Un samedi à Whitby

[emmanolife]

Merci, L'Ange, pour cette gentille histoire.
La bitte du fantôme a beau être immatérielle, il semblerait qu'elle fasse tout de même beaucoup d'effet à Daniel ! Ou est-ce une fantasme particulièrement vivace ? 

[Philou0033]

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

J'adore cette ajoute. L'idée de baiser avec un fantôme est assez particulière. De toute manière Daniel a pu en profiter et se faire prendre par Keir.
Daniel a ressenti de très forte sensation, étaient-elles "réelles" ou "imaginaires"?

Merci Daniel pour ce bon moment de lecture.

Je t'embrasse!
Philou

[Lange128]

Merci, L'Ange, pour cette gentille histoire.
La bitte du fantôme a beau être immatérielle, il semblerait qu'elle fasse tout de même beaucoup d'effet à Daniel ! Ou est-ce une fantasme particulièrement vivace ?

Merci [member=67]emmanolife[/member] pour ton commentaire.

On peut effectivement penser que ce n’était qu’un fantasme, un rêve, et qu’il n’y avait rien de surnaturel.

Il est possible d’utiliser un truc pour convaincre le narrateur que ce n’était pas un rêve, il aurait fallu laisser des traces comme du sperme ou même du sang. Ce n’était pas possible ici puisqu’un fantôme est immatériel.

Le truc inverse est de faire basculer le récit dans le fantastique seulement à la fin. J’en avais écrit un qui décrivait une rencontre, certes inhabituelle, mais qui n’avait rien de surnaturel. Le narrateur avait gardé lui-même des traces sous la forme de photos prises avec son smartphone. À la fin, il s’est rendu compte que l’autre personnage avait disparu des photos.

[Lange128]

Bonjour [member=28]Lange128[/member] !

J'adore cette ajoute. L'idée de baiser avec un fantôme est assez particulière. De toute manière Daniel a pu en profiter et se faire prendre par Keir.
Daniel a ressenti de très forte sensation, étaient-elles "réelles" ou "imaginaires"?

Merci Daniel pour ce bon moment de lecture.

Je t'embrasse!
Philou

Bonjour [member=19]Philou0033[/member] et merci pour ton commentaire.

C’est aussi une possibilité d’exclure le fantastique en imaginant une rencontre bien réelle. Keir serait entré par une porte dérobée dans la chambre et Daniel se serait laissé faire. On pourrait imaginer que la soirée avait été très arrosée et que le narrateur était ivre, ce qui aurait émoussé sa capacité à faire un récit objectif de ce qui s’était passé entre Keir et lui.

En fait ce récit était très ouvert et laissait à chaque lecteur le choix de se faire sa propre opinion (rêve, fantastique ou réel).

Je t’embrasse.

Daniel

[lelivredejeremie]

Le seul haggis que j’aie mangé était assez relevé, bizarrement, ça peut expliquer la rigidité de Daniel, et qui sait si son rituel du soir n’est pas le moyen d’invoquer le fantôme, en fait  ¯\_(ツ)_/¯

OK, douleur (avec ici qd mm un peu de plaisir) mais le mec qui disparait après avoir tiré son coup, ça ressemble méchamment à pas mal de premières fois, je me dis…  ¬_¬

[Lange128]

Le seul haggis que j’aie mangé était assez relevé, bizarrement, ça peut expliquer la rigidité de Daniel, et qui sait si son rituel du soir n’est pas le moyen d’invoquer le fantôme, en fait  ¯\_(ツ)_/¯

OK, douleur (avec ici qd mm un peu de plaisir) mais le mec qui disparait après avoir tiré son coup, ça ressemble méchamment à pas mal de premières fois, je me dis…  ¬_¬

Merci [member=168]lelivredejeremie[/member] pour ton commentaire.

Toujours problématiques les premières fois littéraires, elle devraient être l’apothéose du récit, la fin heureuse où les deux protagonistes atteignent enfin le septième ciel. Et l’on préférerait oublier que cela ne se passe pas toujours aussi bien qu’on le souhaiterait. Dans le récit principal j’ai éludé ce problème en ne décrivant pas la première nuit…

Je ne me souviens plus pourquoi j’ai décrit la relation avec le fantôme de cette manière assez brutale dans le deuxième récit. J’aurais aussi pu choisir un fantôme plus prévenant. Il devait disparaître rapidement pour laisser planer le doute dans l’esprit du narrateur (et des lecteurs).

[lelivredejeremie]

Au resto au serveur en kilt, j'ai goûté le haggis, c'est plutôt relevé côté épices, mais il n'y avait que ça de relevé, pas son kilt ! Et mm si je dormais avec mes soeurs, je me suis fait plaiz' tout seul une fois qu'elles étaient endormies, en pensant à lui :o
Pas bizarre que ça ait excité le narrateur au point d'imaginer...

[Lange128]

Au resto au serveur en kilt, j'ai goûté le haggis, c'est plutôt relevé côté épices, mais il n'y avait que ça de relevé, pas son kilt ! Et mm si je dormais avec mes soeurs, je me suis fait plaiz' tout seul une fois qu'elles étaient endormies, en pensant à lui :o
Pas bizarre que ça ait excité le narrateur au point d'imaginer...

Je suis heureux que mon récit te rappelle des souvenirs, cela pourrait être le début d'une autre histoire plus relevée avec un Écossais.