26-12-2020, 07:46 PM
- Donne tout ce que t'as Cyril s'il te plait...
À ces mots, je m'engouffre entre ses jambes. Mon sexe rentre dans son vagin mais j'ai l'impression d'être plus à l'étroit.
- Oh Cyril ! Elle est plus grosse que la dernière fois !
Une fois complètement à l'intérieur d'elle, je me penche en avant, je pose une main de chaque côté du bureau pour me stabiliser et je commence des mouvements de bassin d'avant en arrière. Tout de suite, la sensation de chaleur et de plaisir caractéristique commence à irradier depuis mon sexe jusque à tous les membres de mon corps. À chaque coup de reins, je frissonne. J'imprime à mes mouvement un rythme lent et aussi régulier que possible pour profiter de chaque aller-retour dans l'intimité de ma cousine.
- Mhhhh continue...
Claire m'encourage par de petits gémissements. Parfois, elle me demande d'accélérer mais j'essaye de rester au même rythme pour ne pas perdre le contrôle. Je soulève une de ses jambes que je place en équilibre sur mon épaule ce qui a pour effet de changer légèrement l'angle de la pénétration pour le plus grand plaisir de Claire.
- Comme ça... T'arrête surtout pas !
Claire est toute rouge. Elle a vraiment l'air de prendre son pied. Ses seins ballottent de haut en bas au rythme de mes mouvement et m'excitent terriblement. D'une main, elle commence à caresser son clitoris en même temps que je la pénètre ce qui a l'air de lui faire encore plus de bien. Elle fronce les sourcils et se mordille les lèvres sous l'effet du plaisir tout en soupirant. Tout son corps est moite et brillant de transpiration, ses tétons pointent tellement fort qu'on dirait qu'ils vont exploser.
- Baise moi ! Baise moi !
Claire se rend compte qu'elle a crié beaucoup trop fort. Elle rougit encore un peu plus et elle pose sa main sur sa bouche comme pour étouffer les sons qui pourraient en sortir. Je fais descendre sa jambe de mon épaule puis j'empoigne ses deux seins, un dans chaque main. Je les malaxe fort. Ma voix, plus grave que d'habitude, et la sienne, plus aiguë, se mélangent tandis que que nous crions ensemble notre plaisir.
- Ahhhhh !
Les seins de Claire deviennent rouges sous mes doigts. J'ai peur de lui faire mal mais au contraire, elle en redemande. Je m'applique particulièrement dans mes mouvements. A chaque coup de rein, mon sexe sort presque entièrement du vagin de Claire pour le pénétrer à nouveau d'un seul coup, le plus profondément et le plus intensément possible. J'ai du mal à tenir debout mais je donne tout ce que j'ai pour Claire. Je la regarde droit dans les yeux mais elle ne me regarde pas. Elle a les yeux fermés comme pour profiter au maximum de l'instant. Quand soudain, elle est prise de violents tremblements. Tout son corps tremble des pieds à la tête pendant de longues secondes, ses grands yeux bleus-verts s'ouvrent d'un seul coup et fixent le vide. Tout son dos se cambre et sa tête part en arrière. Elle ouvre la bouche :
- Je jouis Cyril, au mon Dieu je jouis !!
Puis elle retombe sur le bureau comme une poupée, complètement vidée de son énergie par l'intensité de l'orgasme. Mon sexe rentre en elle et ressort deux ou trois fois jusqu'à ce qu'à mon tour, je laisse échapper un cri de plaisir et, retirant mon penis à la dernière seconde, je jouis sur le ventre de Claire comme je n'avais encore jamais joui. Cinq ou six rafales de spermes se déversent sur le ventre de ma cousine. À chacun d'elle, une onde de plaisir tellement intense me traverse que j'ai l'impression que je vais tomber. Nous restons comme ça plusieurs secondes sans rien dire, à reprendre notre souffle. Nos respirations sont sifflantes, la poitrine de Claire se soulève au rythme de ses inspirations.
- C'est malin, on a rien pour essuyer maintenant... murmure Claire avec un sourire malicieux.
Je regarde mon sperme sur son ventre. J'ai vraiment joui énormément... Sans lui répondre, je commence à étaler ma semence sur le corps de ma cousine avec mes mains. Sur son ventre et sur ses jolis seins que j'enduis de partout. Tout le buste de Claire est brillant. Quand j'ai fini, je m'allonge doucement sur elle, profitant du contact de ses tétons sur mon torse et je l'embrasse fougueusement...Claire et moi nous nous embrassons longuement. Quand je me relève enfin, mon sexe pend mollement entre mes jambes. Ma cousine est toujours allongée sur le bureau, sa poitrine s'étale sur son buste, son souffle ne s'est toujours pas calmé. Elle est incroyablement belle. J'ai envie d'elle, j'aimerais le prendre à nouveau, la faire jouir comme tout à l'heure mais j'ai déjà tout donné et je n'ai même plus la force de bander... Je me remémore avec délice ses cris de plaisir. Pour la première fois, nous avons vraiment joui à deux. Pour la première fois, j'ai réussi à lui donner autant de plaisir qu'elle m'en avait donné les autres fois ! Et je suis assez fier de moi. Je tend la main à Claire pour l'aider à se relever. Elle est toute frissonnante, comme si elle avait encore du mal à se remettre de son orgasme. Je la prends dans mes bras pour la soutenir. Nos corps nus se soudent, ses seins viennent s'écraser contre mon torse et elle enfouit sa tête dans mes cheveux. Quand elle reprend ses esprits, elle me sourit et dit : "Rentrons".
Nous nous rhabillons en silence mais je dévore ma cousine des yeux. Je ne me lasse pas du spectacle de son corps nu. Au moment où elle se penche pour ramasser ses vêtement qui gisent sur les sol, ses deux seins balancent dans le vide. J'ai comme un début d'érection et je comprends que je suis presque prête à repartir pour un tour. Mais pour l'heure, nous devons quitter le lycée et le plus discrètement possible. Une fois nos vêtement enfilés, nous sortons de la salle de classe sans prendre la peine de nettoyer les traces de nos ébats qui demeurent ici et là. Claire referme la porte à clef et je la suis dans l'escalier. Nous sortons enfin du bâtiment sans avoir croiser personne. Il est un peu moins de 18 heures et la fête doit toujours battre son plein la haut. Respirer l'air frais du dehors me fait le plus grand bien et me calme un peu. Nous marchons vers l'arrêt de bus Claire et moi sans dire un mot. J'ai pourtant très envie de lui demander ce qu'elle a pensé de notre petite session. Nous n'avons pas à attendre le bus très longtemps. Il n'est pas très plein et nous prenons deux places assises, au fond, un peu à l'écart. Nous avons bien besoin d'une douche... Le trajet me parait durer une éternité. Quand finalement nous atteignons notre point d'arrivée, nous descendons et marchons jusqu'à la maison.
Une fois arrivés, nous adressons quelques mots à nos parents respectifs qui discutent dans le salon. Puis nous montons à l'étage. Je me sens parfaitement détendu. Après cette expédition risquée en terre inconnue et toutes ces péripéties, ça me fait un bien fou de retrouver ce couloir que je connais bien. J'ai l'impression d'y être chez moi, comme en sécurité. Claire m'invite à la suivre dans sa chambre. Dès qu'elle a fermé la porte, comme si elle se sentait soulagée elle aussi, elle soupire et se met à parler.
À ces mots, je m'engouffre entre ses jambes. Mon sexe rentre dans son vagin mais j'ai l'impression d'être plus à l'étroit.
- Oh Cyril ! Elle est plus grosse que la dernière fois !
Une fois complètement à l'intérieur d'elle, je me penche en avant, je pose une main de chaque côté du bureau pour me stabiliser et je commence des mouvements de bassin d'avant en arrière. Tout de suite, la sensation de chaleur et de plaisir caractéristique commence à irradier depuis mon sexe jusque à tous les membres de mon corps. À chaque coup de reins, je frissonne. J'imprime à mes mouvement un rythme lent et aussi régulier que possible pour profiter de chaque aller-retour dans l'intimité de ma cousine.
- Mhhhh continue...
Claire m'encourage par de petits gémissements. Parfois, elle me demande d'accélérer mais j'essaye de rester au même rythme pour ne pas perdre le contrôle. Je soulève une de ses jambes que je place en équilibre sur mon épaule ce qui a pour effet de changer légèrement l'angle de la pénétration pour le plus grand plaisir de Claire.
- Comme ça... T'arrête surtout pas !
Claire est toute rouge. Elle a vraiment l'air de prendre son pied. Ses seins ballottent de haut en bas au rythme de mes mouvement et m'excitent terriblement. D'une main, elle commence à caresser son clitoris en même temps que je la pénètre ce qui a l'air de lui faire encore plus de bien. Elle fronce les sourcils et se mordille les lèvres sous l'effet du plaisir tout en soupirant. Tout son corps est moite et brillant de transpiration, ses tétons pointent tellement fort qu'on dirait qu'ils vont exploser.
- Baise moi ! Baise moi !
Claire se rend compte qu'elle a crié beaucoup trop fort. Elle rougit encore un peu plus et elle pose sa main sur sa bouche comme pour étouffer les sons qui pourraient en sortir. Je fais descendre sa jambe de mon épaule puis j'empoigne ses deux seins, un dans chaque main. Je les malaxe fort. Ma voix, plus grave que d'habitude, et la sienne, plus aiguë, se mélangent tandis que que nous crions ensemble notre plaisir.
- Ahhhhh !
Les seins de Claire deviennent rouges sous mes doigts. J'ai peur de lui faire mal mais au contraire, elle en redemande. Je m'applique particulièrement dans mes mouvements. A chaque coup de rein, mon sexe sort presque entièrement du vagin de Claire pour le pénétrer à nouveau d'un seul coup, le plus profondément et le plus intensément possible. J'ai du mal à tenir debout mais je donne tout ce que j'ai pour Claire. Je la regarde droit dans les yeux mais elle ne me regarde pas. Elle a les yeux fermés comme pour profiter au maximum de l'instant. Quand soudain, elle est prise de violents tremblements. Tout son corps tremble des pieds à la tête pendant de longues secondes, ses grands yeux bleus-verts s'ouvrent d'un seul coup et fixent le vide. Tout son dos se cambre et sa tête part en arrière. Elle ouvre la bouche :
- Je jouis Cyril, au mon Dieu je jouis !!
Puis elle retombe sur le bureau comme une poupée, complètement vidée de son énergie par l'intensité de l'orgasme. Mon sexe rentre en elle et ressort deux ou trois fois jusqu'à ce qu'à mon tour, je laisse échapper un cri de plaisir et, retirant mon penis à la dernière seconde, je jouis sur le ventre de Claire comme je n'avais encore jamais joui. Cinq ou six rafales de spermes se déversent sur le ventre de ma cousine. À chacun d'elle, une onde de plaisir tellement intense me traverse que j'ai l'impression que je vais tomber. Nous restons comme ça plusieurs secondes sans rien dire, à reprendre notre souffle. Nos respirations sont sifflantes, la poitrine de Claire se soulève au rythme de ses inspirations.
- C'est malin, on a rien pour essuyer maintenant... murmure Claire avec un sourire malicieux.
Je regarde mon sperme sur son ventre. J'ai vraiment joui énormément... Sans lui répondre, je commence à étaler ma semence sur le corps de ma cousine avec mes mains. Sur son ventre et sur ses jolis seins que j'enduis de partout. Tout le buste de Claire est brillant. Quand j'ai fini, je m'allonge doucement sur elle, profitant du contact de ses tétons sur mon torse et je l'embrasse fougueusement...Claire et moi nous nous embrassons longuement. Quand je me relève enfin, mon sexe pend mollement entre mes jambes. Ma cousine est toujours allongée sur le bureau, sa poitrine s'étale sur son buste, son souffle ne s'est toujours pas calmé. Elle est incroyablement belle. J'ai envie d'elle, j'aimerais le prendre à nouveau, la faire jouir comme tout à l'heure mais j'ai déjà tout donné et je n'ai même plus la force de bander... Je me remémore avec délice ses cris de plaisir. Pour la première fois, nous avons vraiment joui à deux. Pour la première fois, j'ai réussi à lui donner autant de plaisir qu'elle m'en avait donné les autres fois ! Et je suis assez fier de moi. Je tend la main à Claire pour l'aider à se relever. Elle est toute frissonnante, comme si elle avait encore du mal à se remettre de son orgasme. Je la prends dans mes bras pour la soutenir. Nos corps nus se soudent, ses seins viennent s'écraser contre mon torse et elle enfouit sa tête dans mes cheveux. Quand elle reprend ses esprits, elle me sourit et dit : "Rentrons".
Nous nous rhabillons en silence mais je dévore ma cousine des yeux. Je ne me lasse pas du spectacle de son corps nu. Au moment où elle se penche pour ramasser ses vêtement qui gisent sur les sol, ses deux seins balancent dans le vide. J'ai comme un début d'érection et je comprends que je suis presque prête à repartir pour un tour. Mais pour l'heure, nous devons quitter le lycée et le plus discrètement possible. Une fois nos vêtement enfilés, nous sortons de la salle de classe sans prendre la peine de nettoyer les traces de nos ébats qui demeurent ici et là. Claire referme la porte à clef et je la suis dans l'escalier. Nous sortons enfin du bâtiment sans avoir croiser personne. Il est un peu moins de 18 heures et la fête doit toujours battre son plein la haut. Respirer l'air frais du dehors me fait le plus grand bien et me calme un peu. Nous marchons vers l'arrêt de bus Claire et moi sans dire un mot. J'ai pourtant très envie de lui demander ce qu'elle a pensé de notre petite session. Nous n'avons pas à attendre le bus très longtemps. Il n'est pas très plein et nous prenons deux places assises, au fond, un peu à l'écart. Nous avons bien besoin d'une douche... Le trajet me parait durer une éternité. Quand finalement nous atteignons notre point d'arrivée, nous descendons et marchons jusqu'à la maison.
Une fois arrivés, nous adressons quelques mots à nos parents respectifs qui discutent dans le salon. Puis nous montons à l'étage. Je me sens parfaitement détendu. Après cette expédition risquée en terre inconnue et toutes ces péripéties, ça me fait un bien fou de retrouver ce couloir que je connais bien. J'ai l'impression d'y être chez moi, comme en sécurité. Claire m'invite à la suivre dans sa chambre. Dès qu'elle a fermé la porte, comme si elle se sentait soulagée elle aussi, elle soupire et se met à parler.