Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES)

[Lange128]

J’espérais avoir la visite de tous les Pères Noël de Fab cette nuit, mais j’ai réalisé qu’avec le chauffage au sol ils ne pourront plus venir. En fait, je ne crois plus au(x) Père(s) Noël…

Je vous souhaite quand même de passer une très bonne fête de Noël et j’espère vous retrouver prochainement avec de nouveaux récits, même si je manque un peu d’inspiration en ce moment.

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Aujourd'hui c'est Noël !

Passer une agréable journée, que la joie, la fête et ses merveilles vous accompagnent et que l’amour vous inonde !


Si cz n'est déjà fait, déballer tout en amour et douceur vos cadeaux !

[fablelionsilencieux]

Deuxième défi phrasette,

Clément a son diplôme

Jamais Clément n'aurait pu se douter qu'un simple coup d'œil par la fenêtre de sa chambre ferait basculer son existence tout entière...

Car ce n'étaient pas des coups d'œil qu'il y jetait d'ordinaire, mais bien des matages organisés ! En effet, Joséphine, sa copine vivait en face, et l'on avait pris l'habitude de s'exhiber avant d'aller au lit... quand on ne dormait pas ensemble, évidemment. Mais la belle tenait à son indépendance, qui lui était assurée par cet appartement appartenant à ses parents.
Point de gêne en ces agissements ! Car l'enchevêtrement des vieux immeubles, ici, faisait que nul ne pouvait être vu que de son voyeur attitré. Sauf que...
Sauf que ce vendredi soir-là, alors qu'on s'était quitté une heure plus tôt, Clément eut une fière surprise : Joséphine ne se caressait pas devant sa fenêtre, toujours ouverte (comme elle, d'ailleurs !) en cette fin de juin, mais... un grand garçon brun et remarquablement fait se branlait en regardant le ciel, à la fenêtre voisine.
Quelle vision ! Car outre que ce mec était une splendeur — un genre de nageur, mais finement velu — il était pourvu... fallait voir comme ! Or donc, il se paluchait, le sourire aux lèvres, sans regarder du côté de Clément. Qui gambergeait !
Nul doute, cette fenêtre appartenait à l'appartement de Joséphine... qu'il ne connaissait guère, au-delà de la chambre d'icelle, de la cuisine et de la salle de bains !
Mais elle, il ne la connaissait non plus que depuis son arrivée ici, la Joséphine, et ça ne faisait donc que quatre mois. Et là, il y avait manifestement un mec chez elle ! Sa fenêtre était fermée, puisqu'elle avait dit aller faire des courses... Alors ?
Malgré son malaise, il fut assez intrigué pour vouloir en mater plus... et se cacha en partie, pour jeter juste un œil sur le beau branleur... qui se trémoussait sans doute au son de la musique de ses écouteurs, en manipulant son superbe chibre.
Étonnant spectacle, en vérité ! Et qui le mit un tantinet en émoi, d'ailleurs... Puis le mecton montra son cul... et s'y caressa avec une évidente volupté... Oh p'tain ! Était-il pas en train de s'y mettre un doigt ? Malgré la récente et mignonne séance avec la Joséphine, Clément se sentit pousser, non des ailes, mais bien des velléités ! Or donc, il mata. Et en eut pour son argent, oui-da !
Car quelques minutes plus tard, il vit ce garçon envoyer dans la cour quelques vifs et superbes jets blancs... et dut en faire autant sur son parquet.
Il se recula prudemment, et se mit à gamberger... tout en se rinçant la quéquette. Si ce mec se branlait par la fenêtre, ce serait donc qu'il ne faisait rien avec la Joséphine ? Mais en ce cas, que ne lui en avait-elle rien dit ? Oh, que c'était louche, tout ça ! Mais lui en parler ?... Il ne s'en sentit pas le culot. Il se contenterait donc de surveiller le beau branleur...
Le lendemain soir, il voyait Joséphine, comme tous les jours, et il remarqua qu'elle lui demanda que ce fût chez lui. Dans la journée, elle travaillait à l'extérieur, aussi ne la vit-il point... mais étant en télétravail, il put observer le mecton de la chambre voisine... à poil la moitié du temps... et en érection les trois quart du temps restant. Bel enfant, en vérité...
Et le soir il baisa Madame comme si de rien n'était... Mais dans le salon, de l'autre côté.
Le lendemain matin, alors que Joséphine venait de partir, il alla, nu, ouvrir sa fenêtre, sans penser à rien... et il tomba sur le mec d'en face, arborant une superbe érection : ah ! c'était pas une épée de fantaisie, ce braquemart-là !
Et là, pas moyen de faire autrement : il dut croiser le regard du mec, et lui rendre son geste de la main... comme son immense sourire ! Et là, ébahi, il vit le mec se mettre à se branler en le regardant, en souriant toujours... Et il dut répondre à son large sourire, puis... faire ce que l'autre lui suggéra : se prendre la bite aussi.
Étrange moment ! Mais le sourire, et la beauté de l'autre firent leur effet, et Clément banda bravement. et se branla avec tout autant d'ardeur. Vif moment d'ailleurs, et quand l'autre tendit le pouce gauche avant de pointer son index sur sa bite, Clément en fit autant... et l'on envoya ensemble dans la cour quelques belles giclées...
Puis le mec applaudit muettement, et Clément l'imita, avant qu'on se retirât. Mais il était sidéré de ce qu'il venait de faire !
Un truc d'ados, pas moins !... Restait à élucider le fait que cette virile beauté fût là, chez Joséphine, manifestement. Mais hors de question de lui en dire un mot !
Or quand il sortit de la boulangerie du coin, ce samedi-là...
— Ouaouh ! C'est mon super beau branleur, là, non ? Ciao ! Chuis Jean-Christophe, et toi ?
— Euh... Clément, murmura Clément, tétanisé.
— Content de te voir de près ! T'es super beau, tu sais ? Et bien mieux de près que de loin ! fit le mec, enjoué.
Dieux, qu'il était beau, çui-là ! Qui enchaîna vivement :
— Heureusement que ma frangine était pas là ! Tu dois la connaître de vue, n'est-ce pas ? Je suis chez elle pour un moment, je sais pas combien, et bien content de t'avoir croisé... dans ces circonstances ! Tu sais quoi ? Je vais lui demander son emploi du temps, comme ça... Apparemment, personne peut nous mater dans ce trou ! conclut le mec avec un sourire à faire tomber les cathédrales les plus rétives.
Baba, le Clément ! Qui donna son numéro de portable, et eut soudain envie de dire les choses à ce garçon... mais ! Mais l'aventure était à ce point extravagante qu'il hésita une seconde, celle de trop, celle qui vous fait passer du fait divers tristounet au vaudeville le plus rigouillard !
Et puis... comment résister au charme de ce mec ?
— T'es gay ?
— Non, non !... Et... toi ?
— Non plus ! Enfin... pas encore ! J'ai déposé un dossier, mais...
Clément éclata de rire : il était trop, ce mec. Qui ajouta :
— Ma sœur, qui s'appelle Joséphine, ne sait pas encore que je suis en pleine reconversion et... de plus, ça m'arrangerait qu'elle ne sache pas que je connais son voisin d'en face !
— Aucun problème ! fit un Clément souriant... que ça arrangeait bien aussi, pensez !
On convint de s'appeler dès qu'une « fenêtre de tir » pouvait s'ouvrir — le mot fit rire Clément derechef, évidemment. Et Jean-Christophe de conseiller à Clément de veiller à la fermeture de sa fenêtre, les jours suivants...
À la surprise d'iceluy, ce samedi soir, Joséphine voulut baiser dans une « ambiance intime »... avec les rideaux. Il y avait donc anguille sous roche... mais laquelle ?
Mais Clément fut appelé en fin de soirée :
— J'ai vu que t'avais fermé tes rideaux... Chaude, ta Fifine ?
— Ouais... Mais t'avais raison, vaut mieux se camoufler, car elle a jeté un coup d'œil et a repéré qu'on était visible d'en face...
— Alors comment on fait, pour notre concours de branlettes intersidérales ?
— Ben, je sais pas... Tu veux venir quand je suis sûr que j'ai personne ?
— Ouais, super ! Rideau tiré, hein ?
Jamais la Joséphine n'était venue chez lui sans prévenir — c'était dans leurs conventions — aussi fit-il cette proposition sans plus de crainte que ça. Mais, après avoir raccroché, il prit conscience qu'il venait de donner d'éventuels rendez-vous à un mec... avec de louches buts !
Il soupira, et finit par se calmer en repensant à l'exemplaire plastique de ce mec... le frère de sa copine !
Or donc, il convoqua Jean-Christophe dès le lendemain... au motif que Joséphine avait « ses Anglais » [expression ancienne (vers 1820) évoquant les règles]... ce qui la rendait de mauvaise humeur. Et bien évidemment, on s'amusa du côté rue de l'appartement de Clément...
— Tiens ! Puisqu'on peut plus arroser la cour ni mettre notre engrais bio sur les pots de fleurs de la concierge, si on faisait un concours de portée... comme les Nord-Coréens avec leurs missiles ? proposa Jean-Christophe, sérieux.
Et Clément de pouffer encore. Trop, ce mec !
Dans le petit salon de Clément, on se plaça à un mètre l'un de l'autre, sur un drap de bain, et l'on s'entreprit vivement... en matant fixement la bite de l'autre. Clément était épaté de la beauté entière de Jean-Christophe, et surtout de celle de sa queue, fine et longue épée rose et lisse... Mais il n'était pas en reste, lui, qui était à peine moins long, et un soupçon plus épais. Bref, deux beaux morceaux en compétition !
On s'arrosa mutuellement juste au-dessus du nombril, et Jean-Christophe décréta qu'il faudrait recommencer. Or on était dimanche midi, et Jean-Christophe suggéra, après la toilette :
— T'aurais pas une boîte de conserve à partager, là ?
— Non : j'ai de la vraie bouffe à t'offrir, si tu veux...
Ainsi commença une bizarre relation... car après un petit temps de jeux vidéo, alors qu'on était restés à poil, Jean-Christophe proposa qu'on reprît les expériences « intersidérales »... et à un mètre cinquante, ce fut Clément qui toucha l'adversaire.
— T'aurais dû faire de l'escrime, avec une telle épée ! constata Jean-Christophe, qui prit alors Clément par la nuque pour lui faire des bisous dans le cou... avant d'en poser un sur ses lèvres. Les affaires des nanas, reprit-il, ça dure combien de temps, en moyenne ?
— Celle-là... au moins quatre jours...
— Youpi ! On va pouvoir rôder notre DCA !
Clément sourit, encore. Il regarda l'étrange beauté de ce garçon comme si elle venait d'arriver de la Lune. Et il se représenta qu'il était là, à poil avec le frère de sa copine, après avoir joué avec lui à des jeux d'ados... qu'il prévoyait de recommencer !
Il appela Joséphine, qui au début de ses féminins tracas était d'une humeur massacrante, et il fut convenu qu'il l'emmènerait au restaurant le mardi soir seulement... Prévenu, Jean-Christophe eut un immenses sourire :
— Bon ! J'appelle la Joséphine pour la baratiner... Un bon coup qui me séquestre jusqu'à mardi, et je m'incruste ici !
Clément sentit venir les ennuis, qui bafouilla :
— Euh... Ben... D'accord, mais... on sort pas ensemble.
— T'as honte de moi ?
— Non, mais... ma copine passe souvent par ici, et...
— Youpi ! Tu me séquestres vraiment, donc ! Mon rêve !
Clément n'avait pas vu ça comme ça... mais décidément, le sourire de ce mec était un genre de poison violent !
On tint donc conférence pour établir quelques menus, et Clément fila vers une supérette ouverte le dimanche... non sans avoir entendu, dans les bras de Jean-Christophe :
— Reviens vite ! Tu me manques déjà, bébé !
Il marchait un peu sur la tête en gagnant le magasin, Clément ! Il allait faire les courses pour un séquestré volontaire, et qui plus est, le frère de... Mec qui venait de lui faire un genre de petite déclaration, non ? Beaucoup, tout ça !
Il retrouva sur son canapé une superbe et souriante odalisque... qui bandait joliment. Ce qui le désarma...
— J'ai même pas eu besoin de me toucher... quand j'ai entendu la porte de l'ascenseur.
Saisi, Clément alla poser les courses à la cuisine, où Jean-Christophe lui susurra à l'oreille :
— Viens ! On va se doucher.
Ooooh... songea un Clément qui eut un long frisson. Il se retourna, pour tomber en les bras du garçon qui lui fit des bisous dans le cou avant de murmurer :
— T'es super gentil, de m'accueillir comme ça, Clément. J'ai besoin de toi... et j'te promets que tu vas pas le regretter.
Dans la douche, on fut vite en grande et belle forme. Et l'on se savonna l'un l'autre avant de se sécher aussi. Où Jean-Christophe souffla :
— Je vais essayer un truc... jamais fait.
Il se laissa glisser le long de Clément et lui happa enfin la bite, tout en la saisissant aussi, pour jouer avec le prépuce.
Clément eut un immense soupir... mais que l'instant était bon ! Et quel moyen d'échapper à cette volupté ? Jean-Christophe le mena vers son lit, où il se mit de telle façon que  ce jeune homme eut sa bite sous les nez. Maladroitement, il ouvrit la bouche, et essaya de la gober... et finit par y parvenir. Différent de l'intimité de ces dames... mais d'une fermeté fort rassurante ! Et ma foi...
— J'voudrais que ça dure toute la nuit... mais on va pas jouir tout de suite, hein ? fit Jean-Christophe, se retournant les pommettes bien rouges... et venant s'allonger sur Clément.
Il lui fit maint bisou sur les lèvres avant de forcer icelles... sans effort. À ce moment, Clément avait cessé de penser. La suite fut d'une intense douceur et dura, dura...
Le lundi matin, Clément accepta d'aller quérir un bidon de gel en ville... car Jean-Christophe voulait « son diplôme », comme il disait, sérieux. On avait bien progressé sur la connaissance intime et mutuelle, vous voyez. L'ambiance chez Clément était 100 % sexe... et il adorait ça. Et pourtant, il n'était pas du genre libidineux ! Mais Jean-Christophe non plus, malgré ses douzaines d'idées polissonnes... toutes mises en pratique, et plus vite que ça !
Or donc, il perfora l'adorable petit cul musclé et finement velu de son hôte, laissant entendre que lui aussi aimerait y passer, un de ces quatre matins...
Le mardi midi, Clément s'habilla soudain et lâcha :
— Bouge pas, je dois sortir. Faut que je rompe avec ma copine, fit-il gravement. Attends-moi ici, et va pas chez ta sœur, surtout.
— Hep ! On s'est bien amusés, mais... tu veux ça ?
— Oui... si tu veux de moi. Mais ça va être un peu dur...
— Va pas te prendre un coup de fusil de la part de son frère ! Y a des familles dangereuses, tu sais ?
— Vous êtes pas corses, elle ni toi.
— Quoi ? s'écria Jean-Christophe, sidéré. Joséphine ? Mais... Mais... Bien sûr, que je veux de toi, maiiiis !...
Un vif et mouillé baiser plus tard, Clément prenait son courage à deux mains. Lui aussi, il l'aurait, son diplôme !
Par téléphone, il avait peu avant tenté de déminer le terrain, mais... Joséphine était nerveuse quand il parut. Selon le conseil de Jean-Christophe, qui n'en menait pas large non plus, il débita tout, tout de suite, sans la laisser pleurer... ce qui sans doute l'empêcha de le faire, abasourdie qu'elle fut.
— Mais j'vais l'tuer ! J'vais l'tuer !
— Stop ! On tue personne, et on cause.
On causa donc, longtemps, et Joséphine finit par admettre qu'elle était jalouse de la beauté de son frère, ce pourquoi elle n'en avait pas parlé à Clément. Il fallut encore quelques jours avant que frère et sœur se retrouvassent.
Les choses se calmèrent donc, mais les fenêtres ne sont plus ouvertes comme avant, côté cour...
— Je l'ai eu aussi, mon diplôme ! fit Clément, tout fier.
— Mais avec la mention bien, toi ! Je t'aime.

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 6 jours c'est la saint Sylvestre !

Passer une agréable journée et recharger bien vos batteries.

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 5 jours c'est la saint Sylvestre !

Passer une agréable journée. Vos serveurs se préparent !

[lelivredejeremie]

— T'es gay ?

— Non, non !... Et... toi ?
— Non plus ! Enfin... pas encore ! J'ai déposé un dossier, mais...

Ça m’a déjà eu le premier sourire d’une longue série.  Il y a toutes les chances que son dossier soit validé, il a probablement bien motivé sa candidature ^^  Il aurait pu se contenter d’être gâté par la nature, il est très amusant, et son attitude bouscule Clément, qui avait besoin de l'être, coincé dans sa relation plan-plan avec Joséphine  

[lelivredejeremie]

Coucou les gens,

Dans 6 jours c'est la saint Sylvestre !

J’aime bien tes illustrations, @fablelionsilencieux  Sur celle-ci, le lutin de droite fait un peu leprechaun facétieux (roux, barbu, la forme des oreilles), il a l’air coquin, l’autre bonnet lui correspondrait mieux, il l’a probablement piqué à son pote   
Après, vu le détail du relief dans son slip, ce serait plus probablement un lutin américain qu’irlandais, mais on ne va pas chipoter, hein ^^ 

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 6 jours c'est la saint Sylvestre !

J’aime bien tes illustrations, @fablelionsilencieux  Sur celle-ci, le lutin de droite fait un peu leprechaun facétieux (roux, barbu, la forme des oreilles), il a l’air coquin, l’autre bonnet lui correspondrait mieux, il l’a probablement piqué à son pote   
Après, vu le détail du relief dans son slip, ce serait plus probablement un lutin américain qu’irlandais, mais on ne va pas chipoter, hein ^^ 

Hé hé, j'avoue avoir pensé qu'il ferait très bien dans une illustration pour la St Patrick ! Personnellement, je n'ai pas fait attention au "détail" mais maintenant que tu le dit... tu as de bon yeux 

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 4 jours c'est la saint Sylvestre !

Passer une agréable journée.

[Lange128]

Coucou les gens,

Dans 4 jours c'est la saint Sylvestre !

Passer une agréable journée.

Coucou Fab,

Pourrais-tu me donner l’adresse du restaurant avec ces serveurs ou est-ce la tenue habituelle dans le plat pays qui est le tien ?

[fablelionsilencieux]

Coucou Fab,

Pourrais-tu me donner l’adresse du restaurant avec ces serveurs ou est-ce la tenue habituelle dans le plat pays qui est le tien ?

Hélas, en Belgique aussi, les serveurs ont généralement des tenues beaucoup plus classiques !
Je connaissais un resto/cabaret qui, en plus d'un spectacle après le repas, avait ce genre de serveurs - plaisir des yeux mais pas touche, hein - en salles, là, ils portaient des strings noirs sous leurs tablier (du genre string de bodybuildeur, couvrant partiellement les fesses ) mais la COVID à fait son oeuvre et l'établissement n'a pas survécu. SNIFF!

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 3 jours c'est la saint Sylvestre !

Passer une agréable journée en attendant le feu d'artifesses.

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 2 jours c'est la saint Sylvestre !

Passez une agréable journée et gardez le champagne au frais.

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Dans 1 jours c'est la saint Sylvestre !

Passez une agréable journée et reposez- vous en prévision de la looongue soirée.

[fablelionsilencieux]

Aujourd'hui, c'est la saint Sylvestre !

Passer une agréable journée et préparer suffisamment de cette mixture que pour tenir les prochains 365 jours :

Un soupçon de réussite
Un zeste d’inattendu
Une pointe de folie pour pimenter un peu tout ça
Le tout arrosé de rires et d’amour
L'An 2024, aura une saveur comme nul autre, c’est certain !





UNE TRÈS BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2024 A TOUS ET TOUTES !

Je vous envois  une pluie de Bizoux étincelant !