Comme promis, voici la version gay du récit.
À la rentrée, Laurent avait débuté la terminale dans un nouveau lycée. Il ne s’était pas encore fait d’amis. Il aurait aimé avoir des contacts avec Valentin, mais on le décrivait comme un nerd asocial, il était pâle, avait des grosses lunettes mode du siècle passé, des boutons d’acné et des cheveux roux. C’était en plus le premier de classe et il faisait des jaloux. Valentin habitait le même village que Laurent, ils prenaient le train ensemble, mais Valentin était toujours plongé dans des livres de physique, on disait qu’il étudiait déjà le programme de l’école polytechnique, et Laurent faisait péniblement des révisions.
Ce vendredi-là, Laurent prit son courage à deux mains et aborda Valentin après le déjeuner à la cantine.
— On m’a dit que tu t’intéresses au jeux vidéo.
— Ouais, c’est exact.
— J’aimerais aussi m’acheter une console de réalité virtuelle, j’ai vu que la Super-Mega-Station X47 sort aujourd’hui. Tu le savais ?
— Si je le savais ? dit Valentin en riant. J’économise depuis Noël pour me l’acheter. Je l’ai précommandée, je passe la chercher au centre commercial avant de rentrer.
— Euh, je pourrais venir avec toi ?
— Bien sûr, mais ils n’en auront pas pour tout le monde.
— Ce serait juste pour la voir.
Ils se donnèrent rendez-vous à la sortie du lycée.
Au centre commercial, Valentin discuta longuement des performances de la X47 avec le vendeur. Laurent prit un air intéressé, mais il n’y connaissait pas grand-chose. Le vendeur offrit un nouveau jeu intitulé L’invasion des Spermiphages. Valentin ressortit fièrement du magasin avec sa nouvelle acquisition.
— J’ai pensé qu’on pourrait manger un morceau ici avant de rentrer, proposa Laurent, on a trois quarts d’heure avant le départ du train. Ça te dit ?
— Pourquoi pas, je perdrai moins de temps ce soir avant d’installer ma console.
— Il y a un McDo, ça te va ?
Laurent insista pour offrir un Very Big Mac à Valentin qui fut très surpris. Ils parlèrent ensuite de leurs ordinateurs. Ils terminèrent leur repas par un dessert calorique et sucré. Valentin enleva ses lunettes pour les nettoyer, Laurent trouva qu’il n’était pas dénué de charme et il n’avait presque plus de boutons d’acné.
Dans le train, Laurent regarda sur son smartphone ce qu’était ce nouveau jeu pour ne pas paraître trop déphasé. C’était un jeu érotique de SF interdit aux moins de 18 ans, développé spécialement pour la nouvelle console. Sur la planète Tripolaire-Xénon vivaient des humanoïdes de type 4C, un mystérieux virus les avait privés de libido.
Ils avaient découvert que le sperme d’humanoïdes de type 7A, comme le sont les Terriens, pouvait réveiller leur ardeur. Ils avaient donc mis sur pied une armée de spermiphages pour attaquer la Terre dans le but de s’emparer du précieux nectar. Le jeu consistait à tuer le plus possible d’envahisseurs. À l’endroit des impacts, la combinaison éclatait et, si l’on visait juste, on pouvait voir les attributs sexuels des spermiphages, gigantesques comme tous les humanoïdes de type 4C.
Le joueur finissait par être vaincu et les spermiphages lui faisaient subir les derniers outrages pour lui pomper sa semence. On pouvait configurer le jeu autrement en changeant le sexe des humanoïdes ou se mettre à la place des agresseurs. On pouvait également se procurer en option des accessoires permettant de stimuler les organes génitaux, mais Valentin n’en avait pas achetés.
À la descente du train, Valentin demanda à Laurent :
— Tu viens chez moi ? Tu pourras m’aider à l’installer.
Laurent acquiesça immédiatement. La mère de Valentin les reçut chaleureusement :
— Bonjour Monsieur, je ne vous cache pas que c’est la première fois que mon fils invite un garçon. Vous avez déjà dîné ?
— Oui, Laurent m’a invité au centre commercial, fit Valentin.
— Vous l’avez invité ? Je vais vous rembourser.
— Non, ce n’est pas nécessaire, fit Laurent. Ça me fait plaisir d’être chez vous. Je viens d’arriver dans le village et je n’ai pas encore d’ami.
La mère se présenta. Elle prit ensuite Valentin à part et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Pendant que Laurent se lavait les mains, Valentin alla dans sa chambre et enleva ses jeans et son tee-shirt. Laurent le rejoignit alors qu’il sortait la console de son carton. Il fut surpris en voyant le sous-vêtement noir de Valentin.
— Qu’y a-t-il ? Je suis toujours en boxer lorsqu’il fait chaud.
— Cela ne me gêne pas, c’est juste l’image d’Einstein sur ta… sur le devant que je trouve drôle. Surtout que…
— Que quoi ?
— Il est bien mis en évidence, si tu vois ce que je veux dire.
— 10 cm au repos, 18 en érection. Le boxer est un cadeau idiot de ma mère, elle est fière d’avoir un fils surdoué, même si elle trouve que je ne sors pas assez. Tu peux aussi te déshabiller. Personne ne nous dérangera.
Laurent ôta ses vêtements, il était gêné de se retrouver en boxer avec Valentin, il était loin d’avoir les mêmes mensurations. Heureusement que son pénis avait un peu durci, donnant l’impression qu’il était plus gros.
Valentin ne le remarqua pas, occupé à relier l’appareil à un écran. Il configura la station, s’installa ensuite dans un fauteuil de cuir noir, mit le casque de réalité virtuelle et fut plongé dans un autre monde. Laurent pouvait voir les images sur l’écran. Valentin était très habile, il atteignait chaque fois l’entrejambe des spermiphages, qui, à mesure qu’ils se rapprochaient, avaient un membre toujours plus gros.
Laurent regardait aussi l’entrejambe de Valentin. Il ne put plus se retenir. Il devait provoquer le destin.
Il caressa tout d’abord la bosse sur le tissu, il sentit que le membre durcissait. Valentin ne réagit pas, toujours absorbé par les combats. Laurent glissa ensuite sa main dans le boxer, il parcourut la hampe, atteignit le prépuce qu’il décalotta. Le gland était humide.
Laurent baissa le boxer jusqu’à mi-cuisse, permettant au phallus de se déployer sur toute sa longueur. Valentin fut impressionné. Il regarda l’écran, les spermiphages avaient ligoté leur proie et chatouillaient ses zones érogènes. Il se mit à la place des créatures et essaya de synchroniser ses mouvements avec elles. Un spermiphage avait pris le pénis dans sa bouche, Laurent n’osa pas, il se contenta de le caresser comme il faisait avec le sien.
Valentin frissonnait, Laurent sentit le membre se contracter, le précieux nectar se répandit sur le ventre et le torse de la victime.
Valentin enleva le casque et dit :
— Ce jeu est génial, j’ai eu l’impression d’avoir un orgasme, même sans le stimulateur pénien.
— J’ai vu, dit Laurent en riant, c’était très réaliste.
Valentin constata alors que son boxer était baissé et que sa bite était encore à demi-dressée et humide.
— J’ai… j’ai vraiment joui ? s’étonna-t-il.
— Oui, je le confirme.
— Incroyable. J’espère ne pas t’avoir choqué.
— Je t’ai un peu aidé… puisque tu n’as pas de stimulateur pénien.
— Tu as fait ça ?
— Bah, il fallait bien que je contrôle si elle faisait 18 cm.
— OK, il y a des mouchoirs dans ma table de nuit, et tu verras aussi des préservatifs XXL, un cadeau de ma mère, et des normaux, elle m’a dit que tous les hommes n’ont pas des grosses bites comme moi. Elle fait combien la tienne ?
— Je te laisse la surprise. J’aimerais bien essayer ta console.
À la rentrée, Laurent avait débuté la terminale dans un nouveau lycée. Il ne s’était pas encore fait d’amis. Il aurait aimé avoir des contacts avec Valentin, mais on le décrivait comme un nerd asocial, il était pâle, avait des grosses lunettes mode du siècle passé, des boutons d’acné et des cheveux roux. C’était en plus le premier de classe et il faisait des jaloux. Valentin habitait le même village que Laurent, ils prenaient le train ensemble, mais Valentin était toujours plongé dans des livres de physique, on disait qu’il étudiait déjà le programme de l’école polytechnique, et Laurent faisait péniblement des révisions.
Ce vendredi-là, Laurent prit son courage à deux mains et aborda Valentin après le déjeuner à la cantine.
— On m’a dit que tu t’intéresses au jeux vidéo.
— Ouais, c’est exact.
— J’aimerais aussi m’acheter une console de réalité virtuelle, j’ai vu que la Super-Mega-Station X47 sort aujourd’hui. Tu le savais ?
— Si je le savais ? dit Valentin en riant. J’économise depuis Noël pour me l’acheter. Je l’ai précommandée, je passe la chercher au centre commercial avant de rentrer.
— Euh, je pourrais venir avec toi ?
— Bien sûr, mais ils n’en auront pas pour tout le monde.
— Ce serait juste pour la voir.
Ils se donnèrent rendez-vous à la sortie du lycée.
Au centre commercial, Valentin discuta longuement des performances de la X47 avec le vendeur. Laurent prit un air intéressé, mais il n’y connaissait pas grand-chose. Le vendeur offrit un nouveau jeu intitulé L’invasion des Spermiphages. Valentin ressortit fièrement du magasin avec sa nouvelle acquisition.
— J’ai pensé qu’on pourrait manger un morceau ici avant de rentrer, proposa Laurent, on a trois quarts d’heure avant le départ du train. Ça te dit ?
— Pourquoi pas, je perdrai moins de temps ce soir avant d’installer ma console.
— Il y a un McDo, ça te va ?
Laurent insista pour offrir un Very Big Mac à Valentin qui fut très surpris. Ils parlèrent ensuite de leurs ordinateurs. Ils terminèrent leur repas par un dessert calorique et sucré. Valentin enleva ses lunettes pour les nettoyer, Laurent trouva qu’il n’était pas dénué de charme et il n’avait presque plus de boutons d’acné.
Dans le train, Laurent regarda sur son smartphone ce qu’était ce nouveau jeu pour ne pas paraître trop déphasé. C’était un jeu érotique de SF interdit aux moins de 18 ans, développé spécialement pour la nouvelle console. Sur la planète Tripolaire-Xénon vivaient des humanoïdes de type 4C, un mystérieux virus les avait privés de libido.
Ils avaient découvert que le sperme d’humanoïdes de type 7A, comme le sont les Terriens, pouvait réveiller leur ardeur. Ils avaient donc mis sur pied une armée de spermiphages pour attaquer la Terre dans le but de s’emparer du précieux nectar. Le jeu consistait à tuer le plus possible d’envahisseurs. À l’endroit des impacts, la combinaison éclatait et, si l’on visait juste, on pouvait voir les attributs sexuels des spermiphages, gigantesques comme tous les humanoïdes de type 4C.
Le joueur finissait par être vaincu et les spermiphages lui faisaient subir les derniers outrages pour lui pomper sa semence. On pouvait configurer le jeu autrement en changeant le sexe des humanoïdes ou se mettre à la place des agresseurs. On pouvait également se procurer en option des accessoires permettant de stimuler les organes génitaux, mais Valentin n’en avait pas achetés.
À la descente du train, Valentin demanda à Laurent :
— Tu viens chez moi ? Tu pourras m’aider à l’installer.
Laurent acquiesça immédiatement. La mère de Valentin les reçut chaleureusement :
— Bonjour Monsieur, je ne vous cache pas que c’est la première fois que mon fils invite un garçon. Vous avez déjà dîné ?
— Oui, Laurent m’a invité au centre commercial, fit Valentin.
— Vous l’avez invité ? Je vais vous rembourser.
— Non, ce n’est pas nécessaire, fit Laurent. Ça me fait plaisir d’être chez vous. Je viens d’arriver dans le village et je n’ai pas encore d’ami.
La mère se présenta. Elle prit ensuite Valentin à part et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Pendant que Laurent se lavait les mains, Valentin alla dans sa chambre et enleva ses jeans et son tee-shirt. Laurent le rejoignit alors qu’il sortait la console de son carton. Il fut surpris en voyant le sous-vêtement noir de Valentin.
— Qu’y a-t-il ? Je suis toujours en boxer lorsqu’il fait chaud.
— Cela ne me gêne pas, c’est juste l’image d’Einstein sur ta… sur le devant que je trouve drôle. Surtout que…
— Que quoi ?
— Il est bien mis en évidence, si tu vois ce que je veux dire.
— 10 cm au repos, 18 en érection. Le boxer est un cadeau idiot de ma mère, elle est fière d’avoir un fils surdoué, même si elle trouve que je ne sors pas assez. Tu peux aussi te déshabiller. Personne ne nous dérangera.
Laurent ôta ses vêtements, il était gêné de se retrouver en boxer avec Valentin, il était loin d’avoir les mêmes mensurations. Heureusement que son pénis avait un peu durci, donnant l’impression qu’il était plus gros.
Valentin ne le remarqua pas, occupé à relier l’appareil à un écran. Il configura la station, s’installa ensuite dans un fauteuil de cuir noir, mit le casque de réalité virtuelle et fut plongé dans un autre monde. Laurent pouvait voir les images sur l’écran. Valentin était très habile, il atteignait chaque fois l’entrejambe des spermiphages, qui, à mesure qu’ils se rapprochaient, avaient un membre toujours plus gros.
Laurent regardait aussi l’entrejambe de Valentin. Il ne put plus se retenir. Il devait provoquer le destin.
Il caressa tout d’abord la bosse sur le tissu, il sentit que le membre durcissait. Valentin ne réagit pas, toujours absorbé par les combats. Laurent glissa ensuite sa main dans le boxer, il parcourut la hampe, atteignit le prépuce qu’il décalotta. Le gland était humide.
Laurent baissa le boxer jusqu’à mi-cuisse, permettant au phallus de se déployer sur toute sa longueur. Valentin fut impressionné. Il regarda l’écran, les spermiphages avaient ligoté leur proie et chatouillaient ses zones érogènes. Il se mit à la place des créatures et essaya de synchroniser ses mouvements avec elles. Un spermiphage avait pris le pénis dans sa bouche, Laurent n’osa pas, il se contenta de le caresser comme il faisait avec le sien.
Valentin frissonnait, Laurent sentit le membre se contracter, le précieux nectar se répandit sur le ventre et le torse de la victime.
Valentin enleva le casque et dit :
— Ce jeu est génial, j’ai eu l’impression d’avoir un orgasme, même sans le stimulateur pénien.
— J’ai vu, dit Laurent en riant, c’était très réaliste.
Valentin constata alors que son boxer était baissé et que sa bite était encore à demi-dressée et humide.
— J’ai… j’ai vraiment joui ? s’étonna-t-il.
— Oui, je le confirme.
— Incroyable. J’espère ne pas t’avoir choqué.
— Je t’ai un peu aidé… puisque tu n’as pas de stimulateur pénien.
— Tu as fait ça ?
— Bah, il fallait bien que je contrôle si elle faisait 18 cm.
— OK, il y a des mouchoirs dans ma table de nuit, et tu verras aussi des préservatifs XXL, un cadeau de ma mère, et des normaux, elle m’a dit que tous les hommes n’ont pas des grosses bites comme moi. Elle fait combien la tienne ?
— Je te laisse la surprise. J’aimerais bien essayer ta console.
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