15-03-2021, 06:06 AM
Première plantation,
— Tu veux voir mon bonsaï ?
— Ton bonsaï ?
— Oui, tu ne sais pas ce que c’est ?
— Un arbre miniaturisé, il me semble.
— Je l’ai reçu hier pour mon anniversaire. C’est fascinant de le contempler.
Je fus très étonné de la demande de Kagamiko, un Japonais qui étudiait dans le même lycée que moi, mais pas dans la même classe. Il lisait souvent des mangas pendant les pauses ; étant moi-même fan, je l’avais abordé et nous en avions parlé. Les siens étaient dans la langue originale et il ne pouvait pas me les prêter. Le dernier qu’il m’avait montré était un yaoi et les images étaient assez explicites sans comprendre le texte.
— Tu veux dire que tu m’invites chez toi ?
— Tout juste, tu as deviné. Cet après-midi, à 14 heures, ça te va ?
— Je devais réviser pour mon bac, je le ferai un autre jour.
Kagamiko m’indiqua son adresse, c’était une maison dans la banlieue chic, près d’un arrêt de tram. J’arrivai à l’heure, je sonnai, Kagamiko m’ouvrit, il avait mis un kimono noir en soie, avec un dragon rouge brodé sur la poitrine. Il me dit qu’il était seul et que je devais enlever mes chaussures. La maison était meublée dans le style japonais, j’étais gêné, il me manquait mes repères habituels. Je suivis Kagamiko qui me mena directement à la salle de bain. La baignoire en bois se trouvait sur une estrade, entourée de grosses pierres. Quelques plantes vertes l’entouraient. Elle était déjà remplie d’eau fumante.
— Nous allons prendre un bain, c’est la tradition chez nous pour recevoir les invités.
— Euh… Tu aurais dû me dire de prendre un slip de bain.
— Tu ne te baignes pas à poil chez toi ? On se lave avant, le bain c’est juste pour la détente.
Kagamiko me montra des sièges bas face à des robinets. Il n’y avait pas de bassin, l’eau coulait directement sur le sol. Le Japonais enleva son kimono, il avait mis un fundoshi blanc dessous, sous-vêtement japonais qu’il ôta aussi. Je regardai sa bite, plus petite que la mienne, entourée d’une belle toison noire. Il s’assit sur un siège et commença à se laver. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, j’étais encore vierge à cette époque et c’était la première fois que je me trouvais seul avec un autre homme. Je me déshabillai machinalement et m’assis à côté de Kagamiko qui savonnait sa teub bandée. Je l’imitai et ne tardai pas à bander, moi aussi.
— Tu vois, me dit Kagamiko en passant sa main dans la raie de ses fesses, ce n’est pas une affaire de se laver nu. On le fait tous les matins dans ma famille.
— Tu bandes aussi tous les matins ?
— Ça m’arrive. Si je suis avec mon frère, on en profite pour se branler.
— Tu… tu aimerais qu’on le fasse ensemble ? balbutiai-je.
— Je préférerais te dépuceler sur le futon de ma chambre, si tu es d’accord.
Je restai sans voix, je suivis Kagamiko dans la baignoire, l’eau était très chaude. Ce qui se passa ensuite fut comme un rêve. Il m’avait préparé un kimono noir assorti au sien et un fundoshi. Il m’aida à le mettre, ce qui me fit bander à nouveau. Il me conduisit dans sa chambre où nous fîmes l’amour. Il fut très doux, m’avoua que j’étais son premier amant.
Je quittai Kagamiko en fin d’après-midi. En montant dans le tram, je réalisai qu’il avait oublié de me montrer son bonsaï.
— Tu veux voir mon bonsaï ?
— Ton bonsaï ?
— Oui, tu ne sais pas ce que c’est ?
— Un arbre miniaturisé, il me semble.
— Je l’ai reçu hier pour mon anniversaire. C’est fascinant de le contempler.
Je fus très étonné de la demande de Kagamiko, un Japonais qui étudiait dans le même lycée que moi, mais pas dans la même classe. Il lisait souvent des mangas pendant les pauses ; étant moi-même fan, je l’avais abordé et nous en avions parlé. Les siens étaient dans la langue originale et il ne pouvait pas me les prêter. Le dernier qu’il m’avait montré était un yaoi et les images étaient assez explicites sans comprendre le texte.
— Tu veux dire que tu m’invites chez toi ?
— Tout juste, tu as deviné. Cet après-midi, à 14 heures, ça te va ?
— Je devais réviser pour mon bac, je le ferai un autre jour.
Kagamiko m’indiqua son adresse, c’était une maison dans la banlieue chic, près d’un arrêt de tram. J’arrivai à l’heure, je sonnai, Kagamiko m’ouvrit, il avait mis un kimono noir en soie, avec un dragon rouge brodé sur la poitrine. Il me dit qu’il était seul et que je devais enlever mes chaussures. La maison était meublée dans le style japonais, j’étais gêné, il me manquait mes repères habituels. Je suivis Kagamiko qui me mena directement à la salle de bain. La baignoire en bois se trouvait sur une estrade, entourée de grosses pierres. Quelques plantes vertes l’entouraient. Elle était déjà remplie d’eau fumante.
— Nous allons prendre un bain, c’est la tradition chez nous pour recevoir les invités.
— Euh… Tu aurais dû me dire de prendre un slip de bain.
— Tu ne te baignes pas à poil chez toi ? On se lave avant, le bain c’est juste pour la détente.
Kagamiko me montra des sièges bas face à des robinets. Il n’y avait pas de bassin, l’eau coulait directement sur le sol. Le Japonais enleva son kimono, il avait mis un fundoshi blanc dessous, sous-vêtement japonais qu’il ôta aussi. Je regardai sa bite, plus petite que la mienne, entourée d’une belle toison noire. Il s’assit sur un siège et commença à se laver. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, j’étais encore vierge à cette époque et c’était la première fois que je me trouvais seul avec un autre homme. Je me déshabillai machinalement et m’assis à côté de Kagamiko qui savonnait sa teub bandée. Je l’imitai et ne tardai pas à bander, moi aussi.
— Tu vois, me dit Kagamiko en passant sa main dans la raie de ses fesses, ce n’est pas une affaire de se laver nu. On le fait tous les matins dans ma famille.
— Tu bandes aussi tous les matins ?
— Ça m’arrive. Si je suis avec mon frère, on en profite pour se branler.
— Tu… tu aimerais qu’on le fasse ensemble ? balbutiai-je.
— Je préférerais te dépuceler sur le futon de ma chambre, si tu es d’accord.
Je restai sans voix, je suivis Kagamiko dans la baignoire, l’eau était très chaude. Ce qui se passa ensuite fut comme un rêve. Il m’avait préparé un kimono noir assorti au sien et un fundoshi. Il m’aida à le mettre, ce qui me fit bander à nouveau. Il me conduisit dans sa chambre où nous fîmes l’amour. Il fut très doux, m’avoua que j’étais son premier amant.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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