Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES)

[lelivredejeremie]

Trois jours, c'est court pour un récit Halloween, mais je peux essayer, sans promettre. Sinon il y a les photos du couple de mecs avec un bébé, puis celle de la tribu, encore à garnir d'une histoire

[fablelionsilencieux]

Trois jours, c'est court pour un récit Halloween, mais je peux essayer, sans promettre. Sinon il y a les photos du couple de mecs avec un bébé, puis celle de la tribu, encore à garnir d'une histoire 

Mon cher renardeau,

Ma première demande d'histoire "halloweenesque" est datée du 18 -avec les 'fesses' de citrouilles- mais avec les changements des (re-re-mises à jour du site, je pense que, comme la plupart, tu as dû zapper la chose.

Mazis je ne doute pas un instant de tes capacités pour nous pondre un... fantomatique ? fantastique ? horrifique ? vampirique ?...
récit de saison ! 




 Bizoux 

[fablelionsilencieux]

Encore quelques heures pour m'envoyer vos histoires d'Halloween !

[fablelionsilencieux]

31 octobre 2021 23h45 au Horny Grizzly
Je me suis toujours un peu méfié de Théobald, délit d’apparence, on dira, cent quarante kilos de muscle et de poils, tatoué et sanglé de cuir, le cliché absolu du bear, dont j’avoue que j’ai pu finir par me persuader, sans que ça dépasse l’intuition gratuite, qu’il n’est pas maitre de sa force, raison pour laquelle je n’ai jamais été trop tenté de pousser la curiosité jusqu’à l’expérience ultime. Aussi, j’ai peut-être des préjugés contre certaines personnes, ce qui, pour un gay, n’est pas un signe de grande honnêteté intellectuelle, j’admets.
Après, ça fait bien trois heures que je pioche dans le chaudron rempli de punch d’Halloween régulièrement remis à niveau par trop d’alcools différents à cette heure avance, au ‘Horny Grizzly’, un nom légèrement ridicule pour un bar, mais toujours moins que sa traduction – que la plupart des passants ne font pas – en Ours Chaud Comme La Braise, le surnom autoproclamé de Théo dans le milieu. Ma faculté de jugement était probablement émoussée, je le reconnais aussi, d’où ma réaction de panique légèrement irraisonnée d’il y a deux minutes, lorsque le plantigrade urbain est revenu de son excursion en se tenant le cou.
— Le petit con, il m’a mordu !
— Qui ?’’ ai-je demandé.
— La brindille déguisée en vampire, dehors, je pissais tranquille dans la fontaine, il m’a sauté à la carotide ! Manquerait plus qu’il m’ait mis un suçon, mon copain va me chier une pendule, putain !
Me demandant quel mec, décrit comme poids mouche, était assez stupide pour s’attaquer à Théo, je suis sorti à mon tour pour découvrir un corps inanimé posé à plat ventre sur la margelle, cul nu, le futal sur les chevilles. Je me suis précipité pour vérifier ses signes vitaux, pouls régulier, respiration légère, ouf ! Je lui ai maladroitement rendu un minimum de décence, puis suis retourné au bar.
— Tu… tu l’as viol…enté ?’’ ai-je aboyé.
— T’es con ou t’es con, Jonathan ? Je ne fais pas dans la crevette, moi, et je ne parle pas d’allergie aux fruits de mer, là ! Sinon, avec ta gueule d’ange, tu serais passé depuis longtemps à la casserole’’ a-t-il répondu avec un sourire arrogant. ‘’Non, je lui ai juste mis la fessée de sa vie, certains aiment, hein ! mais pour la plupart, c’est un sommet d’humiliation, et lui, il ne l’avait pas volée.’’
Légèrement rassuré, j’ai rejoint le garçon inconscient – dans tous les sens du terme, là – et l’ai assis sur le pavement, adossé à la fontaine, pour mieux l’observer. ‘Il est à fond dans le trip Halloween, lui’ me suis-je dit, le pantalon ajusté noir, des chaussures de bal du XIXè siècle, vernies avec une boucle de métal, et une chemise blanche à jabot qui libère des mains délicates et le plus beau visage que j’aie jamais vu, aux traits fins, et d’une pâleur extrême, surmonté de mèches ondulées d’un blond improbable. Je lui ai tapoté les joues, avant de soulever une paupière qui a dévoilé un iris rouge. ‘Pas normal, ça’ ai-je pensé en appuyant sur la langue pour éviter qu’elle bloque sa trachée, dévoilant des canines légèrement hors-norme, ‘comme le fait qu’il n’ait vraiment aucune réaction’.
— Dis, euh, rassure-moi, il va bien ?’’ a murmuré à mon oreille celui qui n’est plus maintenant qu’un gros nounours embarrassé. ‘’Je lui ai juste mis quelques claques sur les fesses, mais tu me diras, avec mes mains…’’
— Il est vivant, c’est déjà ça… Désolé pour ma réaction, déformation professionnelle, mais on voit de ces trucs aux urgences…
— Ouais, j’imagine seulement, je pourrais jamais, moi, déjà une goutte de sang, je tourne de l’œil. Il a peut-être trop bu, non ?’’ a-t-il osé, probablement pour tenter d’atténuer sa responsabilité.
— Peut-être, oui, mais un coma éthylique, c’est direct hosto.
— Prends ma voiture’’ a-t-il dit précipitamment. ‘’Et si tu pouvais, tu vois, pas de police ni rien, j’ai pas besoin de problèmes, là’’.
Je lui ai répondu d’un sourcil réprobateur, avant que nous chargions le bel endormi sur le siège passager.

1er novembre 2021 00h03 – CHU de L***
J’ai pilé à l’entrée des ambulances pour y trouver Thibaut, un urgentiste, devenu un ami, qui grillait sa cigarette de minuit, dont je sais pouvoir compter sur la discrétion autant que l’efficacité.
— C’est toi qui l’as mis dans cet état-là ?’’ a-t-il souri. ‘’Marrant, je ne te voyais pas tirer du minet décoloré, je pensais être ton genre, vu comme tu me regardes parfois…’’
— Mais non, t’es bête, ni l’un ni l’autre’’ ai-je menti.
— C’est çaaa, ouais. Allez, on le cale sur la chaise roulante et direct en salle, étonnamment, pour une nuit de beuverie, on a plein de box libres. Du coup, tu penses quoi ? L’option évidente, c’est…
— … Intoxication alcoolique aigüe, je me dis. Je vais t’assister, inutile de rameuter la moitié du service.
Thibaut m’a jeté un regard suspicieux, mais n’a rien dit, à part le protocole, une fois le patient allongé en PLS sur le lit ‘’Protection des voies respiratoires, une gazométrie et un bilan sanguin… Sinon, ses paramètres ?’’
— Pouls et respiration stables, je pense, je vais revérifier. Oh, et aussi, il a les yeux rouges, puis des canines étrangement longues.
Il a soulevé un sourcil mi-intrigué mi-amusé, avant de vérifier. ‘’Lentilles de contact, et des prothèses dentaires, t’es pas très pro ce soir. Retire-les-lui, le pauvre ne va pas se payer une conjonctivite, ou risquer de s’étouffer, en plus. Marie est de service, je te l’env... Ah, la voilà. Marie, tu donnes un coup de main à Jonathan, s’il te plait ? Et aussi, j’ai pu… omettre de l’enregistrer dans les entrées, un truc me dit que notre collègue apprécierait un maximum de discrétion.’’
Comme je m’y attendais, elle a souri et m’a jeté un clin d’œil complice. Pour lui enfiler une blouse de patient, nous l’avons délicatement déshabillé pour ne lui laisser que son boxer rouge sang, dévoilant, de la tête aux pieds, son corps parfait, très mince, glabre, à la peau incroyablement douce. ‘’Il est très beau, et il a l’air d’être gentil, lui aussi, vous vous êtes bien trouvés’’.
— Mais je ne le connais pas, je te promets.
— Tu ne le connais pas encore’’ a-t-elle soufflé.

1er novembre 2021 01h05
— Eh ben, je n’ai jamais vu un cas d’anémie pareil’’ a dit Thibaut après avoir consulté le bilan sanguin. ‘’Il bouffe juste du concombre, lui ? Je me disais que vous en faisiez un autre usage… Je rigole, Jona ! Bon, on lui fera boire une solution hydratante quand il émergera, en attendant, pose-lui une perf’, sérum glucosé à 5%, chlorure de sodium à 9%o, électrolytes, la totale. T’inquiète pas, on va te le rendre tout frétillant, ton petit mec, ou en tout cas plus réactif à ce que tu le fasses frétiller’’.
— Mais non, c’est pas mon mec, je ne le connais pas’’ ai-je gémi piteusement, alors qu’il s’éloignait en sifflotant.
Après, je me demande pourquoi j’en fais tant pour un inconnu, je ne sais effectivement rien de lui, pas même son prénom, sinon que je suis absolument tombé sous le charme du premier garçon qui soit l’incarnation parfaite de mon idéal de beauté, cherché en vain dans tant de corps depuis l’éveil de ma sexualité différente.
‘Tiens, oui, son nom, au fait ?’ me suis-je demandé, avant de fouiller ses poches. Pas de portefeuille, mais un smartphone à la batterie mourante, essayons toujours. Alooors… Répertoire, ‘m’… Bingo ! ‘Mamă mea’, étrange orthographe, un numéro de portable et une ligne fixe locale, que j’ai appelé.
— Mircea, draga mea, unde esti ?
— Euh, désolé, vous parlez français ?
— Desigur… Oui. Qui êtes-vous ? Mon fils a… problème ?
— Non, enfin, oui, Madame, il est au CHU de L***’’.
Je lui ai patiemment fait expliquer qu’ils sont Roumains, mais que son fils ne s’est jamais intégré, en partie parce qu’il est gay, et qu’il est persécuté par ses camarades de classe depuis leur arrivée ici, il y a quatre ans.
— Il s’est fermé dans sa imaginatsie, notre famille… le nom est Ghika, descendent de princes de Valachie, et légende dit, de Vlad Drakul…’’ a-t-elle soupiré, détaillant son lent éloignement de la réalité.

1er novembre 2021 01h10
— Il se prend réellement pour un vampire, alors ?’’ a glapi Thibaut, devant Marie, médusée. ‘’Et il ne se nourrit presque exclusivement que de sang ?’’
— Oui, bon, juste le sien, qu’il tire avant de l’avaler.
— Auto-vampirisme clinique, ça explique évidemment son état… À ce stade, son cas relève de la psychiatrie, je le crains. Je te conseillerais bien de ne pas trop t’attacher à lui, mais c’est déjà trop tard, non ?’’ a-t-il conclu, en portant le regard sur ma main qui serre compulsivement celle du garçon… de Mircea.

23 février 2022 20h05 – Nationale 613
— Mon fils a souri aujourd’hui, pour cœur de mère, este fericirea, c’est du bonheur’’ a soupiré Madame Ghika… Teresa, alors que je la reconduisais après notre visite bimensuelle. ‘’Il va beaucoup mieux, il dit, vous êtes son salvator… sauveur ?’’
En effet, il nous a offert un sourire lumineux à notre arrivée à la clinique du Dr Laperre, après avoir prononcé nos noms : Mamă mea et Jonathan Harker, en référence au roman de Bram Stoker.
Je me demanderai encore longtemps la valeur scientifique – sans parler d’éthique – du traitement préconisé par le psychiatre, principalement un complexe ultra-nutritif et vitaminé ajouté de colorant rouge, mais son ingestion semble avoir donné des résultats miraculeux, dont la preuve la plus évidente se voit dans les couleurs qui ont retrouvé le chemin de ses joues, plus fort peut-être dès que je lui tiens la main.
— Oh non, je ne l’ai pas sauvé, au mieux, j’ai modestement participé, il a fait l’essentiel du processus lui-même…
— Week-end prochain, doctor dit oui pour être à la maison, et le suivant…
— … chez moi, enfin, si vous êtes toujours d’accord.
— Bien sûr, vous faites le bien à Mircea, il vous aime beaucoup, et je veux mon fils heureux ! Mais vous savez, Jonathan, il est homosexual, son amour est inhabituel…
— Ça n’avait pas beaucoup de sens que j’en parle plus tôt, Teresa, mais l’amour de Mircea n’est pas tout à fait inhabituel, moi-même…
— Vraiment ? Pourriez-vous, Jonathan… apprendre à aimer mon enfant ?
— C’est déjà le cas, Teresa, depuis cette soirée d’Halloween, je pense.
— Alors, je suis heureuse.

9 mars 2022 14h25 – mon appartement
Après avoir fait un tour rapide de mon quartier, et quelques courses, j’ai laissé Mircea entrer en premier dans mon appartement. ‘’J’aime beaucoup, chez toi, c’est paisible, ça… te ressemble’’ a-t-il murmuré, avant de s’exclamer ‘’Oh !’’ en apercevant les vêtements qu’il portait la soirée fatidique.
— Une idée du Dr Lapierre, comme celle de la petite fête de ce soir, ses méthodes thérapeutiques sont bien un peu étranges, mais elles semblent t’avoir fait du bien, alors… Mais bon, c’est seulement si tu te sens assez fort, bien sûr.
— Avec toi, je serai fort ! Ce soir est encore loin, je pourrais prendre une douche, s’il te plait ?
— Même un bain !
— Non ! Merci mais non, une douche, c’est mieux pour… je t’expliquerai, si tu veux.

9 mars 2022 14h40
Mircea m’a rejoint dans la cuisine, où je prépare un en-cas, avec la serviette nouée sur la taille, exposant son corps fluet.
— Tu es si fragile, si… délicat, tu es sûr d’avoir vingt-deux ans ?’’ ai-je demandé, ému, et peut-être un peu gêné.
— Je suis un vampire, Jonathan Harker, je ne vieillirai plus. Aussi, je t’ai dit que je t’expliquerais si tu voulais, pour la douche, j’aurais dû dire que je te montrerais, si tu veux… de moi.
Sans attendre ma réponse, il a dénoué la serviette qui est tombée à ses pieds, et m’a tiré vers ma chambre. Nous nous sommes allongés sur le flanc, face à face, il a pris ma main et l’a posée sur son corps, puis a lentement déboutonné ma chemise puis mon pantalon pour passer ses doigts dans mon boxer et les refermer sur mon sexe.
— Tu ne… me dois rien, Mircea’’ ai-je hésité.
— Je voudrais que tu me fasses l’amour, je veux me donner à toi, pas parce que je me sens redevable, mais parce que j’ai envie de toi en moi, je veux me donner entièrement, sans artifices, sans… accessoires. Et si j’ai peu d’expérience, je sais que la plupart des MST se transmettent par le sang, puis qu’un bain dessèche les muqueuses, mais je veux… sentir chaque centimètre de ta rigidité m’envahir ! Aussi, tu peux me prendre ainsi, mais préfèrerais te voir nu, toi aussi…
J’ai retiré mes vêtements avant de me rallonger à côté de lui, Mircea a refermé ses lèvres sur ma virilité déjà éveillée par le désir, avant de se coucher sur le ventre.
— Pas ainsi’’ ai-je murmuré, ‘’Tourne-toi, je veux te voir…’’
J’ai tout de même imposé une noisette de gel, avant de lentement prendre possession de son corps. Je me suis étonné un instant de la force déployée par ses membres pourtant si minces, alors qu’il me tirait en lui, toujours plus loin, jusqu’à ce que je remarque une goutte de pré-sperme suinter du gland délicat qui commence à émerger de son prépuce. J’ai alors posé des doigts légers sur sa hampe qui semble maintenant palpiter, tandis qu’elle projette les filets de semence sur son torse, et qu’un long gémissement de plaisir s’échappe de sa bouche.

9 mars 2022 21h20 au Horny Grizzly
— Tu pues le sexe, mec’’ a murmuré Thibaut.
— Mais non, on a repris une douche après… Hmmm, je me suis trahi trop facilement.
— Combien de fois cet après-midi ?
— Deux… Mircea dit qu’il a du retard à rattraper’’ ai-je répondu, en tentant de retenir sur mon visage l’expression du mélange de sentiments qui m’étreint, un peu de fierté, pas mal d’attachement créé en quatre mois, et infiniment d’amour, assez pour remplir toute une vie.
— Pfff ! Pourquoi je ne suis pas gay, moi ? Vous baisez plus sur un jour que moi en une semaine.
— Ah ça… Il y en a quelques-uns dans le bar qui le regrettent, effectivement’’ ai-je soufflé, alors qu’il défaisait un quatrième bouton de sa chemise.
— Ne te retiens pas d’en faire trop, Thibaut.
— Quoi ? Il fait chaud, c’est tout. D’ailleurs, je vais me resservir un verre de punch, tiens. Tu as remarqué, il est rouge sang, on pourrait presque croire à une attention particulière du gros tatoué du bar pour ton petit vampire.
— C’en est une, Théobald ne sait pas comment se faire pardonner, il me l’avait proposé, j’ai soumis l’idée au Dr Laperre, il l’a directement approuvée.
— Ce mec est décidément bizarre…
Pas faux, pas faux… Mais il m’a fait le plus beau cadeau du monde.

[fablelionsilencieux]

La qualité du travail de ce body painting d'Halloween m'a bluffé !

[KLO7514]

Rencontre toute en douceur et pour longtemps, en apparence. Le début en fut assez viril cependant : il n'y a pas que le champagne qui doit être "frappé"! Ici, ce fut le fondement de Mircea et cette "frappe peu chirurgicale" entraîna une passion qui devrait durer, espérons-le. Et puis, pour la ""crevette", un p'tit coup de rouge de temps à autre, puisque il apprécie cette couleur.
Je subodore, comme auteur un habitué du milieu médical. Je n'en dis pas plus.
KLO.

[fablelionsilencieux]

Halloween 2,

J’avais complètement oublié, ce n’est qu’en arrivant à mon club de rencontres favori que j’ai remarqué que c’était Halloween, il y avait une grande soirée spéciale avec déguisements. Je n’en avais pas, c’est donc nu et presque innocent comme au jour de ma naissance que j’ai fait mon entrée.

Quelques ricanements parmi les vampires et autres zombies, deux d’entre eux m’ont emmené immédiatement dans une arrière-salle sombre, éclairée seulement de quelques citrouilles grimaçantes. Ça allait être ma fête.

J’ai dû d’abord sucer le mort-vivant, à genoux ; sa bite était peinte en vert, couverte de fausses toiles d’araignée et de fausses pustules. Ou alors elles étaient vraies.

Sur une cape rouge posée sur un matelas noir, j’ai subi ensuite les assauts du vampire que je ne connaissais pas, ou dont j’avais oublié l’existence. J’aurais peut-être reconnu son visage s’il n’avait pas été recouvert d’un masque ou sa bite si elle n’avait pas été compressée dans un string de cuir noir. Il l’a sortie pour m’enculer, mais j’étais couché sur le ventre, et je ne l’ai pas vue.

Le vampire m’a retourné sur le dos, se penchant en grognant et en me montrant ses fausses incisives. Il m’a sucé longuement, je sentais ses dents sur ma peau, elles me chatouillaient. J’ai eu un orgasme très intense, ma semence a giclé sur le visage du mort-vivant qui s’était aussi rapproché de ma queue.

J’ai cru que mon sperme était rouge, ce ne devait être qu’une illusion d’optique, un éblouissement. Je suis resté quelques minutes couché avant de me relever et de sortir de la chambre. Je n’ai pas revu mes deux créatures de l’obscurité.

Le lendemain matin, ma bite me démangeait, je l’ai examinée et j’ai découvert deux fines traces, les fausses incisives qui m’avaient griffé. Ou alors elles étaient vraies. J’ai eu un doute. Par précaution, je me suis rendu à la pharmacie, celle où un jeune et mignon préparateur me vend ma PrEP et mes capotes XL en rougissant. À sa grande surprise, j’ai acheté un complément alimentaire à base d’ail. Il m’a souri énigmatiquement, révélant deux incisives pointues.

[KLO7514]

Hou_là...! Ici, ce n'est plus vraiment la douceur qui règne mais une inquiète excitation . Qui sont ces "mangeurs-saigneurs" fort "incisifs"? Et le sourire du jeune préparateur de l'habituelle pharmacie : brrr, ça fait froid dans le dos mais ce fut si bon la veille. Alors, on remet ça?
J'hésite sur le "rédacteur" de ces lignes entre deux noms. Souffrez que je n'en mentionne aucun : pas de jaloux!

[fablelionsilencieux]

Halloween 3,


Florent était hétéro, ça, y avait pas de doute ! Non qu’il fût un Dom Juan, m’enfin, il alignait sagement ses conquêtes sur un tableau de chasse certes pas digne des meilleurs fusils de Sologne, mais dont il n’avait pas à rougir.
Seul son ami Kévin se risquait, régulièrement, à lui poser une de ces questions :
— Quand est-ce que tu te cases ? C’est-y enfin la bonne ? La future mère de tes enfants ? Etc…
À quoi Florent répondait par son gentil sourire, et un léger haussement d’épaules. C’est qu’il était gracieux et gentil, ce Florent-là. Et mignon itou, comme son ami de cœur Kévin.
— Et toi ? répliquait-il souvent.
— Tu sais bien que la devise de la gaytitude est « Liberté, Sexualité, Fraternité » !
Ce vendredi soir d’octobre, pourtant, la rigolade n’était point au rendez-vous, car Florent pria son ami au Cormoran rigouillard, vaste brasserie fréquentée surtout par les étudiants de la ville.
Si la chose était commune, le motif l’était moins : Florent voulait parler à Kévin. Attablés devant la Leffe réglementaire, les garçons, vingt ans chacun, commentèrent d’abord leur entourage immédiat : on connaissait évidemment du monde en ce grouillant endroit. Et ce fut Kévin qui attaqua :
— Tiens ! V’là l’incomparable Bruno, suivi de sa cour !
Ledit Bruno était une réelle beauté, rejeton d’une des familles riches du pays, et doué d’une insolence peu commune… que tout le monde lui pardonnait, ou presque, tant il était beau, et charmant aussi : un séducteur universel, quoi. Et pas le plus mauvais élève de la fac ! Où il entamait sa deuxième année, comme les autres.
— Tu te rends compte que ce mec-là est hétéro ? soupira Kévin.
— Justement, souffla, Florent, c’est de lui que je voudrais te parler…
— Hein ? Parce qu’il te pique tes copines ?
— Oh, généralement, je passe après, alors… Non, c’est autre chose. Depuis… depuis trois semaine, ça fait au moins cinq fois que je rêve de lui.
— Ha ! Et y t’fait quoi ?
— Peur.
— Hein ? Mais y va pas t'violer, tu sais ? Il est hétéro jusqu'au trognon, c'con-là !
— Sauf que quand je rêve de lui... il est en vampire, avec des dents et une cape noire... mais les jambes nues.
— Ah ! Ah ! Ah ! Éclata gaiement Kévin, je vois ! Il a pas des bas résille, en plus ? Ah ! Ah !
— Te fous pas de moi ! À chaque fois, je me réveille en sursaut.
— Bon, fit Kévin, calmé, voilà mon diagnostic : c'est la proximité d'Halloween qui te tracasse inconsciemment, et rien de plus. Dans une semaine, c'est passé. Tu me dois 60 € !
Florent dut sourire à la bonne humeur de son ami, et lui promit de le croire... à défaut de lui verser des honoraires.
— T'façon, tu sais bien que j'ai horreur des sorcières, des citrouilles et de tous ces enfantillages !
— Moi aussi, mais bon ! Si ça fait vendre des courges !
Or arriva soudain un qu'on n'avait pas vu venir : Bruno.
— Ciao les mecs ! Demain soir, c'est Halloween ; ça vous dirait de venir à une petite bringue entre potes ?
— Tu crois à ces conneries, toi ? fit Florent, presque rogue.
— Bien sûr que non ! C'est juste pour dire un maximum de conneries en picolant... un maximum... et vous... surtout toi, Kévin, vous êtes bien placés pour ça, non ?
— Si tu me promets une ovation debout en fin de soirée, je viens ! Tu viens, Florent ? Ça te fera passer ton mal de tête nocturne, tiens !
— Ça va pas ? demanda Bruno à Florent, gentiment. Viens, on va rigoler ! Et puis te déguise pas comme les mioches, j't'aime mieux comme tu es !
Florent se laissa convaincre... car c'était vraiment un charmeur, ce mecton !
Il avait même obtenu de ses parents qu'il débarrassassent le plancher pour sa soirée « sorcières » ! On a vu qu'iceux étaient fort aisés, aussi disposaient-ils d'une jolie campagne. Et d'un petit hôtel en ville.
Où l'on retrouva une quinzaine de loupiots de la fac. Emmy lesquels étaient tout de même trois sorcières de la plus belle eau... et toutes sous couvert d'anonymat. Comme annoncé, on but d'importance, et l'on débita des torrents de sottises toutes plus acclamées les unes que les autres.
M'enfin, on dut se séparer, et il ne resta plus céans que quatre garçons... et deux sorcières. Qui refusaient énergiquement de se dévoiler : elles avaient d'ailleurs pris toute la soirée une voix de rogomme [éraillée à cause de l'alcool] qui ne les trahit point.
La troisième n'avait pas résisté longtemps sous cet encombrant déguisement... qui cachait des charmes dont elle ne fit plus mystère ensuite.
Et comme elles refusaient toujours d'ôter leur masque, Bruno décida d'un jeu idiot, dont les étudiants ont le secret, pour les forcer à ce faire. Mais tout le monde devait jouer aussi : le but étant de se déloquer petit à petit, comme bien vous pensez.
Et l'on vit apparaître, surpris — quoique —, deux jolies quéquettes, l'une fine et longue, cernée de poils blonds, et un beau rondin issant d'une sombre forêt... Mais avant de voir les visages y associés, les quatre autres étaient déjà à poil... et par hasard, il ne resta plus que les deux masques des sorcières — avec le chapeau pointu, turlututu.
Kévin riait comme un perdu et sa grande forme nourrissait la conversation... car évidemment, tout le monde ne s'attendait pas à se retrouver en l'état de nature à l'issue de cette belle soirée...
En le blond, on découvrit enfin Adolphe, gentil minet qu'on savait gay, et le brun n'était autre  que Godefroy, une des gloires de l'équipe de hand-ball de la fac, superbe bestiole poilue et souriante. Et hautement hétérote, surtout !
Nonchalamment vautrés çà et là, les minets sirotaient les alcools raffinés des parents de Bruno quand celui-ci proposa qu'on allât se coucher : il logeait tout le monde... par deux. Et il proposa à Florent de dormir avec lui.
Sa belle chambre était doté d'une salle d'eau et l'on se doucha ensemble... sagement. Encore que... Florent ne manqua pas de remarquer la demi-dure de Bruno, qui ne s'en cacha point.
— J'ai rompu avec Josépha, attaqua-t-il. Mais c'est un peu grâce à elle que tu es là, parce que...
— Hein ? Mais je la connais pas ! De près, en tout cas...
— Elle m'a rapporté des choses très élogieuses sur toi, venant de telle ou telle de nos copines... et j'ai voulu en savoir plus sur toi, voilà.
— Oh ! C'est étrange, ça, parce que... moi, j'ai rêvé de toi... en pas très agréable. En vampire !
— Ah ! Ah ! explosa Bruno. Et j'te faisais quoi ? J'te pompais le sang, ou bien la...
— Oh ! Oh ! Rien mais... tu me faisais peur.
— Tu crois plus que je suis un vampire, hein ? Et... si j'te pompe, ça sera pas le sang, tu vois ?
— Oh ! fit Florent, qui voyait, effectivement, effaré. Mais... tu... rigoles, là ?
— Ben... non, enfin... je sais pas, répondit Bruno avec un air de petit garçon absolument craquant. En fait... j'ai ce fantasme depuis un temps... et je vois que toi pour le réaliser. On est hétéros tous les deux, alors pas d'embrouille, tu vois ?
Oui, oui, il voyait de mieux en mieux, Florent ! Mais à ce moment de sa vie... de la soirée, surtout, il ne voyait pas, en revanche, comment refuser cette curieuse proposition...
— Tu reveux un p'tit coup de champ' ? proposa Bruno.
— Oh... Oui, merci ! souffla Florent, désemparé.
Quelques gorgées plus tard, il s'abandonnait à la bouche de Bruno. Pas si maladroit que ça, pour un débutant, d'ailleurs...
Bruno avait baissé les lumières, et Florent fermé les yeux. Il lui revint en tête ses rêves de vampire... et dut sourire en constatant que les faits étaient bien autres. Bruno releva la tête :
— Ho ! Je fais pas ça bien, pour que tu rigoles ?
— Si, t'es parfait. Je pensais à toi en vampire, c'est tout !
— J'te l'ai dit : je me nourrirai pas de ton sang.
C'est qu'il avait l'air sérieux, le Bruno ! songea Florent. Et les minutes passant, il faisait des progrès, inventant de petites façons bien plaisantes, tiens ! Et Florent ne se retint pas de soupirer, puis de geindre doucettement.
Enfin, Bruno vint se mettre à quatre pattes sur lui, en sorte qu'il eut sur le nez le beau vit bien droit de son praticien... Au point où il en était, il ne crut pas devoir reculer devant l'obstacle, et il ouvrit la bouche. Ô l'étrange sensation !
Il assura, Florent. Et même assez pour recevoir des encouragements. Encore un temps plus tard, il se sentit relever les jambes, et brouter les parties sacrées. Puis Bruno poussa jusqu'à son intime vallée et lui bouffa tout simplement la rondelle... avec une ardeur qui le fit gémir.
Avant de revenir à l'essentiel, et de pomper comme un démon ! Florent dut prévenir, peu après, de l'imminence de la crue... mais Bruno n'en eut cure et avala tout le petit jus de Florent, hop ! Lequel n'eut pas le culot d'en faire autant et se contenta de branler énergiquement : résultat, il prit tout sur le museau. Faisant volte-face, Bruno vint le lécher vivement... et termina en lui roulant un de ces patins !
Avant de s'effondrer sur lui.
— Oh, putain, j'y crois pas, Florent ! souffla-t-il.
— Tu voulais savoir, je crois ?
— Ouais, trop bon !
Vu l'heure, on n'épilogua guère. Mais au matin, vers dix heures, Florent fut réveillé par le ci-devant vampire, qui ne s'en prenait toujours pas à sa gorge... Mignon soixante-neuf qu'iceluy, qui se termina par deux superbes giclées à l'air libre.
On descendit donc s'occuper du petit déjeuner, pour voir arriver Godefroy et Adolphe, en boxer.
— Vous pouvez virer tout, les mecs ! fit Bruno. Mais...vous vous êtes pas couchés ensemble, y m'semble ?
— Ouais, mais... au milieu de la nuit, on s'est tous retrouvés à la salle de bains... et on a décidé de changer d'équipier, répondit suavement le fin Adolphe, tout sourire.
Peu après paraissaient Kévin et le quatrième, un Sylvain du plus bel effet, et connu lui aussi pour ses conquêtes féminines... On n'eut pas besoin de leur suggérer la nudité : ils étaient à poil.
— Alors, cette nuit de... post-ivresse ? demanda Kévin, qui semblait prêt à recommencer les conneries.
— On s'en est bien tirés, nous ! affirma Bruno. Et vous ?
— Aucune plainte reçue à SOS-Hétéro fragile ! affirma Kévin, faisant rire.
— Les vacances ! reprit Bruno. Moi, je suis orphelin pour les fêtes... et je garde cette baraque. Aurai-je des visiteurs ?
On se regarda de traviole avant d'éclater de rire.
Florent et Kévin rentrèrent ensemble, et Kévin attaqua :
— Je veux tout savoir de ta nuit avec un vampire !
— Oh, c'est... hésita Florent.
M'enfin, il mourait d'envie de tout dire ! Et il le fit, timidement d'abord, puis en s'enhardissant sous le flot des questions de Kévin.
— Eh ben ! J'espère que tu vas te mettre à rêver de moi, avant l'prochain Halloween ! soupira enfin ce garçon.
— Tu t'es ennuyé ?
— Ah non ! Et j'ai même le numéro d'Adolphe !
— Alors ?
— C'est rageant de voir un hétéro, même beau, profiter d'un trésor tel que toi, c'est tout.
— Kévin ?
— Comme je te le dis.
On s'en tint là pour les aveux, et ce fut un Florent bien songeur qui regagna ses pénates. Bruno et Kévin s'intéresseraient à lui ?
Il passa la fin de ce dimanche à gamberger... mais sans trop savoir dans quel sens. Il n'était pas huit heures qu'on l'appela : Bruno.
— Mes vieux restent à la campagne ce soir ; tu viendrais pas dormir ici ?
— Oh, je sais pas trop...
— Est-ce que — tu m'arrêtes si je dis une connerie, hein ? —... Est-ce que tu voudrais que j'invite Kévin, aussi ?
— Pourquoi tu dis ça ?
— Je l'aime bien et puis... t'en as beaucoup parlé, alors...
À neuf heures, on se retrouvait chez Bruno, où le ton fut tout de suite donné : il ouvrit nu. Au grand sourire de Kévin, pensez.
— Alors, vos impressions ? demanda Bruno au moment d'attaquer le champagne parental.
On bredouilla quelques banalités avant que Kévin se lançât dans l'entier descriptif de la nuit, avec détails sur les trois absents...
Bruno avait pris Florent par le cou, mais ne repoussa pas la main de Kévin qui vint se poser sur sa cuisse, de l'autre côté. Le cœur de Florent battait grandement...
La suite s'annonça doucement mais... fermement ! Qui premier s'empara de la bite de l'autre, je ne saurais vous le dire. Toujours est-il que les triangles s'enchaînèrent, à droite, à gauche, debout, assis, les pieds au mur, et tout le reste !
Mais on fit un pas de plus dans la connaissance de la nature humaine : le gay officiel désira se faire prendre par les deux autres loupiots, qui n'osèrent point le lui refuser.
D'où s'ensuivit une joyeuse séance, croyez-m'en !
Puis... les jours passant, Florent finit par s'avouer ses sentiments pour Bruno, qui n'était plus le vampire de ses cauchemars, bien au contraire. Ces deux-ci firent connaissance, et ma foi... Il s'instaura d'abord une gentille histoire à trois, avant que le frêle Adolphe se rappelât au bon souvenir de Kévin.
Il y eut alors deux histoires à deux... mais vous vous souvenez que deux et deux font quatre, et ma foi, ces jeunes gens ne l'oublièrent pas non plus. Bref, ce fut l'Halloween le plus fumant de la décennie !

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,


Photo du moment : la tribu !



J'attends vos textes !

*****

Défi en cours, sur une suggestion de notre ami - @Lange128 -
Voici trois contes et trois fables :

1/Aladin
2/La Belle et la Bête
3/Hansel et Gretel

4/ la cigale et la fourmi
5/le corbeau et le renard
6/le rat des villes et le rat des champs

En utilisant l'une de ces histoires connues, écrivez un récit à votre convenance.

Seul impératif ; le lecteur doit pouvoir y retrouver la trame d'origine.

Vous avez jusqu'au 25 novembre pour me faire parvenir votre (ou vos) texte(s) les pastichant.

Les plus prolifiques pouvant bien entendu m'envoyer jusqu’à six historiettes.

*****
La photo suivante sera : béni soit-il

[Lange128]

Je pense avoir reconnu l’auteur du troisième texte d’Halloween, il aurait été impossible de ne pas le reconnaître, je ne vais donc pas révéler son identité virtuelle.

Désolé Fab, les propositions en cours ne m’inspirent pas et je dois remettre mon autre récit sur le bon cap, sinon Koen deviendra un Hollandais volant. Tout espoir n’est pas perdu, Érato viendra peut-être à mon secours.

[lelivredejeremie]

Pour l’avant-dernier, je n’aurais jamais pensé au ‘costume d’Adam’ comme déguisement, mais oui, absolument ! Après, le narrateur n’a pas peur du ridicule, ni de grand-chose, surtout de se faire tirer dans la back-room aménagée, ni de se soumettre à la suggestion pustuleuse du mort-vivant puis aux outrages du vampire assez doué des lèvres (et des dents) pour le faire jouir. Au vu des prescriptions, le joli pharmacien devait déjà savoir les préférences de son client, mais il a assez d’humour pour le complément alimentaire, ça en fait un copain potentiel doublement intéressant
C’est court pour être du GaetanBG, p-ê le Lion lui-même ?

Le dernier est du pur… Je ne dois même pas le dire, il n’y a qu’un maître de l’écriture ici capable de retourner non un, mais deux hétéros du droit chemin Et de décrire, avec légèreté et naturel, tant une première fellation qu’une sodomie pas moins inédite, avec autant de facilité ¬‿¬ Nous devons être plusieurs à regretter de ne pas avoir rencontré ses persos les premières fois ¯\_(ツ)_/¯ Mais il y a toujours cette bienveillance (trop rare, IRL ou mm en fiction) qui me met le sourire à la fin Il y a des feel-good movies, puis il y a les feel-good stories de… L***

[KLO7514]

Oui, je suis du même avis que mes deux prédécesseurs  commentateur pour l'auteur (pas tâteurs?→ là je m'avance peut-être un peu...mais c'est par "licence poétique"!). Bien joué, le petit quarteron rouge : ils ont été "cape" de le faire... à cheval parfois.

[bech]

Je m'aperçois que je n'avais pas donné mes pronostics pour les textes hallowin.

Donc pour le premier lelivredejeremie
et pour le troisième Louklouk

[fablelionsilencieux]

Coucou les gens,

Je livre l'ordre des auteurs par récit de l’hors-série « Halloween » ce qui donne :

01/ @lelivredejeremie
02/ @Lange128
03/ @Louklouk



Puis, le prochain hors-série - titre - qui sera publié est :
« Un fermier vachement dans l’embarra » que j'ai toujours dans mes cartons !!! 
(J'attends vos MP, si il y a des retardataires... )