16-04-2021, 07:24 PM
Roxana, agacée par cette tempête d’injures et frustrée d’être traitée comme un faire-valoir, s’apprête à répliquer quand les mâles survoltés se lancent dans la dépravation effrénée des lycéennes. Douze queues se frottent contre leurs croupes. Vingt-trois mains calleuses aux ongles crasseux palpent leurs seins, leurs chattes, leurs culs et leurs cuisses. Leurs peaux frémissent, égratignées par la pointe aiguisée du crochet d’Igor. Leurs tétons durcis sont pincés, léchés, aspirés, mordillés et tordus. Leurs chattes sont tripotées, leurs clitoris triturés et leurs vagins doigtés. Les narines des adolescentes embaumées d’un parfum fruité sont agressées par les haleines fétides et les émanations pestilentielles se dégageant de ces ivrognes répugnants. Roxana et Cassandra s'embrasent pourtant comme jamais auparavant. Leurs corps frissonnent, leurs cœurs palpitent, leurs lèvres tremblent et leurs respirations sont saccadées. Elles soupirent et gémissent sous les viriles caresses. Leurs langues se hasardent dans des bouches édentées et sur des chicots jaunis et pourris, enlacent les rugueuses langues mâles et le tronçon de langue de Vlad. Leurs mains astiquent les chibres et tâtent les bourses remplies. Leurs langues titillent, et leurs dents d’une blancheur immaculée mordillent, les tétons des mâles. Cassandra effleure du bout de ses ongles la peau craquelée de Dragan et s’accapare sa queue, ultime vestige de chair qui y subsiste. Cassandra agrippe la chevelure grasse du manchot Igor, puis la queue de cheval du borgne Lothar, et embrasse voracement ces deux mutilés.
Roxana, son gros cul malaxé et ses mamelles pétries, empoigne l’épaisse tignasse d’Attila et les dreadlocks de Mohamed, mordille leurs lèvres et les embrasse goulûment. Heinrich, dont le dernier coït remonte à une époque où les adolescentes n’étaient même pas nées. dévore si gloutonnement sa moite forêt noire que sa barbe est luisante de mouille. Igor insère la pointe de son crochet dans son anus. Elle darde sur lui un regard foudroyant mais ce dégénéré, une expression démente sur son visage, ordonne d’une voix gutturale marquée d’un fort accent slave.
« À genoux, salope ! »
Roxana et Cassandra, agenouillées pour le blowbang, sont cernées par douze queues bandées aux couilles remplies de jus. Les fantasmes obnubilant ces lesbiennes se matérialisent et, affamées de grosses queues, elles se jettent sur le festin composé de saucisses juteuses. Leurs langues lèchent les glands et leurs bouches pompent les queues pendant que leurs mains les branlent. Roxana ébahit les mâles quand leurs dards traversent sa langue bifide dont les deux portions fendues enlacent les glands. Le minois de Cassandra est couvert par cinq glands posés dessus simultanément, puis la titanesque queue d’Igor masque tout son visage. Roxana taille une pipe, chacune de ses paupières aveuglée par un gland posé dessus, puis elle lustre avec ses épais biceps les queues couronnant son crâne lisse.
Les orgueilleuses adolescentes rivent leurs regards sur les mâles qui, s’estimant défiés, raclent leurs gorges et crachent d’immondes mollards sur leurs frimousses. Les mâles distribuent aux lycéennes des volées de gifles et de bifles et déforment leurs joues avec leurs glands turgescents. Les lycéennes prennent en étau les queues entre leurs seins et prodiguent de sensationnelles branlettes espagnoles, léchant à l’occasion les glands. Certaines tiges sont portées disparues entre les imposants melons de Roxana. Les mâles baisent leurs aisselles, leurs bites effectuant des va-et-vient entre leurs bras et leurs bustes. Ces jeunes salopes transies crachent sur les glands qu’elles tètent, massent les bourses poilues et s’empiffrent de queues humectées dans ce gargantuesque buffet à volonté. Les mâles pelotent leurs poitrines, claquent leurs culs et doigtent leurs chattes trempées. La facétieuse Cassandra joue avec la caméra de Bianka et, sa bouche pleine, lui adresse un clin d’oeil taquin puis lève ses deux pouces en signe de satisfaction. Roxana et Cassandra, duo fusionnel, agissent en symbiose, leurs poitrines collées l’une contre l’autre, les queues coulissant entre leurs lèvres collées. Elles honorent les mâles à tour de rôle, la lèche-couilles Cassandra gobant leurs bourses et la bouche à pipe Roxana pompant leurs queues.
Cassandra et Roxana démontrent leur extraordinaire maîtrise de la gorge profonde. Elles absorbent les tiges de chair parcourues de secousses de plaisir et aplatissent leurs nez contre les bas-ventres et les toisons écoeurantes des mâles. Cassandra les fascine quand le bout de sa langue s’insinue hors de sa bouche pleine pour continuer à lécher leurs couilles et quand elle avale en même temps la queue et les bourses de Jürgen. Cramponnée à leurs fesses, elle achève de les ensorceler en ingurgitant à la suite les trois colossales matraques d’Attila, de Mohamed et d’Igor. Elle masse fièrement sa gorge qui se gonfle lors de ces intrusions massives et réitérées, et semble sur le point d’être transpercée.
Roxana peine en revanche à l’imiter et échoue sur le mastodonte d’Igor. Cassandra, son visage déformé par une expression rageuse et ses muscles fuselés bandés, embroche sans pitié la tête de son amie et fulmine.
« Bouffe sa bite, connasse ! »
Igor enserre la nuque de Roxana avec son crochet et accentue encore la pression jusqu’à ce que sa queue soit entièrement engloutie. Cassandra tapote le crâne tondu de son amie et glousse avant de relâcher son étreinte alors que Roxana est au bord de l’évanouissement. Alors que la jeune métisse aspire de grandes goulées d’air, l’espiègle Cassandra mordille le lobe de son oreille puis lui susurre.
« T’es une bonne salope, Roxy. »
La pin-up Cassandra plaque d’une main la tête tondue de Roxana contre sa poitrine, se trémousse et glisse sa main dans ses cheveux ondoyants alors que son amie, déjà réconciliée avec elle, lèche avidement ses gros seins.
Roxana, son gros cul malaxé et ses mamelles pétries, empoigne l’épaisse tignasse d’Attila et les dreadlocks de Mohamed, mordille leurs lèvres et les embrasse goulûment. Heinrich, dont le dernier coït remonte à une époque où les adolescentes n’étaient même pas nées. dévore si gloutonnement sa moite forêt noire que sa barbe est luisante de mouille. Igor insère la pointe de son crochet dans son anus. Elle darde sur lui un regard foudroyant mais ce dégénéré, une expression démente sur son visage, ordonne d’une voix gutturale marquée d’un fort accent slave.
« À genoux, salope ! »
Roxana et Cassandra, agenouillées pour le blowbang, sont cernées par douze queues bandées aux couilles remplies de jus. Les fantasmes obnubilant ces lesbiennes se matérialisent et, affamées de grosses queues, elles se jettent sur le festin composé de saucisses juteuses. Leurs langues lèchent les glands et leurs bouches pompent les queues pendant que leurs mains les branlent. Roxana ébahit les mâles quand leurs dards traversent sa langue bifide dont les deux portions fendues enlacent les glands. Le minois de Cassandra est couvert par cinq glands posés dessus simultanément, puis la titanesque queue d’Igor masque tout son visage. Roxana taille une pipe, chacune de ses paupières aveuglée par un gland posé dessus, puis elle lustre avec ses épais biceps les queues couronnant son crâne lisse.
Les orgueilleuses adolescentes rivent leurs regards sur les mâles qui, s’estimant défiés, raclent leurs gorges et crachent d’immondes mollards sur leurs frimousses. Les mâles distribuent aux lycéennes des volées de gifles et de bifles et déforment leurs joues avec leurs glands turgescents. Les lycéennes prennent en étau les queues entre leurs seins et prodiguent de sensationnelles branlettes espagnoles, léchant à l’occasion les glands. Certaines tiges sont portées disparues entre les imposants melons de Roxana. Les mâles baisent leurs aisselles, leurs bites effectuant des va-et-vient entre leurs bras et leurs bustes. Ces jeunes salopes transies crachent sur les glands qu’elles tètent, massent les bourses poilues et s’empiffrent de queues humectées dans ce gargantuesque buffet à volonté. Les mâles pelotent leurs poitrines, claquent leurs culs et doigtent leurs chattes trempées. La facétieuse Cassandra joue avec la caméra de Bianka et, sa bouche pleine, lui adresse un clin d’oeil taquin puis lève ses deux pouces en signe de satisfaction. Roxana et Cassandra, duo fusionnel, agissent en symbiose, leurs poitrines collées l’une contre l’autre, les queues coulissant entre leurs lèvres collées. Elles honorent les mâles à tour de rôle, la lèche-couilles Cassandra gobant leurs bourses et la bouche à pipe Roxana pompant leurs queues.
Cassandra et Roxana démontrent leur extraordinaire maîtrise de la gorge profonde. Elles absorbent les tiges de chair parcourues de secousses de plaisir et aplatissent leurs nez contre les bas-ventres et les toisons écoeurantes des mâles. Cassandra les fascine quand le bout de sa langue s’insinue hors de sa bouche pleine pour continuer à lécher leurs couilles et quand elle avale en même temps la queue et les bourses de Jürgen. Cramponnée à leurs fesses, elle achève de les ensorceler en ingurgitant à la suite les trois colossales matraques d’Attila, de Mohamed et d’Igor. Elle masse fièrement sa gorge qui se gonfle lors de ces intrusions massives et réitérées, et semble sur le point d’être transpercée.
Roxana peine en revanche à l’imiter et échoue sur le mastodonte d’Igor. Cassandra, son visage déformé par une expression rageuse et ses muscles fuselés bandés, embroche sans pitié la tête de son amie et fulmine.
« Bouffe sa bite, connasse ! »
Igor enserre la nuque de Roxana avec son crochet et accentue encore la pression jusqu’à ce que sa queue soit entièrement engloutie. Cassandra tapote le crâne tondu de son amie et glousse avant de relâcher son étreinte alors que Roxana est au bord de l’évanouissement. Alors que la jeune métisse aspire de grandes goulées d’air, l’espiègle Cassandra mordille le lobe de son oreille puis lui susurre.
« T’es une bonne salope, Roxy. »
La pin-up Cassandra plaque d’une main la tête tondue de Roxana contre sa poitrine, se trémousse et glisse sa main dans ses cheveux ondoyants alors que son amie, déjà réconciliée avec elle, lèche avidement ses gros seins.