03-12-2020, 01:34 AM
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Totalement sidéré, Giovanni zona encore en ville et photographia à tout va. Et il reçut un message explicite de son ami : « Mission accomplie, réservoirs vides ».
À défaut d’être de la littérature, ça avait le mérite d’être clair ! Il l’appela aussitôt, et l’on se retrouva chez Paolo.
Ravi de son coup… c’était le cas de le dire. Et amusé aussi de la suite de l’histoire avec le vicaire. Giovanni lui proposa de visionner ses photos en vitesse, mais Paolo refusa tout net :
— Je connais ce pays par cœur depuis dix-huit ans, alors tu vas pas me faire tartir avec ces vieilleries !
Décision lourde de conséquences… mais qui ne pouvaient apparaître aux yeux de ces jeunes gens. D’ailleurs on parla d’autre chose : la grand-mère de Giovanni invitait Paolo aux lasagnes, et celui-ci accepta avec le sourire.
— Tu baises, ce soir ? demanda Giovanni en chemin.
— Non, j’me refais une santé ! Demain est un autre jour, et j’ai pas envie de le rater !
Cette réponse fit sourire Giovanni in petto… Il attendait donc bien le même réveil que ce matin, le p’tit vicelard ! Et il l’aurait, pour sûr !
Néanmoins, après le copieux dîner, Paolo reçut un appel qui le délogea prestement de la maison…
La table rangée et le lave-vaisselle garni par ces jeunes gens, les grands-parents se mirent devant la télé, et Giovanni alla dans sa vaste chambre, dotée d’une petite salle de bains avec douche. Il n’y avait fait qu’une rapide toilette la veille, mais là, après sa randonnée en ville, il lui fallait une longue douche !
Et il ouvrit la fenêtre en grand, tant il faisait encore chaud. Or il venait tout juste de revenir, nu, dans le cabinet de toilette qu’il ouït un bruit, et il alla voir à la fenêtre…
Pour tomber sur le plus aimable spectacle du monde : un jeune mec se douchait, au rez-de-chaussée de la maison voisine. Sa fenêtre étant grand ouverte, il ne perdait rien de la représentation, qui le scotcha : le mec était un genre de sportif remarquablement fait. De plus, et c’est ce qui le fascina incontinent, il avait de petites fesses carrées et des jambes fuselées velues de sombre, et ça…
Oups ! Il banda tout de suite, le gars Giovanni ! Et même se prit la quéquette en main. Or ce fut à cet instant que le mec se retourna : le devant dépassait les promesses de l’arrière !
Fin mais musclé, velu fort joliment, et pourvu d’un joli membre qui ne demandait qu’à vous faire la conversation, bref… c’était une splendeur que ce mec-là !
Et soudain, soudain ! Le mec leva la tête, pour plonger les yeux en ceux de Giovanni, qui crut défaillir : ce mec était son curé ! Qui le reconnut et lui fit un grand geste du bras, tout sourire !
Tétanisé, Giovanni mit quelques secondes avant de le lui rendre, puis il se recula, le cœur battant à tout rompre. Il se laissa choir sur le tabouret du cabinet de toilette, effondré. Et dire qu’il avait rendez-vous avec le padre, le lendemain !
Et un qui en mourrait de rire serait bien le Paolo, oui ! La douche le calma, un peu, et quand il alla fermer la fenêtre, celle d’à côté était close aussi. Il descendit et demanda aux grands-parents :
— Y a des gens, à côté ? De ma salle de bains, j’ai vu de la lumière…
— Oui… En ce moment, c’est loué par la paroisse pour le nouveau vicaire, un garçon très aimable, d’ailleurs, répondit la grand-mère. Et archicalme, il ne t’empêchera pas de dormir !
« Pas sûr, ça ! » songea Giovanni…
Il embrassa ses grands-parents et remonta tapoter son ordinateur. Au bout d’un moment, il eut envie d’aller jeter un coup d’œil où vous savez… et ne fut pas déçu : il n’avait, à dessein, pas fermé complètement la fenêtre, aussi put-il voir, n’ayant pas allumé, évidemment, le rude vicaire se palucher comme un diable dans sa douche… face à lui. Pas trop de doute à avoir, sur ce coup-là : il destinait l’exercice à son public.
Giovanni en fit autant immédiatement, pensez ! La pine au curé était un goupillon de compète, pas moins. Et Giovanni n’avait pas à se plaindre de la sienne, nenni ! Bref, il s’arrangea pour gicler en même temps que le bel ecclésiastique et attendit que l’autre sortît avant de bouger…
Il avait appris deux choses : que le padre était une bestiole absolument magnifique… et qu’il ne lui déplaisait pas de s’exhiber devant lui. Question : l’abbé l’avait compris comme gay, pour agir ainsi ?
Sa nuit fut agitée de rêves dont la température ne devait rien au Réchauffement, qu’on se le dise ! Et au matin, non sans avoir constaté que le padre ne se douchait point, il courut presque chez Paolo, où l’attendait, du moins l’espérait-il, un autre plaisir…
Pas déçu du voyage, il retrouva son ami languissamment étendu, nu et bandant comme un vrai jeune homme. Il le pompa avec douceur, longuement. Paolo fit celui qui dormait avec une science d’acteur international… mais n’oublia pas de garnir généreusement le gosier de Giovanni de sa généreuse sauce… qui n’avait rien de bolognaise !
— Oh, c’est toi !... fit-il avec un naturel parfait quand Giovanni eut tout avalé. Content de te voir, mon pote !
Giovanni posa un dernier bisou sur la belle ogive de son ami, et l’on alla à la douche, où Paolo lui pissa dessus, comme la veille, sans autre commentaire.
Mais il quitta sa rouée sérénité quand il ouït les aveux, à voix basse, de Giovanni…
— Oh p’tain, il aura pas besoin de mes confessions pour te sauter dessus, le curé ! Nom de dieu !
On déjeuna sous l’œil bienveillant de la mamma puis on s’alla promener, Giovanni avec son appareil photo.
— T’as pas eu l’idée de le photographier en train de se branler, ton curé ? demanda Paolo, goguenard.
— Non… fit Giovanni, qui s’en voulut soudain de ne l’avoir pas eu, celle lumineuse idée. Mais stop ! Y a rien d’fait ! Il est peut-être juste un peu exhib’, vot’ curé !
— Alors tout va bien ! Tu lui montres ta bite, et zou !
Giovanni haussa les épaules. Et au coin de la première rue, on tomba sur l’inévitable vicaire — la ville n’était pas grande, rappelons-le — ; Giovanni fit les présentations, et le padre proposa qu’on transférât les images de l’appareil séance tenante, sur un banc de la placette où l’on était.
Ainsi fut fait. Puis le padre invita les garçons à l’apéro le soir même ; on accepta.
— T’iras seul, évidemment ! ricana ensuite Paolo.
— Lâcheur !
— Lécheur toi-même !
Ce fut bien impressionné que Giovanni alla sonner chez son voisin. Qui lui ouvrit ni en soutane, ni en clergyman, mais bien en short et débardeur moulant…
— Entre ! Je pense qu’on peut se tutoyer… depuis que tu m’as vu sous la douche !
Giovanni rougit… mais le mec sans soutane était du dernier craquant… et non plus impressionnant… de la même façon.
— J’ai vu tes photos… Superbes ! Juste un mot : il y a une série d’un jeune homme… c’est un ami à toi ?
— Euh… Disons, un ami d’autrefois, oui.
— Tes images me plaisent, et je me demande si l’on ne pourrait pas en faire une édition pour la paroisse, et même les revendre à la Ville.
— Hein ?
— Un peu de sous ne peut nuire ! Une coupe d’asti ?
L’asti glacé donna un petit coup de fouet à un Giovanni qui en avait besoin… surtout quand il vit paraître, d’un côté du short de son hôte, avachi en face de lui, ce qui ressemblait fortement à un prépuce…
Il s’efforça d’en éloigner son regard, et, poussé par les bulles, en fit un peu plus dans le comique. Mais le curé vint se poser près de lui sur le petit canapé, et lui posa une main sur son genou nu en disant :
— Tu sais, il est très mignon, le minet que tu as photographié, mais… tu as dû te tromper, car je connais cette famille… qui n’est arrivée ici qu’il y a deux mois.
Saisi, Giovanni eut un tremblement. Le curé continua :
— Mais j’en aurais fait autant à ta place. Seulement tu te rends bien compte que, dans ma position…
Et là, le vicaire usa de sa position, justement, pour remonter la main vers le haut de la cuisse d’un Giovanni qui se sentit frémir derechef, puis… Puis ce garçon perçut une sorte de début d’émotion entre les jambes, et…
— Padre… souffla-t-il.
— Hors soutane, tu m’appelles Rodolfo, Giovanni ! Ne confonds pas l’habit, et le moine !
Tétanisé, Giovanni fit pourtant l’effort de se dire que ce mec était une beauté… et qu’il n’avait rien à faire du reste. Il s’abandonna donc en renversant la tête en arrière, et la suite fut conforme à ses fantasmes : promptement défait par le curé, il se sentit happer la bite par une bouche experte et douce, et émit un long soupir…
Vu de près, le vicaire aperçu dans sa douche était autrement plus bandant ! Et Giovanni en fit ses délices, lui qui avait tant à apprendre de la vie ! Le catéchisme de base de la gaytitude lui fut administré par ce splendide spécimen de l’espèce humaine… qui faillit le faire croire en Dieu !
Le curé n’y alla pas de main morte, qui s’en fit défoncer, et vivement, encore ! Il était en nage, Giovanni, quand il déborda enfin dans le cul musclé et velu de Rodolfo !
Lequel s’en fit alors sucer… et lui tint la tête au moment de la bénédiction finale… pas à l’eau bénite.
Giovanni était aux anges, c’est le cas de le dire. On se doucha fort gentiment, et le vicaire expliqua être de noble famille, dont la seule façon de se libérer était la prêtrise.
— Mais tout le monde fait semblant d’oublier que sous la soutane, il y a des mecs !
— Je m’en souviendrai, moi, fit Giovanni, niaisement.
La suite des événements fut mignonne : présenté aux grands-parents, Rodolfo y eut table ouverte… comme son lit l’était à Giovanni.
Et le sommet de la saison mondaine fut atteint ce jour où Giovanni alla réveiller, comme chaque matin, son ami Paolo… mais en compagnie du vicaire… qui se chargea de pomper le mignon mecton… Tête d’iceluy !
Vacances de rêve, vacances trop brèves…
Totalement sidéré, Giovanni zona encore en ville et photographia à tout va. Et il reçut un message explicite de son ami : « Mission accomplie, réservoirs vides ».
À défaut d’être de la littérature, ça avait le mérite d’être clair ! Il l’appela aussitôt, et l’on se retrouva chez Paolo.
Ravi de son coup… c’était le cas de le dire. Et amusé aussi de la suite de l’histoire avec le vicaire. Giovanni lui proposa de visionner ses photos en vitesse, mais Paolo refusa tout net :
— Je connais ce pays par cœur depuis dix-huit ans, alors tu vas pas me faire tartir avec ces vieilleries !
Décision lourde de conséquences… mais qui ne pouvaient apparaître aux yeux de ces jeunes gens. D’ailleurs on parla d’autre chose : la grand-mère de Giovanni invitait Paolo aux lasagnes, et celui-ci accepta avec le sourire.
— Tu baises, ce soir ? demanda Giovanni en chemin.
— Non, j’me refais une santé ! Demain est un autre jour, et j’ai pas envie de le rater !
Cette réponse fit sourire Giovanni in petto… Il attendait donc bien le même réveil que ce matin, le p’tit vicelard ! Et il l’aurait, pour sûr !
Néanmoins, après le copieux dîner, Paolo reçut un appel qui le délogea prestement de la maison…
La table rangée et le lave-vaisselle garni par ces jeunes gens, les grands-parents se mirent devant la télé, et Giovanni alla dans sa vaste chambre, dotée d’une petite salle de bains avec douche. Il n’y avait fait qu’une rapide toilette la veille, mais là, après sa randonnée en ville, il lui fallait une longue douche !
Et il ouvrit la fenêtre en grand, tant il faisait encore chaud. Or il venait tout juste de revenir, nu, dans le cabinet de toilette qu’il ouït un bruit, et il alla voir à la fenêtre…
Pour tomber sur le plus aimable spectacle du monde : un jeune mec se douchait, au rez-de-chaussée de la maison voisine. Sa fenêtre étant grand ouverte, il ne perdait rien de la représentation, qui le scotcha : le mec était un genre de sportif remarquablement fait. De plus, et c’est ce qui le fascina incontinent, il avait de petites fesses carrées et des jambes fuselées velues de sombre, et ça…
Oups ! Il banda tout de suite, le gars Giovanni ! Et même se prit la quéquette en main. Or ce fut à cet instant que le mec se retourna : le devant dépassait les promesses de l’arrière !
Fin mais musclé, velu fort joliment, et pourvu d’un joli membre qui ne demandait qu’à vous faire la conversation, bref… c’était une splendeur que ce mec-là !
Et soudain, soudain ! Le mec leva la tête, pour plonger les yeux en ceux de Giovanni, qui crut défaillir : ce mec était son curé ! Qui le reconnut et lui fit un grand geste du bras, tout sourire !
Tétanisé, Giovanni mit quelques secondes avant de le lui rendre, puis il se recula, le cœur battant à tout rompre. Il se laissa choir sur le tabouret du cabinet de toilette, effondré. Et dire qu’il avait rendez-vous avec le padre, le lendemain !
Et un qui en mourrait de rire serait bien le Paolo, oui ! La douche le calma, un peu, et quand il alla fermer la fenêtre, celle d’à côté était close aussi. Il descendit et demanda aux grands-parents :
— Y a des gens, à côté ? De ma salle de bains, j’ai vu de la lumière…
— Oui… En ce moment, c’est loué par la paroisse pour le nouveau vicaire, un garçon très aimable, d’ailleurs, répondit la grand-mère. Et archicalme, il ne t’empêchera pas de dormir !
« Pas sûr, ça ! » songea Giovanni…
Il embrassa ses grands-parents et remonta tapoter son ordinateur. Au bout d’un moment, il eut envie d’aller jeter un coup d’œil où vous savez… et ne fut pas déçu : il n’avait, à dessein, pas fermé complètement la fenêtre, aussi put-il voir, n’ayant pas allumé, évidemment, le rude vicaire se palucher comme un diable dans sa douche… face à lui. Pas trop de doute à avoir, sur ce coup-là : il destinait l’exercice à son public.
Giovanni en fit autant immédiatement, pensez ! La pine au curé était un goupillon de compète, pas moins. Et Giovanni n’avait pas à se plaindre de la sienne, nenni ! Bref, il s’arrangea pour gicler en même temps que le bel ecclésiastique et attendit que l’autre sortît avant de bouger…
Il avait appris deux choses : que le padre était une bestiole absolument magnifique… et qu’il ne lui déplaisait pas de s’exhiber devant lui. Question : l’abbé l’avait compris comme gay, pour agir ainsi ?
Sa nuit fut agitée de rêves dont la température ne devait rien au Réchauffement, qu’on se le dise ! Et au matin, non sans avoir constaté que le padre ne se douchait point, il courut presque chez Paolo, où l’attendait, du moins l’espérait-il, un autre plaisir…
Pas déçu du voyage, il retrouva son ami languissamment étendu, nu et bandant comme un vrai jeune homme. Il le pompa avec douceur, longuement. Paolo fit celui qui dormait avec une science d’acteur international… mais n’oublia pas de garnir généreusement le gosier de Giovanni de sa généreuse sauce… qui n’avait rien de bolognaise !
— Oh, c’est toi !... fit-il avec un naturel parfait quand Giovanni eut tout avalé. Content de te voir, mon pote !
Giovanni posa un dernier bisou sur la belle ogive de son ami, et l’on alla à la douche, où Paolo lui pissa dessus, comme la veille, sans autre commentaire.
Mais il quitta sa rouée sérénité quand il ouït les aveux, à voix basse, de Giovanni…
— Oh p’tain, il aura pas besoin de mes confessions pour te sauter dessus, le curé ! Nom de dieu !
On déjeuna sous l’œil bienveillant de la mamma puis on s’alla promener, Giovanni avec son appareil photo.
— T’as pas eu l’idée de le photographier en train de se branler, ton curé ? demanda Paolo, goguenard.
— Non… fit Giovanni, qui s’en voulut soudain de ne l’avoir pas eu, celle lumineuse idée. Mais stop ! Y a rien d’fait ! Il est peut-être juste un peu exhib’, vot’ curé !
— Alors tout va bien ! Tu lui montres ta bite, et zou !
Giovanni haussa les épaules. Et au coin de la première rue, on tomba sur l’inévitable vicaire — la ville n’était pas grande, rappelons-le — ; Giovanni fit les présentations, et le padre proposa qu’on transférât les images de l’appareil séance tenante, sur un banc de la placette où l’on était.
Ainsi fut fait. Puis le padre invita les garçons à l’apéro le soir même ; on accepta.
— T’iras seul, évidemment ! ricana ensuite Paolo.
— Lâcheur !
— Lécheur toi-même !
Ce fut bien impressionné que Giovanni alla sonner chez son voisin. Qui lui ouvrit ni en soutane, ni en clergyman, mais bien en short et débardeur moulant…
— Entre ! Je pense qu’on peut se tutoyer… depuis que tu m’as vu sous la douche !
Giovanni rougit… mais le mec sans soutane était du dernier craquant… et non plus impressionnant… de la même façon.
— J’ai vu tes photos… Superbes ! Juste un mot : il y a une série d’un jeune homme… c’est un ami à toi ?
— Euh… Disons, un ami d’autrefois, oui.
— Tes images me plaisent, et je me demande si l’on ne pourrait pas en faire une édition pour la paroisse, et même les revendre à la Ville.
— Hein ?
— Un peu de sous ne peut nuire ! Une coupe d’asti ?
L’asti glacé donna un petit coup de fouet à un Giovanni qui en avait besoin… surtout quand il vit paraître, d’un côté du short de son hôte, avachi en face de lui, ce qui ressemblait fortement à un prépuce…
Il s’efforça d’en éloigner son regard, et, poussé par les bulles, en fit un peu plus dans le comique. Mais le curé vint se poser près de lui sur le petit canapé, et lui posa une main sur son genou nu en disant :
— Tu sais, il est très mignon, le minet que tu as photographié, mais… tu as dû te tromper, car je connais cette famille… qui n’est arrivée ici qu’il y a deux mois.
Saisi, Giovanni eut un tremblement. Le curé continua :
— Mais j’en aurais fait autant à ta place. Seulement tu te rends bien compte que, dans ma position…
Et là, le vicaire usa de sa position, justement, pour remonter la main vers le haut de la cuisse d’un Giovanni qui se sentit frémir derechef, puis… Puis ce garçon perçut une sorte de début d’émotion entre les jambes, et…
— Padre… souffla-t-il.
— Hors soutane, tu m’appelles Rodolfo, Giovanni ! Ne confonds pas l’habit, et le moine !
Tétanisé, Giovanni fit pourtant l’effort de se dire que ce mec était une beauté… et qu’il n’avait rien à faire du reste. Il s’abandonna donc en renversant la tête en arrière, et la suite fut conforme à ses fantasmes : promptement défait par le curé, il se sentit happer la bite par une bouche experte et douce, et émit un long soupir…
Vu de près, le vicaire aperçu dans sa douche était autrement plus bandant ! Et Giovanni en fit ses délices, lui qui avait tant à apprendre de la vie ! Le catéchisme de base de la gaytitude lui fut administré par ce splendide spécimen de l’espèce humaine… qui faillit le faire croire en Dieu !
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— Mais tout le monde fait semblant d’oublier que sous la soutane, il y a des mecs !
— Je m’en souviendrai, moi, fit Giovanni, niaisement.
La suite des événements fut mignonne : présenté aux grands-parents, Rodolfo y eut table ouverte… comme son lit l’était à Giovanni.
Et le sommet de la saison mondaine fut atteint ce jour où Giovanni alla réveiller, comme chaque matin, son ami Paolo… mais en compagnie du vicaire… qui se chargea de pomper le mignon mecton… Tête d’iceluy !
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