26-06-2021, 10:16 PM
Sixième lama,
''Région de xxx. Suite au décès de mon grand-père, donne Lamas, contre bons soins. Me contacter en MP''
C'est la petite annonce que j'avais vu sur Facebook qui m’avait interpellé. Longtemps j'avais hésité à prendre un chien ou un chat mais ce n'était pas vraiment ce à quoi j’aspirai et ma vie ces dernières années avait été un peu chaotique. Depuis peu, je voulais un animal de compagnie sortant de l’ordinaire.
Mais une petite présentation s’impose : je suis Camille, un garçon de vingt-deux ans et je vis dans ce qui fut autrefois une jolie propriété bourgeoise, belle maison et ses dépendances, entourée d'un grand parc et d'un haut mur qui en fait le tour.
C'est d’ailleurs tout ce qu’il reste de la fortune familiale. mon père, après avoir tout perdu au jeu, s'était pendu, voilà six mois. Une chance, il n’avait jamais eu aucun pouvoir sur la propriété, ni sur la petite rente que ma mère m'avait légué trois ans plus tôt, ayant été emportée par la maladie bien trop jeune.
J’occupe depuis la maisonnette du gardien à l'entrée de la propriété. J'ai dû louer la maison pour payer les impôts et différents arriérés – merci papa. Ça me laisse quand même une bonne marge et ça me permet de vivre sans rien faire.
Enfin, rien faire c'est vite dit. Je dois entretenir l’ensemble sinon ça coute un bras ! Mais le jardinage, ça, ça me saoule grave.
Du coup quand j'ai vu cette annonce ça a tilté dans ma tête. Le lama allait être mon animal et tondre pour moi !
J'ai donc envoyé un MP à l'auteur de l'annonce qui m'a rapidement répondu. Il était ok pour m'en donner un mais, avant son oui définitif, il voulait voir où celui-ci allait vivre. Je lui laissais mon tel et sortais voir s’il y avait du courrier, l’heure du facteur étant passée. Mon téléphone sonna, avant que je sois arrivé à la boite.
Une voix grave et rauque se fit entendre :
– Bonjour, je m'appelle Thomas, tu viens de m'envoyer ton tel pour le lama. C’est pour prendre un rendez-vous.
– Ah, salut Thomas, moi c'est Camille. Bin écoute, tu veux passer quand pour voir et donner ton accord ?
– Aujourd’hui, en début d'après-midi… ça t’irait pour quatorze heures ?
– Oui pas de souci. Je t'envoie l'adresse par SMS.
Il était déjà onze heures. S’il fait propre chez moi, j'avoue être assez bohème et le savoir. Donc, je rentrait à la maison fissa et ma pensée fut « Oups, je suis carrément bordélique en fait ! » Je rangeai à la vas vite et superficiellement, ma maisonnette. J’avalai un bout sur le pouce puis allais prendre une douche rapide et mettre un training propre. Je finissais juste quand mon tel se mit à sonner. Thomas, il était à la grille.
Je regardai par la fenêtre et je vis un mec assez balèze sur une grosse cylindrée. Enfin, j’ai vu la silhouette du gars. Parce qu'un casque intégral cachait ses traits et un solide blouson en cuir emballait son buste. Je lui ouvris le portail. Il avança et se gara devant la porte de la maison. Il me tournait le dos. Il descendit de son gros cube et le mit sur la béquille. Son jean moulait son cul à la perfection et quand il se retourna mes yeux se posèrent sur un paquet qui avait l'air bien garni. On devinait aisément qu'il portait à gauche et ses couilles y étaient bien moulées, comme s'il n'avait pas de sous-vêtement.
Il quitta son casque et là, le choc ! Je m'attendais à un mec plutôt proche du quadra… ce n’en fut pas le cas. Plutôt proche de ma tranche d’âge et avec une gueule… fort sympa, mélange de virilité et de douceur. Et un sourire, je ne vous en parle même pas. Il quitta ses gants qu'il mit dans son casque et posa le tout sur la selle de la moto. Il s'approcha de moi tout sourire.
– Salut Camille, enchanté de te connaître. Tu as l’air étonné !
– Heu ! Salut Thomas, à la voix je m'attendais à un mec plus vieux.
– Je fais plus jeune que mes trente-cinq ans ? Non, je déconne ! Malgré mon timbre de baryton, je n'ai que vingt-trois ans. Bon, voyons directement pourquoi je suis venu. Tu vas le mettre où le lama ?
– Ici, dans le parc. Il ne risque pas de s'échapper le mur fait le tour de la propriété. Et, là, cette cabane en bois, ça sera sa maison.
– On peut faire le tour ?
– Tu veux pas boire un café avant ?
– Non, fais-moi visiter, on le boira au retour.
On fit la tournée et à première vue Thomas semblait satisfait. Il accepta ma proposition de boire un café. Je le fis entrer et il s'installa d'office sur le divan pendant que je préparais le chaud breuvage. En ce début d'automne, il faisait humide et le poêle tournait à fond, diffusant une agréable chaleur. Thomas quitta son blouson et dessous, il ne portait qu'un tee-shirt blanc. Il avait des pecs de ouf sans parler de ses bras et de sa silhouette en V plus que majuscule. Il s'appuya au dossier et écarta les jambes pour être plus à l'aise je pense.
J'apportais les cafés et je m'assis dans le fauteuil en face de lui. Demandant ce qu’il prenait.
– Rien, merci ! Noir et je ne sucre pas.
– Comme moi, facile à retenir.
– Tu fais quoi dans la vie, Camille ?
Je lui résumais en quelques mots ma situation et lui me parla de la sienne. Il était étudiant et avait encore deux ans à faire pour terminer ses études. Il vivait à une dizaine de kilomètres d'ici. La mort de son grand-père l'avait fortement éprouvé et la séparation avec les lamas était son dernier crève-cœur. C'étaient une lubie de son grand-père et lui aussi, s’y était attaché mais comme il ne pouvait pas s'en occuper, il s'était décidé à les donner. Et dans la foulée, il me dit que j'étais l'un des heureux élus.
Continuant la causette, il s'étira et posa ses bras loin derrière lui. D'un côté il y avait un tas de cousins et sa main glissa au milieu d’eux... et remonta en tenant un trophée ! « Merde, putain c'est pas vrai mais quel con je suis. Je l’ai oublié, celui-là ! » Et justement, Thomas l'avait trouvé. Il le tenait en main et souriait. Moi, j’avais surement pris des couleurs !
– C'est ta copine qui l'a oublié ?
– Non, c'est le mien.
– Tu es un adepte du pegging ou tu es gay ?
– Tu connais ce mot toi ? C'est assez étrange pour un hétéro.
– Ah bon ! Pourquoi ça ? Et qui te dis que je suis hétéro ?
– Je ne sais pas, une impression, ta gueule virile, la moto, ton look cuir, ton jean, ta façon de te comporter et de parler.
Il éclata de rire avant de me répondre.
– Si je faisais comme toi ; à ton look, je dirais que tu es hétéro et vu l’instrument que je tien, un amateur des plaisirs prostatiques. Mais est-ce bien le cas Camille ?
– Pas vraiment non. J'ai eu mon époque hétéro et pour être franc, ça n'a pas été une réussite. Puis j'ai eu une courte période bi/libertin qui elle non plus, n'a pas été inoubliable, sauf qu’avec un couple ça m’a permis de comprendre que baiser avec un mec me stimulait plus que de baiser avec une meuf. Du coup, j'ai essayé juste avec le mec et là ça a été le pied total. On a remis ça plusieurs fois et dans tous les sens, j'ai trop kiffé.
– C'est ton copain maintenant ?
– Non, c'était pendant les vacances. Il m'a fait cadeau de son jouet pour continuer à m’entraîner, il voulait s’en racheter un plus grand. Et j'avoue que j'aime bien ça même si ça ne vaut pas une bonne queue.
D’en parler, ça m'avait collé la trique et ça ne passait pas inaperçu sous mon jogging que je portais, comme toujours, cul nu. Bon, il n'était pas parti en courant, ne m'avait pas traité de PD et ne semblait pas vouloir m’assommer. C'était déjà ça. Tomas se leva et s'approcha de moi, l’œil brillant. Lui aussi devait avoir eu un coup de chaud, parce que sous son jean, sa queue formait une grosse barre le long de sa hanche.
Quand il fut près de moi, je posais ma main sur son barreau et je commençais à le caresser à travers son pantalon. Il grossit encore un peu et une tâche de mouille commença à percer. Je défis son ceinturon et fis sauter un à un les boutons de son 501. il ne portait rien dessous comme je l'avais pressenti. Sa queue m'apparut dans toute sa splendeur et je ne pus que la gober pour lui rendre hommage.
Thomas me laissa faire un instant en me caressant les cheveux. Puis il se retira, me fit lever et on alla s'installer sur le canapé. Il en profita pour nous mettre torse nu. Je repris ma fellation pendant qu'il me caressait le dos d'une main et de l'autre il flattai mon sexe en le masturbant au travers de mon jogging.
Il me stoppa à nouveau et nous fit quitter le reste de nos vêtements. Ce fut lui qui vint me sucé…un expert. Mais j'avais trop envie de sa queue aussi. On se fit jouir en 69 et avec une bonne grosse pelle, on partagea nos spermes. On se câlina un peu, le temps de récupérer nos souffles. Finalement, il me dit :
– On s'habille et on y va ?
– Hein ! Où ça ?
– Mais récupérer ton lama, bien sûr. Tu dois le choisit !
– Oh merde, j'étais trop bien dans tes bras. Ça faisait une paye que je n'avais plus touché à un mec, du coup je l’ai un peu zappé. (puis j’espérais remettre le couvert, après cet amuse-gueule)
On s'habilla et je le suivis en voiture. Il me fit entrer chez lui et d’autres personnes vinrent nous rejoindre presque aussitôt, venus d’une ferme pédagogique tout à côté, ils avaient eu la primeur mais ne pouvaient tous les prendre. Quand on alla voir les lamas une chose bizarre se produisit. L’un d'eux se détacha du groupe et se dirigea droit sur moi, comme s'il m’avait choisi. La photo que vous voyez là c'est la première que j'ai faite de lui. Au loin on voit les voisins qui partent avec les leurs.
– Si tu veux, il y a une remorque avec laquelle mon grand-père les trimballait. Je peux prendre son fourgon et y atteler la bétaillère comme ça je te l'emmène jusque chez toi.
– Ça serait cool et moins traumatisant pour lui que de le charger dans le coffre de ma voiture ou moi de faire le trajet retour à pied.
– Ok, donne-moi cinq minutes, le temps de prendre un truc et je reviens.
Il disparut en courant vers l’habitation et en revint avec un sac à dos. On attela la remorque et mon lama - qui s'appelait Louis - y grimpa sans difficulté. On le lâcha dans le parc de la propriété et il partit en exploration. On le regarda faire un moment puis je proposai de se mettre au chaud.
Thomas prit son sac à dos dans son véhicule et on rentra. Il s'installa sur le canapé et me fit signe de venir m'asseoir à côté de lui. Il l'ouvrit et commença à sortir ce qu'il contenait.
Je n'étais pas le seul à aimer les jeux de godes. On les essaya tous, chacun à son tour mais on tomba d'accord sur un truc. Rien ne vaut un partenaire bien vivant, avant, pendant et surtout après pour les câlins !
***
Louis, le lama, et moi on se porte très bien, après plus de trois mois de cohabitation. Lui, surtout depuis que des compagnes sont venues le rejoindre. Et moi, car Thomas passe – trèèèès -souvent prendre de leurs nouvelles et reste de plus en plus pour la nuit. Y'a pas à dire, rien ne vaut une bonne grosse queue pour rester en forme ...
Et pratiquer le lama-soutra en ‘namoureux’ !
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