Sonnet
Si nous voulions aimer, que ne l'avons-nous fait ?
Qui nous a retenus, au moment que la grâce
Sembla nous réunir au-delà de la glace
Qui dressait entre nous son détestable effet ?
Les jours sont longs et lents et souvent l'imparfait
Veut brouiller les désirs d'une vie efficace...
On peut rêver pourtant contre le temps qui passe
Mais un jour cependant on reste stupéfait !
Ô mon joli seigneur, combien je vous admire !
Comme aussi je sais bien que les sons de ma lyre
Ne peuvent vous toucher même si joliment...
Il reste qu'à l'instant de déclarer ma flamme,
Oh, que je suis ému de déposer mon âme
Aux pieds purs et légers de mon sublime amant !
12. II. 2025
Si nous voulions aimer, que ne l'avons-nous fait ?
Qui nous a retenus, au moment que la grâce
Sembla nous réunir au-delà de la glace
Qui dressait entre nous son détestable effet ?
Les jours sont longs et lents et souvent l'imparfait
Veut brouiller les désirs d'une vie efficace...
On peut rêver pourtant contre le temps qui passe
Mais un jour cependant on reste stupéfait !
Ô mon joli seigneur, combien je vous admire !
Comme aussi je sais bien que les sons de ma lyre
Ne peuvent vous toucher même si joliment...
Il reste qu'à l'instant de déclarer ma flamme,
Oh, que je suis ému de déposer mon âme
Aux pieds purs et légers de mon sublime amant !
12. II. 2025
Amitiés de Louklouk !