Immunité (SF, gay, derniers épisodes)

[Louklouk]

Je viens d'écrire une autre version de la première fois, ce que m'a suggéré Lange128.
Mais ce sera à lui de décider si je la publie.
Je ne crois pas la perfection insupportable, moi...

[Lange128]

Je viens d'écrire une autre version de la première fois, ce que m'a suggéré Lange128.
Mais ce sera à lui de décider si je la publie.
Je ne crois pas la perfection insupportable, moi...

Tu as été rapide (pour l’écriture). Je t’autorise à publier ta version ici puisque c’est moi qui t’ai demandé de l’écrire, et mon sujet de forum appartient à tous. Je ferai un commentaire après.

Et si d’autres personnes avaient envie de se livrer à cet exercice, je serais ravi de les accueillir.

[Louklouk]

Bonjour !
Voici donc une autre vision des choses...

Patrick & Adelin

De Lange128 :
La chambre d’amis est grande : en plus de deux lits très hauts, avec un matelas mince, il y a le fameux canapé blanc, meubles dessinés par Le Corbusier. Des coussins de soie noire sont posés sur le canapé, Adelin se souvient que la duchesse lui avait dit qu’elle brodait elle-même les dra-gons et autres animaux chimériques sur ceux-ci. Au mur, des dessins d’hommes nus, œuvres des élèves de l’École d’art.

De Louklouk :
Les garçons regardaient étonnés cet étrange décor. Mais ce n’était pas ce qui les intimidait le plus …
Ils savaient qu’en cet endroit… ils passeraient le mo-ment le plus essentiel de leur vie, et… comme ils en étaient impressionnés !
D’où vient qu’ils ne disaient rien. Adelin enfin souffla, en se retournant sur Patrick :
— Ça te plaît ?
— Oh ! C’est… étonnant, mais… oui, oui, ça me plaît !
— Et tu crois que pour… nous deux… ça ira ?
— Oh oui ! fit Patrick avec un immense sourire en se retournant vivement sur son ami, oh oui !
Les garçons s’enlacèrent fortement, et un vif et mouillé baiser unit ces jeunes bouches.
— Il y a une salle de bains, là… On y va ?
Les minets se déloquèrent, chacun de son côté du vaste lit. Adelin déclara :
— Ôte ton pansement, je te le referai ensuite : il y a tout ce qu’il faut ici. Et aussi pour te soigner le mental !
— Hein ?
— Un frigo bourré de crémant de Jura.
— Ah ! Ah ! éclata Patrick, soudain détendu.
La douche fut délicate et tendre. Les garçons bandèrent sans plus de manières que ça. Mais on se contenta de se caresser les parties sacrées, avec douceur et componction.
Caresses qui entretinrent chez ces jeunes Messieurs des roideurs remarquables, croyez-le !
— Comme t’es beau ! souffla Patrick sans regarder son ami.
— Comme t’es magnifique, toi !
— Chut !
Mais ce qui avait été dit n’était pas destiné à être ou-blié…
On attaqua donc une bouteille de crémant… qui n’offrit aucune résistance ; les verres de l’endroit était de Bohême ancienne, pas moins.
Drôle de spectacle que celui de ces fins garçons, posés face à face aux deux bouts d’un superbe sofa Louis XV — qu’Adelin avait affirmé authentique, lui —, nus et raides, et trinquant à l’union des peuples !
— Je l’ai tellement attendu, ce moment, Patrick ! osa enfin ce garçon.
— Moi aussi.
On s’entreregarda en sirotant. Il parut qu’aucun n’osait aller plus loin. On reposa enfin son verre vide sur la table basse, et Adelin en profita pour saisir le poignet de Pa-trick… qui sourit gentiment, et laissa Adelin organiser la suite des événements… espérés.
Plus de crémant, lors ! Mais la délicate salive d’Adelin. Oh ! Qu’ils furent doux à Patrick, les baisers de ce garçon !
— Je sais pas quoi faire, murmura Patrick.
— Peut-être on essaye… d’être tous les deux ?
— Oui… Oh oui, tous les deux…
Adelin prit alors la direction des opérations et se mit à poser des doigts ci et là, sur la fine académie d’un Patrick qui ne tarda pas à sourire, puis à en faire autant sur les beautés d’Adelin.
Mignon jeu… qui mena les timides phalanges de ces garçons un peu partout… y compris en les sites classés, ou supposés tels ! Les garçons changèrent de position moult fois… avant qu’Adelin montrât, du menton, le vaste lit… où l’on se transporta vitement.
Comme on s’y frôla du bout des doigts ! Et comme on s’y regarda avec émotion !
— Est-ce que… nous voudrons ? osa enfin Adelin.
— Je voudrai ce que tu voudras, répondit Patrick.
— T’as envie ?
— De ce que nous avons envie.
— Patrick ! souffla Adelin en prenant tendrement la bouche de Patrick.

Enfin, on s’organisa : Adelin avait tout le gel qu’il fal-lait pour… Mais avant, la langue aimante d’Adelin prépara longuement un Patrick qui gémit, geignit !... Et finit par supplier :
— Tes doigts, s’te plaît !
Lesquels ne tardèrent point à entrer en l’intimité d’un Patrick qui poussa quelques soupirs, certes, mais pas assez pour ameuter la communauté internationale…
Non : juste assez pour faire comprendre à Adelin qu’il faisait ce qu’il fallait… Puis… Adelin souffla :
— Tu veux, là ?
— Oui, viens… Viens, Bébé, viens !
Patrick était sur le dos, et regardait Adelin en les yeux.
Qui le pénétra donc avec la plus grande douceur du monde, et sans plus de difficulté que ça : la préparation avait été bien efficace, sans doute.
Les minets se fixaient, tandis que le joli vit d’Adelin se mettait à coulisser ès profondeurs d’un Patrick qui trouvait ça… bien, bien !
— Tu… Tu… souffla Adelin.
— Oui, c’est bon, Adelin, bon, oui ! Vas-y, comme… comme tu veux ! Vas-y, Adelin !
Et Adelin y alla… oh non de toutes ses forces, mais… avec une application délicate, qui prit cependant de l’ampleur, petit à petit, et sous les encouragements de Patrick devint bientôt une sorte de chevauchée impérieuse où les garçons se mirent à crier…
Il baisa, Adelin, comme un démon, et presque comme s’il eût été condamné à tirer son aimé pour la vie éternelle ! Et même, on oublia de compter les quarts d’heure à ceci utilisés…
Remarquez que Patrick  n’aurait pas été contre, en fait. On en revint aux réalités de la vie : point de vie éter-nelle, mais des quarts d’heure, oui…
Enfin, Adelin dut déborder ès profondeurs de Patrick, en le regardant au fond des yeux.
— Je… t’aime ! souffla Adelin en giclant en Patrick.
— Oh…
Silence. Adelin se redressa un peu, enfin :
— Trop bon, mon Bébé ! Oh ! Trop bon !
— C’est bon… toi en moi, murmura Patrick. T’es mon Adelin.
— Quand tu auras cicatrisé, mon Patrick, alors tu me le feras aussi, tu veux ?
— Ce que tu veux… bien sûr que je le ferai, Adelin !
— T’es fou, Patrick !… Oh, je…
— C’est pas moi qu’ai commencé, je crois…
Adelin prit vivement la bouche de Patrick. Avant de le branler doucement.
— Tu me dis si je te fais mal.
— Oui, c’est sensible… mais oui, tu me fais jouir !
Autre moment  d’exception, sur les draps de soie de la duchesse !
Où malgré sa douleur, Patrick gicla jusque sur le mu-seau d’Adelin, sous l’énergique manipulation d’iceluy…
Il fallut un petit moment de récupération. Au terme du-quel Patrick souffla, le regard en les yeux de son aimé :
— Je crois, que… Monsieur… Monsieur ! Je crois que je vous aime…
— Oh ! Oh ! Mais ! Moi aussi, je vous aime !
Alors on s’embrassa vivement, et plus encore !...
— Est-ce que… on va refaire l’amour ?
— On va faire l’amour tous les jours de la vie, oh oui ! Oh ! Mon Bien-aimé ! s’écria Adelin.

[Lange128]

Merci [member=87]Louklouk[/member] d’avoir transporté mes personnages dans ton monde loukloukien ou l’on baise pendant  « des quarts d’heure ». Leur réveil sera difficile lorsqu’ils réaliseront que ce n’était qu’un rêve et qu’ils sont dans l’univers de Lange, austère, calviniste et où l’on jouit trop rapidement. Comme je ne vais pas raconter la suite de leur histoire, je leur rends leur liberté.

[Lange128]

Je suis plutôt dans le camp de Lange, dont j'attends patiemment l'autobiographie...

Il n'y a rien de plus ennuyeux que la perfection, sauf peut-être la répétition de la perfection.

La première fois est rarement la meilleure, c'est l'expérience qui permet d'améliorer les choses. Dans l'histoire, Adelin a joui comme par inadvertance, le coup est parti en douceur, il ne l'a pas vu venir, Patrice non plus. Ça peut arriver, fatigue, stress, COVID ? Ils recommenceront... sans nous, mais les lecteurs sont un peu des voyeurs. Il y a des choses qu'on fait mieux à deux.

J’ai l’impression que tu devras attendre mon autobiographie très longtemps. Ce ne serait pas forcément intéressant de faire une chronologie depuis le jour de ma naissance jusqu’à ma mort, je préférerais la faire par thèmes.

Je vais quand même faire un essai : quel serait un ou des thèmes de ma vie qui vous intéresseraient particulièrement, vous mes lecteurs voyeurs ? Je pourrais ainsi évaluer si je suis assez exhibitionniste pour les aborder, et aussi voir si j’aurais assez de choses à raconter pour en faire un récit intéressant.

[emmanolife]

Bonjour Lange !
Quelle question !

Mais la réponse est facile : c'est l'éveil de ta vie sexuelle qui est intéressant, c'est un thème souvent abordé dans les récits de Docti. La première fois sûrement, mais pas seulement, aussi ce qui s'est passé avant et après.

Dans les récits de Docti, enfin ceux qu'on aime bien, tout passe d'abord par l'éveil des sentiments, avant d'en arriver aux travaux pratiques. Dans mon cas perso, ça ne s'est pas passé tout à fait comme ça, c'était le sexe d'abord ! Dans ton cas, on imagine que les visites médicales ont joué un rôle déterminant, vu l'importance qu'elles semblent avoir dans ton œuvre ! D'une façon générale, il n'est pas utile de tout raconter, les bonnes pages seront bien suffisantes.

Quant à la pudeur de se raconter, je n'en ai personnellement aucune, car personne parmi mes proches ne connaît mon pseudo et pourrait m'identifier comme M. Emmanolife. En échange, ça me laisse une liberté totale de raconter ce que je veux, et je ne me sens bien sûr pas tenu de respecter strictement la vérité. Mais tous les auteurs qui ont écrit leur biographie ont tous menti, c'est bien connu.

J'espère que tu t'attelleras bientôt à ce nouveau projet et que nous aurons le plaisir de voir ta production...   )  ))

[Lange128]

Bonjour Lange !
Quelle question !

Mais la réponse est facile : c'est l'éveil de ta vie sexuelle qui est intéressant, c'est un thème souvent abordé dans les récits de Docti. La première fois sûrement, mais pas seulement, aussi ce qui s'est passé avant et après.

Dans les récits de Docti, enfin ceux qu'on aime bien, tout passe d'abord par l'éveil des sentiments, avant d'en arriver aux travaux pratiques. Dans mon cas perso, ça ne s'est pas passé tout à fait comme ça, c'était le sexe d'abord ! Dans ton cas, on imagine que les visites médicales ont joué un rôle déterminant, vu l'importance qu'elles semblent avoir dans ton œuvre ! D'une façon générale, il n'est pas utile de tout raconter, les bonnes pages seront bien suffisantes.

Quant à la pudeur de se raconter, je n'en ai personnellement aucune, car personne parmi mes proches ne connaît mon pseudo et pourrait m'identifier comme M. Emmanolife. En échange, ça me laisse une liberté totale de raconter ce que je veux, et je ne me sens bien sûr pas tenu de respecter strictement la vérité. Mais tous les auteurs qui ont écrit leur biographie ont tous menti, c'est bien connu.

J'espère que tu t'attelleras bientôt à ce nouveau projet et que nous aurons le plaisir de voir ta production...   )  ))

Merci de ta proposition [member=67]emmanolife[/member].

Tu places la barre très haut, c’est le dernier thème que j’aurais eu envie d'aborder. Mais cela me permettrait peut-être de résoudre une des plus grandes énigmes de ma vie : pourquoi n’ai-je pas réalisé que j’étais homosexuel pendant cette période d’éveil, alors que j’aurais eu beaucoup de raisons de le découvrir (cette phrase dit déjà pas mal de choses). Je me rappellerais peut-être d’un souvenir que j’avais mis de côté.

J’ai déjà donné tellement de détails sur Doctissimo et d’autres forums que quelqu’un qui me connaît pourrait m’identifier facilement. Cela ne me dérangerait pas, cela me dérangerait plus qu’on puisse trouver ces informations en introduisant mon vrai nom dans un moteur de recherches.

C’est possible que j’aie déjà tout raconté, soit caché dans mes récits, soit en privé, soit en répondant à des commentaires ou en participant à des forums spécialisés dans un domaine qui m’intéresse. Une autobiographie serait en fait une compilation de tous ces éléments. Il me faudrait sélectionner ce qui est important et laisser de côté ce qui est anecdotique. Mettre que la biographie est imaginaire serait une bonne idée, cela me permettrait de romancer certaines scènes et ne pas simplement décrire des faits.

Je vais réfléchir à tout cela et je vous tiendrai au courant.

[bech]

Je reprends la lecture des différents récits après une semaine d'absence.

Adelin est surpris qu'ils les aient infecté, mais Raphaël précise que c'était dans le contrat. L'infection s'est faite par la climatisation de la chambre. De laquelle ? Celle de Patrice seulement, ce qui nécessitait un conduit distinct ou la chambre commune, dans ce cas tous ont bien reçu le virus en même temps ?

Patrice une fois malade avait contacté son père ait été mis au courant. Coincidence bizarre quand même que le vaccin placebo tombe sur le fils du médecin. Mais ça aura permit de demander à Patrice de faire des examens sur ses camarades.

En tout cas, la vérification de l'efficacité du vaccin est probante.

Après ça, Adelin emmène Patrice à son logement chez la duchesse. Il pense être en faute par rapport aux règles qu'elle a fixée, mais elles ne concernaient que la venues de filles. Et en fait, la duchesse est contente qu'Adelin se soit trouvé un petit ami. Et elle est également curieuse par rapport à son piercing.

Le chapitre suivant est plutôt sage en version Lange128, beaucoup plus intensif coté sexe en version Louklouk.

[Lange128]

Je reprends la lecture des différents récits après une semaine d'absence.

Adelin est surpris qu'ils les aient infecté, mais Raphaël précise que c'était dans le contrat. L'infection s'est faite par la climatisation de la chambre. De laquelle ? Celle de Patrice seulement, ce qui nécessitait un conduit distinct ou la chambre commune, dans ce cas tous ont bien reçu le virus en même temps ?

Patrice une fois malade avait contacté son père ait été mis au courant. Coincidence bizarre quand même que le vaccin placebo tombe sur le fils du médecin. Mais ça aura permit de demander à Patrice de faire des examens sur ses camarades.

En tout cas, la vérification de l'efficacité du vaccin est probante.

Après ça, Adelin emmène Patrice à son logement chez la duchesse. Il pense être en faute par rapport aux règles qu'elle a fixée, mais elles ne concernaient que la venues de filles. Et en fait, la duchesse est contente qu'Adelin se soit trouvé un petit ami. Et elle est également curieuse par rapport à son piercing.

Le chapitre suivant est plutôt sage en version Lange128, beaucoup plus intensif coté sexe en version Louklouk.

Merci [member=27]bech[/member].

Tu as bien résumé les derniers chapitres.

Tu penses à tous les détails techniques. C’était seulement la chambre de Patrice, quelques jours avant qu’il sorte pour se mélanger aux autres (temps d’incubation). Ils pouvaient avoir modifié la climatisation à cet effet, on aurait aussi pu envisager d’autres méthodes. Je n’avais pas l’ambition d’écrire un récit où chaque détail médical aurait été vérifié, cela aurait aussi exclu certaines scènes peu conformes à la déontologie et relevant plus de mes fantasmes.

Patrice ne raconte que ce qu’il a appris de son père, celui-ci pourrait aussi avoir menti, on ne saura jamais si ce tirage au sort a vraiment eu lieu ou si Patrice a été délibérément choisi et par qui.

J’avais d’abord pensé que la duchesse pourrait être lesbienne, mais elle ne se serait pas forcément intéressée au piercing. Qu’elle aime les romances gays est vraisemblable, il y a aussi des femmes qui en écrivent.

Quant à la première fois, chacun aura sa préférence (version Louklouk ou version Lange). La réalité doit se trouver entre les deux, mais la littérature n’est pas obligatoirement une stricte représentation de la réalité, ce serait ennuyeux.

[fablelionsilencieux]

Perso,

que ce soit la version Langesque ou Loukloukéenne j'ai apprécié les deux, chacun ayant son style.

Immunité fini avec l’épilogue prochain (snif :'() et les cousins reprennent du service (chic ;D)

L’autobiographie peut être un bon sujet, qui sait ! 

[Lange128]

Perso,

que ce soit la version Langesque ou Loukloukéenne j'ai apprécié les deux, chacun ayant son style.

Immunité fini avec l’épilogue prochain (snif :'() et les cousins reprennent du service (chic ;D)

L’autobiographie peut être un bon sujet, qui sait ! 

Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member].

Les cousins reprennent du service, j’en ai déjà beaucoup (trop) parlé. Comme toujours, le résultat sera bien différent de mes projets, j’ai quelques nouvelles idées. Je te promets cependant que je ne m’hétérotiserais plus (ou alors juste pour Laurent et Vreni).

(Je signale en passant un nouveau récit qui vous surprendra, mais n’hésitez pas à le lire, c’est gratuit, et ça vous expliquera pourquoi je n'ai pas encore eu le temps d'écrire l'épilogue :
https://forum.slygame.fr/index.php?topic=166.0 )

J’ai commencé l’autobiographie en réfléchissant à l’âge que j’avais quand j’ai réalisé que je pouvais bander, je ne sais pas d’une part si ça vous intéresse, d’autre part si j’oserais le publier, c’était bien avant d’avoir 18 ans.

[fablelionsilencieux]

Merci [member=54]fablelionsilencieux[/member].


J’ai commencé l’autobiographie en réfléchissant à l’âge que j’avais quand j’ai réalisé que je pouvais bander, je ne sais pas d’une part si ça vous intéresse, d’autre part si j’oserais le publier, c’était bien avant d’avoir 18 ans.
[/quote]


Tout homme (depuis le nourrisson jusqu'au plus âgé) sans problème érectile connait les érections matinales, ce que ma maman appelait le "bande pipi" dans mon enfance.

Après c'est l'adolescence et le travail des hormones qui nous font découvrir l'autre utilité de notre zizi devenu sexe -vers les 12, 13 ou 14 ans- suivant l'évolution de chacun et son environnement, plus ou moins propice.
Partant de l’orgasme sec jusqu’aux éjaculations, voulues (masturbations) ou non (pollution nocturne).

Je n’ai pas attendu l’âge légal pour expérimenté la chose -seul ou non-, crois moi !!!  (majorité de l'époque en Belgique à 21 ans et sexuelle à 18 ; 18 et 16 actuellement)

[Lange128]

Tout homme (depuis le nourrisson jusqu'au plus âgé) sans problème érectile connait les érections matinales, ce que ma maman appelait le "bande pipi" dans mon enfance.

Après c'est l'adolescence et le travail des hormones qui nous font découvrir l'autre utilité de notre zizi devenu sexe -vers les 12, 13 ou 14 ans- suivant l'évolution de chacun et son environnement, plus ou moins propice.
Partant de l’orgasme sec jusqu’aux éjaculations, voulues (masturbations) ou non (pollution nocturne).

Je n’ai pas attendu l’âge légal pour expérimenté la chose -seul ou non-, crois moi !!!  (majorité de l'époque en Belgique à 21 ans et sexuelle à 18 ; 18 et 16 actuellement)

Je te crois volontiers. Chacun a des souvenirs de sa sexualité avant d’avoir l’âge légal.

Les questions sont plutôt de savoir si ces souvenirs peuvent être racontés dans une autobiographie et dans quelle mesure ils peuvent intéresser les lecteurs.

Peuvent-ils être racontés, alors qu’un site a des règles concernant les âges ? Alors qu’il y a des lois qui pourraient les considérer comme de la pédophilie ? Personne ne sait, à part moi, si j’ai vraiment vécu ce que je raconte ou si ce n’est qu’imaginaire.

Les lecteurs sont-ils intéressés ou considèrent-ils plutôt que c’est de l’immaturité de s’attarder sur des événements anecdotiques de l’enfance ? Il peut bien sûr y avoir des avis différents.

Une solution serait de ne pas me focaliser sur la sexualité, je pourrais par exemple vous parler de vacances chez ma grand-mère dans leur ensemble, dire ce qu’elles représentaient pour moi, dans quel cadre elles se déroulaient, et n’évoquer que brièvement que c’est là que j’ai commencé à me masturber. La question se poserait à nouveau de savoir si cela vous intéresserait, ne devrais-je pas consacrer mon activité d’écrivain à écrire des récits certes imaginaires, mais beaucoup plus érotiques ?

Pour commencer, je devrais faire des essais, raconter certains épisodes de mon enfance, voir si l’écriture a un effet cathartique pour moi, et ensuite seulement décider si je publie ce que j’ai écrit, et sous quelle forme.

[Lange128]

Quelques siècles plus tard, quelque part sur la Terre, dans une cité abandonnée.

Adh’elin et Path’rice ont les yeux embués lorsque l’image sur l’ordh’inateur se fige.

— Que se passe-t-il ? demande Adh’elin.
— Je ne sais pas, répond Path’rice.

Path’rice essaie de remettre en route l’artefact, il pose ses doigts sur les lettres, enlève et remet les bouts de fer dans les trous. Après plusieurs tentatives, une petite flamme et de la fumée s’échappent de l’ordh’inateur.

— Nous ne saurons jamais comment leur histoire s’est terminée, fit Adh’elin.
— Non, mais ils sont morts je suppose, l’un avait l’air très malade au moment où ça s'est arrêté.
— Morts ?
— Comme tous les gens qui ont vécu à cette époque. Une maladie inconnue, c’est cela la cause de la disparition de cette civilisation. C’est ce que nos ancêtres voulaient nous dire en nous montrant ces images.
— C’est triste, leur savoir a disparu.
— C’est mieux ainsi, ne refaisons pas les mêmes erreurs qu’eux. Qui sait ce qui serait passé s’ils avaient survécu ? La Légende dit que Gaïa se défend contre ses habitants lorsqu’ils la mettent en danger.

Ils restent silencieux.

— Tu n’as pas trouvé qu’ils nous ressemblaient les deux hommes ? demande Adh’elin.
— Oui, je pense que c’était pour qu’on comprenne mieux. On rentre ? J’ai hâte de parler à l’Oracle, il pourra nous aider à interpréter ce que nous avons vu.
— Rien ne presse. Je peux t’aider à interpréter quelque chose sans l’aide de l’Oracle.
— Toi ? dit Path’rice en riant.
— Oui, moi, j’ai vu que ton phallus avait grossi pendant qu’un des jeunes hommes mettait le sien dans le derrière de l’autre.
— Et tu en déduis quoi ?
— Que tu as envie que je te fasse la même chose. Notre quête n’aura ainsi pas été inutile.


                                          F I N



Et l’écriture de ce récit n’aura pas été inutile si vous l’avez lu jusqu’au bout, j’ai souvent regretté de l’avoir commencé, et finalement il a environ 30’000 mots. Il ne me reste plus qu’à vous remercier, chers lectrices, chers lecteurs. Un merci particulier pour les commentaires.

On se retrouve prochainement sur cet écran.

[fablelionsilencieux]

Belle pirouette temporelle pour clôturer ce récit -fictif mais dans l'air du temps- qui, de mon point de vue, ne démérite en rien de tes autres écrits.

Merci