Chapitre I
Tout le monde dort. La nuit est noire. Pas un bruit. Eric se lève. Ça fait un moment déjà qu’il est éveillé et le ronflement de sa compagne Annie n’y est certes pas étranger.
Seul, dans la cuisine, il décapsule une canette de bière bien fraîche avant de se diriger vers les toilettes. Il baisse son slip blanc et s’assoit sur la cuvette. Tout en urinant, il caresse ses testicules velues en maintenant du pouce sa verge éloignée du bord de la cuvette. Eric aime se soulager de cette façon, comme le ferait une femme. Il prend plaisir à sentir ses fesses s’écarter légèrement en libérant son sphincter anal de l’emprise des chairs préalablement compressées par le sous-vêtement. Se faisant, il perçoit le léger courant d’air qui envahit son sillon fessier maintenant dégagé et cela l’émoustille. Il lui faut appuyer davantage sur sa verge qui sous la douce sensation, a commencé à prendre de l’embonpoint.
Eric se relève. Son phallus est maintenant à l’horizontale. Il découpe une feuille de papier toilette, passe en retrait le prépuce pour dégager son gland luisant et essuie la dernière goutte. Voir son sexe ainsi dénudé l’excite encore plus. Eric prend sa verge en main et son poignet entame quelques va et vient faisant rentrer et sortir son gland de sa cachette toute chaude et cette chaleur se propage dans son bas ventre pour prendre naissance juste en dessous de ses testicules.
Le slip toujours à mi-hauteur, Eric se dirige vers l’ordinateur qu’il met sous tension avant de poser ses fesses nues sur le cuir froid du fauteuil. Sa verge est calée entre ses cuisses et ses testicules. Elle arbore une rigidité sympathique en dépassant largement le sommet de ses jambes.
Il faut dire qu’Eric est plutôt bien monté. Son sexe en position phallique affiche une vingtaine de centimètres. Il est effilé, ni trop gros, ni trop petit avec une largeur de quatre centimètres en mode normal et cinq centimètres lorsque le gland est distendu. Le côté impressionnant reste néanmoins la longueur. En position de repos, il faut garer dix centimètres dans le slip et en érection, la mise est doublée, ce qui engendre un débordement inéluctable, un peu comme un chien qui passe la tête par la fenêtre entr’ouverte de la voiture pour mieux respirer. Et dans ces moments là, le gland d’Eric aime prendre ses aises quitte à déborder du tissu si nécessaire.
L’ordinateur a démarré. Eric lance le navigateur en mode privé pour éviter qu’Annie ou les enfants de son amie puissent retrouver la trace des sites qu’il consulte.
Annie a mis au monde deux filles et un garçon issus d'unions précédentes. Les pères sont tous différents. Chloé la petite dernière naturellement basanée vient d’accrocher ses dix-huit ans. Elle est en terminale. Une sacrée chipie. Charlotte est la plus âgée des trois avec un compteur qui frise les vingt-quatre ans. Elle est en faculté de droit et elle ne rentre à la maison que le week-end. Charlotte est célibataire, Eric ne lui connaît pas de petit copain. Lucas est né entre les deux filles. Il a maintenant vingt-et-un ans. Sa petite copine se prénomme Jade. Il travaille dans un garage automobile en tant que mécanicien et Jade est caissière au supermarché du quartier.
Eric ne désire pas avoir d’enfant. Il est en couple avec Annie depuis trois ans maintenant. Il se sont rencontrés au cours d’une promenade à vélo qui a dégénérée et le soir même, ils couchaient ensemble. Annie n’est pas une femme farouche. Elle est même plutôt ouverte à la sexualité. Il faut dire que les occasions ne se présentent plus autant qu’avant. La ménopause a déjà frappé à sa porte et en cela, son tour de taille a explosé, ses seins se sont avachis, son sexe est rentré dans les chairs comme un escargot dans sa coquille.
Eric se focalise sur l’écran juste devant lui. Il s’est connecté sur un site pornographique qu’il affectionne particulièrement ; un site gratuit sans trop de publicités ni même de virus où les amateurs publient leurs photos et vidéos d’eux, de leurs ébats sexuels, ou tout simplement des photos ou des vidéos récupérées de par ailleurs.
La verge d’Eric s’est durcie rien qu’à l’idée de consommer du sexe virtuel. Les femmes nues, dans des positions affriolantes, indécentes, les pénétrations vaginales, anales, les triolismes, le sexe à plusieurs, les vulves offertes, luisantes de mouille, parfois même spermées par des glands généreux et multiples, les culs jubilatoires, les anus dilatés, les queues magnifiques qui surplombent des testicules bien fermes, les travesties,... Toutes ces images tournent en bouclent devant les yeux gourmands d’Eric, excité au plus haut point. Sa verge est sous domination totale de la dynamique monstrueuse de sa main qui s’agite maintenant de haut en bas, lentement pour savourer le plaisir naissant puis plus ample, plus souple, plus rapide pour atteindre le seuil du plaisir et le maintenir à niveau. Un kleenex blanc est posé devant lui sur le bureau, plié en deux. Une image un peu plus émoustillante d’une jeune femme qui offre une vision lubrique de son cul somptueux en dessous d’une petite robe blanche, les seins débordants, le sourire aguicheur et la ligne rouge est franchie.
Eric accélère le mouvement et le plaisir sournois des testicules monte maintenant dans la verge. Son gland s’est durci. Il est cramoisi. Eric se lève précipitamment pour poser son sexe sur le kleenex et il se laisse aller. Le premier jet vient éclabousser avec force le bord du mouchoir relevé avec un tout petit bruit étouffé, à peine perceptible. Le second moins puissant se traîne sur toute la longueur du papier, suivi par un troisième puis un quatrième de même intensité et les autres viennent s’accumuler en épaisseur à l'aplomb du gland généreux. La masturbation d’Eric s’est ralentie pour vider entièrement son sexe. Il appuie maintenant le long de l’urètre en remontant vers le gland pour éjecter le sperme encore accumulé dans sa verge.
Eric nettoie son gland, le rentre dans son prépuce, remonte son slip, éteint l’ordinateur et il retourne s’allonger tout contre Annie pour finir la nuit.
Tout le monde dort. La nuit est noire. Pas un bruit. Eric se lève. Ça fait un moment déjà qu’il est éveillé et le ronflement de sa compagne Annie n’y est certes pas étranger.
Seul, dans la cuisine, il décapsule une canette de bière bien fraîche avant de se diriger vers les toilettes. Il baisse son slip blanc et s’assoit sur la cuvette. Tout en urinant, il caresse ses testicules velues en maintenant du pouce sa verge éloignée du bord de la cuvette. Eric aime se soulager de cette façon, comme le ferait une femme. Il prend plaisir à sentir ses fesses s’écarter légèrement en libérant son sphincter anal de l’emprise des chairs préalablement compressées par le sous-vêtement. Se faisant, il perçoit le léger courant d’air qui envahit son sillon fessier maintenant dégagé et cela l’émoustille. Il lui faut appuyer davantage sur sa verge qui sous la douce sensation, a commencé à prendre de l’embonpoint.
Eric se relève. Son phallus est maintenant à l’horizontale. Il découpe une feuille de papier toilette, passe en retrait le prépuce pour dégager son gland luisant et essuie la dernière goutte. Voir son sexe ainsi dénudé l’excite encore plus. Eric prend sa verge en main et son poignet entame quelques va et vient faisant rentrer et sortir son gland de sa cachette toute chaude et cette chaleur se propage dans son bas ventre pour prendre naissance juste en dessous de ses testicules.
Le slip toujours à mi-hauteur, Eric se dirige vers l’ordinateur qu’il met sous tension avant de poser ses fesses nues sur le cuir froid du fauteuil. Sa verge est calée entre ses cuisses et ses testicules. Elle arbore une rigidité sympathique en dépassant largement le sommet de ses jambes.
Il faut dire qu’Eric est plutôt bien monté. Son sexe en position phallique affiche une vingtaine de centimètres. Il est effilé, ni trop gros, ni trop petit avec une largeur de quatre centimètres en mode normal et cinq centimètres lorsque le gland est distendu. Le côté impressionnant reste néanmoins la longueur. En position de repos, il faut garer dix centimètres dans le slip et en érection, la mise est doublée, ce qui engendre un débordement inéluctable, un peu comme un chien qui passe la tête par la fenêtre entr’ouverte de la voiture pour mieux respirer. Et dans ces moments là, le gland d’Eric aime prendre ses aises quitte à déborder du tissu si nécessaire.
L’ordinateur a démarré. Eric lance le navigateur en mode privé pour éviter qu’Annie ou les enfants de son amie puissent retrouver la trace des sites qu’il consulte.
Annie a mis au monde deux filles et un garçon issus d'unions précédentes. Les pères sont tous différents. Chloé la petite dernière naturellement basanée vient d’accrocher ses dix-huit ans. Elle est en terminale. Une sacrée chipie. Charlotte est la plus âgée des trois avec un compteur qui frise les vingt-quatre ans. Elle est en faculté de droit et elle ne rentre à la maison que le week-end. Charlotte est célibataire, Eric ne lui connaît pas de petit copain. Lucas est né entre les deux filles. Il a maintenant vingt-et-un ans. Sa petite copine se prénomme Jade. Il travaille dans un garage automobile en tant que mécanicien et Jade est caissière au supermarché du quartier.
Eric ne désire pas avoir d’enfant. Il est en couple avec Annie depuis trois ans maintenant. Il se sont rencontrés au cours d’une promenade à vélo qui a dégénérée et le soir même, ils couchaient ensemble. Annie n’est pas une femme farouche. Elle est même plutôt ouverte à la sexualité. Il faut dire que les occasions ne se présentent plus autant qu’avant. La ménopause a déjà frappé à sa porte et en cela, son tour de taille a explosé, ses seins se sont avachis, son sexe est rentré dans les chairs comme un escargot dans sa coquille.
Eric se focalise sur l’écran juste devant lui. Il s’est connecté sur un site pornographique qu’il affectionne particulièrement ; un site gratuit sans trop de publicités ni même de virus où les amateurs publient leurs photos et vidéos d’eux, de leurs ébats sexuels, ou tout simplement des photos ou des vidéos récupérées de par ailleurs.
La verge d’Eric s’est durcie rien qu’à l’idée de consommer du sexe virtuel. Les femmes nues, dans des positions affriolantes, indécentes, les pénétrations vaginales, anales, les triolismes, le sexe à plusieurs, les vulves offertes, luisantes de mouille, parfois même spermées par des glands généreux et multiples, les culs jubilatoires, les anus dilatés, les queues magnifiques qui surplombent des testicules bien fermes, les travesties,... Toutes ces images tournent en bouclent devant les yeux gourmands d’Eric, excité au plus haut point. Sa verge est sous domination totale de la dynamique monstrueuse de sa main qui s’agite maintenant de haut en bas, lentement pour savourer le plaisir naissant puis plus ample, plus souple, plus rapide pour atteindre le seuil du plaisir et le maintenir à niveau. Un kleenex blanc est posé devant lui sur le bureau, plié en deux. Une image un peu plus émoustillante d’une jeune femme qui offre une vision lubrique de son cul somptueux en dessous d’une petite robe blanche, les seins débordants, le sourire aguicheur et la ligne rouge est franchie.
Eric accélère le mouvement et le plaisir sournois des testicules monte maintenant dans la verge. Son gland s’est durci. Il est cramoisi. Eric se lève précipitamment pour poser son sexe sur le kleenex et il se laisse aller. Le premier jet vient éclabousser avec force le bord du mouchoir relevé avec un tout petit bruit étouffé, à peine perceptible. Le second moins puissant se traîne sur toute la longueur du papier, suivi par un troisième puis un quatrième de même intensité et les autres viennent s’accumuler en épaisseur à l'aplomb du gland généreux. La masturbation d’Eric s’est ralentie pour vider entièrement son sexe. Il appuie maintenant le long de l’urètre en remontant vers le gland pour éjecter le sperme encore accumulé dans sa verge.
Eric nettoie son gland, le rentre dans son prépuce, remonte son slip, éteint l’ordinateur et il retourne s’allonger tout contre Annie pour finir la nuit.
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