30-08-2024, 05:06 PM
Sonnet
Toi qui semblais voler sur les cimes des âges,
Toi ! Toi dont la beauté fut un piège parfait,
Tel un ange peut-être, au si cruel effet,
Qui m'offris du bonheur les plus pures images !
Les sauras-tu jamais, les moments où les sages
Abandonnent raison, et désir, et regret,
Où l'esprit ne voit plus briller son intérêt
Parce qu'il s'est grisé des plus nobles présages ?
Ô Petit Homme aimé qui ne voulus me voir !
Pense que ton sourire avait l'alme pouvoir
De toucher les éthers comme une pure antienne...
Mais ton divin regard m'aura fait un linceul
Et je sais aujourd'hui, triste, fragile et seul
Combien ta liberté me fit perdre la mienne !
30. VIII. 2024
Toi qui semblais voler sur les cimes des âges,
Toi ! Toi dont la beauté fut un piège parfait,
Tel un ange peut-être, au si cruel effet,
Qui m'offris du bonheur les plus pures images !
Les sauras-tu jamais, les moments où les sages
Abandonnent raison, et désir, et regret,
Où l'esprit ne voit plus briller son intérêt
Parce qu'il s'est grisé des plus nobles présages ?
Ô Petit Homme aimé qui ne voulus me voir !
Pense que ton sourire avait l'alme pouvoir
De toucher les éthers comme une pure antienne...
Mais ton divin regard m'aura fait un linceul
Et je sais aujourd'hui, triste, fragile et seul
Combien ta liberté me fit perdre la mienne !
30. VIII. 2024
Amitiés de Louklouk !