22-07-2020, 07:24 PM
(Modification du message : 07-01-2024, 11:12 PM par fablelionsilencieux.)
La "hot" du père Noël !
Les personnages de cette histoire ont des rapports non protégés. Il ne s’agit que d’un fantasme de l’auteur, et en aucun cas une incitation. Dans la vraie vie, pensez à utiliser des préservatifs !
Du « Calendrier de l'Avent (drabbles, gay) » de lange128
Je lui ai volé dix lignes d'une de ses courtes histoires pour la transformer à ma façon, la voici.
&=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*&
La "hot" du père Noël !
Dans un centre commercial géant, les grands magasins avaient l’habitude de décorer leurs vitrines de manière très originale avant Noël et Saint Sylvestre.
Cette année-là, ils avaient prévu d'utiliser des mannequins vivants, de 7 à 77 ans. J’ai répondu à l’annonce, étant étudiant (et donc fauché comme les blés), c’était très bien payé, en plus d'une carte de réduction de vingt pourcent, cela me permettrait d’offrir des cadeaux de Noël à tous mes proches.
Formulaires, cv, copies d’identité et photos diverses envoyées.
Je fus pris dans la sélection et, sans le lire, signai le contrat. Fournissant documents supplémentaires et bilan de santé récent.
Chaque tableau ne durait qu’un jour, de dix à vingt heures.
Le 19 décembre, j’avais rendez-vous le matin.
Pour cette prestation, nous n’étions que trois jeunes hommes.
oOoOo
Je nous présente tout d’abord : je m’appelle Kevin, j’avais eu 18 ans à Halloween, étudiant en sport études, je mesurais 1m79, 69 kg, blond cendré, yeux marrons, cheveux courts, imberbe intégral (faisant partie de l'équipe de natation) et la musculature qui va avec. Une frimousse à la Sven Basquiat.
Le deuxième est noir ébène, Koffy, Ivoirien, né en France. 1m85, 83 kg, 21 ans, une montagne de muscles derrière un sourire enjôleur. Pour tout système pileux, sourcils et cils, le sosie parfait d'Omar Sy jeune. Cuisinier dans une école.
Le troisième est rebeu, Karim, 1m75, 19 ans, pour 66 kilos de muscles secs (ancien footeux), teint brun mat et corps glabre, crinière et barbe courte noires, mais des yeux incroyablement bleus océan, des lèvres minces et une boucle d'oreille au lobe gauche, diamant de belle taille sur ce prince du désert, assurément cousin d’un Omar Borkan Al Gala. Intérimaire dans le bâtiment.
oOoOo
Après nous avoir amenés à la loge -spartiate mais assez fonctionnelle- située au sous-sol, sous le lieu de nos futures démonstrations, (un escalier en colimaçon, camouflé dans le décor, permet d'y accéder instantanément) le décorateur nous expliqua le thème de la journée, les rois mages : Balthazar, Gaspard et Melchior. Version jeune et moderne, précisa-t-il.
— Vous aurez cinq minutes de pause chaque heure à tour de rôle, vous devrez vous changer tous les quarts d'heure, pour montrer d’autres modèles. Mais cela ne prendra pas trop de temps aujourd’hui. Fit-il en riant ; c’est de la lingerie masculine. Pas de questions ?
Le décorateur ouvrit un carton plein de sous-vêtements, il y en avait de toutes les formes, de toutes les couleurs... mais, tous sexy et de grandes marques !
Je réalisai alors que je serai presque nu. J’étais tombé sur le mauvais jour, la mauvaise vitrine. Les deux autres avaient aussi l’air embarrassé. Il nous dit d’en prendre un au hasard. Je tombai sur un string rouge sang, ça commençait bien. Mes compagnons d’infortune avaient pioché : Koffy, un boxer blanc en dentelle opaque et Karim, un jock-stap bleu roi logoté or…
Ainsi habillés (si peu), Nous entrâmes dans la vitrine décorée.
Celle-ci, était la dernière de la galerie marchande, le sol recouvert de sable et le fond représentant les dunes d'un désert au ciel bleu nuit étoilé, un tapis d'orient et trois poufs dans le coin droit, dans le gauche deux palmiers cachaient l'escalier.
Les deux premières heures nous permirent de nous décontracter, riant même de l'insolite de la situation, passant de sous-vêtements en sous-vêtements, c'est après la collation de midi que les choses se corsèrent, si la première boite cachait nos attributs garçonniers suffisamment les suivantes, au contenu de plus en plus minimaliste et transparent, nous mirent en émoi progressivement…
… Les puissants spots faisaient luire nos corps, comme huilés, exposés aux regards des badauds. Nous étions dans notre rôle, nous pavanant tel des messieurs muscles sur scène, de face, de profil, comme de dos. Inconscients et désinhibés de toute pudeur. Exhibant les reliefs progressifs de nos semi-érections de façon lascive, chaloupée.
oOoOo
Ce que nous ne savions pas, c'est que les sandwichs fournis au lunch avaient été "améliorés", afin de nous rendre euphoriques, par l'accessoiriste et que les boissons à notre disposition pendant nos pauses et changements de l'après-midi, contenaient l'équivalent du Viagra puissance dix !
Ainsi qu’il y avait également plusieurs micros et webcams HD invisibles dans le décor !
De fait, de plus en plus de passants s'agglutinaient devant la vitre de l'enseigne réputée exclusivement masculine, certains se caressaient la main en poche, d'autres moins discrètement.
Nous nous frôlions de plus en plus, parades de males en rut diffusant leurs phéromones. Tout cela était fort érotique et nos queues gonflèrent encore dans leurs trop petites prisons textiles, prenant toute la place jusqu'à faire émerger les glands, l’élastique décalotta le mien, mon prépuce y fut retroussé au passage périscopique du tissu, brillants et perlant tous de mouille.
Les caresses se firent plus ciblées et devinrent hautement érotico-pornographiques, quand l'un des spectateurs, plus téméraire et presque collé à la vitrine, sorti son attirail turgescent de son pantalon, pour s'astiquer le candélabre.
Il était 13.26,
Son geste déclencha une envie frénétique -par nous trop longtemps contenue- de baise, les clips des strings de strip-teaseurs en voile que nous portions sautèrent comme par magie, Koffy, planté sur ses jambes écartées, attrapa ma tête pour l'amener à son chibre digne d’un Ridder Rivera et Karim à genoux derrière moi releva ma croupe pour la déguster comme un mort de faim. Je pompais la barre de chocolat au rythme de l'éponge linguale du beau rebeu. Celui-ci me doigtait en alternance, allant jusqu’à 3 doigts, il finit par se relever et, de son cimeterre de titane, m'embrocha d'une seule poussée, entamant un rodéo endiablé dans mon corral de chair, chaque attaque de mon pourfendeur me propulsant un peu plus sur le sceptre de mon black, mes mains accrochées à son fessier généreux.
Les râles de plaisir se firent plus sonores, plus intenses, plus rauques ...
Je lui faisais des gorges profondes sans sourciller, tellement l'irradiation des sensations jouissives explosant dans mon cerveau hors contrôle me rendait chiennasse à l’extrême, je remuais du derche cherchant à gagner encore quelques millimètres, ma queue jouant du tambourin sur mes abdominaux, tant elle était rigide, je sentais le point culminant de notre exhibition proche du final, nos respirations haletantes et nos gémissements de boucs en chaleur résonnaient dans l'espace exigu de la pièce.
Profitant de la bave, coulant en abondance le long de la matraque d'ébène occupant mon gosier, je m'en enduisis deux doigts et glissais ma main entre les jambons de Koffy, lui carrant index et majeur dans le fion, ce qui le fit cabré et jouir instantanément en bramant comme un orignal du grand nord canadien, les doigts crispés dans ma chevelure, ses puissantes giclées partant en lignes droites dans mon estomac, je jouissais dans l'instant sans même me toucher et les spasmes de ma rondelle sur l'estoc qui me pourfendait eurent raison de mon cavalier, il me féconda en rugissant tel un lion de l’Atlas. Me faisant farcir et gaver comme une oie, des deux cotés à la fois !
Nous nous écroulâmes pêle-mêle sur le sable, épuisés, hagards mais planant dans une douce béatitude due à cette petite mort libératrice.
Ce sont les applaudissements, nous parvenant au travers du carreau, qui nous ramenèrent à la réalité et nous firent reprendre nos esprits. (carreau où plusieurs trainées de filament, foutreux et visqueux dégoulinaient sur sa surface)
Koffi me regardait, un large sourire au visage et m'ébouriffa les cheveux, Karim m'attira à lui et me roula un patin d'enfer.
Nous fîmes une rapide pause douche, avant de reprendre le travail.
Les boissons "énergisantes" s'y trouvant calmèrent notre soif... pas notre "faim", que du contraire, moins d’une heure et nous recommencions nos ébats !
Inversant les partenaires, revisitant le Kamasoutra, toute l’après-midi y passa !
Plus souvent nus que ceinturés de tissus, cela va de soi !
Il était 19.36,
et je commençais un dernier ramonage, qui ne s’acheva que lorsque mon sperme gicla dans la cheminée kabyle, alors que, l'ogive noire visitant ma lune déversait son obole au plus profond de mon cratère et que notre bédouin, au rythme saccadé de son poignet, propulsait ses ultimes jets d'or blanc, crachés du solide pipeline arrimé entre ses cuisses, sur la plage de notre oasis de luxure.
Il était 19.58 !
oOoOo
Les contrats furent reconduits de cinq jours, forte prime à la clé, le magasin, n'autorisant plus l'accès à la vitrine qu'aux acheteurs du jour, tripla son chiffre d'affaires, en plus des rentrées d'argent du site web diffusant nos prouesses sexuelles !
…
Devinez ce que nous avons fait à la Saint Sylvestre ?
Fin
Les personnages de cette histoire ont des rapports non protégés. Il ne s’agit que d’un fantasme de l’auteur, et en aucun cas une incitation. Dans la vraie vie, pensez à utiliser des préservatifs !
Du « Calendrier de l'Avent (drabbles, gay) » de lange128
Je lui ai volé dix lignes d'une de ses courtes histoires pour la transformer à ma façon, la voici.
&=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*=*&
La "hot" du père Noël !
Dans un centre commercial géant, les grands magasins avaient l’habitude de décorer leurs vitrines de manière très originale avant Noël et Saint Sylvestre.
Cette année-là, ils avaient prévu d'utiliser des mannequins vivants, de 7 à 77 ans. J’ai répondu à l’annonce, étant étudiant (et donc fauché comme les blés), c’était très bien payé, en plus d'une carte de réduction de vingt pourcent, cela me permettrait d’offrir des cadeaux de Noël à tous mes proches.
Formulaires, cv, copies d’identité et photos diverses envoyées.
Je fus pris dans la sélection et, sans le lire, signai le contrat. Fournissant documents supplémentaires et bilan de santé récent.
Chaque tableau ne durait qu’un jour, de dix à vingt heures.
Le 19 décembre, j’avais rendez-vous le matin.
Pour cette prestation, nous n’étions que trois jeunes hommes.
oOoOo
Je nous présente tout d’abord : je m’appelle Kevin, j’avais eu 18 ans à Halloween, étudiant en sport études, je mesurais 1m79, 69 kg, blond cendré, yeux marrons, cheveux courts, imberbe intégral (faisant partie de l'équipe de natation) et la musculature qui va avec. Une frimousse à la Sven Basquiat.
Le deuxième est noir ébène, Koffy, Ivoirien, né en France. 1m85, 83 kg, 21 ans, une montagne de muscles derrière un sourire enjôleur. Pour tout système pileux, sourcils et cils, le sosie parfait d'Omar Sy jeune. Cuisinier dans une école.
Le troisième est rebeu, Karim, 1m75, 19 ans, pour 66 kilos de muscles secs (ancien footeux), teint brun mat et corps glabre, crinière et barbe courte noires, mais des yeux incroyablement bleus océan, des lèvres minces et une boucle d'oreille au lobe gauche, diamant de belle taille sur ce prince du désert, assurément cousin d’un Omar Borkan Al Gala. Intérimaire dans le bâtiment.
oOoOo
Après nous avoir amenés à la loge -spartiate mais assez fonctionnelle- située au sous-sol, sous le lieu de nos futures démonstrations, (un escalier en colimaçon, camouflé dans le décor, permet d'y accéder instantanément) le décorateur nous expliqua le thème de la journée, les rois mages : Balthazar, Gaspard et Melchior. Version jeune et moderne, précisa-t-il.
— Vous aurez cinq minutes de pause chaque heure à tour de rôle, vous devrez vous changer tous les quarts d'heure, pour montrer d’autres modèles. Mais cela ne prendra pas trop de temps aujourd’hui. Fit-il en riant ; c’est de la lingerie masculine. Pas de questions ?
Le décorateur ouvrit un carton plein de sous-vêtements, il y en avait de toutes les formes, de toutes les couleurs... mais, tous sexy et de grandes marques !
Je réalisai alors que je serai presque nu. J’étais tombé sur le mauvais jour, la mauvaise vitrine. Les deux autres avaient aussi l’air embarrassé. Il nous dit d’en prendre un au hasard. Je tombai sur un string rouge sang, ça commençait bien. Mes compagnons d’infortune avaient pioché : Koffy, un boxer blanc en dentelle opaque et Karim, un jock-stap bleu roi logoté or…
Ainsi habillés (si peu), Nous entrâmes dans la vitrine décorée.
Celle-ci, était la dernière de la galerie marchande, le sol recouvert de sable et le fond représentant les dunes d'un désert au ciel bleu nuit étoilé, un tapis d'orient et trois poufs dans le coin droit, dans le gauche deux palmiers cachaient l'escalier.
Les deux premières heures nous permirent de nous décontracter, riant même de l'insolite de la situation, passant de sous-vêtements en sous-vêtements, c'est après la collation de midi que les choses se corsèrent, si la première boite cachait nos attributs garçonniers suffisamment les suivantes, au contenu de plus en plus minimaliste et transparent, nous mirent en émoi progressivement…
… Les puissants spots faisaient luire nos corps, comme huilés, exposés aux regards des badauds. Nous étions dans notre rôle, nous pavanant tel des messieurs muscles sur scène, de face, de profil, comme de dos. Inconscients et désinhibés de toute pudeur. Exhibant les reliefs progressifs de nos semi-érections de façon lascive, chaloupée.
oOoOo
Ce que nous ne savions pas, c'est que les sandwichs fournis au lunch avaient été "améliorés", afin de nous rendre euphoriques, par l'accessoiriste et que les boissons à notre disposition pendant nos pauses et changements de l'après-midi, contenaient l'équivalent du Viagra puissance dix !
Ainsi qu’il y avait également plusieurs micros et webcams HD invisibles dans le décor !
De fait, de plus en plus de passants s'agglutinaient devant la vitre de l'enseigne réputée exclusivement masculine, certains se caressaient la main en poche, d'autres moins discrètement.
Nous nous frôlions de plus en plus, parades de males en rut diffusant leurs phéromones. Tout cela était fort érotique et nos queues gonflèrent encore dans leurs trop petites prisons textiles, prenant toute la place jusqu'à faire émerger les glands, l’élastique décalotta le mien, mon prépuce y fut retroussé au passage périscopique du tissu, brillants et perlant tous de mouille.
Les caresses se firent plus ciblées et devinrent hautement érotico-pornographiques, quand l'un des spectateurs, plus téméraire et presque collé à la vitrine, sorti son attirail turgescent de son pantalon, pour s'astiquer le candélabre.
Il était 13.26,
Son geste déclencha une envie frénétique -par nous trop longtemps contenue- de baise, les clips des strings de strip-teaseurs en voile que nous portions sautèrent comme par magie, Koffy, planté sur ses jambes écartées, attrapa ma tête pour l'amener à son chibre digne d’un Ridder Rivera et Karim à genoux derrière moi releva ma croupe pour la déguster comme un mort de faim. Je pompais la barre de chocolat au rythme de l'éponge linguale du beau rebeu. Celui-ci me doigtait en alternance, allant jusqu’à 3 doigts, il finit par se relever et, de son cimeterre de titane, m'embrocha d'une seule poussée, entamant un rodéo endiablé dans mon corral de chair, chaque attaque de mon pourfendeur me propulsant un peu plus sur le sceptre de mon black, mes mains accrochées à son fessier généreux.
Les râles de plaisir se firent plus sonores, plus intenses, plus rauques ...
Je lui faisais des gorges profondes sans sourciller, tellement l'irradiation des sensations jouissives explosant dans mon cerveau hors contrôle me rendait chiennasse à l’extrême, je remuais du derche cherchant à gagner encore quelques millimètres, ma queue jouant du tambourin sur mes abdominaux, tant elle était rigide, je sentais le point culminant de notre exhibition proche du final, nos respirations haletantes et nos gémissements de boucs en chaleur résonnaient dans l'espace exigu de la pièce.
Profitant de la bave, coulant en abondance le long de la matraque d'ébène occupant mon gosier, je m'en enduisis deux doigts et glissais ma main entre les jambons de Koffy, lui carrant index et majeur dans le fion, ce qui le fit cabré et jouir instantanément en bramant comme un orignal du grand nord canadien, les doigts crispés dans ma chevelure, ses puissantes giclées partant en lignes droites dans mon estomac, je jouissais dans l'instant sans même me toucher et les spasmes de ma rondelle sur l'estoc qui me pourfendait eurent raison de mon cavalier, il me féconda en rugissant tel un lion de l’Atlas. Me faisant farcir et gaver comme une oie, des deux cotés à la fois !
Nous nous écroulâmes pêle-mêle sur le sable, épuisés, hagards mais planant dans une douce béatitude due à cette petite mort libératrice.
Ce sont les applaudissements, nous parvenant au travers du carreau, qui nous ramenèrent à la réalité et nous firent reprendre nos esprits. (carreau où plusieurs trainées de filament, foutreux et visqueux dégoulinaient sur sa surface)
Koffi me regardait, un large sourire au visage et m'ébouriffa les cheveux, Karim m'attira à lui et me roula un patin d'enfer.
Nous fîmes une rapide pause douche, avant de reprendre le travail.
Les boissons "énergisantes" s'y trouvant calmèrent notre soif... pas notre "faim", que du contraire, moins d’une heure et nous recommencions nos ébats !
Inversant les partenaires, revisitant le Kamasoutra, toute l’après-midi y passa !
Plus souvent nus que ceinturés de tissus, cela va de soi !
Il était 19.36,
et je commençais un dernier ramonage, qui ne s’acheva que lorsque mon sperme gicla dans la cheminée kabyle, alors que, l'ogive noire visitant ma lune déversait son obole au plus profond de mon cratère et que notre bédouin, au rythme saccadé de son poignet, propulsait ses ultimes jets d'or blanc, crachés du solide pipeline arrimé entre ses cuisses, sur la plage de notre oasis de luxure.
Il était 19.58 !
oOoOo
Les contrats furent reconduits de cinq jours, forte prime à la clé, le magasin, n'autorisant plus l'accès à la vitrine qu'aux acheteurs du jour, tripla son chiffre d'affaires, en plus des rentrées d'argent du site web diffusant nos prouesses sexuelles !
…
Devinez ce que nous avons fait à la Saint Sylvestre ?
Fin
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
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