacun de mes coups de reins. Clem est ballotée dans tous les sens comme une poupée. Elle pousse un gémissement de plaisir en continu. Je sens que j’arrive à la limite de ma résistance.

- Oh Cyril ! C’est si bon !
- Si c’est la dernière fois, alors je veux pouvoir me vider en toi !
- Vas-y ! Vide-toi en moi Cyril ! Remplis-moi avec ton foutre !
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Je donne encore quelques coups de rein puis dans une explosion de plaisir, je jouis à l’intérieur de Clémence en poussant un râle. De grosses saccades sortent de mon sexe pour remplir sa chatte. Au même moment, je sens son vagin se contracter très fort.
- C’est trop bon !! Je jouis !!
Clémence pousse un grand cri. Puis nous nous effondrons tous les deux sur le lit, épuisés.

Je me retire d’elle. Nous reprenons peu à peu notre souffle et nos esprits.

- Merci Cyril. C’était parfait… Tu sais, je…
- Ne dis rien, dis-je en lui coupant la parole.

Alors je me mets à l’embrasser. Elle me rend d’abord mon baiser timidement puis avec fougue. Je joue avec ses tétons qui sont encore bien durs et gonflés, je les prends en bouche. Depuis le temps que je rêvais de les voir, j’en profite. Nous allons à la douche que nous prenons ensemble. J’admire une dernière fois son corps dans son ensemble. Parce que j’ai compris quelque chose : elle a choisi son mec et si je reste comme ça, moi je risque de tomber amoureux. Je ne vais pas pouvoir rester dans cette coloc.

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Petit hors série pour la suite , on revient sur Claire avant Cyril et c'est déjà chaud

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C’était quelques jours avant les résultats du bac. J’étais chez mon amie Margot avec qui nous essayions de passer le temps sans trop penser à l’échéance qui arrivait. Le stress se faisait quand même pas mal sentir ! Je suis Claire : je pourrais me présenter en détails mais je crois que vous me connaissez déjà ! Nous étions dans la chambre de Margot, installés à son bureau et nous cherchions sur Internet des astuces pour combattre le stress !

- Regarde Claire ! Ici ils disent qu’une tisane avec du miel ça apaise tout de suite !
- Laisse tomber les recettes de grand-mère ! Sur ce site, ils disent que se promener nu chez soi diminue l’anxiété !
- Roh, n’importe quoi !
- Moi j’ai bien envie d’essayer cette technique là !
- Pourquoi pas… De toute façon je n’ai pas de tisane au placard…

Margot et moi nous commençons à nous déshabiller. J’enlève mon mini-short et elle son jeans, nos enlevons nos débardeurs. Je dégrafe mon soutif pour libérer ma poitrine et Margot fait de même. Enfin, je descends ma culotte. Margot fait mine d’hésiter et de vouloir garder la sienne.

- Sur Internet, ils disent qu’il faut être complètement nue. Si tu gardes ta culotte ça ne marchera pas !
- Ahah Claire, si tu insistes, rigole-t-elle en s’exécutant.

Nous voilà donc complètement à poil, deux jolies nanas face à face. Je crois que c’est le bon moment pour vous décrire Margot. Elle fait à peu près ma taille, peut-être un peu plus. Elle a des yeux noisettes et une magnifique chevelure aux reflets roux. Des tâches de rousseurs partout sur le visage. Détails rock’n’roll, elle a un tatouage en forme de rose sur l’épaule droite. Ses seins sont plutôt petits, à vue de nez je dirais du 85B mais ils ont une jolie forme et elle a un piercing sur son téton gauche. C’est vraiment une jolie fille, la preuve, elle a presque autant de succès que moi avec les garçons !

Nous nous regardons l’une et l’autre. Et le spectacle n’est pas pour nous déplaire. Mais vous avez peut-être compris que ce n’est pas la première fois que nous nous voyons dans le plus simple appareil…

- Tu es vraiment bonne Claire !
- Oh merci ma belle ! Mais toi aussi !
- J’aimerais tellement avoir tes seins… Les miens sont petits…
- Mais non ! D’ailleurs Florient (son mec) les trouve très bien tes seins !
- C’est vrai qu’il les aime bien ! Mais si il voyait les tiens je suis sur qu’il me quitterait tout de suite pour toi !
- Je suis sur que non ! Et puis moi j’ai déjà un copain hein !

Bon, et puis d’abord Florient a déjà vu mes seins et il est bien resté avec Margot au final. Mais je ne me sens pas obligée de lui dire ça : pas sur que ça la consolerait.

- Bon, si on mettait la méthode en pratique ! Faisons quelques pas dans l’appartement !

Sur ce, nous faisons un petit tour en marchant côte à côte. Nos poitrines font des bonds à chaque pas, la sensation est bizarre mais agréable. Je remarque que les tétons de Margot pointent légèrement. Moi aussi je commence à être excitée à force de voir sa jolie silhouette à côté de moi.
De retour à la chambre :

- Tu te sens moins stressée maintenant ?
- Ahah pas vraiment en fait !

Je m’assieds sur le bord du lit.

- Viens par là, dis-je, je connais une méthode qui marche à coups surs pour libérer le stress.

Margot me sourit et s’installe sur mes genoux. Je passe mes mains autour d’elle et je lui attrape les seins tout en lui déposant de petits bisous dans le coup. Je sens son souffle s’accélérer et ses tétons se gonfler d’excitation.

- Tu as les tétons tous durs Margot !
- Les tiens aussi ! Je les sens dans mon dos !
Je suis toute excitée moi aussi, il y a comme une douce chaleur dans mon bas ventre.
- Claire, pourquoi il faut toujours que ça finisse comme ça quand on est toutes les deux chez moi ?
- Je sais pas… Peut-être parce qu’on aime ça…

Je la sers fort contre moi pour qu’elle puisse bien sentir mes tétons contre son dos. Puis ma main droite descend le long de son ventre et atteint sa chatte.

- Tu es toute mouillée ma chérie.
- Je suis sûre que toi aussi.
- Tu pourras vérifier ça toute à l’heure ! dis-je en lui rentrant un doigt dans la chatte.
- Oh Claire. C’est bon ! Mets un deuxième doigt tout de suite !

Je m’exécute et je commence à doigter Margot qui se met à gémir et à remuer sur mes genoux. Je peux sentir sa mouille couler le long de mes cuisses. Après quelques minutes, elle jouit en poussant un petit cri aigu.

- Toujours aussi sensible !
- Toujours aussi douée. Merci Claire. Laisse-moi te faire du bien maintenant. Allonge-toi sur le lit.

C’est à mon tour de profiter maintenant ! Je m’installe confortablement sur le lit, la tête calée par un gros oreiller. J’écarte bien les cuisses et Margot commence à titiller mon clito avec sa langue. Elle est experte pour ça, je sens que je vais prendre mon pied.

- Mmmmh…

Margot passe sa langue sur toute la surface de mes lèvres intimes de haut en bas, en s’attardant sur mon clito. Je ferme les yeux sous l’effet du plaisir.

- Je sens que ça vient Margot !

Je me redresse et avec mes mains, j’appuie la tête de mon aime sur ma chatte pour qu’elle continue. Elle accélère et va de plus en plus vite avec ses coups de langue.

- Aaahhh !!

Je m’effondre sur le lit, épuisée par l’orgasme tandis que qu’un torrent de mouille s’écoule de ma chatte. Margot s’approche de moi à 4 pattes et s’allonge sur moi, seins contre seins. Nous nous tenons enlacées et nous nous embrassons.

- Qu’est ce que nos mecs diraient si ils nous voyaient ? demande Margot
amusée.
- Oh je pense que le mien il aimerait le spectacle.
- Oui… Le mien aussi finalement… Ahah !
- Le mien, il aura le droit de se plaindre le jour où il me léchera aussi bien que toi !
- Tu as encore mouillé mes draps Claire ! Ahah !
- Désolée ma belle ! Mais tu fais ça tellement bien !
- Ahah merci ! Je suis heureuse d’avoir une amie comme toi ! Et je ne suis plus du tout stressée maintenant !
- Je peux te poser une question ?
- Vas-y ?
- Tu es satisfaite avec Florient ? Sexuellement ?
- Bah écoute oui, plutôt ! SI tu veux une confidence, il en a vraiment une très grosse ! (Ca je confirme. Mais là encore, je crois que ce n’est pas la peine de faire la remarque à haute voix !). Pourquoi tu demandes ça ? Ca ne se passe pas bien avec ton mec ?
- Si si ça va plutôt bien ! C’est juste que… j’ai envie de changement tu vois… Tu as déjà pensé à le faire avec un inconnu ?
- Oui… Enfin c’est un fantasme quoi…
- Pour moi aussi. J’ai vraiment envie d’essayer au moins une fois. Une fois avec un inconnu, n’importe où, n’importe quand. Pour casser la routine.
- Si on relevait le défi ensemble ?
- C'est-à-dire ?
- Comme tu viens de dire : une fois avec un inconnu, n’importe où, n’importe quand. Et la première qui y arrive gagne.
- Cochonne ! dis-je avec un sourire coquin
- Eh c’est ton idée à la base ! Je mets 3 conditions : il faut le faire avec un inconnu qui nous plait, pas avec n’importe qui. Il faut y arriver avant le jour des résultats du Bac. Et interdiction de revoir le mec après.
- Je relève le défi Margot !

Hors série (2/4)
Le lendemain, je passe la journée avec Marianne. Aucun risque que je lui raconte ce qui s’est passé hier, ni le défi que je me suis lancé. Ni même de parler de sexe, elle est beaucoup trop timide pour ça. Mais je suis contente d’avoir une amie comme elle, avec qui on peut parler de tout le reste. Elle est toujours de bon conseil. On n’habite pas très loin l’une de l’autre mais je compte bien l’inviter à passer quelques temps à la maison cet été.424

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Bref, aujourd’hui j’ai pas eu le temps de repenser au défit. Le lendemain, c’est Samedi : week-end. Rien de prévu alors je réfléchis à comment je vais pouvoir m’y prendre. En soit, chauffer un mec c’est pas difficile, j’ai plutôt confiance en mes atouts. Ce qui va peut-être être plus dur c’est d’en trouver un qui soit potable. Il faut qu’il soit au moins aussi bien que mon mec sinon c’est pas la peine. Et puis j’ai pas envie que ça se passe chez moi… je veux pas que le mec ait mon adresse. Dur de trouver un lieu. J’ai plusieurs idée mais aucune de vraiment satisfaisante.
Le soir même vers 21h00, alors que je suis en nuisette sur mon lit, je reçois un appel de Margot. Je décroche mon téléphone.

- Allo ?
- Allo ! C’est fait Claire ! J’ai gagné !

Sa voix est saccadée et haletante.

- Quoi ? Qu’est ce qui est fait ? Tu veux dire…
- Oui ça y est, le défi !
- Mais quand ?
- Juste maintenant. A l’instant !!
- Quoi ? Tu es essoufflée… tu veux dire que juste à l’instant tu étais…
- Oui ! J’ai appelé dès que j’ai pu !
- Oh Margot ! Est-ce que c’était bien au moins ??
- Oui, c’était super !
- Raconte-moi tout !
- Depuis le début ?
- Oui !!

Je suis toute excitée. Je me lève jusqu’à la porte de ma chambre que je
verrouille à clé. Puis je retire ma nuisette et c’est entièrement nue que je me rallonge sur le lit.

- Je t’écoute Margot ! N’oublie aucun détail !
- Bon alors… Tu sais hier et aujourd’hui je me suis demandée comment faire pour compléter notre petit défi. Et c’était dur tu vois, j’avais pas trop de solutions. Mes parents sont partis ce week-end alors j’ai la maison pour moi. Donc je me suis dit que ça serait l’occasion. Mais je savais pas où trouver le garçon… Et ce soir, je me suis fait livrer une pizza.
- Me dis pas que…
- Si si ! Le livreur avait l’air d’avoir la vingtaine. Surement un étudiant…
- Il s’appelle comment ?
- Je sais même pas… Mais il était beau mec tu vois. Blond, il avait l’air musclé. Dès que je l’ai vu, je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais ! Je lui ai demandé si ça le dérangerait d’apporter la pizza jusque dans la cuisine. Il a accepté alors j’ai fermé la porte de l’appart’ et je l’ai amené à la cuisine.

Rusée la Margot ! En même temps qu’elle me raconte son histoire, ma main est descendu jusqu’à mon bas ventre et je caresse doucement mes grandes lèvres et mon clito…

- Je lui ai dit « attendez moi ici, je vais chercher de quoi vous régler ». Je suis allé cherche mon porte-monnaie dans ma chambre et j’en ai profité pour vite enlever mon soutif et dégrafer deux boutons de mon chemisier. Je te laisse imaginer le décolleté que ça me faisait ! Je suis revenue, j’ai payé la pizza. « Merci Mademoiselle » il a dit. Il ne regardait que mes seins et il s’est mis à bander comme un âne. A ce moment là, j’étais sûre de réussir tu vois ! Je lui ai dit « j’aimerais te donner un pourboire, que dirais-tu d’un pourboire en nature ? ». Là j’ai attrapé sa main et je l’ai glissé sous mon chemisier. Au début il a un peu hésité, pas longtemps hein, et puis il s’est mis à me pelotter.
- Et ensuite ??
- Ca va Claire ? Ta voix est différentes de toute à l’heure !
- Non non c’est rien, continue ton histoire !

Je venais de rentrer un doigt dans ma chatte et je commençais à me tortiller en écoutant son récit.

- Là je l’ai regardé droit dans les yeux et je lui ai dit « ce que je veux c’est que tu me prennes là, maintenant » « Mais j’ai une copine… » « Moi aussi j’ai un copain. Ce que je veux c’est qu’un inconnu me prenne et ne plus jamais en entendre parler après » « Mais, j’ai… j’ai une autre livraison dans 5 minutes… » « Ça n’a pas besoin d’être long. Et puis de toute façon je pense pas que tu puisses tenir 5 minutes entières ». La ça l’a un peu vexé je crois. Il a descendu son pantalon tout de suite et il m’a dit « On va dans ta chambre » « Si je voulais du sexe doux, sur un lit, je demanderais à mon mec » J’ai enlevé mon short, ma culotte mon chemiser et je me suis appuyé sur la table de la cuisine, les hanches bien en arrière. Il a tout de suite compris où je voulais en venir. Ca va Claire ? J’ai l’impression de t’entendre gémir !
- Meuf, ton histoire est juste trop excitante. Continue s’il te plait. (j’avais deux doigts dans la chatte à ce moment là)
- Oh je vois. Attends la suite alors ! Il m’a enfilé par derrière comme ça, à sec. En même temps j’étais déjà bien mouillée alors c’est rentré tout seul ! C’était la levrette de ma vie Claire ! Il me mettait des grandes claques sur les fesses… elles sont encore rouges d’ailleurs. Je sais pas combien de temps ça a duré, pas très longtemps je pense, mais il m’a bien fait jouir !! J’ai poussé un grand ci et j’ai commencé à m’effondrer. Mais il m’a tenu fermement les hanches, il a continué ses coups de bite et puis il s’est retiré juste à temps pour jouir sur mes fesses
- Mmmmh ! Han !!!!
- Qu’est ce qui se passe Claire ? Me dis pas que…
- Si Margot, c’est comme si on venait de jouir ensemble… C’était bon…

Je reprends lentement mon souffle…

-Et après, il s’est passé quoi ?
- Il s’est rhabillé et il est parti. Il a pas dit un mot ! La première chose que j’ai fait c’est de t’appeler.
- La première chose ? Mais tu es où là Margot ?
- Dans la cuisine !
- Oh tu es folle ahah !
- Mais j’ai un problème Claire !
- Lequel ?
- La pizza est froide maintenant !


Hors série (3/4)

Après le récit que m’avait fait Margot, j’avais très envie de mener à bien le défi moi aussi ! La situation me semblait de plus en plus excitante. Et puis je ne pouvais pas perdre la face devant mon amie. Mais comment faire ? Les jours passaient et on s’approchait doucement de la date fatidique des résultats du Bac. Mardi, je me suis réveillée très tôt le matin et comme je n’arrivais pas à me rendormir, j’ai décidé d’aller me promener. Il y a un parc en ville qui est assez grand et dans lequel j’allais régulièrement autrefois. C’est donc là bas que je vais. Je vais directement vers le centre du parc pour éviter de croiser les joggers qui courent à la périphérie. Je repère un banc devant une grande pelouse et je m’y installe.

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A peine quelques minutes après, un garçon s’installe à côté de moi sur le banc. Il est plutôt grand et athlétique, brun, son visage me plait assez.

« - Salut ! commence-t-il
- Tous les bancs du parc sont vides sauf celui-ci et c’est sur celui-ci que tu décides de venir t’assoir ?
- En fait j’ai rendez-vous avec un pote sur ce banc dans une demi-heure. Je suis un peu en avance. Par contre, c’est vrai que je n’étais pas obligé de venir te parler… mais je l’ai fait !
- Et pourquoi tu l’as fait ?
- Tu poses des questions bizarres…
- Tu l’as fait parce que tu me trouves jolie et tu t’es dit qu’en attendant ton pote tu allais me draguer !
- Euh oui, c’est à peu près ça… répond il en rougissant légèrement. Tu as du répondant comme fille !
- Excuse moi je suis un peu sur les nerfs. J’attends les résultats du bac, je les aurai après-demain…
- Ca alors, moi aussi ! dit-il. Tu vois ça nous fait déjà un point commun.

Normalement, vous êtes entrain de vous dire que ce garçon plutôt beau gosse qui me drague serait le candidat parfait pour mon petit défi. Et vous avez raison. Je suis entrain de me dire la même chose.

- Je m’appelle Claire.
- Anthony. Enchanté.
- Alors Anthony. Ton type de filles c’est les blondes aux gros seins ?
- Non c’est les blondes aux gros yeux bleus.
- Tu as de la répartie, ça me plait. Mais ça ne change rien au fait que tu mates mon décolleté depuis que tu t’es assis…
- C’est que tu es très belle, Claire !
- Vous êtes tellement prévisibles vous les mecs… Si tu crois que tu vas me séduire avec des compliments aussi niais…
- …
- Alors, qu’est-ce que tu vas faire avec ton pote si tôt le matin ?
- On va jouer au foot pendant qu’il n’y a personne et qu’il ne fait pas trop chaud. Sur la pelouse juste devant !
- Ah du foot. Mon copain aussi fait du foot… Je crois même qu’il vient dans ce parc parfois !
- Oh tu as un copain… dit il l’air extrêmement déçu.
- J’ai un copain mais peut-être que tu me plais quand même. Peut-être même que j’ai envie d’une aventure là maintenant, dans ce parc… dis-je en approchant mon visage du sien et en posant ma main sur son torse.
- Qu’est ce que tu veux dire ? dit-il le souffle court.
- Tu as très bien compris… Ton pote arrive bientôt. Je veux que tu me baises, et je veux jouir avant qu’il soit là !

Anthony fait descendre son pantalon de sport et son caleçon jusqu’à ses chevilles, dévoilant son sexe d’une bonne taille et surtout bien dressé.

- Ah, je savais que je te plaisais ! dis-je amusée.
- Je t’en supplie montre moi tes seins !

Je dégrafe mon chemisier entièrement ce qui lui dévoile le galbe de mes seins derrière mon soutif blanc. Justement, il arrache mon soutif et à la vue de mes tétons, son sexe semble encore grossir.

- Ca a l’air de te plaire !
- Test tétons sont tous durs !
- C’est parce qu’il fait un peu froid ce matin... Maintenant, voyons ce que tu vaux avec ta bite.

Je m’installe à califourchon sur lui dans un genre de position d’Andromaque. Avec ma main, je guide son sexe que je fais rentrer dans ma chatte petit à petit. Une fois qu’il est bien au fond, je l’embrasse fougueusement puis je luis dis :

- A toi mon grand, fais moi jouir !

Anthony a l’air de se régaler comme jamais ! Mes seins sont à la hauteur de sont visage et il suçote et mordille mes tétons un par un comme si c’était les premiers qu’il voyait. Il a ses mains dans mon dos et me maintient contre lui. Moi je me tiens au banc et j’essaye de donner des coups de hanches pour l’aider et pour que ça bite aille le plus profondément en moi à chaque mouvement. C’est la toute première fois que je baise en plein air comme ça. Et l’idée qu’on puisse nous surprendre m’excite au plus au point. Mais le parc est vide, il n’y a personne à l’horizon.

Anthony pousse des gémissements à chacun de ses coups de reins. Et bientôt, sans m’en rendre compte, je me mets à gémir aussi.

- Han, han ! Mmmh !
- Oh Claire tu es tellement bonne !
- Tu te débrouilles pas mal non plus ! soupiré-je en passant mes mains dans ses cheveux.
- Claire c’est comme dans un rêve. C’est même mieux, dans mes rêves les plus fous je n’aurais pas imaginé ça !

Je le trouve mignon à faire de la poésie dans un moment comme ça. Mais il est surtout très efficace : je suis au bord de la jouissance. Je suis tellement essoufflée que j’ai du mal à parler.

- Han han… si on était dans un rêve, comment tu voudrais que ça… han, han !... que ça se termine ?
- Dans un rêve, je pourrais me vider à l’intérieur de toi !
- C’est ton jour de chance alors. Vide-toi en moi, donne tout ! Ne te retiens surtout pas !

A ces mots, Anthony se fait sauvage. Il resserre ses bras autour de moi avec force et mes seins viennent s’écraser contre son torse. Ses coups de reins sont de plus en plus violents et tout à coup, il pousse un grand cri ! Je sens son sexe tressaillir en moi puis un flot de sperme remplir ma chatte. Au même moment, je jouis moi aussi.

- Merci… murmuré-je.



Hors série (4/4)


Après avoir joui comme ça, j’ai comme un moment d’absence. Je ferme les yeux pendant, peut être 2 ou 3 minutes, je ne sais pas… Quand je reprends mes esprits, je suis toujours à califourchon sur Anthony, sa bite enfoncée en moi. Lui est entrain de me sucer les tétons et toute la surface de mes seins comme si c’était la dernière fois. D’ailleurs il n’a pas tord… c’est la dernière fois. J’aimerais bien le laisser profiter encore un peu mais l’heure tourne.

-Dis moi, ton pote va arriver, non ?
- Merde ! jure-t-il en regardant sa montre. Il est toujours pile à l’heure, ça veut dire qu’il nous reste exactement 5 minutes pour effacer les traces !

Je me relève et il regarde sa jolie bite toute ramollie sortir de ma chatte. Nous nous rhabillons. Au moment où je m’apprête à remettre mon soutien-gorge, il me dit :

- S’il te plait, laisse-moi leur dire au revoir !
- Non, tu as bien profité déjà, on n’a plus le temps.

Et, sans pitié, je referme mon chemisier Nous nous recoiffons, nous essayons de reprendre notre souffle. Assis sur le banc, nous discutons.429

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- Mon pote va arriver d’une seconde à l’autre maintenant.
- C’est l’heure des adieux alors.
- Vraiment ? Mais c’était bien, non ? On pourrait se revoir, on pourrait le refaire, on pourrait…
- Non ! dis-je en lui coupant la parole. Tu sais pourquoi c’était si bien ? C’était si bien parce que tous les deux, au fond de nous, on savait que ça serait terminé après ça. On ne se reverra plus jamais Anthony. Mais on ne s’oubliera jamais non plus, tu comprends ?
- Je comprends… dit-il résigné. Impossible que je t’oublie, j’avais jamais baisé comme ça avant et ça risque pas de recommencer de si tôt ! Ahah !
- Je suis contente que tu retrouves le sourire ! Tu es un très bon coup tu sais, tu rendras les filles heureuses.
- Et toi tu as les plus beaux seins de la Terre !
- Ahah tu les as dévorés pas vrai ?
- C’est clair ! Tiens, voilà mon pote qui arrive ! Il s’appelle Paul !

Paul, c’est un prénom que je connais bien. La silhouette qui s’approche, je la reconnais. Horreur !! Paul, ce Paul, c’est mon mec…

- Salut Antho ! Oh Claire, c’est incroyable ! Qu’est ce que tu fais là ??
- Euh… ben je me promenais dans le parc. Je me suis assise ici et on a… euh… discuté. C’est incroyable que vous vous connaissiez ! Le monde est… euh… petit !

Je suis terriblement gênée. Anthony aussi visiblement. Lui et moi sommes tous rouges.

- Je sais pourquoi vous êtes rouges ! dit Paul.
- Ah bon ?? répondons-nous effrayés et en cœur.
- Oui ! Vous êtes rouges parce que Antho a essayé de te draguer ! Il ne peut pas s’en empêcher, il fait ça avec toutes les filles ahah !
- Oui oui, c’est ça ! dis-je vite, soulagée. Mais ne t’inquiète pas, il n’a pas été lourd du tout !
- Pas de chance Antho, cette jolie fille est déjà prise ! dit Paul en riant.
- Oui, tu as de la chance, répond Anthony sur un ton monocorde.
- Allez mon pote, c’est parti pour l’entrainement. Claire, tu vas nous regarder jouer ?
- Euh… je pensais rentrer chez moi, j’ai des choses à faire.
- Bon… on se voit demain de toute façon ma jolie !
- Ah… euh… oui, c’est vrai, demain chez moi. Bon je vais y aller hein. Salut à tous les deux…

C’est ce qu’on appelle être dans la merde. Vous allez dire que je l’ai bien cherché. Et c’est pas faux. Mais qu’elle était la probabilité ? Franchement ? C’est à peine croyable. En rentrant à la maison, je commence par prendre une douche. Je remarque que mes seins sont un peu rougis sur leur surface. C’est à cause des stimulations d’Anthony pensé-je. Ca sera parti demain. En parlant d’Anthony, j’espère qu’il va tenir sa langue sinon je suis morte.

Mauvaise nouvelle le lendemain. Les taches sur mes seins ne sont pas parties. C’est même pire qu’hier. On dirait que j’ai comme des petits suçons partout sur les deux seins. Merci Anthony pour ce cadeau mais ça me met dans la merde là ! Et Paul qui passe à la maison cette aprèm. Je peux pas lui montrer ça… Donc ça veut dire pas de sexe : il va pas être content ! J’espère qu’il ne va se douter de rien… J’ai été tellement perturbée par le déroulement de cette histoire que j’en ai oublié d’appeler Margot pour lui raconter. Je le ferai toute à l’heure, après avoir vu Paul.
A l’heure prévue, Paul débarque chez moi. Il a l’air furieux et je sens que ça va mal se finir.

- Claire, faut qu’on parle ! Assieds toi ! dit-il en montrant un fauteuil.

Quand quelqu'un vous invite à vous assoir alors que vous êtes chez vous, c’est le signe que tout va mal. Je m’assieds dans le fauteuil et lui dans le fauteuil d’en face.

- Anthony m’a raconté une histoire. Une histoire incroyable. L’histoire d’un gars et d’une meuf qui discutent sur un banc. Et la meuf, une jolie blonde, commence à faire des avances au gars. Et le gars accepte. Normal, il n’est pas en couple, lui, ça serait bête de sa part de dire non. Alors ils font leur petite partie de baise dans un parc et là, pas de bol un deuxième gars arrive. C’est le copain de la meuf. Ca te dit quelque chose cette histoire ?
- Non… enfin… je sais pas… balbutié-je.
- Tu sais j’y croyais pas au début Claire. J’ai du le forcer à me donner les détails. Tu sais, ce grain de beauté que j’aime beaucoup et que tu as entre les seins. Lui aussi il l’a beaucoup aimé ! Il a même tellement aimé tes seins qu’il n’a pas pu s’empêcher d’y faire des petits suçons ! Claire, montre moi !
- Enfin tu ne peux pas croire que…
- Montre moi !

Je retire mon haut, doucement, puis mon soutien gorge. Les preuves sont là.

- Allez, adieu sale pute ! crie Paul en quittant la maison et en me laissant là, seins nus.

J’appelle Margot pour tout lui raconter. Elle est désolée par mon histoire. Moi je suis étrangement calme, je me dis qu’au fond, ça en valait la peine. Quand on joue, on ne peut pas gagner à tous les coups. Anthony n’a pas voulu trahir son pote, je respecte ça. Pour ma part, j’ai décidé que j’allais m’amuser à partir de maintenant.

Le lendemain, j’ai les résultats du Bac : mention Bien. Je suis contente. Ca veut dire que l’année prochaine je pars en école de commerce en région parisienne. Mais d’ici là, j’ai tout l’été devant moi. Mon cousin va passer plusieurs semaines à la maison. Peut-être qu’on va bien s’amuser ?




Le lendemain, je rassemble toutes mes affaires, je claque la porte de la coloc et je file chez Guillaume qui a accepté de m’héberger jusqu’à la fin de la semaine prochaine. Heureusement, après c’est les vacances. Ca va me permettre de rentrer chez moi et de digérer toute cette histoire… Pendant la semaine chez Guillaume, la nuit je dors sur le canapé et le jour je fais tout mon possible pour éviter de croiser Clémence à la fac. Je suis toujours le premier arrivé en amphi et le dernier à sortir pour ne pas la croiser dans les couloirs. J’ai même dû sécher un ou deux cours !

Un soir, alors qu’on mange une pizza devant la télé, Guillaume commence à me poser des questions. Il faut dire que pour l’instant, je ne lui ai donné aucun détail, il sait juste que je suis fâché avec Clémence :

- Bon, qu’est-ce qui s’est passé au juste ? Pourquoi vous êtes fâchés à ce point là ? J’ai demandé à Clem, elle est devenue toute rouge mais elle na rien voulu me dire…
- On a couché ensemble… dis-je brutalement
- Quoi ?? Mais elle n’a pas un mec déjà, Clem ?
- Si justement. Elle a dit que c’était une erreur et qu’il fallait oublier. Du coup je me casse.
- Tu aurais voulu plus ?
- Peut-être…
- Je comprends la situation. Ca va peut-être pas te consoler mais dis toi que tu es parti en beauté. Et puis tu en as bien profité !
- C’est pas faux, dis-je tristement, elle vaut vraiment le coup, crois moi !
- C’est vrai qu’elle est bonne !
- Carrément !
- Peu de gens ont réussi ce que tu as réussi ! dit Guillaume avec un air complice.
- C’est vrai… Ahah on peut le voir comme ça ! Mais ça fout bien les boules quand même !

Vendredi en fin d’après-midi, je prends le train qui me ramène chez moi. Sur le trajet, je reçois un sms de Clémence. « Cyril, j’aurais aimé qu’on se voit cette semaine pour parler un peu. Ne m’en veux pas s’il te plait, j’ai du faire un choix compliqué… Excuse-moi. Passe de bonnes vacances quand même ». J’hésite d’abord à ne pas répondre. Et puis je me dis qu’il faut être bon joueur alors je lui envoie « Je ne t’en veux pas mais j’ai besoin de prendre mes distances. Au moins pour un moment. Toi aussi passe de bonnes vacances ».

Arrivé chez moi, mes parents voient tout de suite à ma tête que quelque chose ne va pas. Je leur explique donc qu’il y a eu un problème dans la coloc et que je voudrais la quitter. Vous vous doutez bien que je ne rentre pas dans les détails… Ils sont bien sûr très en colère. Déjà qu’ils n’étaient pas chauds pour me donner l’autorisation au début : là c’est le pompon ! Enfin il faut bien trouver une solution. Je passe plusieurs jours à éplucher les annonces sur Internet et je trouve enfin un logement pas trop mal et pas trop cher situé pas très loin de la fac. Je passe des coups de fils, je fais les démarches administratives et une fois que tout est réglé, que ce stress peut être mis de côté, je peux profiter da la semaine de vacances qu’il me reste. 432

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Plusieurs jours d’affilée, je sors avec des vieux potes du lycée que je n’avais pas revu depuis un moment. Tout ce passe bien et je commence à oublier Clémence. Un soir, au repas, mes parents me demandent :

- Tu t’étais bien amusé cet été chez ton Oncle et ta Tante, non ?
- Euh… oui, c’est vrai. Pourquoi ??
- Et bien ils ont appelé cet après-midi pendant que tu étais dehors. Ils nous proposent de venir passer 2 semaines l’été prochain en Août, comme l’an dernier.
- Ah c’est cool ça ! dis-je avec un grand sourire
- On est content que ça te plaise ! Parce qu’on a déjà dit oui ! Ta sœur se joindra surement à nous.
- Ah Justine aussi ! C’est parfait alors !

Voilà une bien bonne nouvelle… Les vacances d’été vont être cools et j’ai hâte même si c’est dans longtemps !
Le soir même, alors que je suis tranquillement en train de lire dans ma chambre, mon téléphone sonne. Je jette un coup d’œil sur l’écran : c’est Claire. Je me redresse brusquement et je décroche le téléphone. Mon cœur bat vite, ça fait super longtemps que j’ai pas eu de ses nouvelles !

- Allo Cyril !
- Allo Claire ! Ca fait plaisir d’entendre ta voix !
- C’est sûr ! Ca fait grave longtemps ! Bon, tu es au courant de la bonne nouvelle ?
- Oui ! Il parait qu’on retourne chez toi cet été !
- C’est ça ! Tu es content ?
- Carrément, oui !
- J’ai parlé à Marianne, elle est ravie aussi ! Tu lui manques je crois ! Ahah ! Tes parents ont dit aux miens que Justine viendrait surement aussi ?
- Oui je crois bien !
- C’est cool ! Ca fait tellement longtemps que je ne l’ai pas vue ! Dis, tu crois que si je m’occupe d’elle elle jouera avec nous ?
- Ni pense même pas Claire !
- Ahah je rigole, je rigole ! Quoi que… Bref, je t’appelle pas pour ça. En fait, je voulais te proposer de venir passer quelques jours chez moi aux prochaines vacances !
- Chez toi en Bretagne ?
- Non non, chez moi vers Paris. Je t’avais dit que je suis là bas pour mes études. Je suis en coloc avec une pote mais on te fera de la place pour quelques jours. Ca te dit ?
- Mais oui, c’est super cool !
- Parfait ! On s’en reparle alors ! Je dois raccrocher là, à bientôt !
- Bonne nuit !
Nous revoilà 2 mois plus tard ! Je suis dans la voiture, sur l’autoroute. Oui, c’est moi qui conduis : j’ai enfin passé mon permis ! Je ne vous cache pas que la perspective de retrouver Claire m’a motivé à le passer. C’est plus cool que d’y aller en train quand même. La voiture, c’est un vieux tacot mais bon, elle roule, c’est déjà pas mal ! Cadeau des parents.

Que s’est-il passé pendant les deux derniers mois ? Pas grand-chose en fait à part le permis : j’ai emménagé dans mon nouveau studio qui est plutôt pas mal, j’ai eu mes résultats d’examens à la fac et j’ai largement validé mon semestre. J’ai même reparlé quelques fois à Clémence par la force des choses même si la conversation est restée basique et assez froide. Vous vous en souvenez surement, il y a deux mois, j’apprenais que les parents de Claire nous invitaient cet été. Et dans la foulée, Claire elle-même m’avait proposé de passer un week-end dans son studio aux abords de Paris, là où elle fait ses études. Donc, deux mois après son coup de téléphone, me voilà en route pour chez elle. C’est Vendredi en fin d’après-midi. Je vais donc passer le week-end chez elle. Claire habite dans une résidence étudiante, en coloc avec une autre fille. Une fille de Nouvelle-Zélande apparemment. Il parait qu’il y a beaucoup d’étudiants étrangers dans son école de commerce.

Après quelques longues heures de route, j’arrive sur place. J’ai eu un mal de chien à me repérer dans cette ville que je connais à peine, pour y être allé une fois seulement, il y a longtemps. Mais me voilà arrivé : la résidence étudiante est constituée de 2 grands bâtiments perpendiculaires avec une cours et un petit jardin entre les deux. J’ai pu garer ma voiture non loin de là. Je décide d’appeler Claire :

- Allo Cyril ? Tu en es où ?
- Je viens d’arriver en bas de chez toi !
- Cool, bouge pas ! Je descends te chercher !

Et en effet, 5 minutes plus tard, je suis rejoint par Claire.

- Et bien, ça faisait longtemps ! dit elle en me faisant la bise.

Elle me prend la main et me tire vers l’entrée du bâtiment. Je me laisse entrainer. A sa suite, je rentre dans le bâtiment, puis dans l’ascenseur, nous montons de quelques étages. Claire est sublime comme toujours… Elle porte une petite robe à fleurs, très adaptée en ce début de printemps, qui souligne sa taille fine et ses jambes. Sa poitrine est à peine suggérée par le décolleté mais mon imagination fait le reste. Son visage fin et lisse aux yeux bleus-verts est éclairé par un sourire.

- Je suis content de te voir ! Tu vas voir ce n’est pas très grand chez nous, tu seras peut être obligé de dormir sur le canapé. Je vais pouvoir te présenter ma coloc aussi !
- Yep ! Mais j’espère qu’il y aura aussi des moments où on sera un peu tranquilles !
- T’inquiète, tu vas l’adorer. Voilà c’est cette porte.

Claire tourne la clé dans la serrure et je rentre à sa suite dans l’appartement ;

- Entre Cyril, dit-elle. Lily ! On est arrivés !
- J’arrive ! répond une voix avec un léger accent étranger.

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Et au détour d’un couloir, apparait la fameuse Lily. L’espace d’un instant, j’en oublie la présence de Claire dans la pièce. Une jeune fille grande et fine se tient devant moi, des cheveux blonds, des yeux gris, un petit nez en trompette et un sourire ravageur. Nous nous faisons la bise.

- Salut Cyril ! Enchantée de te connaître ; Claire m’a beaucoup parlé de toi !
- Enchanté aussi Lily, réponds-je.
- Allez viens Cyril ! On va te faire visiter ! dit Claire.

L’appartement est assez petit et assez classique. Deux chambres séparées, un petit salon avec un canapé (les deux filles m’ont dit en riant que ce serait mon lit pour les jours à venir), une toute petite cuisine.

- Si on buvait un thé pour fêter ton arrivée ?
- Un thé ? Du bois du thé toi maintenant ?
- Et oui, je bois du thé !
- Va pour ça alors !

On s’installe et on sirote tranquillement notre boisson chaude en discutant. Je me plie en 4 pour faire une bonne impression à Lily. Galanterie, blagues, sourires, tout y passe. Je lui pose des questions sur son pays d’origine, la Nouvelle-Zélande, elle m’en parle avec passion. J’apprends notamment que la langue parlée à 98% là bas est l’anglais, ce qui explique ce petit accent très anglais et très charmant que Lily a en prononçant certains mots. Claire n’est pas dupe de mon manège et me regarde faire avec amusement. A un moment, elle dit :

- Ce que Lily ne t’a pas dit, c’est qu’en Nouvelle Zélande, elle faisait de la photo, elle était modèle.
- Ah oui j’en ai fait un peu, en amateur. Mais j’ai dû arrêter en arrivant en France !
- Pourquoi ça ? demandé-je.
- Et bien je n’ai pas trop de temps avec les études. Mais si ça t’intéresse, j’ai un site internet avec mes anciennes photos !
- Oui carrément ! J’irai voir !
- C’est « nom du site.nz ». Mais ne te moque pas de moi, hein !
- Je suis sûr que tu t’en sors très bien !

La conversation s’éternise et nous voilà en début de soirée.

- Cyril, où est ta valise ? demande Claire.
- Oh merde je l’ai laissé dans la voiture, quel idiot !
- Allez je t’accompagne, on va la chercher.
- Je vais à la douche pendant ce temps, prévient Lily.

Claire et moi nous descendons et retournons à la voiture.

- Je suis content de te retrouver, murmuré-je.
- Moi aussi. Tu me manquais. C’est bien pour ça que je t’ai invité d’ailleurs ! J’espère qu’on va bien s’amuser pendant ces quelques jours !

Je me demande ce qu’elle entend par « bien s’amuser ». Moi j’ai ma petite idée mais ce n’est peut être pas le bon moment pour en parler. Encore que, quand je vois Claire dans sa robe, avec sa taille marquée, les fesses un peu moulées, je me retiens de ne pas lui sauter dessus. Le parking c’est pas le meilleur endroit pour ça… Je récupère ma valise et nous reprenons le chemin de l’appartement.

- Elle te plait Lily ?
- Elle a l’air gentille !
- Et physiquement ?
- Elle est jolie…
- Tu ne regardais qu’elle tout à l’heure…
- Roh tu vas pas être jalouse quand même ? dis-je en lui souriant

Elle me rend mon sourire.

- Non non, t’en fais pas. Vous allez pouvoir faire connaissance plus amplement ce soir, je sors.
- Ah bon ? Tu vas où ??
- Chez mon copain.


Je ne réponds rien mais je prends un gros coup au moral. Claire change alors de sujet de conversation comme si de rien n’était et nous retournons à l’appartement. Lily est encore sous la douche, on peut entendre l’eau couler. En temps normal, j'aurais essayé de l’imaginer nue, l’eau chaude ruisselant sur son corps mais je n’ai pas trop la tête à ça. Claire a un copain… Ce n’est pas très étonnant en même temps.


- Je vais à la douche après Lily. Tu y passeras en dernier, me dit Claire. Après je file, il y a de quoi manger au frigo. Tu pourras faire connaissances avec Lily pendant la soirée. Ne m’attendez pas pour dormir, je vais surement rentrer tard.


J’amène ma valise dans le petit salon et je la pose à côté du canapé. Claire m’apporte des draps qu’elle m’aide à installer sur le canapé et me voilà avec un lit de fortune pour ce soir. Lily sort alors de la douche, enroulée dans une serviette blanche.


- Je vais dans ma chambre pour me changer, la douche est libre, prévient-elle.


Claire prend donc sa place sous la douche et je me retrouve seul dans le salon. Assis sur le canapé-lit, je me dis que c’est un bon moment pour regarder le site internet de Lily. Je dégaine donc mon téléphone et je cherche sur internet. Je trouve assez rapidement les photos : ils y a plusieurs séries d’elle en maillot de bain. Lily est très fine, elle a l’air d’avoir des seins pas trop gros et bien ronds. Sur une série de photos, elle est au pied d’une cascade avec les pieds dans l’eau. Ses tétons sont tous durs et pointent à travers le maillot... Les photos sont légendées en anglais « désolée mais l’eau était froide ». J’avoue que je commence à avoir une légère érection devant tout ça ! Et c’est justement ce moment que choisit Claire pour sortir de la douche. Soit elle a fait très vite, soit c’est moi qui n’ai pas vu le temps passer. En tout cas, Claire se dirige vers la chambre de Lily.


- Lily, j’y vais, à plus tard ! s’exclame-t-elle à travers la porte de la chambre.


Puis elle me rejoint dans le salon. Elle porte une très jolie robe bleue un peu moulante qui la met en valeur.


- Cyril, dit-elle, j’y vais ! Rends moi service et remonte la fermeture de ma robe s’il te plait.


Elle se met dos à moi et je constate en effet que la fermeture éclaire dans le dos de sa robe et complètement descendue. J’ai donc une vue merveilleuse sur son dos à la peau douce, piquée de quelques grains de beauté. J’attrape la fermeture éclaire au niveau de la cambrure de ses reins et je la remonte jusqu’en haut doucement. Quand je pense qu’un autre mec va faire le geste exactement inverse dans pas longtemps pour la déshabiller et ensuite… Et voilà que je bande pour de bon.


- Ca y est ! dis-je.


Claire se retourne et me fait la bise.


- Merci Cyril. Je file, je suis déjà en retard. A bientôt !437

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Et sur ce, elle attrape son sac à main qui était posé dans le salon, se dirige précipitamment vers la porte et sort. Le point positif, c’est que dans son empressement, elle n’a pas remarqué la bosse de mon pantalon. Je file donc sous la douche à mon tour. L’eau chaude me fait du bien. Je repense à ce que j’ai vu à l’instant ce qui n’aide pas mon sexe à dégonfler. Je pose ma main dessus et je commence quelques va-et vient en pensant aux deux filles. Mais je décide de ne pas aller jusqu’au bout. Je sors donc de la douche et je retrouve Lily qui m’attendait dans le salon. Elle porte une nuisette, blanche et assez courte, avec de fines bretelles.


- Hey Cyril. Ca doit faire du bien une bonne douche après un long voyage !
- Carrément ! Alors comme ça, Claire nous a abandonné ! dis-je en plaisantant.
- Et ouais… Pas trop déçu ?
- Ca va, vu que tu es là avec moi, dis-je avec un sourire. Au fait, j’ai regardé tes photos sur ton site internet toute à l’heure. C’est vraiment cool !
- Ah oui, ça t’a plu ? dit-elle en rougissant
- Carrément, tu es une vraie pro !
- Ahah non, j’ai surtout travaillé avec de bons photographes. J’ai d’autres photos qui ne sont pas sur internet. Je peux te les montrer, ça t’intéresse ?
- Avec plaisir !
- Suis moi alors !
Je marche donc à sa suite. Sa nuisette, légère, moule un peu ses fesses qui ont l’air juste parfaites ! Elle me conduit jusqu’à sa chambre.

Je rentre dans la chambre de Lily. Tout est blanc à l’intérieur : les murs, les draps. Comme sa nuisette. Elle récupère une pochette dans un tiroir puis elle s’assoit au bord du lit, les jambes croisées.


-Assieds-toi là, dit-elle, en désignant un fauteuil qui se trouve à côté.


Je tire le fauteuil pour être en face d’elle, plus près du lit et je m’assois.


- Ce sont les dernières photos que j’ai prises avant de quitter la Nouvelle Zélande l’été dernier. Je n’ai pas eu temps de les mettre en ligne !


Elle me passe la pochette dans laquelle se trouve une dizaine de photos d’elle en maillot de bain sur une plage ensoleillée.


- Je trouve ça très chouette !
- Ah merci c’est gentil, répond elle en rougissant un peu. C’est ma vie d’avant tout ça. Maintenant je me concentre sur mes études et sur l’apprentissage du français.
- Tu te débrouilles bien en français !
- Non, je cherche encore mes mots et puis j’ai toujours l’accent !
- Mais c’est joli ce petit accent !
- Ahah il parait ! C’est ce que disent tous les mecs français ! dit-elle en me tirant la langue.
- Tu dois être très courtisée depuis ton arrivée en France !
-Mmmmh… Possible ! Comment tu le sais ?
- Bah il suffit de te regarder… Enfin, tu es jolie quoi !
- Merci ! Mais je n’ai pas encore trouvé de copain en France ! Je vous intimide vous les français, je crois...

Elle me lance un grand sourire et c’est moi qui me mets à rougir cette fois. C’est vrai qu’elle m’intimide un peu, mais le pire reste à venir :


- T’avais l’air déçu quand Claire est partie voir son copain toute à l’heure.
- Ah non, non, c’est rien…
- Ne me mens pas, répond-elle en souriant. Elle m’a tout raconté tu sais !
- C'est-à-dire ?
- Bah sur votre relation secrète. Cet été et tout. T’inquiète, je garde l’info pour moi !


J’ai un moment de crispation et de silence. Je dois sûrement être rouge comme une pivoine. Puis tout ce que j’arrive à dire c’est :


- Je me demande pourquoi elle t’a raconté ça...
- On est très proches toutes les deux ! Je te juge pas tu sais, avec Claire c’est dur de résister. Même moi j’ai pas pu.
- Tu as pas pu quoi ?
- Bah résister. Quand elle veut quelque chose, elle est très forte pour l’obtenir.
- C'est-à-dire ?
- Disons que quand on est toutes les deux, ça nous arrive souvent… de nous faire du bien. Tu vois ?
- Et son copain ?
- Il n’est pas obligé de tout savoir, pas vrai ?


Mon sexe est en train de faire une bosse à la surface de mon caleçon. Et dans ma tête se bousculent des images de Claire et Lily dans le plus simple appareil.
- Ca te gène de savoir qu’elle se fait sauter par un autre mec ?
- Quoi ? Non ! Enfin… euh… oui, un peu quand même…
- Moi aussi, dit Lily. Parfois j’aimerais la garder pour moi toute seule.
- Mais tu es lesbienne ?
- Même pas. C’est juste que c’est dur de partager, tu vois ?

Et puis comme j’ai pas de mec, j’ai pas trop l’occasion de prendre mon pied, sauf avec Claire…


- Je comprends…


Lily a décroisé ses jambes et comme la nuisette est très courte, je commence à avoir une vue très sympathique sur l’intérieur de ses cuisses. Je me demande si elle porte une culotte…


- Mmh je vois que tu te réveilles !


Je reprends un peu mes esprits. La bosse sur mon caleçon est devenue très compromettante et impossible à dissimuler. D’ailleurs, Lily a les yeux rivés dessus.


- Pardon… dis-je en rougissant.
- Pourquoi s’excuser c’est naturel après tout…


Lily tend la jambe et pose son pied sur ma bosse. Elle commence à frotter du bout des orteils. Je sens une vague de plaisir me traverser grâce à cette légère stimulation.

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- Qu’est-ce que tu fais ?
- Claire m’a dit de belles choses à propos de ta bite. Il parait que tu en as une belle. Tu me la montres ?


Tout rouge, le cœur battant, je descends lentement mon caleçon jusqu’à mes pieds. Je libère ainsi mon sexe qui se tient bien dressé.


- Pas mal !


Lily a l’air satisfaite. Elle reprend ses caresses avec son pied puis avec le deuxième également. Dans cette position, elle trouve un moyen de me branler beaucoup plus énergiquement que j’aurais cru. Une douce chaleur s’empare de moi. Sa nuisette est maintenant bien remontée et je peux voir qu’elle porte une culotte.


- Qu’est ce que tu regardes, demande-t-elle en connaissant déjà la réponse.


En me regardant dans les yeux avec un sourire ravageur, elle passe lentement une main sous sa culotte et commence à se doigter doucement… Au même moment, je pousse un petit gémissement de plaisir.


- Ca te plait on dirait ! dit-elle.
- Mmmh… C’est la première fois qu’on me fait ça !


Lily est particulièrement efficace. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps surtout quand je la vois devant moi avec sa respiration qui s’accélère et ses tétons qui commencent à pointer sous la nuisette. Soudain, c’est l’explosion. Je ferme les yeux et je sens mon sexe tressauter tandis que de grosses saccades de sperme partent vers le ciel.


- Et bien… dit Lily avec un air un peu déçu. Tu n’es pas très endurant. Je m’attendais à mieux…
- Pardon… Mais c’était trop bon…


Elle me regarde d’un air un peu dédaigneux. Je suis assis sur le siège, tout rouge. Mon sexe a dégonflé et pend maintenant mollement entre mes jambes. J’ai un peu honte mais en même temps, j’ai bien pris mon pied (si j’ose dire). Lily s’allonge sur son lit. Elle se cale la tête avec un oreiller, remonte le bas de sa nuisette jusqu’à ses hanches puis elle glisse à nouveau une main sous sa culotte et recommence à se doigter. Elle a l’air de se faire du bien, sa respiration est sifflante et elle a rougi un peu. Elle ne prête plus aucune attention à moi. De mon côté, je profite du spectacle et après quelques minutes, mon sexe commence enfin à redurcir. Je me branle un peu pour l’y aider.


Lily en est à sont troisième doigt rentré dans sa chatte. Je quitte le fauteuil et je m’allonge à côté d’elle sur le lit.


- Je vois que tu as repris du poil de la bête, dit-elle.
- Désolé pour toute à l’heure, tu m’as pris par surprise…
-On dirait que je vais enfin avoir droit à une bite de français.


A ces mots, je m’allonge carrément sur elle et je me mets à l’embrasser. Avec sa main, elle attrape mon sexe et le guide vers l’entrée de sa chatte. Une fois qu’elle a bien positionné mon gland, je donne un petit coup de reins pour faire rentrer mon sexe en entier à l’intérieur d’elle. Elle pousse alors un gémissement et passe ses mains dans mon dos pour me serrer contre elle. Je le prends en missionnaire pendant de longues minutes pendant lesquelles je sens son plaisir monter. Ses gémissements s’intensifient, je décide alors de changer de position. Je me retire donc, à son grand désespoir. Nous reprenons un peu notre souffle, côte à côte sur le lit.


- Je retire ce que j’ai dit, tu es très endurant en fait !
- Enlève ta nuisette, ordonné-je.342

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Lily se met à nue dans un geste sensuel. Je peux enfin voir ses seins que je devinais à travers la nuisette toute à l’heure. Ils sont petits mais bien ronds et fermes. Quant à ses tétons, ils pointent comme jamais : pas étonnant que j’ai pu en deviner la forme à travers le tissu de sa nuisette. Je tire Lily vers le bord du lit. Quand à moi, je me place debout face à elle. Je mets ses jambes sur mes épaules et je la pénètre à nouveau. Dans cette position, je regarde tantôt ses yeux bleus, tantôt ses seins qui balancent dans tous les sens. La demoiselle gémit de plaisir :


- Mmmmh Cyril c’est bon. Fuck me ! Oh yes !


Lily est en train de perdre le contrôle. A tel point qu’elle se remet à parler anglais. Ce m’excite terriblement de l’entendre jouir dans sa langue maternelle et je la baise de plus en plus fort. Lily pousse de longs gémissements aigus et je sens qu’elle ne va pas tarder à tout lacher.


- Oh my God, i’m cumming Cyril ! I’m cumming !!!


Lily se met à jouir en poussant un grand cri ! Au même moment, je me retire d’elle et je jouis à mon tour. Je ne m’attendais pas à jouir aussi fort 2 fois d’affilée. Ma semence gicle partout sur ses seins et sur les draps.
Je m’allonge aux côtés de Lily sur le lit. Je me sens apaisé et je crois bien que je m’endors.


Quand je me réveille, Lily est debout à côté du lit. Elle porte un t-shirt blanc assez ample au travers duquel, par transparence, je devine ses petits seins. Je remarque aussi tout de suite qu’elle ne porte pas de culotte et le t-shirt dissimule à peine sa chatte.


- Tu es reveillé Cyril ! Je ne pensais pas que tu étais du genre à t’endormir après l’amour !
- Pardon, dis-je en me redressant.
Je suis bien sûr encore tout nu. Ma bite colle un peu entre mes cuisses tandis que je m’assois en tailleur sur le lit.
- Tu as sali les draps…
- Pardon…
- Arrête de dire pardon tout le temps ! Je voudrais te remercier pour toute à l’heure. Tu as été parfait. J’ai bien aimé cette première fois avec un français !


Je rougis un peu et au lieu de répondre, je lui fais mon plus beau sourire.


- Je reviens de la douche là, continue Lily. Va en prendre une toi aussi pendant que je change les draps ici. Et puis après, si tu veux, on pourra dormir ensemble. Tu seras mieux que sur le canapé lit. Enfin c’est comme tu veux.
- Ca me va. Merci Lily.


Je me lève donc et je quitte la chambre. Je passe au salon récupérer un caleçon propre et je me rends compte qu’il est presque Minuit. J’ai dû dormir pendant un petit moment. Nous n’avons pas mangé mais ça n’a pas d’importance. La deuxième douche de la soirée me fait le plus grand bien. J’enfile mon caleçon et je retourne à la chambre. Lily m’y attend et nous nous glissons sous les draps propres. Je lui dépose un bisou dans le cou.


- Bonne nuit Lily.
- Bonne nuit Cyril.Le lendemain, quand je me réveille, Lily n’est pas à mes côtés. Le réveil indique 9h00 et la lumière du jour inonde la pièce. Je retrouve les deux filles dans le salon autour du petit déjeuner. Je prends place à table avec elles.


- Alors Cyril, bonne nuit ? demande Claire.
- Oui, plutôt calme et reposante. Et toi, cette soirée avec ton copain ?


J’ai pensé, l’espace d’un instant, faire croire à Claire que rien ne s’était passé hier soir. Mais vu que je sors de la chambre de Lily, je pense que je suis grillé... Je me sens beaucoup moins jaloux qu’hier par rapport au copain de Claire. C’est comme si cette soirée avec Lily m’avait guérit !


Lily, justement, porte le même t-shirt qu’hier et je peux toujours deviner ses seins par transparence. Ceci a pour effet de réveiller immédiatement mon érection matinale. Heureusement que je suis caché par la table. Elle a enfilé une culotte ce matin, quand même. Claire, elle, est en chemise de nuit. Elle est très belle comme toujours mais elle ne dévoile pas particulièrement de parties de son corps malheureusement.

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Nous partageons le petit déjeuner en définissant le programme de la journée.


- On pourrait faire une sortie culturelle dans Paris ce matin, propose Lily.
- Et cette après-midi faire un jeu tous ensembles ici, ajoute Claire.
- Parfait ! dis-je.
- Ah au fait Cyril, ajoute Claire, ce soir, Lily sort avec des copines. Et mon copain organise une soirée chez lui. Tu es invité ! Je t’ai fait passer pour un ami d’enfance de passage sur Paris. Ca te tente ?
- Bah ça sera toujours mieux que de rester tout seul ici. Ca me va ! dis-je avec entrain.


Comme prévu, après nous être préparés, nous sortons en ville pour visiter un peu. Je fais le touriste de base, je prends des photos, tout va bien. Ensuite, nous mangeons dans une brasserie puis nous retournons à l’appartement. Vers 15h00, Lily descend pour faire une course.


- Si on installait le jeu, Cyril ? me dit Claire.
- Bonne idée ! C’est quoi comme jeu ?
- Tu va voir.


J’accompagne Claire jusque dans sa chambre. Là, elle tire une chaise devant le lit et me fait signe de m’assoir dessus. J’obéis mais quand je vois Claire sortir une paire de menottes d’un tiroir et s’approcher de moi, je commence un peu à m’inquiéter.


- Qu’est ce que tu fais Claire ?
- T’inquiète pas… murmure-t-elle en m’attachant un bras à la chaise avec les menottes.


Je n’ai pas spécialement envie de lui donner mon deuxième bras alors je me débats un peu.


- Laisse toi faire, dit-elle.
- Mais Claire, explique moi au moins !
- Fais moi confiance, dit-elle en posant un bisou sur ma joue.


Alors je me laisse faire et elle m’attache le second bras. Mes bras et mes mains sont maintenant inutilisables… Au même moment, j’entends la porte d’entrée qui s’ouvre. Ca doit être Lily qui revient des courses. Toujours en murmurant de lui faire confiance, Claire saisit un bout de tissu et me bande les yeux avec. Puis je l’entends appeler :


- Lily, c’est prêt !


Je ne vois rien du tout ! Tout ce que je sais c’est que je suis face au lit de Claire et que les deux filles sont quelque part dans la pièce. J’ai assez peur de ce qui va m’arriver. J’entends les deux blondes chuchoter des choses, rigoler… Et puis des bruits suspects commencent à se faire entendre, comme si les deux filles s’embrassaient près de moi. Puis un bruit caractéristique de vêtements qu’on enlève et qui tombent au sol.


- Oh Claire, ils sont magnifiques ! dit Lily. J’aimerais avoir les mêmes.
- Les tiens aussi sont très beaux !


Je crois deviner ce qu’il se passe. Je ne vois rien mais mon imagination fait le reste et j’imagine les deux filles nues devant moi en train de regarder les seins l’une de l’autre.


- Montons sur le lit, dit Lily.
- Attends, on a oublié quelque chose.


Soudain, je sens une main se poser sur mes hanches, déboutonner mon jeans et le baisser jusqu’à mes chevilles avec mon caleçon. Mon sexe, ainsi libéré, doit se dresser fièrement vers le haut.


- On dirait qu’il est prêt, dit Claire en rigolant.


J’entends les deux filles grimper sur le lit et à nouveaux des bruits, comme si elles étaient en train de s’embrasser. Et puis au bout d’un moment, Lily se met à gémir. Je reconnais sa voix. Je ne sais pas ce que Claire est en train de lui faire mais elle a l’air d’apprécier ! Je m’agite pour défaire mes liens mais impossibles. Mes mains sont solidement attachées et mes pieds sont bloqués par le jeans. Et en remuant trop, j’ai peur de renverser la chaise et de me casse la gueule. Juste devant moi, Lily jouit doucement.


- Claire tu es vraiment la meilleure, dit-elle en reprenant son souffle.
- A moi maintenant ma belle, répond Claire.


J’entends les deux filles changer de position sur le lit et c’est maintenant Lily qui doit s’occuper de Claire. En effet, la respiration de ma cousine s’accélère, je l’entends gémir de plus en plus.


- Ahhh ! Il y a un gode dans le tiroir, utilise le !

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Claire pousse un cri plus fort que les autres, sûrement au moment où Lily lui introduit le gode dans la chatte. Claire prend vraiment son pied ! Mon sexe tressaute dans tous les sens. J’ai l’impression qu’il suffirait que je le touche pour éjaculer. Je n’ai qu’une envie c’est de me branler mais impossible, je suis bel et bien attaché. C’est une véritable torture. Claire, elle, est en train de jouir :


- Ahhh plus vite ! Ahhh ouiiiiiii !


Puis c’est le silence, comme si les deux filles reprenaient leur souffle.


- Merci ma chérie, dit Claire. Je n’avais pas joui comme ça depuis… hier soir !
- J’aurais pu dire exactement la même chose, répond Lily.


J’entends les deux filles se lever du lit et je sens qu’elles sont maintenant tout près de moi. J’entends leur respiration, elles sont toutes essoufflées. Soudain, je sens une bouche entourer mon sexe. Une des deux filles a avalé ma bite et tourne autour avec sa langue humide et chaude. La sensation est incroyable et couplée à mon excitation du moment, je me mets à jouir sur le coup. De grosses saccades partent de ma bite mais je sens que la bouche reste collée à me sexe et me pompe jusqu’à la dernière goutte. C’est la première fois que je jouis dans la bouche d’une fille. Et le pire c’est que je ne sais même pas quelle fille c’est. Le contact s’arrête, j’entends des ricanements puis on ouvre mes menottes. Quand je retire le bandeau de devant mes yeux, je suis seul dans la chambre, complètement épuisé. Mon gland est rougi et bien propre. J’ai l’impression d’avoir les couilles complètement vides…


Je mets un peu de temps à ressortir de la chambre. Devant moi, le lit est un peu défait. Le gode est encore là. Quand je pense qu’il y a 10 minutes même pas, il était dans la chatte de Claire, je me dis qu’il a de la chance dans sa vie de gode. En hommage à une histoire que j’ai lu un jour, je décide de surnommer ce gode « Nestor ». Tout le reste de la chambre est bien rangé : c’est presque difficile de croire que la scène qui vient de se dérouler s’est vraiment déroulée. Je remonte mon caleçon et mon pantalon et je rejoins les filles au salon. Elles m’accueillent avec le sourire, très calmement, comme si rien ne s’était passé. En vrai, je suis un peu en colère parce qu’elles se sont bien foutues de moi. Mais vu le final auquel j’ai eu droit, je ne sais pas si j’ai le droit de me plaindre… En tout cas, je ne les laisserai plus jamais m’attacher, ça c’est sûr !


L’après-midi se passe. En début de soirée, nous nous succédons à la douche. Je vous rappelle que ce soir, Lily sort avec ses amies tandis que moi, j’accompagne Claire à une soirée chez son mec. Je vais devoir jouer le rôle de l’ami d’enfance. Ca va être drôle… ou peut-être pas du tout ! Lily part la première rejoindre ses amis. Quand à Claire, elle me demande de l’aider à choisir entre deux tenues.


- J’ai besoin de ton avis Cyril, dis moi ce que tu préfères.
- Pas de souci, dis-je en m’asseyant sur le canapé.


La première tenue est une robe assez classique. Claire fait un petit tour sur elle-même pour me montrer la robe sous toutes les coutures puis elle quitte la pièce pour changer de vêtements. Je suis un peu déçu qu’elle ne se change pas devant… J'aurais bien aimé la voir au moins en sous-vêtements, surtout qu'on est que tous les deux dans l'appartement. Je commence même à me demander si je vais avoir l’occasion de faire quoi que ce soit avec elle pendant mon séjour. Surtout que je rentre demain… La seconde tenue est plus sexy : un minishort en jeans avec un débardeur assez décolleté bleu pastel. Bien sûr, je choisis cette deuxième tenue sans hésiter.


- Je me doutais que tu préfèrerais cella là !Tu es incorrigible.


Une fois prêts, nous partons nous aussi pour notre soirée. Nous marchons côte à côte dans la rue avec Claire et les gens doivent nous prendre pour un petit couple. Claire me fait un briefing :


- Souviens toi, je t’ai présenté comme un ami d’enfance, pas comme mon cousin. Tu vas rencontrer mon copain, tu verras il est cool.
- J’en doute pas, vu que c’est ton copain. Il s’appelle comment déjà ?
- Julien. Il y aura surtout des potes à lui à la soirée, je crois.
- Pas de souci.


Nous arrivons donc au pied de l’immeuble. Ce n’est vraiment pas très loin de chez Claire et je ne peux pas m’empêcher de penser que ça doit être pratique pour quand ils veulent baiser : à peine 10 minutes de marche et c’est plié ! Mais je ne ressens pas trop de jalousie, en tout cas moins qu’avant… Claire signale notre arrivée à l’interphone et nous prenons l’ascenseur.448

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Dans l’ascenseur, Claire se regarde dans le miroir et en profite pour se recoiffer et pour remettre en place son débardeur afin de mettre sa poitrine encore un peu plus en valeur.


- Ca va, je suis bien ? demande-t-elle.
- Très jolie, comme d’habitude !
- Je suis sûre qu’on va bien s’amuser ce soir Cyril !


La porte de l’ascenseur s’ouvre, nous sommes arrivés. Nous sonnons à la porte et après quelques secondes, un grand type brun à l’air assez costaud nous ouvre.


- Salut ma Claire ! dit-il en lui posant un baiser sur les lèvres.
- Cyril, je te présente Julien. Et Julien, je te présente Cyril, c’est mon ami d’enfance dont je t’ai parlé.
- Mais Claire m’a aussi beaucoup parlé de toi ! dis-je à Julien. Je suis content de te rencontrer !


Ce dernier m’adresse un grand sourire amical et nous invite à entrer. C’est parti pour un grand moment de théâtre : je vais devoir jouer le pote d’enfance pendant toute la soirée ! Nous sommes les premiers invités à être arrivés. Du coup on s’installe sur le canapé et on discute un moment tous les 3. Julien a l’air très sympa. Il est aussi très musclé et plus je le regarde et plus je me dis que c’est une bonne chose qu’il ne sache rien pour Claire et moi. Parce que s’il décidait de me casser la gueule, je ne ferais sûrement pas le poids !


L’ambiance, cela dit, est très détendue. Les autres invités arrivent un par un. Claire en connait certains mais pas tous apparemment. Je discute un peu avec tout le monde et j’essaye d’être sociable. Claire et Julien restent collés la plupart du temps et parfois, je surprends ce dernier à poser ses mains sur les fesses de Claire quand les autres ont le dos tourné. Claire a plutôt l’air d’apprécier et de bien s’amuser. Ca m’étonne pas, c’est bien son genre d’aimer se faire tripoter les fesses en public ! De mon côté, j’ai repéré 2 ou 3 filles jolies à qui je parle avec grand plaisir. Mais c’est Claire qui reste la plus belle et de loin : je peux d’ailleurs témoigner que tout les mecs présents dans la pièce l’ont matée à un moment ou à un autre de la soirée. Moi le premier bien sûr !


Le temps passe, l’heure tourne et les invités ont commencés à boire et semblent de plus en plus éméchés. Le volume de la musique a été tourné à fond et il y a pas mal de gens qui dansent dans le salon. Je plains les voisins qui vont surement passer la pire soirée de leur vie. C’est un sacré spectacle de voir toutes ces filles bien habillées qui dansent des collés-sérés avec des mecs qui en profitent à fond en leur mettant des mains aux fesses ou plus dès qu’ils le peuvent !


A un moment, je me retrouve un peu isolé et je m’assois sur un fauteuil du salon, un peu à l’écart des autres invités. A l’autre bout de la pièce, j’aperçois Claire qui elle aussi a l’air seule. Julien est en grande conversation avec 2 potes à lui et ne prête pas attention à elle. Nos regards se croisent.



Claire traverse le salon et s’approche de moi ; elle n’a pas l’air trop éméchée. Elle me sourit et, sans rien dire, elle s’installe sur mes genoux ce qui a pour effet de me donner un début d’érection. Ma bite, légèrement durcie, vient appuyer contre son cul. Évidemment elle s’en rend compte et je sens qu’elle se met à remuer lentement les fesses pour me stimuler un peu plus. Les invités sont en train de danser et de boire ; personne ne regarde dans notre direction alors j’en profite pour faire glisser lentement une bretelle du débardeur de ma cousine le long de son épaule.


- Tu es incorrigible, murmure-t-elle.


Doucement, je fais glisser la deuxième bretelle, libérant ainsi sa deuxième épaule. Le contact, bien que léger, avec la peau de Claire me fait frissonner. Claire regarde autour d’elle : décidément, personne n’a l’air de faire attention à nous. Alors elle se relève, m’attrape par le bras et m’entraine à l’écart. Nous quittons le salon, traversons un couloir et nous arrivons face à une porte que Claire ouvre et nous entrons.

C’est une chambre, probablement celle de Julien. Elle n’est pas très grande mais bien rangée, avec un grand lit. On entend le bruit de la musique qui est atténué par les cloisons qui nous séparent du salon, un peu comme si on était dans un monde à part.


Claire fait glisser son minishort en jeans le long de ses jambes jusqu’à ses cuisses en me regardant des les yeux avec un sourire coquin. Elle se retrouve en culotte.


- Tu vas continuer ce que tu as commencé avec mon débardeur ou bien il faut que le fasse moi-même ? demande-t-elle.


Mon cœur s’accélère ! Je m’approche d’elle et je lui retire doucement son débardeur. Sa belle poitrine, maintenue par un soutif bleu, se révèle enfin à moi. Enfin ! Depuis le temps que je voulais la revoir ! Mon regard se perd sur ses seins et entre ses seins tandis qu’elle déboutonne mon jeans et le fait glisser à mes pieds avec mon caleçon.