13-11-2022, 09:44 PM
Republication d'un texte naufragé lors du changement logiciel.
======================================
Florentin fait repeindre
Mais qu’est- ce qu’il avait donc dans le crâne, ce vendredi de juillet-là, l’ingénu Florentin ?
Il zonait sur Internet, tandis que deux peintres œuvraient dans sa cuisine, juste à côté. Un grand et un petit, ou pour mieux dire : un vieux et un jeune. Et fortement portugais, à en croire les poils qui dépassaient de leur camisole…
Lesdits poils avaient du reste grandement ému notre puceau, vingt-et-un ans aux fraises, et dont les jolies lèvres ne s’étaient encore promenées ni sur une chatte, ni sur une bite.
Disons tout de suite que ce jeune homme, faute d’expérience, se supposait bi ; aussi regardait-il avec assiduité des dizaines de films relevant de cette paroisse.
Il les enregistrait aussi « pour se faire une idée »… et c’est ce qu’il faisait, à deux pas des deux lusitaniennes beautés susmentionnées.
Il finit par oublier ses ouvriers, et sortit sa bite de son bermuda — il n’avait rien en dessous — pour se palucher, comme à son habitude. Mais, alors qu’il avait maintenant une trique d’enfer, il n’entendit pas venir.
— Hum ! Très beau, Monsieur !
Il sursauta : le jeune peintre le regardait de haut. Il tenta de se cacher la quéquette, mais le garçon enchaîna :
— Cachez rien, je connais ! Je voulais vous demander un truc…
Il demanda des indications à Florentin, et s’en fut… non sans souffler :
— Vous êtes très beau, Monsieur. Oui, très beau.
Troublé, Florentin resta un instant inerte… avant de se rentreprendre la bistouquette : il était chaud, ce jour-là !
Mais il n’était pas au bout de ses surprises…
Une heure plus tard, tandis qu’il se paluchait fort gentiment, il sentit une présence derrière lui : il se retourna en sursautant. C’était le vieux peintre.
Enfin, vieux, c’était relatif… S’il avait trente-cinq ans, le mec qui avait la salopette sur les genoux, c’était tout… Fin, sec et musclé, et magnifiquement poilu, le type se branlait en le regardant et en souriant largement.
Belle bite, en, vérité ! Saisi, Florentin ne sut que faire.
— Manoel viendra seul cet après-midi. Moi, j’ai un autre chantier, dit le mec à la belle gueule allongée… sans cesser de se branler, les yeux plantés en ceux d’un Florentin tétanisé. T’as une belle queue, mec !
— Euh… Merci.
— Tu me la mets ?
— Mais… Je sais pas faire ça !
— Ah ! Ah ! Ah ! J’te montre, connard ! Ah ! Ah !
De fait, il ne fallut pas des heures à Florentin pour apprendre comment niquer un mec…
Au reste, la plastique de ce mec était super excitante ; son cul, particulièrement était une merveille de finesse musclée et velue. L’intérieur en ravit le primo-enculeur : lisse et musclé, le pertuis de Miguel lui fut une expérience inoubliable…
D’autant que ledit Miguel exigea des commentaires salaces pendant l’action… Florentin dut se forcer, n’étant point habitué à ça… Mais il bourra comme un fou ! Puis Miguel s’en fut, sans le faire jouir… avec cette explication :
— Garde ton jus pour Manoel… Tu lui plais.
Il était carrément baba, le Florentin, sous sa douche ! Il déjeuna, songeur… et se rhabilla avant d’ouvrir à Manoel, qui devait terminer le boulot.
Le garçon eut un immense sourire, et Florentin frissonna. Le garçon défit d’ailleurs le haut de sa salopette — on était début juillet, et la canicule s’annonçait.
Il était adorablement velu, ce joli Portugais ! Et Florentin en refrissonna d’autant…
— Le patron m’a donné un papier à ne pas oublier, Monsieur : vous me direz tout ce qu’il faut ? fit le garçon en tendant une feuille à Florentin, avec un sourire à faire tomber les murailles.
Florentin songea que sans doute le peintre avait son âge, vingt-et-un ans… Il rougit.
— Et… excusez-moi, pour ce matin, Monsieur ! Je ne voulais pas vous gêner du tout ! fit le Portugais.
— Ce… Oh ! Ce n’est pas grave… On est des garçons, après tout !
— Sauf que vous êtes beau, vous !
— Mais pourquoi dites-vous ça ?
— Parce que moi, avec tous mes poils…
— Oh ! Mais les poils, c’est… C’est magnifique !
On se regarda de travers, et Manoel respira un grand coup avant de dire :
— Je travaille, Monsieur, et je dis des bêtises, là !
Il n’était pas quatre heures quand Manoel annonça avoir fini.
— Il faudra que le patron vienne voir mon boulot, bien sûr. Pour l’instant, vous pouvez voir.
Florentin fit semblant de regarder. Et demanda :
— Vous avez fini, pour cette semaine ?
— Oui, Monsieur.
— Voulez-vous prendre une douche, puis l’apéro ?
— Oh, Monsieur ! Je peux pas accepter !
— Et pourquoi ? Votre travail est fini… On peut prendre l’apéro entre amis… Ne voulez-vous pas ?
— Ben… fit le fin poilu, gêné.
— Dites oui ! Venez !
Il prit le garçon par la main et le mena à sa salle de bains.
— Ici, les serviettes ! Et puisque vous m’avez vu ce matin… me permettez-vous de me doucher avec vous ?
— Mais, Monsieur… Vous êtes chez vous…
On entra donc dans la douche italienne, et la beauté de Manoel ne tarda pas à produire son effet sur la bite de Florentin.
Manoel ne put s’empêcher de sourire.
— Excuse-moi, Manoel… Tes poils sont si… magnifiques que…
— Tu aimes les garçons ? souffla le minet.
— Je sais pas trop encore, mais… avec toi, j’me sens bien. Et toi ?
— Je suis… Je suis gay.
D’ailleurs, la bite du joli poilu avait crû, et il montrait dorénavant un chibre de toute beauté, long, fin et lisse.
— T’es… éblouissant, Manoel ! souffla Florentin.
— T’es beau, toi.
— Merci. Si tu veux… Moi, je sais pas comment faire, avec les garçons… Tu m’apprends un peu ?
— Oui, fit Manoel avec un sourire en forme d’aurore boréale qui donna le frisson à Florentin.
On sortit de la douche, et Manoel s’agenouilla devant Florentin… aux fins que vous devinez. Vite, Florentin fut au bord de l’explosion… mais Manoel souffla :
— Le patron m’a dit que tu l’avais niqué… et bien.
— Oh ! fit Florentin, rougissant.
— Tu voudrais me le faire ? murmura Manoel, qui sortit de la poche de sa salopette un petit bidon de gel…
Florentin était chaud, et sans aucune envie de refuser… Joyeux moment qu’iceluy !
— Coupe pas tes poils, Manoel ! conclut Florentin.
— Tu voudrais les revoir ? suggéra le rusé Manoel.
— Oh oui…
Tableau… sur fond de tendresse.
— Le patron va revenir lundi après-midi, pour vérifier ce que j’ai fait. Je serai là aussi, évidemment… pour me faire engueuler, au cas où…
— T’as… fait des trucs, avec lui ?
— Non. Il me pelote tout le temps, et il en a envie, je vois bien, mais il a jamais osé aller plus loin.
— T’aimerais…?
— On se douche ensemble, à la boîte… Il est magnifique, mais… je peux évidemment pas faire le premier pas.
— Lundi… tu veux qu’on essaye ?
— Oh ! mais comment ?
— Il est chaud, non ? J’ai mon idée… Tu fais quoi, là ?
— Ben… pus rien.
— Tu veux rester ici ?
— Oh ! Mais je veux pas t’encombrer !
— T’as un truc à m’apprendre, Manoel.
— Hein ?
— T’accepterais de me prendre ?
— Oh ! Mais…
Une ou deux coupes de bulles mirent le fin poilu en joyeuse humeur, et une heure plus tard, il y allait de ses jolis doigts dans le petit trou de Florentin… qui apprécia hautement.
La défloration de Florentin fut faite dans les règles de l’art, et celui-ci pria même Manoel de prendre son temps… Oui, il aima ça, Florentin.
On sonna donc le lundi et Florentin alla ouvrir, nu et muni d’une petite serviette éponge :
— Excusez-moi, je sors de ma douche ! Entrez, je m’habille !
— Pas la peine, fit Miguel, on est des hommes… enfin moi, surtout !
— Oh, ça va ! fit Manoel.
Dans la cuisine, alors que Florentin et Manoel échangeaient des regards complices, Miguel examina tout, et conclut :
— Il fait ça bien, le p’tit ! Je sais pas s’il est parfait en tout, mais là…
— Il est parfait en tout, je peux le dire ! s’exclama Florentin. Un petit verre, Messieurs ?
Florentin servit des bulles de Loire, et Miguel déclara :
— C’est vrai qu’il fait si chaud que c’est sympa de pouvoir se promener à poil chez soi !
— Profitez-en, si ça vous gêne pas !
— Ouais, vous avez raison ; tu suis, toi ?
— Oui, patron, fit Manoel en regardant Florentin.
Les mecs se déloquèrent ; Florentin admira derechef la superbe plastique du patron… tandis que Manoel faisait profil bas.
— Chez moi, j’pourrais pas… Ma femme ! On m’a forcé à me marier jeune… et elle est pas libérée, la Madame ! Ici, on se sent à son aise, c’est sympa , expliqua Miguel… en se touchant délicatement la tige. Ça va, toi ? demanda-t-il à Manoel.
— J’ai pas de femme, moi !
— Dommage, avec ta belle petite queue !
— Y a pas que les femmes pour s’amuser, dans la vie ! intervint Florentin… qui se touchait aussi. S’ensuivit un trouble silence : Florentin et Miguel ne tardèrent pas à avoir la trique, tandis que Manoel sirotait ses bulles… mais Florentin vit que la jolie quéquette de Manoel s’animait aussi… Ou Florentin osa l’impensable :
— Et votre… Madame vous interdit de vous faire sucer ailleurs ?
— On n’a pas abordé le sujet, mais moi, j’interdis rien ! fit Miguel en regardant son apprenti.
Ce fut cependant Florentin qui vint pomper en premier la belle tige de Miguel. En faisant signe à Manoel de venir s’occuper de lui… Là, Miguel ne rata pas l’occasion… et vint prendre en bouche la fine épée de son arpète.
Bien sûr, Florentin ordonna, un temps plus tard, le changement de cavalier…
— P’tain, souffla enfin Miguel, tu suces bien, mon Manoel ! Oh ! Tu veux pas me la mettre, là ?
Ainsi fut fait, non sans que Florentin et Manoel eussent brouté activement la velue rondelle du patron… Et Manoel bourra donc Miguel… sur le museau duquel était la raie de Florentin. Qui pompait la salive de Manoel…
On s’activa sans précipitation, avant de gicler dans tous les sens, enfin ! Après la douche, on reprit des bulles, et Miguel voulut revérifier le boulot. Lorsqu’il revint au salon, Florentin et Manoel se roulaient un bavouilleux patin… Il s’assit en face et déclara :
— Tu travailles bien, Manoel ! Ça te branche de bosser avec moi ?
— Mais… oui, patron, bien sûr !
— J’te file un contrat demain, tu veux ?
— Oh ! fit le jeune homme, qui retomba dans les bras de Florentin, la larme à l’œil.
— Et tu me baises quand t’as envie… si Monsieur est d’accord.
— Dis oui, Manoel ! fit Florentin.
— Mais !... Mais !... bêla le garçon, éperdu.
Manoel y alla de sa larme, évidemment, mais il fut vite consolé en les bras de Florentin, et de son patron.
— Si je pouvais divorcer pour vous épouser tous les deux, ce serait le paradis ! fit Miguel, bonasse.
— Un mec comme toi, ça trouve preneur du jour au lendemain ! affirma Florentin.
— Et vous, vous avez trouvé preneur ?
Florentin et Manoel se regardèrent, l’air niais.
— Ça va, j’ai compris, les mectons ! J’peux quand même espérer un coup de pine par-ci, par-là ?
— Tous les coups que tu veux, Miguel !
— Bien sûr ! ajouta Manoel avec un adorable sourire.
Miguel s’en fut, et les garçons se regardèrent, émus.
— Je crois que ton avenir est brillant ! dit Florentin.
— Hein ?
— Tu vas te faire épouser !
— Non !... Non, pas par lui ! Il est beau, mais… Non !
— Et pourquoi ?
— Ben… souffla Manoel en baissant le museau.
Florentin l’enlaça tendrement, murmurant :
— Ça me regarde pas, gentil garçon. Vis ta vie comme tu veux, et t’occupe pas des conseils des autres !
— Si ! Les tiens…
La suite de la soirée fut tendre… car Manoel accepta de demeurer céans.
On s’apprivoisa facilement.
— J’aurais adoré vivre quelque chose avec ton p’tit mec… avoua Miguel peu après… mais je suis trop vieux.
— On t’aime beaucoup, tous les deux ! répliqua Florentin. Et tu le sais, qu’on aime faire l’amour avec toi !
De fait, le superbe Miguel était prié chaque semaine chez Florentin, et l’on ne s’ennuyait pas.
Et Miguel fut le témoin de Manoel, lorsque ces garçons parurent devant Monsieur le Maire…
14. III. 2021
======================================
Florentin fait repeindre
Mais qu’est- ce qu’il avait donc dans le crâne, ce vendredi de juillet-là, l’ingénu Florentin ?
Il zonait sur Internet, tandis que deux peintres œuvraient dans sa cuisine, juste à côté. Un grand et un petit, ou pour mieux dire : un vieux et un jeune. Et fortement portugais, à en croire les poils qui dépassaient de leur camisole…
Lesdits poils avaient du reste grandement ému notre puceau, vingt-et-un ans aux fraises, et dont les jolies lèvres ne s’étaient encore promenées ni sur une chatte, ni sur une bite.
Disons tout de suite que ce jeune homme, faute d’expérience, se supposait bi ; aussi regardait-il avec assiduité des dizaines de films relevant de cette paroisse.
Il les enregistrait aussi « pour se faire une idée »… et c’est ce qu’il faisait, à deux pas des deux lusitaniennes beautés susmentionnées.
Il finit par oublier ses ouvriers, et sortit sa bite de son bermuda — il n’avait rien en dessous — pour se palucher, comme à son habitude. Mais, alors qu’il avait maintenant une trique d’enfer, il n’entendit pas venir.
— Hum ! Très beau, Monsieur !
Il sursauta : le jeune peintre le regardait de haut. Il tenta de se cacher la quéquette, mais le garçon enchaîna :
— Cachez rien, je connais ! Je voulais vous demander un truc…
Il demanda des indications à Florentin, et s’en fut… non sans souffler :
— Vous êtes très beau, Monsieur. Oui, très beau.
Troublé, Florentin resta un instant inerte… avant de se rentreprendre la bistouquette : il était chaud, ce jour-là !
Mais il n’était pas au bout de ses surprises…
Une heure plus tard, tandis qu’il se paluchait fort gentiment, il sentit une présence derrière lui : il se retourna en sursautant. C’était le vieux peintre.
Enfin, vieux, c’était relatif… S’il avait trente-cinq ans, le mec qui avait la salopette sur les genoux, c’était tout… Fin, sec et musclé, et magnifiquement poilu, le type se branlait en le regardant et en souriant largement.
Belle bite, en, vérité ! Saisi, Florentin ne sut que faire.
— Manoel viendra seul cet après-midi. Moi, j’ai un autre chantier, dit le mec à la belle gueule allongée… sans cesser de se branler, les yeux plantés en ceux d’un Florentin tétanisé. T’as une belle queue, mec !
— Euh… Merci.
— Tu me la mets ?
— Mais… Je sais pas faire ça !
— Ah ! Ah ! Ah ! J’te montre, connard ! Ah ! Ah !
De fait, il ne fallut pas des heures à Florentin pour apprendre comment niquer un mec…
Au reste, la plastique de ce mec était super excitante ; son cul, particulièrement était une merveille de finesse musclée et velue. L’intérieur en ravit le primo-enculeur : lisse et musclé, le pertuis de Miguel lui fut une expérience inoubliable…
D’autant que ledit Miguel exigea des commentaires salaces pendant l’action… Florentin dut se forcer, n’étant point habitué à ça… Mais il bourra comme un fou ! Puis Miguel s’en fut, sans le faire jouir… avec cette explication :
— Garde ton jus pour Manoel… Tu lui plais.
Il était carrément baba, le Florentin, sous sa douche ! Il déjeuna, songeur… et se rhabilla avant d’ouvrir à Manoel, qui devait terminer le boulot.
Le garçon eut un immense sourire, et Florentin frissonna. Le garçon défit d’ailleurs le haut de sa salopette — on était début juillet, et la canicule s’annonçait.
Il était adorablement velu, ce joli Portugais ! Et Florentin en refrissonna d’autant…
— Le patron m’a donné un papier à ne pas oublier, Monsieur : vous me direz tout ce qu’il faut ? fit le garçon en tendant une feuille à Florentin, avec un sourire à faire tomber les murailles.
Florentin songea que sans doute le peintre avait son âge, vingt-et-un ans… Il rougit.
— Et… excusez-moi, pour ce matin, Monsieur ! Je ne voulais pas vous gêner du tout ! fit le Portugais.
— Ce… Oh ! Ce n’est pas grave… On est des garçons, après tout !
— Sauf que vous êtes beau, vous !
— Mais pourquoi dites-vous ça ?
— Parce que moi, avec tous mes poils…
— Oh ! Mais les poils, c’est… C’est magnifique !
On se regarda de travers, et Manoel respira un grand coup avant de dire :
— Je travaille, Monsieur, et je dis des bêtises, là !
Il n’était pas quatre heures quand Manoel annonça avoir fini.
— Il faudra que le patron vienne voir mon boulot, bien sûr. Pour l’instant, vous pouvez voir.
Florentin fit semblant de regarder. Et demanda :
— Vous avez fini, pour cette semaine ?
— Oui, Monsieur.
— Voulez-vous prendre une douche, puis l’apéro ?
— Oh, Monsieur ! Je peux pas accepter !
— Et pourquoi ? Votre travail est fini… On peut prendre l’apéro entre amis… Ne voulez-vous pas ?
— Ben… fit le fin poilu, gêné.
— Dites oui ! Venez !
Il prit le garçon par la main et le mena à sa salle de bains.
— Ici, les serviettes ! Et puisque vous m’avez vu ce matin… me permettez-vous de me doucher avec vous ?
— Mais, Monsieur… Vous êtes chez vous…
On entra donc dans la douche italienne, et la beauté de Manoel ne tarda pas à produire son effet sur la bite de Florentin.
Manoel ne put s’empêcher de sourire.
— Excuse-moi, Manoel… Tes poils sont si… magnifiques que…
— Tu aimes les garçons ? souffla le minet.
— Je sais pas trop encore, mais… avec toi, j’me sens bien. Et toi ?
— Je suis… Je suis gay.
D’ailleurs, la bite du joli poilu avait crû, et il montrait dorénavant un chibre de toute beauté, long, fin et lisse.
— T’es… éblouissant, Manoel ! souffla Florentin.
— T’es beau, toi.
— Merci. Si tu veux… Moi, je sais pas comment faire, avec les garçons… Tu m’apprends un peu ?
— Oui, fit Manoel avec un sourire en forme d’aurore boréale qui donna le frisson à Florentin.
On sortit de la douche, et Manoel s’agenouilla devant Florentin… aux fins que vous devinez. Vite, Florentin fut au bord de l’explosion… mais Manoel souffla :
— Le patron m’a dit que tu l’avais niqué… et bien.
— Oh ! fit Florentin, rougissant.
— Tu voudrais me le faire ? murmura Manoel, qui sortit de la poche de sa salopette un petit bidon de gel…
Florentin était chaud, et sans aucune envie de refuser… Joyeux moment qu’iceluy !
— Coupe pas tes poils, Manoel ! conclut Florentin.
— Tu voudrais les revoir ? suggéra le rusé Manoel.
— Oh oui…
Tableau… sur fond de tendresse.
— Le patron va revenir lundi après-midi, pour vérifier ce que j’ai fait. Je serai là aussi, évidemment… pour me faire engueuler, au cas où…
— T’as… fait des trucs, avec lui ?
— Non. Il me pelote tout le temps, et il en a envie, je vois bien, mais il a jamais osé aller plus loin.
— T’aimerais…?
— On se douche ensemble, à la boîte… Il est magnifique, mais… je peux évidemment pas faire le premier pas.
— Lundi… tu veux qu’on essaye ?
— Oh ! mais comment ?
— Il est chaud, non ? J’ai mon idée… Tu fais quoi, là ?
— Ben… pus rien.
— Tu veux rester ici ?
— Oh ! Mais je veux pas t’encombrer !
— T’as un truc à m’apprendre, Manoel.
— Hein ?
— T’accepterais de me prendre ?
— Oh ! Mais…
Une ou deux coupes de bulles mirent le fin poilu en joyeuse humeur, et une heure plus tard, il y allait de ses jolis doigts dans le petit trou de Florentin… qui apprécia hautement.
La défloration de Florentin fut faite dans les règles de l’art, et celui-ci pria même Manoel de prendre son temps… Oui, il aima ça, Florentin.
On sonna donc le lundi et Florentin alla ouvrir, nu et muni d’une petite serviette éponge :
— Excusez-moi, je sors de ma douche ! Entrez, je m’habille !
— Pas la peine, fit Miguel, on est des hommes… enfin moi, surtout !
— Oh, ça va ! fit Manoel.
Dans la cuisine, alors que Florentin et Manoel échangeaient des regards complices, Miguel examina tout, et conclut :
— Il fait ça bien, le p’tit ! Je sais pas s’il est parfait en tout, mais là…
— Il est parfait en tout, je peux le dire ! s’exclama Florentin. Un petit verre, Messieurs ?
Florentin servit des bulles de Loire, et Miguel déclara :
— C’est vrai qu’il fait si chaud que c’est sympa de pouvoir se promener à poil chez soi !
— Profitez-en, si ça vous gêne pas !
— Ouais, vous avez raison ; tu suis, toi ?
— Oui, patron, fit Manoel en regardant Florentin.
Les mecs se déloquèrent ; Florentin admira derechef la superbe plastique du patron… tandis que Manoel faisait profil bas.
— Chez moi, j’pourrais pas… Ma femme ! On m’a forcé à me marier jeune… et elle est pas libérée, la Madame ! Ici, on se sent à son aise, c’est sympa , expliqua Miguel… en se touchant délicatement la tige. Ça va, toi ? demanda-t-il à Manoel.
— J’ai pas de femme, moi !
— Dommage, avec ta belle petite queue !
— Y a pas que les femmes pour s’amuser, dans la vie ! intervint Florentin… qui se touchait aussi. S’ensuivit un trouble silence : Florentin et Miguel ne tardèrent pas à avoir la trique, tandis que Manoel sirotait ses bulles… mais Florentin vit que la jolie quéquette de Manoel s’animait aussi… Ou Florentin osa l’impensable :
— Et votre… Madame vous interdit de vous faire sucer ailleurs ?
— On n’a pas abordé le sujet, mais moi, j’interdis rien ! fit Miguel en regardant son apprenti.
Ce fut cependant Florentin qui vint pomper en premier la belle tige de Miguel. En faisant signe à Manoel de venir s’occuper de lui… Là, Miguel ne rata pas l’occasion… et vint prendre en bouche la fine épée de son arpète.
Bien sûr, Florentin ordonna, un temps plus tard, le changement de cavalier…
— P’tain, souffla enfin Miguel, tu suces bien, mon Manoel ! Oh ! Tu veux pas me la mettre, là ?
Ainsi fut fait, non sans que Florentin et Manoel eussent brouté activement la velue rondelle du patron… Et Manoel bourra donc Miguel… sur le museau duquel était la raie de Florentin. Qui pompait la salive de Manoel…
On s’activa sans précipitation, avant de gicler dans tous les sens, enfin ! Après la douche, on reprit des bulles, et Miguel voulut revérifier le boulot. Lorsqu’il revint au salon, Florentin et Manoel se roulaient un bavouilleux patin… Il s’assit en face et déclara :
— Tu travailles bien, Manoel ! Ça te branche de bosser avec moi ?
— Mais… oui, patron, bien sûr !
— J’te file un contrat demain, tu veux ?
— Oh ! fit le jeune homme, qui retomba dans les bras de Florentin, la larme à l’œil.
— Et tu me baises quand t’as envie… si Monsieur est d’accord.
— Dis oui, Manoel ! fit Florentin.
— Mais !... Mais !... bêla le garçon, éperdu.
Manoel y alla de sa larme, évidemment, mais il fut vite consolé en les bras de Florentin, et de son patron.
— Si je pouvais divorcer pour vous épouser tous les deux, ce serait le paradis ! fit Miguel, bonasse.
— Un mec comme toi, ça trouve preneur du jour au lendemain ! affirma Florentin.
— Et vous, vous avez trouvé preneur ?
Florentin et Manoel se regardèrent, l’air niais.
— Ça va, j’ai compris, les mectons ! J’peux quand même espérer un coup de pine par-ci, par-là ?
— Tous les coups que tu veux, Miguel !
— Bien sûr ! ajouta Manoel avec un adorable sourire.
Miguel s’en fut, et les garçons se regardèrent, émus.
— Je crois que ton avenir est brillant ! dit Florentin.
— Hein ?
— Tu vas te faire épouser !
— Non !... Non, pas par lui ! Il est beau, mais… Non !
— Et pourquoi ?
— Ben… souffla Manoel en baissant le museau.
Florentin l’enlaça tendrement, murmurant :
— Ça me regarde pas, gentil garçon. Vis ta vie comme tu veux, et t’occupe pas des conseils des autres !
— Si ! Les tiens…
La suite de la soirée fut tendre… car Manoel accepta de demeurer céans.
On s’apprivoisa facilement.
— J’aurais adoré vivre quelque chose avec ton p’tit mec… avoua Miguel peu après… mais je suis trop vieux.
— On t’aime beaucoup, tous les deux ! répliqua Florentin. Et tu le sais, qu’on aime faire l’amour avec toi !
De fait, le superbe Miguel était prié chaque semaine chez Florentin, et l’on ne s’ennuyait pas.
Et Miguel fut le témoin de Manoel, lorsque ces garçons parurent devant Monsieur le Maire…
14. III. 2021
Amitiés de Louklouk !