21-03-2021, 09:44 PM
Hello ! La petite dernière...
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La Webcam enchantée
— Tu connais ça, toi, le site CamTouch ? demanda Vincent à son ami Rémy.
— Ben ouais, bien sûr, pourquoi ? Tu viens de le découvrir ?
— Oui.
— Alors tu te branles comme un fou en matant les p’tites chattes, mon p’tit cochon ?
— Surtout en matant ta bite, fit doucement Vincent.
— Oh !
Il y eut un froid, comme vous l’imaginez. Mais Rémy tenta de reprendre l’avantage :
— Donc tu mates les mecs ?
— Je suis tombé dessus par hasard, en ouvrant. T’étais au début de la liste…
— Et…?
— Ben… Je pensais pas que tu faisais ça.
— T’es choqué ?
— Non, non ! Oh… T’es magnifique, Rémy. Mais… ta copine ?
— Oooh ! Tu fermes ta gueule, Vincent ?
— Oui… si on cause un peu plus.
— On va chez moi ?
Ces garçons, vingt-trois ans chacun, s’étaient connus à la fac, puis étaient entrés ensemble dans une start-up qui promettait. Et ils étaient bons amis. Adepte des bulles, Rémy marchait au crémant de Loire, et il en ouvrit immédiatement une bouteille. Vincent gardait l’air coincé.
— Bon ! fit Rémy, t’es chiffonné ?
— Oui… et non.
— Tu me dis tout ?
Vincent dut reprendre une vaste gorgée de bulles…
— La section « mecs », c’est essentiellement pour les gays, non ?
— Oui. Mais ça me gêne pas d’être admiré par tout le monde…
— T’es exhib’ ?
— Ah ben ça ! Tu l’as vu ! Mais… y a pas d’exhib’ si y a pas de voyeurs…
Vincent tourna la tête vers son pote, pour murmurer :
— Je voulais pas te mater, Rémy…
— Tu m’as pas dit que j’étais… magnifique ?
— Si, et je le pense. Mais j’imaginais pas que… Mais pourquoi, poursuivit Vincent, tu te montres là, alors que tu sais qu’y a que des gays pour te mater ?
— D’après toi ?
— T’es gay ?
— J’en suis pas encore vraiment sûr… mais je crois, oui.
— T’as eu des… expériences ?
— Non, mais des coups de cœur, oui. Thierry, par exemple.
— Hein, ce gros con ?
— Ce gros con qu’est super bien foutu, oui, avec des poils qui sortent de la chemise, un sourire de pute et un p’tit cul…
Ledit Thierry était en effet un hétéro de la boîte qui se vantait à longueur de journée de ses bonnes fortunes, fort belle bête en vérité, et à qui l’on accordait crédit, vu son physique, et sa faconde…
— Thierry !
— Ouais, je sais que c’est pas le gratin, mais… il est bandant, c’con-là !
— C’est ça qui te fait… bander ?
— Oh non, pas seulement, mais… je suis pas doué pour draguer, alors… je fantasme beaucoup. Et c’est aussi pourquoi je suis sur Internet.
Silence. Vincent ne savait que dire. Rémy reprit :
— Je t’embête avec ça : oublie-moi, c’est le mieux.
— Pas si facile… murmura Vincent.
— Eh ben tu me mates en douce, et voilà !
— T’as une façon…
— On n’est plus des bébés. Si tu me trouves… comme tu m’as dit… alors fais-toi plaisir. Ou je te déçois ?
— Non, non !
— Alors tu me diras comment tu m’as trouvé, les prochains soirs ?
— Ben… Oui, s’tu veux.
— Et tu dis pas à Thierry que je mouille pour lui, hein ?
Là, Vincent dut sourire, qui répliqua pourtant :
— Te prends quand même pas pour une meuf !
— Tu mouilles pas, toi ?
— Ben non, c’est les meufs, non ?
— Ouh ! T’as pas tout vu, mon gars !
Vincent eut alors un air effaré qui fit sourire Rémy.
— Alors faudra que je te montre… si tu veux.
— T’es sérieux, là ?
— On dit… maintenant ?
— Parce que, là ?...
Rémy opina du chef. Et de se lever pour se déloquer entièrement : il bandait à moitié… mais mouillait bien !
Il retroussa son beau prépuce et montra à Vincent l’étendue de son excitation.
— Mais… fit le garçon, tétanisé, c’est quoi, ça ?
— Ça vient de ta prostate et sert à envelopper tes spermatozoïdes, expliqua Rémy en faisant coulisser doucement son prépuce. Y a des mecs qu’en ont plus que d’autres, voilà, et ça vient quand on est excité.
— Me dis pas… que je t’excite ?
— Disons que je suis… ému. Tu touches ?
— Euh…
— Viens… Y a l’eau courante chaude et froide, ici !
Il prit la main de Vincent pour la poser sur son gland tout luisant, et fit signe au garçon d’agir…
— C’est pas la première fois que tu touches un mec, quand même ?
— Bof… dans le temps, au lycée…
— Va… T’es gentil. Oui, c’est bon…
Vincent commença là un gentil va-et-vient, et Rémy se renversa sur le sofa, fermant les yeux.
Coincé, Vincent n’osa s’interrompre, et il branla donc, du bout des doigts. Un moment plus tard, Rémy lui prit la main pour l’étaler tout entière sur sa bite…
Enfin, Vincent murmura :
— Ça va ?
— T’es génial, mon Vincent… Serre plus fort, vas-y !
La séance dura un bon quart d’heure, et l’actif coup de poignet de ce garçon fit enfin gicler Rémy comme jamais.
L’air hébété de Vincent fit sourire Rémy.
— Merci, mon pote ! T’es pas trop choqué ?
— On dira… que ça va, fit Vincent, mi-figue, mi raisin.
— Je t’en dois au moins autant.
— Oh ! Non, t’es pas obligé !
— Ça me ferait plaisir… de te faire plaisir.
Vincent regarda ailleurs, gêné, et Rémy souffla :
— Bon ! On va se laver, et on picole.
Il prit une petite douche tandis que Vincent se lavait les mains, et l’on trinqua.
— Enfin… tout ça c’était pour te montrer ce que c’est que la mouille de mec.
— Eh ben merci, fit Vincent, obligé de sourire.
— Pas trop dégoûté ?
— Puisqu’y a l’eau courante…
Rémy éclata de rire.
— J’t’adore, mon Vincent ! Tu sais quoi ? Pour te remercier d’autant de gentillesse… je vais te sucer.
— Hein ? Mais, mais !...
— T’aimes pas ?
— Si, mais…
— J’te raconte ma vie : je l’ai fait une fois… juste avant le bac, avec le pote avec qui je révisais. Et là… je crève d’envie de te le faire. Et je le dois.
— Mais… Oooh…
— Maintenant, demain, plus tard… Dis pas non ! Allez, on picole, on picole !
On avait finit la première tournée de bulles, et Rémy ouvrit la seconde. Il était en surchauffe… et vit que Vincent commençait à mollir… Il insista :
— Elle suce bien, ta copine ?
— On dira que… ça dépend des jours.
À son tour renversé sur le dossier du canapé, Vincent poussa un grand soupir : pour Rémy, ce fut le signe de la reddition. Il défit délicatement les chausses de Vincent, qui laissa faire, et même aida à la manœuvre…
Le vit de Vincent était à demi dur, et Rémy s’en empara délicatement, après l’avoir découvert de son beau prépuce. Il eut un long frisson : comme il l’avait rêvé, ce moment de grâce !
Il pompa donc, lentement, doucement, avec une sereine application. Il lécha aussi les parties sacrées, puis les tétons pointus de Vincent… Il finit par le faire déborder, et avala son entier plaisir.
— Oh, Rémy… T’as… gémit Vincent.
— Première fois. Mais j’en avais envie.
— Première fois… moi aussi…
On ne s’étendit pas sur le sujet, et m’on causa ensuite comme si de rien n’était. Et l’on se sépara bons amis.
Arrivant à la boîte le lendemain, Rémy fit spontanément la bise à Vincent, devant la machine à café, où étaient aussi une demi-douzaine de nanas.
— Ça va, les p’tit pédés ? fit Thierry, surgissant.
— Hep ! Modérez vos propos, jeune homme ! Mais tu me donnes une idée : quand est-ce que je te suce ?
— Hein ? Ça va pas, non ? Chuis pas comme ça, moi !
— Mesdames, je vous le laisse ! fit Rémy en entraînant Vincent, devant une assemblée sidérée.
— P’tain, t’as été loin, là ! souffla Vincent.
— J’vais me le faire, surtout !
— Hein ?
— Ça va lui rester dans la tête, ma question !
— J’y crois pas !
— Lui, si !
De fait, en fin d’après-midi, Thierry parut au bureau de Rémy :
— Tu m’as fait quoi, ce matin ?
— Ce que t’avais cherché, non ?
Thierry resta coi, et Rémy enfonça le clou :
— Tu passes ton temps à nous baratiner sur tes coups… mais tu nous as jamais dit si les mecs suçaient mieux ou moins bien que les nanas !
— Mais p’tain ! Chuis pas comme ça, moi !
— Ou tu sors ta bite, ou tu dégages.
Alors Rémy lui mit la main à la braguette, et Thierry laissa faire. Et ce fut un rude morceau que celui-ci eut à prendre en bouche ! Mais il n’était pas prévu que Vincent entrât à ce moment…
Rémy ordonna alors le repli chez lui, forçant un Vincent qui ne voulait pas… mais suivit tout de même.
— Tout le monde à la douche, les mecs !
Dans la douche, tous se mirent à bander.
— P’tain ! T’as une super belle queue, Thierry ! Les mecs, c’est le grand jour ! Vincent, tu vas me percer… et toi après ! Doigtez-moi, les mecs.
On s’exécuta, muni d’une belle lampée de gel… et ce fut un Vincent archigêné qui défonça Rémy en premier, tandis qu’iceluy suçait le rude Thierry…
Interdit de giclée, Vincent dut laisser la place à Thierry, qui y alla franchement et prit un joli pied céans.
— Viens, Thierry, Vincent va nous gicler sur la gueule.
Le museau de Thierry agrémenté de belles traînées blanches fut vite léché par un Rémy qui en profita pour forcer les lèvres dudit… qui se laissa faire.
— Vous êtes trop, les pédés ! fit enfin Thierry.
— Change de vocabulaire, si tu veux revenir !
— Oh oui, oui, pardon ! C’était… super sympa, oui !
— Donc tu veux revenir ?
— Ben…ouais… Enfin… s’tu veux, bien sûr.
— On est vendredi : vous dormez là, les mecs ?
On n’osa refuser, et la soirée fut chaudissime. Rémy se fit baiser derechef par ses collègues. Le samedi midi, Thierry dut partir, mais Rémy retint Vincent.
— Tu penses quoi ?
— Oh, je sais plus ! C’était… étonnant.
— J’ai un truc à te dire. Pas obligé de me répondre ! En fait, j’ai plus envie de me montrer sur Internet… parce que… je t’aime, mon Vincent.
— Ah ! fit Vincent… qui se mit à pleurer. Pourquoi… Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que je t’aime.
— Mais… Mais… Moi aussi, je t’aime !
Tableau.
Mais on eut bien garde d’oublier le bel et velu Thierry, dans les séquences suivantes… où il assura.
3. III. 2021
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La Webcam enchantée
— Tu connais ça, toi, le site CamTouch ? demanda Vincent à son ami Rémy.
— Ben ouais, bien sûr, pourquoi ? Tu viens de le découvrir ?
— Oui.
— Alors tu te branles comme un fou en matant les p’tites chattes, mon p’tit cochon ?
— Surtout en matant ta bite, fit doucement Vincent.
— Oh !
Il y eut un froid, comme vous l’imaginez. Mais Rémy tenta de reprendre l’avantage :
— Donc tu mates les mecs ?
— Je suis tombé dessus par hasard, en ouvrant. T’étais au début de la liste…
— Et…?
— Ben… Je pensais pas que tu faisais ça.
— T’es choqué ?
— Non, non ! Oh… T’es magnifique, Rémy. Mais… ta copine ?
— Oooh ! Tu fermes ta gueule, Vincent ?
— Oui… si on cause un peu plus.
— On va chez moi ?
Ces garçons, vingt-trois ans chacun, s’étaient connus à la fac, puis étaient entrés ensemble dans une start-up qui promettait. Et ils étaient bons amis. Adepte des bulles, Rémy marchait au crémant de Loire, et il en ouvrit immédiatement une bouteille. Vincent gardait l’air coincé.
— Bon ! fit Rémy, t’es chiffonné ?
— Oui… et non.
— Tu me dis tout ?
Vincent dut reprendre une vaste gorgée de bulles…
— La section « mecs », c’est essentiellement pour les gays, non ?
— Oui. Mais ça me gêne pas d’être admiré par tout le monde…
— T’es exhib’ ?
— Ah ben ça ! Tu l’as vu ! Mais… y a pas d’exhib’ si y a pas de voyeurs…
Vincent tourna la tête vers son pote, pour murmurer :
— Je voulais pas te mater, Rémy…
— Tu m’as pas dit que j’étais… magnifique ?
— Si, et je le pense. Mais j’imaginais pas que… Mais pourquoi, poursuivit Vincent, tu te montres là, alors que tu sais qu’y a que des gays pour te mater ?
— D’après toi ?
— T’es gay ?
— J’en suis pas encore vraiment sûr… mais je crois, oui.
— T’as eu des… expériences ?
— Non, mais des coups de cœur, oui. Thierry, par exemple.
— Hein, ce gros con ?
— Ce gros con qu’est super bien foutu, oui, avec des poils qui sortent de la chemise, un sourire de pute et un p’tit cul…
Ledit Thierry était en effet un hétéro de la boîte qui se vantait à longueur de journée de ses bonnes fortunes, fort belle bête en vérité, et à qui l’on accordait crédit, vu son physique, et sa faconde…
— Thierry !
— Ouais, je sais que c’est pas le gratin, mais… il est bandant, c’con-là !
— C’est ça qui te fait… bander ?
— Oh non, pas seulement, mais… je suis pas doué pour draguer, alors… je fantasme beaucoup. Et c’est aussi pourquoi je suis sur Internet.
Silence. Vincent ne savait que dire. Rémy reprit :
— Je t’embête avec ça : oublie-moi, c’est le mieux.
— Pas si facile… murmura Vincent.
— Eh ben tu me mates en douce, et voilà !
— T’as une façon…
— On n’est plus des bébés. Si tu me trouves… comme tu m’as dit… alors fais-toi plaisir. Ou je te déçois ?
— Non, non !
— Alors tu me diras comment tu m’as trouvé, les prochains soirs ?
— Ben… Oui, s’tu veux.
— Et tu dis pas à Thierry que je mouille pour lui, hein ?
Là, Vincent dut sourire, qui répliqua pourtant :
— Te prends quand même pas pour une meuf !
— Tu mouilles pas, toi ?
— Ben non, c’est les meufs, non ?
— Ouh ! T’as pas tout vu, mon gars !
Vincent eut alors un air effaré qui fit sourire Rémy.
— Alors faudra que je te montre… si tu veux.
— T’es sérieux, là ?
— On dit… maintenant ?
— Parce que, là ?...
Rémy opina du chef. Et de se lever pour se déloquer entièrement : il bandait à moitié… mais mouillait bien !
Il retroussa son beau prépuce et montra à Vincent l’étendue de son excitation.
— Mais… fit le garçon, tétanisé, c’est quoi, ça ?
— Ça vient de ta prostate et sert à envelopper tes spermatozoïdes, expliqua Rémy en faisant coulisser doucement son prépuce. Y a des mecs qu’en ont plus que d’autres, voilà, et ça vient quand on est excité.
— Me dis pas… que je t’excite ?
— Disons que je suis… ému. Tu touches ?
— Euh…
— Viens… Y a l’eau courante chaude et froide, ici !
Il prit la main de Vincent pour la poser sur son gland tout luisant, et fit signe au garçon d’agir…
— C’est pas la première fois que tu touches un mec, quand même ?
— Bof… dans le temps, au lycée…
— Va… T’es gentil. Oui, c’est bon…
Vincent commença là un gentil va-et-vient, et Rémy se renversa sur le sofa, fermant les yeux.
Coincé, Vincent n’osa s’interrompre, et il branla donc, du bout des doigts. Un moment plus tard, Rémy lui prit la main pour l’étaler tout entière sur sa bite…
Enfin, Vincent murmura :
— Ça va ?
— T’es génial, mon Vincent… Serre plus fort, vas-y !
La séance dura un bon quart d’heure, et l’actif coup de poignet de ce garçon fit enfin gicler Rémy comme jamais.
L’air hébété de Vincent fit sourire Rémy.
— Merci, mon pote ! T’es pas trop choqué ?
— On dira… que ça va, fit Vincent, mi-figue, mi raisin.
— Je t’en dois au moins autant.
— Oh ! Non, t’es pas obligé !
— Ça me ferait plaisir… de te faire plaisir.
Vincent regarda ailleurs, gêné, et Rémy souffla :
— Bon ! On va se laver, et on picole.
Il prit une petite douche tandis que Vincent se lavait les mains, et l’on trinqua.
— Enfin… tout ça c’était pour te montrer ce que c’est que la mouille de mec.
— Eh ben merci, fit Vincent, obligé de sourire.
— Pas trop dégoûté ?
— Puisqu’y a l’eau courante…
Rémy éclata de rire.
— J’t’adore, mon Vincent ! Tu sais quoi ? Pour te remercier d’autant de gentillesse… je vais te sucer.
— Hein ? Mais, mais !...
— T’aimes pas ?
— Si, mais…
— J’te raconte ma vie : je l’ai fait une fois… juste avant le bac, avec le pote avec qui je révisais. Et là… je crève d’envie de te le faire. Et je le dois.
— Mais… Oooh…
— Maintenant, demain, plus tard… Dis pas non ! Allez, on picole, on picole !
On avait finit la première tournée de bulles, et Rémy ouvrit la seconde. Il était en surchauffe… et vit que Vincent commençait à mollir… Il insista :
— Elle suce bien, ta copine ?
— On dira que… ça dépend des jours.
À son tour renversé sur le dossier du canapé, Vincent poussa un grand soupir : pour Rémy, ce fut le signe de la reddition. Il défit délicatement les chausses de Vincent, qui laissa faire, et même aida à la manœuvre…
Le vit de Vincent était à demi dur, et Rémy s’en empara délicatement, après l’avoir découvert de son beau prépuce. Il eut un long frisson : comme il l’avait rêvé, ce moment de grâce !
Il pompa donc, lentement, doucement, avec une sereine application. Il lécha aussi les parties sacrées, puis les tétons pointus de Vincent… Il finit par le faire déborder, et avala son entier plaisir.
— Oh, Rémy… T’as… gémit Vincent.
— Première fois. Mais j’en avais envie.
— Première fois… moi aussi…
On ne s’étendit pas sur le sujet, et m’on causa ensuite comme si de rien n’était. Et l’on se sépara bons amis.
Arrivant à la boîte le lendemain, Rémy fit spontanément la bise à Vincent, devant la machine à café, où étaient aussi une demi-douzaine de nanas.
— Ça va, les p’tit pédés ? fit Thierry, surgissant.
— Hep ! Modérez vos propos, jeune homme ! Mais tu me donnes une idée : quand est-ce que je te suce ?
— Hein ? Ça va pas, non ? Chuis pas comme ça, moi !
— Mesdames, je vous le laisse ! fit Rémy en entraînant Vincent, devant une assemblée sidérée.
— P’tain, t’as été loin, là ! souffla Vincent.
— J’vais me le faire, surtout !
— Hein ?
— Ça va lui rester dans la tête, ma question !
— J’y crois pas !
— Lui, si !
De fait, en fin d’après-midi, Thierry parut au bureau de Rémy :
— Tu m’as fait quoi, ce matin ?
— Ce que t’avais cherché, non ?
Thierry resta coi, et Rémy enfonça le clou :
— Tu passes ton temps à nous baratiner sur tes coups… mais tu nous as jamais dit si les mecs suçaient mieux ou moins bien que les nanas !
— Mais p’tain ! Chuis pas comme ça, moi !
— Ou tu sors ta bite, ou tu dégages.
Alors Rémy lui mit la main à la braguette, et Thierry laissa faire. Et ce fut un rude morceau que celui-ci eut à prendre en bouche ! Mais il n’était pas prévu que Vincent entrât à ce moment…
Rémy ordonna alors le repli chez lui, forçant un Vincent qui ne voulait pas… mais suivit tout de même.
— Tout le monde à la douche, les mecs !
Dans la douche, tous se mirent à bander.
— P’tain ! T’as une super belle queue, Thierry ! Les mecs, c’est le grand jour ! Vincent, tu vas me percer… et toi après ! Doigtez-moi, les mecs.
On s’exécuta, muni d’une belle lampée de gel… et ce fut un Vincent archigêné qui défonça Rémy en premier, tandis qu’iceluy suçait le rude Thierry…
Interdit de giclée, Vincent dut laisser la place à Thierry, qui y alla franchement et prit un joli pied céans.
— Viens, Thierry, Vincent va nous gicler sur la gueule.
Le museau de Thierry agrémenté de belles traînées blanches fut vite léché par un Rémy qui en profita pour forcer les lèvres dudit… qui se laissa faire.
— Vous êtes trop, les pédés ! fit enfin Thierry.
— Change de vocabulaire, si tu veux revenir !
— Oh oui, oui, pardon ! C’était… super sympa, oui !
— Donc tu veux revenir ?
— Ben…ouais… Enfin… s’tu veux, bien sûr.
— On est vendredi : vous dormez là, les mecs ?
On n’osa refuser, et la soirée fut chaudissime. Rémy se fit baiser derechef par ses collègues. Le samedi midi, Thierry dut partir, mais Rémy retint Vincent.
— Tu penses quoi ?
— Oh, je sais plus ! C’était… étonnant.
— J’ai un truc à te dire. Pas obligé de me répondre ! En fait, j’ai plus envie de me montrer sur Internet… parce que… je t’aime, mon Vincent.
— Ah ! fit Vincent… qui se mit à pleurer. Pourquoi… Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que je t’aime.
— Mais… Mais… Moi aussi, je t’aime !
Tableau.
Mais on eut bien garde d’oublier le bel et velu Thierry, dans les séquences suivantes… où il assura.
3. III. 2021
Amitiés de Louklouk !