28-11-2020, 08:41 PM
Elle haletait pour essayer de retenir ses cris, du moins le temps qu'elles partent. Tom pouvait la voir devant lui, les bras tendus vers le mur et la tête penchée entre eux. Il aurait pu arrêter mais il voyait à sa manière de cambrer ses reins qu'elle allait bientôt jouir. C'était surréaliste. Ils étaient là tous les deux, à moitié nus dans ces toilettes publique et il prenait sa sœur en levrette pendant que ses cousines discutaient de l'autre côté de la cloison. Pourtant, cette situation périlleuse redoublait son excitation et il augmenta la puissance de ses coups de reins. Cette fois, son gland venait buter dans le ventre de Pauline et il voyait ses poings se serrer contre le mur.
- " Ca ne va pas Pauline ?" interrogea sa tante.
- "Si, si" parvint à extirper Pauline de sa gorge.
- "Mais on dirait que tu souffres. Je t'entends gémir " insista la femme. Tom ne ralentissait pas.
- "Je crois que... je vais vomir... Après ça devrait aller... mieux... Je vous rejoins...dehors" réussit à achever la jeune fille à bout de souffle.
- "D'accord, on t'attends dehors. Si tu as besoin de quelque chose, appelle-moi."
Sur ces paroles, la famille quitta les toilettes, à temps pour ne pas entre les gémissements que Pauline ne parvenait plus à retenir. Entre deux râles, elle suppliait son frère de la faire jouir, d'aller plus vite, plus fort. Tom obéissait mais sentait à chaque coup de rein qu'il se rapprochait de la limite ultime. Chaque fois qu'il sentait son gland buter au fond d'elle ou une contraction serrer sa verge dans son ventre, le frisson qui parcourait alors son dos lui envoyait un nouveau signal d'alarme. Ses doigts serraient les fesses de sa partenaire, les griffaient presque. Il se forçait à penser à autre chose mais rien n'y faisait. Sa bite qui glissait en elle était plus forte que tout, son ventre chaud et étroit était plus fort que tout, son amour et son désir pour elle étaient plus fort que tout.
En une seconde, les gémissements de Pauline se muèrent en cris qu'il eut le réflexe de bâillonner de sa main. Il s'enfonça encore en elle quelques fois, d'un mouvement sec et de toute sa longueur, la faisant sursauter à chaque fois et crier dans sa main. Elle avait jouit juste avant qu'il n'atteigne la limite de hors-contrôle. Son sexe palpitait encore en elle tandis qu'elle se redressait pour se serrer contre lui.
- "Merci...c'était génial..." soupira-t-elle.
- "On a joué avec le feu encore une fois mais bravo pour tes talents d'actrice" lâcha-t-il, taquin.
- "Pas trop dur pour toi ?"
- "Une torture, tu veux dire ! Sans préservatif, c'était trop intense !" dit-il d'une voix où se mêlait crainte et exaltation.
- "Ah, ah, ah ! Je le savais. C'était que c'est carrément mieux sans. Il faudrait peut-être que je puisse prendre la pilule. Mais c'est pas gagné sans que maman ne le sache."
- "Bon, en tout cas, il faut rejoindre les autres. Mais je reste sur ma faim, moi..." lança-t-il, dépité.
- "T'inquiète, frangin, la journée n'est pas finie !" lui sourit-elle avec un clin d'œil.
Les deux ados sortirent discrètement des toilettes et rejoignirent le groupe. Pauline annonça qu'elle allait bien mieux maintenant et qu'ils pouvaient reprendre la route. Cette fois, les deux frère et sœur se tinrent tranquille dans la voiture, non sans se câliner tendrement cette fois.
A l'arrivée de toute la petite famille sur le site du château, il y eu une nouvelle pose pour que tous puissent se détendre les jambes et se désaltérer. Pauline et Tom se mêlèrent au groupe. Bien qu'ils soient amoureux l'un de l'autre, ils n'étaient pas le genre de personne à rester coller ensemble toute la journée, surtout au milieu d'un groupe. Ils aimaient interagir avec les autres, discuter et apprendre de nouvelles choses, tantôt en se rapprochant du vieil oncle féru d'histoire du Moyen-âge, tantôt partageant avec les cousins des derniers potins people sur leurs stars préférées. Mais jamais ils ne se perdaient du regard dans la foule, jamais l'autre ne sortait réellement des pensées.
Durant la matinée, toute la famille explora les ruines entourant le cœur du château et son donjon. Les enfants couraient entre les blocs de pierres écroulés ou les buissons qui reprenaient l'espace qui leur avait jadis appartenu. Les adultes prenaient des photos tout en surveillant du coin de l'œil la troupe. Les ados erraient avec plus ou moins de fascination pour les ruines, se plaisant à imaginer quelles troupes gardaient telle tour de garde, quel geôlier vivait dans les souterrains dont ils apercevaient parfois une entrée ou quelle stratégie le capitaine des gardes échafaudait du haut des créneaux ébranlés. Pauline était avec sa cousine et son amie en avant des garçons. Eux grimpaient sur les pierres, rivalisaient d'adresse dans des défis et mimaient des scènes de combat.
Pendant une minute, Tom perdit Pauline du regard. La cherchant, il s'éloigna de quelques mètres du reste du groupe. C'est à ce moment qu'elle l'attrapa de derrière un buisson et le tira à elle. Alors qu'il protestait, elle lui déposa quelque chose dans la main avant de lui donner un rapide baiser sur les lèvres et de s'enfuir d'un pas sautillant. Après qu'elle l'eut quitté, Tom baissa les yeux vers sa main et découvrit une petite culotte, celle qu'il avait aperçu tout à l'heure dans les toilettes. Il la regarda comme si c'était la première fois qu'il en voyait une. Pauline venait de le quitter sans rien porter sous sa jupe ? Cette idée tourna en boucle durant plusieurs dizaines de secondes dans sa tête. Il restait comme hypnotisé par elle, imaginant les petites fesses de son amoureuse ballotter librement sous le tissu de sa jupe, le vent risquant de la dévoiler à tout moment. Par chance, le vent ne semblait pas s'être levé aujourd'hui. En tout cas, pour l'instant. L'appel de ses amis l'extirpa de ses rêveries mais il lui fallut encore quelques dizaines de secondes pour calmer l'érection qui déformait son short.
- " Ca ne va pas Pauline ?" interrogea sa tante.
- "Si, si" parvint à extirper Pauline de sa gorge.
- "Mais on dirait que tu souffres. Je t'entends gémir " insista la femme. Tom ne ralentissait pas.
- "Je crois que... je vais vomir... Après ça devrait aller... mieux... Je vous rejoins...dehors" réussit à achever la jeune fille à bout de souffle.
- "D'accord, on t'attends dehors. Si tu as besoin de quelque chose, appelle-moi."
Sur ces paroles, la famille quitta les toilettes, à temps pour ne pas entre les gémissements que Pauline ne parvenait plus à retenir. Entre deux râles, elle suppliait son frère de la faire jouir, d'aller plus vite, plus fort. Tom obéissait mais sentait à chaque coup de rein qu'il se rapprochait de la limite ultime. Chaque fois qu'il sentait son gland buter au fond d'elle ou une contraction serrer sa verge dans son ventre, le frisson qui parcourait alors son dos lui envoyait un nouveau signal d'alarme. Ses doigts serraient les fesses de sa partenaire, les griffaient presque. Il se forçait à penser à autre chose mais rien n'y faisait. Sa bite qui glissait en elle était plus forte que tout, son ventre chaud et étroit était plus fort que tout, son amour et son désir pour elle étaient plus fort que tout.
En une seconde, les gémissements de Pauline se muèrent en cris qu'il eut le réflexe de bâillonner de sa main. Il s'enfonça encore en elle quelques fois, d'un mouvement sec et de toute sa longueur, la faisant sursauter à chaque fois et crier dans sa main. Elle avait jouit juste avant qu'il n'atteigne la limite de hors-contrôle. Son sexe palpitait encore en elle tandis qu'elle se redressait pour se serrer contre lui.
- "Merci...c'était génial..." soupira-t-elle.
- "On a joué avec le feu encore une fois mais bravo pour tes talents d'actrice" lâcha-t-il, taquin.
- "Pas trop dur pour toi ?"
- "Une torture, tu veux dire ! Sans préservatif, c'était trop intense !" dit-il d'une voix où se mêlait crainte et exaltation.
- "Ah, ah, ah ! Je le savais. C'était que c'est carrément mieux sans. Il faudrait peut-être que je puisse prendre la pilule. Mais c'est pas gagné sans que maman ne le sache."
- "Bon, en tout cas, il faut rejoindre les autres. Mais je reste sur ma faim, moi..." lança-t-il, dépité.
- "T'inquiète, frangin, la journée n'est pas finie !" lui sourit-elle avec un clin d'œil.
Les deux ados sortirent discrètement des toilettes et rejoignirent le groupe. Pauline annonça qu'elle allait bien mieux maintenant et qu'ils pouvaient reprendre la route. Cette fois, les deux frère et sœur se tinrent tranquille dans la voiture, non sans se câliner tendrement cette fois.
A l'arrivée de toute la petite famille sur le site du château, il y eu une nouvelle pose pour que tous puissent se détendre les jambes et se désaltérer. Pauline et Tom se mêlèrent au groupe. Bien qu'ils soient amoureux l'un de l'autre, ils n'étaient pas le genre de personne à rester coller ensemble toute la journée, surtout au milieu d'un groupe. Ils aimaient interagir avec les autres, discuter et apprendre de nouvelles choses, tantôt en se rapprochant du vieil oncle féru d'histoire du Moyen-âge, tantôt partageant avec les cousins des derniers potins people sur leurs stars préférées. Mais jamais ils ne se perdaient du regard dans la foule, jamais l'autre ne sortait réellement des pensées.
Durant la matinée, toute la famille explora les ruines entourant le cœur du château et son donjon. Les enfants couraient entre les blocs de pierres écroulés ou les buissons qui reprenaient l'espace qui leur avait jadis appartenu. Les adultes prenaient des photos tout en surveillant du coin de l'œil la troupe. Les ados erraient avec plus ou moins de fascination pour les ruines, se plaisant à imaginer quelles troupes gardaient telle tour de garde, quel geôlier vivait dans les souterrains dont ils apercevaient parfois une entrée ou quelle stratégie le capitaine des gardes échafaudait du haut des créneaux ébranlés. Pauline était avec sa cousine et son amie en avant des garçons. Eux grimpaient sur les pierres, rivalisaient d'adresse dans des défis et mimaient des scènes de combat.
Pendant une minute, Tom perdit Pauline du regard. La cherchant, il s'éloigna de quelques mètres du reste du groupe. C'est à ce moment qu'elle l'attrapa de derrière un buisson et le tira à elle. Alors qu'il protestait, elle lui déposa quelque chose dans la main avant de lui donner un rapide baiser sur les lèvres et de s'enfuir d'un pas sautillant. Après qu'elle l'eut quitté, Tom baissa les yeux vers sa main et découvrit une petite culotte, celle qu'il avait aperçu tout à l'heure dans les toilettes. Il la regarda comme si c'était la première fois qu'il en voyait une. Pauline venait de le quitter sans rien porter sous sa jupe ? Cette idée tourna en boucle durant plusieurs dizaines de secondes dans sa tête. Il restait comme hypnotisé par elle, imaginant les petites fesses de son amoureuse ballotter librement sous le tissu de sa jupe, le vent risquant de la dévoiler à tout moment. Par chance, le vent ne semblait pas s'être levé aujourd'hui. En tout cas, pour l'instant. L'appel de ses amis l'extirpa de ses rêveries mais il lui fallut encore quelques dizaines de secondes pour calmer l'érection qui déformait son short.