Le fait que Tom et Pauline ne veulent pas montrer qu'ils étaient ensemble dans la douche est un occasion pour Tom de constater que Franck et Marina font pareil et se donnent du plaisir à leur tour. Depuis le placard, il peut mes voir.
Plus tard, Tom fait un compte rendu à Pauline et ils essaient d'autres contacts corporels.
En entendant cela, Tom passa ses doigts entre les lèvres trempées de la jeune fille et glissa deux doigts en elle. Pauline sentit que son minou s'ouvrait au passage des doigts et elle poussa un long gémissement de plaisir quand elle les sentit au fond d'elle. Tom synchronisa ses coups de langue avec les mouvements lents et amples de sa main. Elle s'offrait à lui sans retenue, sans complexe. Il prenait soin d'elle, la trouvait belle, il était son frère chéri. Elle se confiait à cette langue et ces mains qu'elle aimait tant. Elle sentait les doigts glisser en elle et ressortir et revenir encore, comme s'il la câlinait. L'ombre d'une seconde, elle s'abandonna et l'aima comme un amant, un amoureux, puis chassa cette pensée de sa tête. Pourtant elle savait que quelque chose changeait. Elle se redressa et repoussa Tom tendrement.
- "Laisse-moi prendre soin de toi aussi" proposa-t-elle. Elle allongea son frère sur son lit et vînt au-dessus de lui. Elle se plaça en 69, présentant à nouveau ses fesses à Tom. "A moi de te montrer ce que je sais faire avec ma bouche" lança-t-elle d'un ton malicieux.
Placé au-dessus du sexe dressé de Tom, elle le prit en main. Elle aimait le sentir palpiter à chacun de ses mouvements. Elle alternait des mouvements tendres de masturbation et tout en serrant la verge à la base. Elle pouvait sentir le sexe de son frère durcir encore dans sa main et son gland gonfler de plaisir. Tom savourait son traitement en gémissant entre ses cuisses. Elle finit par poser ses lèvres sur son gland et le faire entrer lentement dans sa bouche. Sa salive le faisait glisser sans problème. Elle entama une fellation tendre, associée à une masturbation ferme. Tom semblait aux anges à en juger par ses frissons à chaque fois que son gland glissait sur son palais.
Pauline sentit les mains de Tom se poser à nouveau sur ses fesses et les écarter tendrement. Elle sentit le souffle chaud de son frère sur son minou trempé juste avant que sa la langue se pose sur son clitoris. Il jouait avec, enroulant sa langue autour, le suçant, le titillant. Puis sa langue remonta le long de ses lèvres et glissa entre elle. Elle le sentit entrer en elle et s'en délecta. Elle s'arrêta de sucer Tom pour savourer à nouveau la langue du garçon. Elle entrait et sortait de son minou, caressait ses lèvres et l'entrée de son vagin. Cette langue la titillait, l'agaçait à l'entrée de ses lèvres avant de plonger à nouveau en elle. C'était un régal. Pauline ronronnait en remuant les hanches sur la bouche de Tom. Lui plaquait sa bouche entre ses cuisses pour entrer le plus possible en elle.
Elle devait être à la hauteur de cette performance pour le remercier. Elle reprit le gland dans sa bouche sans attendre et le poussa le plus possible vers sa gorge. Elle n'était pas encore très douée pour ce geste mais elle progressait. En tout cas, cela plut à Tom au vu du cri qu'il étouffa entre ses cuisses. Le rythme de sa fellation augmenta. Elle se souvint que Tom avait apprécié ses caresses sur son anus et décida d'augmenter encore son plaisir.
Elle lui écarta les jambes et il se laissa faire. Elle porta son index à sa bouche et le recouvrit de salive. Elle reprit ensuite sa fellation. Se faisant, elle glissa sa main entre les fesses du garçon et vînt titiller son orifice. Au fil de ses caresses, elle sentait le gland palpiter dans sa bouche. Tom appréciait et cela se sentait. Les hanches du garçon se contractaient en petits mouvements, faisant entrer davantage le pénis dans sa bouche humide. Cela encourageait Pauline et elle donnait le meilleur d'elle-même.
Ainsi couchés l'un contre l'autre, les deux ados étouffaient leurs gémissements avec le sexe de l'autre. Dans l'obscurité de la chambre, leurs corps entiers devenaient électriques. L'esprit de la jeune fille se remplissait de brouillard. La langue de Tom la rendait toute molle, elle avait l'impression de fondre dans sa bouche. Si elle ne se retenait pas elle aurait déjà joui. Elle gardait assez de concentration pour dévorer la verge du jeune homme et caresser son petit orifice. Mais cela ne pouvait pas durer. Elle sentait les spasmes du ventre sous elle. Lui aussi se retenait de jouir dans sa bouche pour continuer à lui donner du plaisir. Elle décida que cela ne devait pas suffire et se redressa.
- "Attends, je ne veux pas qu'on jouisse comme ça" déclara-t-elle. "Tu crois qu'on peut faire l'amour ?"
- "J'en ai envie plus que tout moi aussi. Si on se met par terre, ils n'entendront pas le bruit du lit mais il faudra faire attention à ne pas crier."
- "C'est ça qui va être dur, je crois" dit-elle avec une lueur d'inquiétude dans les yeux.
- "Ne t'inquiète pas. Si on entend qu'on fait trop de bruit ou si on sent qu'on ne peut pas retenir nos cris, on arrêtera. D'accord ?"
- "D'accord. Mais ça me fait chier de toujours me retenir quand on fait un câlin" avoua-t-elle avec une moue boudeuse.
- "C'est vrai que c'est frustrant. A ce propos, j'ai pensé à la cabane du matériel de jardinage tout au fond de la propriété pour faire un câlin et qu’on n’ait pas besoin de se retenir. Tu en penses quoi ?"
- "Ooh, tu as de très bonnes idées, petit coquin" dit-elle en se frottant contre lui sensuellement. "J'espère qu'on trouvera rapidement un moment pour s'éclipser. En attendant, que dirais-tu de me faire l'amour ?"
- "Grr, tu vas voir ça" rugit-il en se saisissant des fesses de la jeune fille contre lui. "Je prends un préservatif dans mon sac pendant que tu installes la couverture par terre".
- "Oh, tu y as pensé ? C'est cool, on va pouvoir jouir ensemble cette fois." Une fois la couverture installée, Pauline plaça son frère sur le dos et remonta à cheval sur lui. "Ce soir, je vais te monter et te faire perdre la tête, mon p'tit étalon" déclara-t-elle en griffant son torse.
- "Alors montre-moi. Je suis tout à toi!"
Pauline avisa que le sexe de Tom était de nouveau au repos. Elle entreprit de le remettre en état avant de le chevaucher. Elle glissa le long de son corps en couvrant son torse de baisers torrides, sa langue jouant avec les tétons du garçon. Ses baisers passèrent sur son ventre, son pubis puis, sans attendre, elle avala en entier le sexe au repos de Tom. Dans sa bouche, elle joua avec sa langue, pressant le gland contre son palais. Elle relâchait la verge pour de nouveau la prendre en bouche. Elle l'aspirait tout entier entre ses lèvres. Bien vite sous ce traitement le sexe de Tom se redressa avec toute sa vigueur. Pauline se sentait vraiment coquine, voire totalement dévergondée, de sucer comme ça un garçon. Maintenant, elle le pompait vigoureusement en serrant son gland entre ses lèvres. L'idée de faire l'amour pour la seconde fois et de chevaucher son frère l'avait excité plus qu'elle ne le pensait. Elle découvrait que si elle aimait les préliminaires tendres, elle préférait un rapport plus torride, plus bestial quand elle faisait l'amour.
Avant de faire craquer Tom, elle se retira et il l'aida à enfiler le préservatif. Elle monta ensuite sur lui avec un déhancher torride puis baissa ses reins jusqu'à ce que le gland de son frère vienne contre son minou. Elle eut une seconde d'appréhension pour ce second rapport, d'autant qu'elle ne l'avait jamais fait avec un préservatif, mais l'écarta rapidement. Entre ses cuisses, elle saisit la verge tendue et la glissa entre ses lèvres. Tom ronronna immédiatement en lui attrapant les hanches. Elle posa ses mains sur son torse et s'empala lentement sur lui. Son sexe trempé lubrifia parfaitement le préservatif et la verge s'enfonça dans son ventre.
Le souffle de Pauline s'était accéléré. Les sensations étaient bien plus intenses que lors de leurs préliminaires. Des explosions s'enchaînaient dans son ventre, des vagues d'électricité remontaient son dos et la faisaient trembler des pieds à la tête. Elle continua et prit le sexe de Tom en entier dans son ventre. Quand elle sentit le gland buter au fond d'elle, une vague de frissons si intense remonta son dos pour exploser dans sa tête qu'elle en perdit l'esprit quelques secondes. Elle retomba sur le torse de son frère, le souffle coupé, toute tremblante. Tom la prit dans ses bras avec tendresse.
- "Je crois que tu as déjà joui, ma chérie" lui murmura-t-il à l'oreille en caressant ses cheveux. Cette fois ce surnom ne la mit pas mal à l'aise. Elle l'aimait d'amour en cette minute. Elle l'acceptait, même si cela devait être le fait de l'orgasme, et cela la remplissait de bonheur.
- "Je crois, oui" souffla-t-elle. "C'était...c'était...extraordinaire..."
- "Mais accroche-toi car ce n'est pas fini."
Tom reprit les hanches de Pauline entre ses mains fermes et entama un langoureux mouvement de va-et-vient. Pauline reposait encore sur son torse et se laissait faire. Le sexe de Tom glissait en elle, moins profond cette fois mais avec un frottement sur son clitoris. Elle était bercée par le rythme des coups de reins de son frère. Elle gémissait dans son cou à chacun de ses mouvements.
- "Ooh, c'est si bon de te sentir bouger en moi" lui murmura-t-elle. "Continue comme ça..."
Tom la serrait dans ses bras, caressait son dos. Bien vite la chaleur remonta dans son ventre. Elle commença par accompagner les mouvements de son frère de ses hanches, enfonçant davantage la verge dure en elle, pressant plus sur son clitoris. Déjà son souffle s'accélérait. Elle se redressa, se libérant de l'étreinte de Tom, et s'empala à nouveau sur son pénis. Les vagues électriques reprenaient dans son dos. Bon sang, que c'était bon. Appuyée sur la poitrine de Tom, elle se souleva et commença un mouvement de va-et-vient. Les mains de son frère se reposèrent sur ses hanches et l'aidèrent dans ses mouvements. Elle ferma les yeux et se laissa aller sur son frère, se délectant de s'enfoncer sur lui. Elle accélérait progressivement ses mouvements, augmentant encore les frissons qui parcouraient son corps.
Se désinhibant, elle se releva et changea de position. Elle se pencha en arrière et prit appui sur les cuisses de Tom en relevant ses genoux. Le plaisir s'emballait en elle et elle sentait ses pulsions bestiales reprendre. Surpris de cette nouvelle position, Tom l'assista néanmoins correctement. Il avait placé ses mains sous ses fesses et l'aidait à monter et descendre sur son pénis. Elle pencha sa tête en arrière, cambra ses hanches et accéléra le rythme. Ses seins ballottaient sur sa poitrine au rythme de ses hanches. Elle sentait qu'elle perdait contrôle progressivement. Le gland de Tom frottait dans son minou, derrière son pubis. Elle essayait de s'empaler à fond sur lui. Chaque fois qu'il butait au fond d'elle, l'électricité explosait dans sa tête.
Soudain, elle sentit la main de Tom se poser sur son pubis, entre ses cuisses écartées, et il commença à jouer avec son clitoris avec son pouce. Cette fois, les frissons parcoururent tout son corps et elle dut faire un effort pour ne pas s'écrouler une nouvelle fois.
- "Ooh, ne t'arrête pas! Je n'en peux plus..." soufflait-elle entre deux cris étouffés. Je vais venir, je vais venir..."
- "Moi aussi! C'est trop bon, tu es trop bonne...Je vais bientôt jouir..."
Les gémissements de Tom s'accéléraient mais il arrivait à les contenir. Pourtant, elle sentait qu'elle perdait tout contrôle. Elle était uniquement guidée par ses coups de rein et cette bite sur laquelle elle s'empalait. Elle allait jouir. Elle allait jouir. Soudain Tom lui tendit son chemisier et elle l'enfonça dans sa bouche pour étouffer ses cris. Tout devenait blanc. Ses hanches s'agitaient sur son frère sans qu'elle les contrôle réellement. La main de son frère continuait d'harceler son clitoris, multipliant ses spasmes. Elle ne se rendait même plus compte que ses cris étaient à peine étouffés par son chemisier. Elle avait l'impression qu'elle allait de nouveau perdre connaissance.
Tom dut sentir qu'elle perdait pied. Il saisit les hanches et d'un mouvement de rein la rabattit sur lui. Elle se laissa faire, totalement docile. Il reprit les mouvements de va-et-vient en elle. Mais cette fois, il la serrait au niveau des épaules et la pressait contre son pénis, la faisant s'empaler au maximum.
- "Tu vas jouir comme jamais, ma chère sœur. Lâche-toi complètement..." lui murmura-t-il à l'oreille.
La conscience de Pauline se résumait aux vagues de chaleur qui irradiaient depuis son minou. Tout cela était trop fort pour elle, elle avait peur. Mais les mots de Tom lui firent relâcher toute cette peur. Soudain, les vagues de chaleur emplirent son ventre, sa poitrine, sa tête. Elle se laissa submerger par le plaisir, laissant son esprit quitter son corps et ne faire d'elle qu'une poupée de sensations. Elle devina qu'elle jouissait en entendant ses cris étouffés par son chemisier et le cou de Tom. Tom jouissait en même temps qu'elle. Elle le sentait buter plus sèchement au fond d'elle, augmentant encore son plaisir. Elle se sentit partir mais ne se retînt pas. Elle jouissait en même temps que lui pour la 1e fois. Ils fusionnaient ensemble. C'était merveilleux.
Quand elle retrouva doucement la force de penser, Tom l'enlaçait toujours, lui caressant les cheveux. Il lui murmurait des mots doux, des mots d'amoureux. Elle se blottit contre lui, enfouissant sa tête dans son cou.
- "Tu sais, Tom, je crois que je t'aime" avoua-t-elle sans honte. "Pas comme une sœur mais comme une amoureuse. Tu m'en veux?"
- "Je t'aime aussi, Pauline. Ça ne sert à rien d'essayer d'étouffer ce sentiment. Je t'aime, Pauline, même si je ne sais pas sur quel chemin cela nous emmène."
Les retrouvailles en famille rendaient difficiles les moments pour se retrouver seuls. Il n'y avait que le soir où Pauline et Tom pouvaient se retrouver. L'aveu de leurs sentiments avait modifié leur relation. Ils comprenaient qu'aux yeux des autres, ils avaient une complicité et une affection de frère et sœur mais ils savaient eux seuls que c'était un amour de femme et d'homme qui naissait. Et cela les rendaient encore plus proches l'un de l'autre, de partager cette relation secrète. Leurs sourires furtifs avaient aussi changé. Ce n'est plus des sourires de deux êtres qui partagent un jeu excitant mais interdit. C'était ceux de deux personnes qui s'aiment et trouvent une paix dans la présence de l'autre. Pourtant comment cet amour allait pouvoir se développer dans leur famille restait une angoisse. Mais pour l'instant, ils étaient au milieu de jeunes, c'était les vacances et ils avaient décidé d'en profiter.La cabane isolée
Le lendemain d'une soirée qui dura trop longtemps, les ados étaient fatigués et restèrent à lézarder autour de la piscine. Pauline et Tom en profitèrent pour prétexter une petite balade dans la campagne tous les deux. Le sourire aux lèvres, ils quittèrent le groupe d'un pas rapide. Après avoir fait mine de quitter la propriété des grand-parents, ils se dirigèrent vers la vieille cabane au fond du jardin. Une fois la porte refermée sur eux, ils purent laisser libre court à leur amour. Ils se jetèrent dans les bras l'un de l'autre. Sans un mot, ils s'embrassèrent passionnément. Ce n'était pas plus ces baisers effrénés quand ils relâchaient leur excitation et leur animalité l'un envers l'autre. C'était un baiser d'amour, échangeant avec l'autre ce sentiment de don de soi, de paix, de vérité.
Dans cette cabane isolée et la chaleur de l'après-midi, l'excitation monta entre les deux ados. Leurs baisers se faisaient plus langoureux, leurs langues dansaient plus sensuellement. La poitrine de Pauline se serait contre celle de Tom et c'était un régal de sentir ses jolis seins sur lui. Tom sentit la main de son amoureuse se placer sur la bosse qui s'était formée dans son short. Elle la caressait en ronronnant. Lui vint poser ses mains sur les fesses de la jeune fille, qui se cambra en réponse. Comme elle portait une petite jupe, il eut vite fait de la relever et venir glisser ses doigts dans sa culotte. La peau de ses fesses étaient toujours aussi douce et il se délectait de promener ses doigts sur elles, les masser. Pauline soupirait entre deux de ses baisers. La chaleur montait dans leur ventre et, ici, personne ne viendrait les déranger.
- "Je vais te manger tout cru, frérot" lança-t-elle sur un ton de défi.
- "J'attends de voir ça !"
Sans perdre une seconde, Pauline s'agenouilla devant lui. Il la regardait déboutonner son short et le faire glisser en même temps que son boxer. Cela eut pour effet de libérer sa verge déjà dressée devant le visage de la jeune fille. Elle saisit cette verge et la branla quelques secondes. Puis elle releva la tête vers Tom et plongea son regard dans le sien.
- "Cette fois-ci, on n'a pas besoin de se retenir" déclara-t-elle. "Alors, on va prendre notre pied à fond tous les deux. Lâche-toi complètement et si tu dois venir dans ma bouche, ne te retient pas".
Tom n'en croyait pas ses oreilles. Il retrouvait la partenaire, excitée et animale, se livrant aux sensations charnelles. Dans cette cabane, ils allaient pouvoir laisser libre court à leurs désirs. Sans attendre sa réponse et sans quitter son regard, Pauline lécha son gland, le recouvrant de salive avant de l'enfourner dans sa bouche chaude. Elle ne quittait pas Tom des yeux et laissait aller et venir sa bouche le long de la verge durcie. Elle était désinhibée dans cette cabane et cela se sentait. Tom la voyait enfoncer son pénis au fond de sa bouche, sucer son gland, l'aspirer tout en émettant des gémissements de plaisir. Il découvrit qu'à genoux, elle avait glissé sa main sous sa jupe et dans sa culotte. La coquine se masturbait tout en le suçant.
Alors Tom décida de jouer le jeu et laissa sortir son animalité. Il plaça ses mains dans les cheveux de la jeune fille et accompagna ses mouvements de tête. Pauline n'y allait pas de main morte et se donnait à fond dans sa fellation. Tom pouvait lire toute son excitation dans son regard. Elle serrait sa verge dans sa main tout en aspirant son gland au fond de sa bouche. Où avait-elle acquis une telle technique pour son âge ? Il comprenait que l'initiation aux plaisirs charnels avait éveillé un pan de la personnalité de Pauline qui sommeillait. Elle aimait cela et ne s'en privait pas.
Chaque fois qu'elle enfonçait son sexe dans sa bouche, des frissons intenses remontaient du ventre de Tom et parcouraient son dos. Quand Pauline ralentissait le rythme pour essayer d'avaler davantage son sexe, il pouvait sentir son gland palpiter sur sa langue. Elle serrait ses lèvres sur lui, augmentant encore les frissons. Il se sentait fondre dans sa bouche. C'était si bon.
Elle reprit ensuite une fellation rapide. A ses gémissements, il comprenait que son excitation l'emballait. Lui aussi gémissait, criait parfois en sentant son gland au fond de sa bouche. Ses frissons étaient de plus en plus nombreux. Il réalisa que ses mains s'étaient crispées sur la tête de sa sœur et qu'il appuyait sur elle pour accentuer les mouvements de Pauline. Il retira alors ses mains pour éviter de l'incommoder.
Mais celle-ci reprit l'une de ses mains pour la placer à nouveau dans ses cheveux. Son regard n'avait pas quitté celui de son frère et trahissait la fièvre qui la possédait. Comme pour lui donner l'autorisation de se lâcher, Pauline reprit une fellation endiablée. Elle pompait littéralement le pénis son dard. Les vagues électriques qui remontèrent de son ventre dans son dos achevèrent de faire sauter les retenues de Tom. Ses deux mains se crispèrent sur la tête de Pauline et il accentua les mouvements de la bouche sur lui. C'était si bon de se lâcher en respectant la confiance de l'autre. Tom sentait son gland glisser sur le palais de Pauline, ses lèvres serrer sa verge quand elle l'aspirait. Avec ses mains, Tom faisait entrer davantage son sexe dans la bouche de Pauline. Elle subissait ses appuis docilement, continuant à gémir et à se masturber. Leurs regards ne se quittaient pas. Tom voyait sa verge disparaître presque en entier dans la bouche de Pauline.
Au bout d'une minute de ce traitement intense, le garçon sentit qu'il perdait pieds. Ses mains se crispèrent sur la tête de Pauline. Il sentait maintenant qu'il était aspiré dans sa bouche chaude et humide, dans sa gorge. Il avait l'impression de faire l'amour à la bouche de Pauline. La jeune fille comprit en voyant son regard et renforça sa prise sur sa verge. C'était trop. Des spasmes tordaient son ventre, ses jambes tremblaient, son dos était secoué de frissons. Il raffermit sa prise sur la tête de Pauline au moment où il se sentit partir. Il ferma les yeux et releva la tête. En une fraction de seconde, la limite fut franchie et il jouit. Il n'avait encore jamais joui comme ça. En quelques secondes, le brouillard avait envahi son esprit et son corps se résumait à sa verge dans la bouche chaude de son amante. Et il jouissait de ses caresses. Il jouissait et jouissait encore. Ca ne s'arrêtait pas. Il sentait des spasmes puissants contracter son ventre sans qu'il puisse les contrôler. Il criait sa jouissance comme jamais, dans ce coin isolé. Et chaque mouvement de la bouche de Pauline le long de sa verge lui arrachait un nouveau cri et un nouveau spasme. Il ne lâchait pas la tête de Pauline, seul repère pour garder son équilibre, et comprenait qu'il se déversait dans sa bouche. La jeune fille reçut docilement les jets de sperme sur la langue. Elle essayait même de continuer à le sucer pour prolonger son plaisir mais, bien vite, le sperme qui continuait de couler l'en empêcha. Elle dut même lutter un peu contre l'appui sur sa tête.
Quand son orgasme se calma, Tom relâcha la tête de Pauline et vit sa bouche remonter le long de son pénis pour finir par relâcher son gland. Il comprit en voyant le visage tout rougissant de la jeune fille qu'il avait joui trop de sperme pour elle.
- "Recrache tout Pauline, je suis désolé" proposa-t-il. Mais la jeune fille fit non de la tête. Elle dut avaler tout le sperme en deux fois avec une grimace.
- "Il ne faut pas laisser de preuve" expliqua-t-elle. "Mais je ne ferai pas ça tous les jours, c'est sûr." Tom s'agenouilla auprès d'elle, prit son visage entre ses mains et la remercia d'un baiser langoureux.
- "Bravo ma chérie, c'était super" la félicita-t-elle. "C'est fou que tu sois capable de sucer comme ça quand tu te lâches."
- "Oui, j'ai un peu perdu le contrôle. Mais je ne suis pas la seule. J'ai vu que tu as aimé me tenir la tête pendant que je te suçais. Toi aussi tu pourrais te lâcher plus, je suis sûre."
- "C'est clair que j'ai découvert ça chez moi et que je ne pensais pas pouvoir me lâcher autant. Mais ce n'est pas une raison pour s'arrêter en si bon chemin. Maintenant, c'est à moi de perdre le contrôle entre ses cuisses."
Associant ses mots aux gestes, Tom allongea la jeune fille sur une couverture qui servait à protéger les outils. Sans dire un mot, mais leurs regards ne se quittant pas, les deux ados se déshabillèrent et revinrent l'un contre l'autre. Cette cabane était devenue un sanctuaire pour eux. Ici, entouré de l'écrin du jardin, ils pouvaient se lâcher, être eux-mêmes et exprimer tout leur amour. Ils pouvaient se serrer l'un contre l'autre sans avoir à étouffer leurs paroles. Ici, ils n'étaient plus frère et soeur, ils étaient amants, amoureux et vivant comme si c'était le dernier jour sur Terre.
Tom se redressa sur Pauline. Qu'elle était belle. Ses cheveux châtains longs et bouclés se répandaient comme un oreiller sous sa tête. Elle le regardait avec ses yeux marrons, et son regard exprimait tout l'amour et le désir qu'elle avait pour lui. Sur son nez, des petites taches de rousseur la rendaient craquante. Et cette bouche, ces lèvres si roses, ce sourire désarmant. Comment n'avait-il pas peu l'aimer plus tôt ? Il l'embrassa torridement, comme pour rattraper le temps perdu. Puis quitta sa bouche et descendit le long de son corps. Il embrassa son cou et ses lèvres vinrent glisser sur ses seins, ses si jolis seins. Ils avaient la taille qui suffisait pour emplir sa main quand il la refermait sur eux, pour ballotter au rythme de ses coups de rein quand il était entre ses cuisses. Sa langue s'enroula autour de ses tétons et il la sentit frissonner sous elle en lâchant un gémissement. Les mains de Pauline s'étaient emparées de sa tête, comme pour l'encourager dans ses baisers.
Il laissa sa bouche dériver sur sa poitrine, ses lèvres suivre et embrasser ses courbes parfaites, faisant frissonner la peau si douce. Sa langue titillait ses tétons, qui se crispaient, comme pour se défendre. Alors ses dents vinrent les mordiller, ses lèvres vinrent les aspirer, les sucer. Et Pauline se tordait sous ces baisers, ces hanches se cambraient, ses gémissements se muaient en petits cris d'encouragements. Tom descendit ses mains le long des hanches de la jeune fille, les étreignit, comme pour les soumettre à sa volonté. Sa main écarta les cuisses faibles et il vînt glisser son corps entre elles.
Sa bouche descendit sur le ventre chaud, tanguant au rythme de la respiration haletante de Pauline. Sa langue glissa dans son nombril, langoureusement, avant de descendre sur son pubis. La toison de Pauline était d'un brun qui se mariait parfaitement avec le châtain de ses cheveux et sa peau bronzée par le soleil. Les mains de la jeune fille s'étaient crispées sur la tête de Tom quand elle était passée entre ses cuisses. Tom put voir combien la fellation animale avait excitée sa partenaire. Son minou était trempé et il n'eut aucun mal à y glisser la langue. Quand il se coula sur le clitoris de Pauline, elle bloqua sa respiration, sans doute surprise par l'intensité de la stimulation. Mais il n'était pas là pour lui faire l'amour tendrement. Il était là pour se lâcher à son tour, libérer l'animal en lui. Il était là pour la baiser.
Alors il attrapa les hanches de sa sœur, plaqua sa bouche sur ses lèvres trempées et libéra sa langue en elle. Il eut raison de la tenir. Les hanches de Pauline s'étaient cambrées sous les mouvements de sa langue. Elle gémissait à chaque mouvement de sa langue entre ses cuisses. Elle criait même quand sa langue passait sur son clitoris gonflé ou s'enfonçait en elle. Il la dévorait, cherchant à la stimuler au maximum. Il allait et venait en elle, mordillait, suçait son clitoris, lui arrachant des cris de plaisir nouveaux. Elle écartait toujours plus les cuisses pour le laisser entrer en elle. Elle serrait sa tête entre ses cuisses tout en le suppliant de continuer.
Au bout de quelques minutes de cunnilingus intense, Pauline se crispa entre les mains du jeune garçon, le souffle coupé. Elle venait d'avoir un petit orgasme. Mais Tom n'avait aucune intention de la laisser s'en tirer ainsi après le traitement qu'elle lui avait fait subir. Il releva sa bouche, lécha deux de ses doigts et les porta à l'entrer des lèvres trempées. Pauline les sentit malgré la langueur qui suit l'orgasme puisqu'elle ronronna en ondulant les hanches au passage des doigts en elle. Puis, Tom les enfonça brusquement au fond d'elle. Mouillée comme elle était, ils n'eurent aucun mal à glisser dans son ventre. La sensation intense et soudaine lui arracha un cri de plaisir et la fit cambrer les hanches de nouveau.
- "Tu ne crois pas que je vais te laisser te reposer, coquine" lança Tom sur un ton de défi.
- "Prends-moi maintenant, Tom ! J'en peux plus !" lâcha Pauline, haletante. "Je veux te sentir en moi."
- "Mais je ne vais pas te prendre maintenant. Je vais d'abord te rendre folle, te faire perdre tout contrôle puisque tu peux te lâcher ici. Et crois-moi, tu vas me sentir en toi, ma belle."
Sur ce, Tom entama un va-et-vient vigoureux entre ses cuisses. Pauline ne put rien répliquer tant elle était submergée par la masturbation. Tom glissait en elle avec aisance, remuait ses doigts en elle, pressait son clitoris de son pouce. Pauline se débattait presque sous les assauts de sa main. Elle criait de plaisir à chaque fois que ses doigts venaient buter en elle. Il pouvait sentir son vagin se contracter sur ses doigts. A ces contractions, il était sûr qu'elle avait encore eu quelques petits orgasmes. D'ailleurs son corps alternait des moments de calme et d'agitation.
Il avait de nouveau posé sa bouche sur le clitoris gonflé de plaisir et le suçait avec vigueur. Les reins de Pauline se contractaient à chaque mouvement de sa main ou de sa langue. Entre deux cris, elle l'encourageait à aller plus loin, plus vite, à lui faire perdre la tête. Parfois, elle semblait effrayée et lui demandait d'arrêter. Mais le jeune homme continuait de plus belle et il pouvait la sentir jouir dans sa main.
Sa main était trempée. De son autre main, il maintenait les hanches de la jeune fille qui se débattait sous le plaisir et les mouvements de sa masturbation. Alors que son index et son majeur baisait le minou de sa sœur, Tom fit glisser son annulaire entre ses fesses. Quand il posa son doigt sur l'anus, il sentit un spasme dans le ventre de Pauline. Dans un soupir, elle le supplia même de continuer. Elle voulait plus. Alors Tom, après avoir massé le petit orifice en rythme avec les mouvements de ses doigts entre les lèvres trempées, finit par y glisser un doigt. Il était tellement trempé, et Pauline tellement hors de contrôle, qu'il la pénétra dans problème. Il s'enfonça en elle et synchronisa les mouvements de ses doigts pour reprendre la masturbation. Il accéléra même le rythme. La réaction de Pauline fut sans équivoque. La jeune fille releva ses jambes, les genoux en l'air pour laisser toute latitude à son frère. Ses cris se faisaient plus maladroits. Elle perdait pieds. Elle cherchait à se rattraper à quelque chose autour d'elle mais ne put que se saisir de la couverture.
De sa main libre, Tom maintenait les cuisses de Pauline redressées. De son autre main, il la masturbait avec ardeur. L'anus de la jeune fille était complètement détendu et s'offrait à son traitement de choc. Sa bouche continuait à harceler le clitoris gonflé. Et soudain, Pauline poussa un long cri en se contractant de tout son être. Tom continua à la masturber et ce cri se mua en plusieurs autres plus courts mais tout aussi intenses. Le garçon eut même peur qu'on l'entende au dehors. Mais cela n'avait pas d'importance, elle jouissait. Il sentait le vagin de Pauline se tordre sur ses doigts, son anus se resserrer par spasmes. Et elle criait, elle criait de plaisir à chaque fois que ses doigts venaient buter en elle. Elle n'était plus que plaisir charnel, qu'animalité. Il n'y avait plus d'interdit, plus de secret, plus de parents, rien qu'elle et son minou qui lui ouvrait les portes du paradis. Il n'y avait plus que le temps présent et son cerveau qui décrochait complètement. Tom réussit à prolonger cet instant pendant une minute.
Puis il sentit les forces de son bras diminuer. Il ralentit le rythme de sa masturbation, se fit langoureux et permit à Pauline de redescendre en douceur. Il termina par une masturbation lente de son minou avant de se retirer. Il se redressa entre ses cuisses et l'admira. Elle était sublime, les cheveux trempés collés sur son front et ses épaules. Elle avait les yeux fermés et la tête posée sur le côté. Les mains sur son ventre, suivaient sa respiration essoufflée. Son corps était encore agité de spasmes. Elle frissonnait malgré la chaleur. Tom fut curieux de la voir glisser une main entre ses cuisses et venir masser tendrement son clitoris. Elle souriait, les yeux fermés, en reprenant son souffle. Enfin, elle ouvrit les yeux et tourna la tête vers Tom.
- "Merci..." lâcha-t-elle. "C'était..." Elle ne pouvait finir sa phrase. Il n'y avait pas de mot.
- "Je ne sais pas où tu as été mais je suis comblé de t'y avoir emmené" lui sourit-il tendrement. "Tu as encore envie de continuer ?"
- "Tu penses pouvoir refaire ça ?"
- "Peut-être bien...et peut-être même plus..." fit-il en se redressant à genou entre les cuisses de la jeune fille et exhibant son pénis magnifiquement dressé.
- "Oh, je l'avais oublié celui-là....Alors tu veux le glisser dans mon ventre ?"
- "Mais je ne te demande pas ta permission, ma chérie" lança-t-il en se baissant entre les cuisses de la jeune fille. Elle le regarda faire, mi-anxieuse, mi-excitée. Tom posa sa verge sur ses lèvres, le frotta lentement contre elles, allant et venant. Le frein de Tom glissait sur le clitoris de Pauline, envoyant dans chacun d'eux de nouvelles vagues de plaisir.
L'ambiance était électrique dans la cabane en ce chaud après-midi. Les deux ados brûlaient de se donner l'un à l'autre encore une fois, sans avoir à se retenir de crainte d'être surpris. Tom se releva pour récupérer un préservatif et revînt contre Pauline, toute vibrante. L'un contre l'autre, leurs bouches se joignirent encore une fois pour échanger un baiser torride. Leurs ventres se collaient l'un à l'autre, la poitrine de Tom écrasait celle de Pauline. D'un mouvement du bassin, il plaça son gland à l'entrée des lèvres de la jeune fille. Elle ronronna tout en l'embrassant, lui donnant le feu vert. Il se glissa en elle d'une poussée. Les doigts de Pauline lui griffèrent le dos pendant qu'elle renversait sa tête en arrière en laissant échapper un long soupir de plaisir.
Prenant appui sur ses mains, il entama une pénétration langoureuse. Le corps de Pauline était encore très sensible après l'orgasme intense qu'elle avait eu quelques minutes auparavant et ses cris augmentèrent rapidement à chaque coup de rein. Fidèle à la passion de leurs ébats de cet après-midi, Tom accéléra le rythme de ses coups. Pauline se cambrait pour permettre au pénis de son frère de frotter contre la base de son clitoris. Pendant qu'il la prenait, Tom s'était emparé de ses seins. De sa bouche, il les suçait, tétait les tétons durcis et les mordillait, arrachant de nouveaux cris de plaisir à sa partenaire.
Bien vite, l'animalité qui avait possédé les deux ados reprit le dessus et déjà les coups de rein de Tom se faisaient plus secs, plus puissants. Chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, une onde électrique remontait de ses reins dans son dos. Il aurait voulu jouir et jouir encore en elle, se fondre en elle. Choisissant de se lâcher complètement, il se redressa et releva les cuisses de Pauline. Il les bloqua avec ses bras en appui. La jeune fille le regarda avec passion mais une lueur d'appréhension dans les yeux en imaginant le plaisir augmenter encore.
Cette position permit à Tom d'entrer encore plus profondément en elle. Il s'enfonça d'un mouvement en elle, introduisant dans son ventre la totalité de son pénis. Il sentit son gland buter au fond du minou de Pauline. Le mouvement arracha un puissant cri à Pauline, si fort que Tom crut qu'elle avait joui de nouveau. Cette fois, le rythme de Tom était bien plus rapide. Il la baisait. Il regardait sa sœur, qui, les yeux fermés, avait de nouveau agrippé la couverture pour ne pas perdre pied. Chaque coup de rein qu'il donnait le faisait buter en elle. Parfois, il stoppait le mouvement et pouvait la sentir palpiter autour de son pénis. Dans ces moments, il sentait son gland grossir encore.
Ils criaient tous deux leur plaisir dans cette cabane, sans retenue. Le corps de Pauline tremblait de plaisir et cela rendait fou Tom. Il sentait son contrôle disparaître, il sentait son être disparaître à chaque coup de rein, chaque frisson parcourant son dos. Son amour pour elle disparaissait aussi, sans qu'il cherche à le retenir. Rien ne comptait plus que le plaisir charnel qu'ils se donnaient, qu'il prenait. Ses cris s'étaient mués en partie en rugissements, ses muscles se bandaient. Bon sang, il la baisait et il adorait cela ! Il la contrôlait de ses bras, de son poids, de sa bite en elle. Elle était soumise à son désir, rien qu'à lui.
- "Tourne-toi !" lâcha-t-il en se retirant d'elle. "Je veux te prendre par derrière."
Pauline ne répliqua rien. Elle obéit, soumise totalement au plaisir et à l'emprise nouvelle de son frère. Elle aimait être dominée, il le sentait. Elle se plaça à quatre pattes, en appui sur ses bras tendus. Elle écarta ses genoux et se cambra en invitant son frère du regard. Quand il la vit dans cette position, le sang du garçon ne fit qu'un tour. Tous les muscles de son corps se bandèrent et un tremblement agita tout son être. Il vînt derrière elle, mais pas comme un amant. Il était animal, il était le mâle, il dominait et il prenait.
Il saisit les hanches de Pauline, l'attira contre lui et l'empala sur son sexe dressé. Elle cria longuement de ce premier assaut, elle eut même un petit orgasme comme le sentit Tom aux contractions de son vagin. La tenant fermement entre ses mains, il recommença à la prendre, tout en puissance cette fois. A chaque coup, il butait contre ses fesses, s'enfonçant dans son ventre pour lui arracher des cris de plaisir. Il criait lui aussi.
- " Ce que tu es bonne, Pauline !" criait-il en la baisant. "J'adore ton cul ! Il est à moi, tu es à moi !"
- "Je t'appartiens, Tom !" tentait-elle de répondre sous les assauts de Tom. "Je suis à toi toute entière ! S'il te plait, baise-moi ! Baise-moi !"
Tom ne ralentissait pas, ne se fatiguait pas. Il la prenait encore et encore, s'enfonçant avec puissance dans son ventre. Il ne contrôlait plus rien, ne voulait rien contrôler. Il saisit les épaules de Pauline pour l'attirer encore plus contre son sexe, pour rentrer encore plus en elle. Elle criait de plaisir, certainement de douleur parfois, mais se donnait à lui. Les reins de la jeune fille étaient cambrés au maximum et elle-même ondulait ses hanches pour accompagner les mouvements brutaux de son partenaire. Tom rugissait derrière elle à chaque coup de rein. Ses mains lâchèrent les épaules de Pauline et descendirent le long de son dos en la griffant. Que faisait-il ? Une voix dans sa tête tentait de parler mais il la repoussait. Il la dominait, il la possédait, il pouvait lui faire mal s'il le voulait. Pauline gémit de douleur sous les longues griffures mais ses reins étaient toujours cambrer et ses hanches s'enfonçaient sur la bite de Tom.
- "Encore ! Encore !" criait-elle. "Je suis à toi !"
Le rythme des coups de rein de Tom augmenta encore. Pauline ne pouvait plus soutenir aussi bien les assauts et dû s'appuyer sur ses coudes pour garder l'équilibre. Tom s'était saisi de ses hanches et la maintenait en position. Parfois, il levait la main et la fessait. Ses doigts claquaient sur la peau douce de ces fesses veloutées, qui se mettaient à rougir. Et à chaque fois, Pauline criait et demandait de continuer. Puis leurs cris devinrent plus intenses encore, plus longs. Le rythme de Tom avait ralenti quelque peu mais il s'enfonçait toujours puissamment en elle. Il tenait les hanches de Pauline fermement et il allait jouir en elle. En quelques mouvements, ses cris, ses rugissements retentirent de plus belle. Il jouissait de toute sa force encore et encore. Il explosait en elle à chaque coup de rein. Chaque fois que son gland butait au fond d'elle, de nouvelles vagues électriques déchiraient son dos. Il crut discerner au milieu de ses cris que Pauline jouissait aussi, qu'elle déversait dans ses cris tout le plaisir que pouvait contenir son corps.
Finalement, il ne bougea plus, planté en elle, au fond d'elle. Son sexe était encore secoué de spasmes. Pauline était écroulée devant lui, le visage enfoui dans la couverture, les bras repliés à côté de sa tête. Seules ses fesses étaient encore debout, soutenues par la poigne de Tom. La conscience lui revenait peu à peu, et avec elle il revoyait le comportement qu'il avait eu. Il se retira et s'écroula à côté d'elle, rompu.
Que lui était-il arrivé ? Il n'était plus Tom mais un animal en rut, sauvage. Il s'était lâché quand sa sœur l'avait sucé quelques minutes auparavant. Mais il avait gardé un contrôle relatif. Il ne s'était pas perdu, comme à l'instant. Il aimait Pauline de tout son cœur. Comment avait-il pu faire ça ? La traiter seulement comme une proie à son désir, comme un objet ? Il avait envie de pleurer. Il ne lui avait pas fait l'amour, il ne l'avait pas seulement baisée mais il l'avait fait comme un animal. Il entendait les rugissements qu'il avait poussés en étreignant ses fesses et il frissonnait. Elle avait quitté ses pensées pendant ces quelques minutes et il s'en voulait. Il n'avait plus pensé à son plaisir à elle mais uniquement au sien.
- "Aaah, c'était génial..." soupira Pauline, coupant Tom pendant qu'il se morigénait.
- "Quoi ?!" fut la seule chose que la surprise du compliment lui arracha.
- "Je ne pensais pas que tu pouvais être ainsi, je veux dire te lâcher complètement pour prendre ton pied. Tu m'as baisée, Tom, tu m'as baisée comme une chienne."
- "Je m'excuse, ma chérie, je ne sais pas ce qui m'a pris" suppliait-il tremblant. "J'ai perdu l'esprit..."
- "Idiot, ne t'excuse pas" dit-elle tendrement. "J'étais avec toi et c'est aussi ce que je t'ai demandé depuis qu'on est entré ici et encore après."
- "Mais je n'étais plus moi-même, j'étais un animal..."
- "Tu t'es lâchée complètement, peut-être un peu trop. Je ne pensais pas que tu pouvais aller aussi loin. Mais je dois avouer que j'ai aimé que tu me domines. Tu prends toujours soin de moi, de ce que je ressens, de mon plaisir quand on fait l'amour. Mais j'ai aimé découvrir l'Homme en toi tout à l'heure. Si tu t'es autant lâché, c'est peut-être parce que tu ne le fais jamais d'habitude." Tom, d'abord penaud à côté d'elle, comprenait ses paroles. Elle avait raison et sa culpabilité s'atténuait.
- "Je ne t'ai pas fait mal au moins ?" s'inquiéta-t-il.
- "Oh que si !" déclara-t-elle en souriant. "Mais j'ai découvert que ça pouvait aussi faire partie du plaisir."
- "Je ferai attention la prochaine fois, promis" dit-il en déposant un baiser sur les lèvres de sa soeur. "Je t'aime."
- "Je t'aime aussi, mon p'tit animal" sourit-elle moqueuse. 49
Tom aida Pauline à se relever et à se rhabiller. Elle avait tout de même du mal à se tenir bien droite après la violence des coups de son partenaire. La peau de son dos gardait la marque de certaines des griffures de Tom et il s'en voulu à nouveau. Mais elle le rassura d'un sourire. Toute la tension sexuelle qui les avait littéralement possédés dans cette cabane était maintenant apaisée et ils retrouvaient leur amour tendre. Juste avant de sortir de la cabane, Tom jeta un œil dans le jardin alentour. Sans signe de vie, ils sortirent ensemble. Le soleil les éblouit quelques secondes mais ils furent heureux de sentir la brise sur leur peau après la chaleur de la cabane.
- "Vous revenez enfin parmi nous ?"
Le cœur des deux ados cessa de battre un temps qui sembla durer une éternité. Une course folle de pensées envahit leur esprit et leur donna le vertige. Quand ils osèrent revenir à la réalité, leur tête se tourna telle celle d'un robot vers la voix qui s'adressait à eux. C'était Anthony, l'ami de Franck qui était venu avec lui... Que faisait-il là ? Il n'était pas avec les autres ? Mais surtout, les avait-il vus ? Entendus ? Un gouffre s'ouvrait sous les pieds de Pauline et Tom. Ils étaient pétrifiés, leur monde semblait voler en éclat. Dans ces moments-là, on se rend compte que la vitesse de pensée de l'esprit humain est hallucinante. Tom voyait défiler devant lui les différents scénarios qui découlaient de cette situation, la réaction de leurs parents, de leur famille, leur renvoi de la maison, ou pire, leur séparation. La terreur serrait son coeur et empêchait son souffle de quitter ses poumons.
- "Oh, ne faites pas cette tête tous les deux ! Vous me faites presque peur." déclara Anthony en levant les mains et en les secouant pour les sortir de leur torpeur.
- "Mais...qu'est-ce que tu fais là ?" parvint à articuler Tom.
- "Les autres somnolent et j'avais pas sommeil alors je suis parti en exploration du parc. J'avoue que je ne pensais pas découvrir ça. J'ai été attiré par des cris et en regardant dans un trou du mur, je vous découvert en train de..."
- "Tu vas le dire aux autres ?" s'enquit Pauline, qui reprenait aussi contenance.
- "Je ne sais pas. Je ne pensais pas que des frère et sœur pouvaient faire ça. C'est..."
- "On n'est pas des pervers, on s'aime pour de bon !" lança Tom qui sentait le besoin de se justifier. "Mais on n'a pas le droit alors on se cache." Tom serrait Pauline contre lui par l'épaule, comme pour la protéger.
- "Sérieux ?! Alors vous êtes dans la merde. En tout cas, ce que j'ai vu là-dedans, c'était pas que de l'amour. Pauline, je ne pensais pas que tu pouvais être comme ça. Toi non plus Tom, mais je suis un mec aussi et je suis moins surpris." Anthony souriait d'un air goguenard en leur parlant. Cela rendait fous Pauline et Tom qui voyaient encore leur monde tourbillonner autour d'eux.
- "Alors, tu vas le dire aux autres ?" reprit Tom, à son tour. Anthony sembla réfléchir quelques secondes. Cela dura suffisamment pour que de nouveaux scénari envahissent l'esprit des frère et sœur, les faisant vaciller.
- "Je ne dirai rien à personne à une condition."
- "Laquelle ?" demandèrent en cœur Pauline et Tom.
- "On veut faire un jeu avec Franck. Mais c'est pas sûr que les filles acceptent. Si vous acceptez de jouer avec nous, alors je ne dirai rien."
- "On n'a pas le choix de toute façon. C'est d'accord !" jura Tom.
- "Mais c'est quoi comme jeu ?" s'inquiéta Pauline.
- "Un conséquence ou vérité" déclara Anthony avec un large sourire.La visite du château
15 jours de vacances de Pâques à la campagne, c'était le pied, c'est sûr. Le grand air, les cousins, la piscine, les soirées qui durent...et puis les moments d'intimité que Pauline et Tom parvenaient à voler étaient un délice. Ils avaient réalisé dans ce havre de bonheur les sentiments qui grandissaient en eux, que leur amour croissait et dépassait progressivement celui de simple frère et sœur. Tom s'étonnait parfois de découvrir Pauline paraître soudain plus adulte. Il sentait que l'adolescente joueuse et immature laissait parfois place à une femme apaisée et amoureuse. Il s'abîmait parfois à la regarder simplement quand elle aidait en cuisine ou qu'elle s'habillait. Ses cheveux châtains glissant sur ses épaules et qu'elle finissait par passer derrière son oreille d'un geste empli de grâce. Son sourire apaisant quand elle finissait par croiser son regard et qu'elle le découvrait en train de l'espionner.
Oui, il y avait plus de paix en eux, plus d'amour de jour en jour, là où il n'aurait pas du y en avoir. Quelques jours plus tôt, ils s'étaient fait surprendre par Anthony et ils avaient pris conscience de la terreur que la découverte de leur secret pouvait leur causer. Ils étaient restés éloignés quelques temps, les cœurs battant à l'idée que tout pouvait basculer à tout moment, imaginant que maintenant leur relation se lisait sur leur visage. Et puis finalement, au cœur de cette angoisse, Tom avait fini par comprendre quelque chose. Il aimait Pauline, il aimait sa sœur. Pour la jeune fille enjouée, curieuse, sincère et maline qu'elle était. Pour la jeune femme dévouée, forte et coquine qui apparaissait déjà en elle. Qu'était-il prêt à faire pour la garder auprès de lui, pour défendre leur amour ? Tout.
Il revoyait les scénari de fuite éperdue et paniquée qui étaient passés dans son esprit durant les quelques secondes qui suivirent leur rencontre avec Anthony à la sortie de la cabane. Pourtant maintenant, ces scénari ne résonnaient plus d'une panique. S'il fallait que leur amour soit découvert, ne soit pas accepté par leur famille et qu'ils doivent partir pour rester ensemble, et bien c'est ce qu'il était résolu à faire. Pour pouvoir vivre heureux avec elle. Il lui exposa ses nouveaux sentiments le soir dans la chambre, sa résolution de l'aimer envers et contre tout. Elle pleura. Elle rit. Elle fondit dans ses bras et le couvrit de baisers. Toute panique était envolée, ne restait que leur amour et, depuis, cette paix qui les enveloppait.
Ils avaient fait l'amour ce soir-là, dans l'obscurité protectrice de leur chambre. Ils s'étaient serrés l'un contre l'autre, avaient mêlé à leurs baisers leurs larmes de joie, et avaient joui pour la première fois dans cette sorte de béatitude que provoque la paix de l'esprit. Depuis, leur complicité et leurs câlins coquins volés au regard de leur famille avaient repris avec une nouvelle excitation. Ils avaient décidé de ne rien dire à leur famille avant d'être assez âgés pour pouvoir quitter la maison dans de bonnes conditions si cela tournait mal. Mais en attendant, ils n'allaient pas se priver d'en profiter !
Un après-midi, les adultes décidèrent d'aller visiter un château et ses ruines à une heure en voiture de la maison. Bien sûr, leurs enfants étaient désignés volontaires pour les accompagnés. Tout le petit monde se chargea donc dans les 3 voitures familiales, un peu comme il pouvait. Avec le matériel et la nourriture nécessaires au pique-nique de midi, certains étaient obligés de s'asseoir sur un autre passager. Franck et Marina ainsi que Tom et Pauline se dévouèrent pour l'inconfortable transport, chacun dans une voiture. Tom trouva la coïncidence amusante et supposa que son cousin avec eu la même idée que lui.
Pauline et Tom s'installèrent donc dans la voiture des parents de Clémentine et Thomas, leurs petits cousins, qui avaient été soigneusement attachés à côté des 2 ados et séparés d'eux par une glaciaire immense. Calé au fond de la banquette arrière, Tom laissa Pauline s'asseoir sur ses genoux. Elle était superbe aujourd'hui. Elle portait un petit débardeur jaune été qui ne la moulait pas mais laissait deviner les courbes de sa poitrine et une jupe bleue et blanche qui ondulait autour de ses jambes. Une fois assise, Pauline se tourna pour demander innocemment à Tom si elle n'était pas mal positionnée mais son regard lançait un tout autre message, qui fit frissonner de désir le jeune garçon.
Une fois le voyage entamé, il ne fallut pas attendre bien longtemps pour que les mains de Tom se glissent sur les hanches de son amoureuse, sous le débardeur lâche. D'un mouvement discret, Pauline releva légèrement ses coudes pour permettre à son frère de la délecter de ses caresses coquines. Tom ne se fit pas prier, voyant que ses mouvements étaient en grande partie cachés par la glacière à côté de lui et que les parents à l'avant ne se tournaient que rarement tant les enfants étaient sages.
Au contact de la peau douce et chaude de la jeune fille, Tom fut secoué d'une vague électrique. La proximité de son corps, l'interdit qu'ils cachaient dans cette voiture étroite et le désir qu'il avait pour elle l'enivraient. Il savourait ses caresses le long des côtes de Pauline, la douceur de sa peau, son odeur quand elle s'appuyait sur lui. Ils ne pouvaient dire un mot mais il décida de lui montrer son désir d'une autre manière. Sa main vint s'emparer du ventre doux de la jeune fille et il la serra contre lui. Il sentait son pénis grossir et être à l'étroit dans son short. Le sentait-elle aussi sous ses fesses ? C'était sûrement le cas car elle se tortilla quelque secondes sur ses genoux et lui jeta un regard furtif mais mutin par-dessus l'épaule. Elle répondait à son désir en posant sa main sur celle qui était sur son ventre, à travers le tissu de son débardeur, et en l'étreignant à son tour.
Puis elle le libéra de son étreinte pour lui permettre de continuer leur petit jeu. Tout en discrétion, la main de Tom remonta le long du ventre de la jeune fille vers sa poitrine adorée. Quelle ne fut pas la surprise du garçon en découvrant que sa sœur ne portait pas de soutien-gorge ?! C'était dont l'une des raisons pour lesquelles sa poitrine semblait si attirante aujourd'hui ? Quel délice de sentir la courbe inférieure de ce sein délicat et si désiré, de laisser ses doigts la suivre et finalement s'emparer de lui, d'effleurer ce téton sensible qui se crispa immédiatement en même temps qu'il sentait un frisson remonter le dos de Pauline. Il caressait ce sein aussi discrètement qu'il le pouvait mais il sentait le désir de s'emparer de cette poitrine et le risque de se faire démasquer.
Tout naturellement, Pauline fit mine de changer de position pour ménager Tom et vînt appuyer ses avant-bras sur le dossier du siège de sa tante. Elle justifia aussi son geste en entamant une conversation banale. Tom comprit ce changement de position et son excitation augmenta encore. En se penchant en avant, Pauline laissait son débardeur pendre sous elle et l'accès à ses seins libres. Le garçon s'en donna à cœur joie et passa ses deux mains sous le vêtement de Pauline. Ses mains vinrent se saisir de ces jolis seins en poire qui épousaient si bien la forme de ses mains. Tom eut l'impression que la température de ses mains augmentait en flèche, tandis que son esprit se nimbait dans un brouillard cotonneux. Là, au milieu de sa famille, ses mains s'étaient emparées des seins Pauline, qui se laissait faire docilement.
Il commença à les serrer, les masser sensuellement. Le tissu cachait ses mouvements et l'attention des enfants était portée sur le paysage qui défilait ou la Nintendo DS qu'utilisait Thomas. Tom se délectait de caresser les seins de Pauline, de savoir qu'elle devait se retenir pour ne pas laisser paraître dans sa voix l'excitation que générait ses caresses. Sadique, il saisit les tétons crispés de la jeune fille et les fit rouler entre ses doigts, les serrant, les titillant. Il sentait les spasmes parcourir le dos de Pauline. Elle se cambrait même sous l'excitation et ses fesses s'appuyaient encore davantage sur le pénis compressé de Tom. Il se demanda si elle ne se vengeait pas ainsi du traitement qu'il lui faisait subir...
Cela l'encouragea encore. Le jeune garçon ne faisait plus tellement attention à son entourage et c'était une chance que personne ne fasse attention à ses gestes pour l'instant. Sa main droite, située du côté de la portière, quitta presque à regret le sein parfait de la jeune fille pour se glisser sur sa cuisse encore couverte de la jupe. Il la sentit sursauter légèrement au contact de cette main qui remontait doucement une partie de sa jupe. Mais elle avait voulu ce jeu et elle devait le supporter maintenant. Tom la défiait de manière implicite pour savoir si elle tiendrait réellement et à quel moment elle le repousserait.
Sa main remonta donc le long de la cuisse, dénudant la peau de Pauline. Il y avait peu de chance que quelqu'un s'en rende compte car sa jambe était située contre la portière. Au fur et à mesure qu'il remontait sa main, prenant son temps pour faire monter le plaisir chez sa sœur, Tom fut amusé de constater que la jeune fille écartait sa cuisse au rythme de la remontée de sa main. Il se délectait dans le brouillard de son esprit que Pauline partage ce sentiment impétueux qui s'était emparé de lui. Ses doigts finir par entrer en contact avec le tissu de la culotte de Pauline. Il fut presque déçu de découvrir ce sous-vêtement alors que la jeune fille ne portait pas de soutien-gorge. Il est vrai qu'en jupe, c'est tout de suite plus audacieux de ne pas porter de culotte...mais au combien plus excitant.
Sans attendre, les doigts de Tom s'étaient mis à caresser tendrement le minou de son amante. Il sentait ses lèvres gonflées, qu'il suivait agilement tout en les massant. Deux minutes de ce traitement et Tom sentit que la culotte de la jeune fille s'humidifiait. Il était stupéfait de voir qu'elle continuait à discuter avec leur tante sans laisser paraître son émoi, si ce n'était quelques hoquets qui semblaient passer inaperçus. Il décida donc de passer à la vitesse supérieure. D'un mouvement adroit, ses doigts se glissèrent sous l'élastique puis sur le sexe trempé entre les cuisses. Pauline se redressa une seconde pour masquer un soupir, qu'elle mura dans sa bouche close et ne parut être qu'un râle d'inconfort. Pourtant, ses reins s'étaient encore cambrés.
Sans prêter réellement attention à ce qu'il faisait, enivré par l'excitation, Tom glissa ses doigts entre les lèvres trempées de Pauline et frissonna de sentir la chaleur de son minou. Il était entré sans peine en elle. Maintenant, il la masturbait tendrement, discrètement, alternant entre des mouvements circulaires sur son clitoris gonflé et des va-et-vient en elle. La jeune fille mouillait sérieusement dans sa main et semblait presque à bout de souffle. Elle avait resserré ses cuisses sur la main de son frère mais il continuait à la torturer doucereusement.
- "Ca va pas, cousine ?" demanda Clémentine. Cette petite la voix sembla cingler Tom comme une lanière de cuir, le faisant presque sursauter. Sa main quitta immédiatement le minou de Pauline.
- "Non, pourquoi tu demandes ça ?" rétorqua Pauline, rassemblant avec succès sa voix pour ne rien laisser paraître.
- "Bin, tu gémis un peu depuis tout à l'heure et on dirait que tu as chaud."
- "C'est vrai que je me demande depuis tout à l'heure si tu n'es pas malade en voiture..." s'enquit à son tour leur tante en se tournant en arrière. "Tu n'as pas l'impression, Tom ?"
- "Oh, moi j'étais en train de somnoler alors je n'ai pas trop fait gaffe" mentit-il.
- "Tu veux qu'on s'arrête un peu, Pauline ?" proposa leur oncle. "Il est temps de faire une pause pour tout le monde de toute façon."
- "Oui, je veux bien" accepta Pauline, "je crois que j'ai besoin de prendre l'air et de me rafraîchir quelques minutes."
- "Alors on fait comme ça. On sort à la prochaine aire de repos. " confirma l'homme.
Durant les quelques minutes suivantes, les deux ados se tinrent tranquilles. Pourtant Tom pouvait voir que le corps de Pauline était encore électrique et qu'elle se trémoussait curieusement sur lui. Les voitures finirent par se garer sur l'aire de repos et tous sortirent se dégourdir les jambes. Le père de Thomas et Clémentine expliqua la raison de leur arrêt, conseilla à tout le monde de prendre un peu de repos et à Pauline en particulier d'aller se rafraîchir aux toilettes.
- "J'y vais tout de suite" lança-t-elle à son oncle, puis plus discrètement mais fermement à Tom "Tu m'accompagnes, toi."
Au milieu de la cohue de la famille qui se retrouvait sur le parking, Pauline et Tom passèrent inaperçus lorsqu'ils se dirigèrent vers les toilettes et que Tom, d'un geste rapide suivit sa sœur dans les toilettes réservées aux femmes. Sitôt enfermés dans une cabine d'une propreté surprenante pour ce qui est usuel sur les autoroutes, Pauline coinça son frère sur le mur.
- "Tu m'as bien poussée à bout dans la voiture" dit-elle d'une voix où Tom percevait du ressentiment et de l'excitation. "Tu te rends compte qu'on a failli être démasqué ?! Si je n'avais réussi à me retenir au maximum, il suffisait qu'ils se retournent pour te voir avec une main entre mes cuisses."
- "Dis donc sœurette, je te rappelle que c'est ça qui procure le frisson de ce genre de moment. Et puis, pour une fille que cela dérangeait, je trouve que tes cuisses se sont ouvertes facilement et que ton minou était déjà bien trempé. Au passage, je te félicite pour avoir réussi à te retenir aussi bien !"
- "Oui, c'est vrai que tes mains sur mes seins ont fait flamber mon ventre, c'était génial. Mais maintenant, pour ma revanche, c'est toi qui va devoir te retenir !"
- "Comment ça ?"
Sans lui répondre, Pauline avait passé ses mains sous sa jupe, avait baissé sa culotte jusqu'à ses chevilles et l'avait enlevée. Puis elle s'était approchée de Tom et avait soigneusement délacé son short pour lui baisser avec son caleçon à son tour. Une fois fait, elle se colla contre lui, passa sa langue dans le cou du jeune garçon tout en se saisissant de sa verge déjà à demi-dure. Tout en le masturbant, elle remonta sa bouche vers son oreille pour lui mordiller le lobe.
- "On n'a pas beaucoup de temps mais tu vas me faire jouir ici" lui susurra-t-elle à l'oreille. "Par contre, comme on n'a pas de préservatif, c'est à ton tour de te retenir. Je ne veux pas que tu jouisses pour payer ta dette."
- "C'est une dette bien énorme pour un jeu que tu as toi-même initié en t'asseyant sur mes genoux. Mais soit !"
Pauline lui sourit et l'embrassa à pleine bouche. Leurs langues dansèrent fougueusement, comme si elles relâchaient tout ce qu'elles avaient retenu d'excitation dans la voiture. Déjà, des gémissements s'étouffaient dans leurs baisers, tandis que Pauline continuait à branler la verge de Tom, qui était tout à fait dressée à présent. Leur jeu dans la voiture avait mis leur corps en transe et Tom s'étonnait encore de ne pas avoir tant réalisé ce qu'il avait fait.
Tout en continuant à embrasser son Tom, Pauline se colla contre son ventre et releva une jambe qu'il attrapa pour la tenir. La main de la jeune fille passa entre leurs ventres et vînt se saisir du pénis tendu qui s'écrasait entre eux pour le diriger entre ses cuisses. C'est amusant de voir que malgré leur jeune âge, les différentes positions sexuelles qu'ils pouvaient prendre selon les lieux leur venaient à l'esprit spontanément. Ainsi, Tom sentit son gland glisser doucement entre les lèvres trempées de Pauline pour découvrir la chaleur de son ventre. Elle s'empala autant que possible sur son sexe et revînt serrer étroitement Tom contre elle.
- "Ooh, c'est si bon quand tu entres en moi, mon amour." lui murmura-t-elle à l'oreille. "Fais-moi jouir..."
Aïe.
Pas de préservatif...
Les toilettes des parkings d'autoroutes, même privées, ce n'est pas très ragoutant (ça sent très mauvais et c'est peu confortable).
Encore un grand merci à Pinmaritime de nous faire revivre ce récit . Avec "la visite du château", on quitte le très chaud bouillant pour arriver à des températures inconnues jusqu'ici !! Et encore des félicitations à l'auteur Patredway qui a réussi à concocter un récit érotique da
un récit érotique dans lequel la température et la tension montent à chaque page. J'espère que le temps de cette rediffusion permettra la rédaction d'une suite aussi ...... brulante.
Un reproche : c'est bien écrit mais c'est extrêmement long et c'en est lassant.
J'en zappe des passages.
L'auteur, qui n'est pas ici, s'est-il documenté sur la réalité de ce genre d'amour ou est-ce le fruit de sa pure imagination ?
A ces mots, ce fut Tom qui commença à s'activer. Tout en tenant la jambe de la jeune fille, il la serra contre lui d'une main sur ses reins. Lui était toujours adossé au mur pour ne pas tomber. Il ne pouvait pas la pénétrer aussi profondément que dans les autres positions qu'ils avaient l'habitude de pratiquer mais le fait de ne pas utiliser de préservatif décuplait les sensations. Depuis leur premier rapport sexuel, il avait oublié la sensation d'une pénétration sans préservatif. C'était le jour et la nuit. Chaque fois qu'il entrait en elle, il pouvait sentir son gland passé sur ses lèvres, puis sa peau glisser dans son vagin. Il sentait chaque pli de sa peau, chaque contraction du ventre de Pauline, chaque palpitation de son gland qui écartait les chairs de son aimée. Bon sang, c'était une torture de penser à devoir se retenir. Et il soupçonna que Pauline le savait très bien en lui imposant ce gage.
Tom était obligé de ralentir son rythme par moment pour ne pas laisser l'excitation le gagner. Au-delà du gage, elle lui imposait un exercice sans filet puisqu'il ne pouvait prendre le risque de jouir en elle. Leurs souffles chauds envahissaient la cabine. Quelques gémissements parvenaient à franchir le barrage de leurs lèvres closes. Pauline se serrait contre lui, enfouissait son visage dans son cou tout en murmurant des encouragements.
Mais il fallait faire vite car les autres ne tarderaient pas à vouloir repartir. Le jeune garçon stoppa donc ses mouvements, redressa sa sœur et l'embrassa fébrilement. Pour lui aussi, le jeu ne devait pas durer trop longtemps car la pénétration sans protection le faisait tressaillir à chaque mouvement. Sans dire un mot, il se retira de la jeune fille, la retourna pour la placer dos à lui et face à l'autre mur. Elle comprit et se pencha en avant pour appuyer ses mains contre la cloison et lui tendre ses reins. Il releva la jupe légère et découvrit ses jolies fesses à croquer.
Pauline écarta les jambes tandis qu'il approchait son gland gonflé à l'entrée de son minou. Sans autre sommation, il saisit les hanches de la jeune fille et il pénétra en elle doucement mais de toute sa longueur et en une fois. Pauline ne put retenir un petit cri mué rapidement en long gémissement. Ce fut quand elle se calma qu'ils entendirent les voix de quelques membres de la famille qui pénétraient dans les toilettes. Leur cousine Sylvia arrivait avec son amie Marina et leur tante.
Les deux ados se figèrent quelques secondes. Pauline se retourna vers son frère et son regard exprimait tout à fait l'injonction de ne pas s'arrêter. Alors Tom obéit et entama de langoureux va-et-vient en elle. Cette fois, sa verge entrait plus profondément en elle et s'étaient de nouvelles sensations puissantes qui vrillaient le ventre du garçon. Pourtant, il ne s'arrêta pas. Il tenait les hanches de Pauline fermement et glissait dans son ventre avec des mouvements d'abord langoureux mais progressivement plus puissants. Il sentait qu'il se laissait emporter par l'excitation.
- "Pauline, tu es là ?" interrogea Sylvia. Tom ne prit même pas la peine de s'arrêter pour laisser à sa sœur le temps de répondre.
- "Oui, oui" réussi-t-elle à lâcher d'une voix le plus neutre possible. "Ca va mieux."
- "On dirait pas trop quand on t'entend. On part dans 5 minutes, ça te laisse le temps de prendre l'air."
- "D'accord" conclut Pauline, à bout de force.