CHAPITRE CII
''Infectum sexus''
''Infectum sexus''
Burydan prit de l'eau dans ses mains en coupe et la versa sur la tête de Rhonin. Il commença à laver ses cheveux dorés et massa son cuir chevelu en d'agréables mouvements circulaires.
- Humm... c'est bon... soupira Rhonin
''Et tu n'as encore rien vu, bébé'' pensa Burydan.
Une fois ses mèches blondes bien nettoyées, Burydan attira son minet de nouveau contre son torse et entreprit de savonner ses épaules, ses bras et ses avant bras. Il lui fit relever le bras droit, le passa derrière sa tête et savonna l'intérieur et ses aisselles où il fit jouer le bout de ses doigts. Rhonin se tortilla en riant :
- Ça chatouille...
Burydan sourit. Il adorait entendre son petit minet rire. Il lui déposa un petit poutoune tout tendre sur la joue.
Il lui fit relever son bras gauche, le savonna, chatouilla son petit minet et lui donna un nouveau petit poutoune.
Rhonin allait reposer ses bras quand Burydan lui dit :
- Non, reste comme ça...
Rhonin resta donc ainsi, les bras croisés derrière la tête de son maître. Burydan fit courir ses mains sur ses flancs. Rhonin rit de nouveau, ça chatouillait là aussi. Burydan déplaça ses mains sur sa poitrine, caressa doucement ses pectoraux à peine dessinés et agaça ses petits tétons roses au passage. Rhonin soupira. Burydan descendit lentement et savonna son ventre. La douceur de ce ventre, la chaleur de ce ventre était un véritable ravissement pour ses mains. Il déposa de petits poutounes dans le cou mollet de son esclave et descendit un peu plus bas. Il savonna son pubis et saisit sa queue. Burydan remarqua que ses caresses, pas vraiment innocentes, avaient excité Rhonin quand il sentit dans son poing sa bite dure et gonflée.
Il la nettoya avec application, la décalottant pour bien laver son beau gland rose et joufflu. La respiration de Rhonin devint plus lourde et il avait fermé les yeux. Burydan prit ses jolies couilles toutes rondes et les fit rouler dans sa paume. Puis il remonta lentement, sexe, ventre, poitrine, épaules. Il prit les bras de son minet, les ramena sur ses flancs et le serra un peu plus fort. Rhonin tourna la tête et Burydan l'embrassa tendrement.
- Penche toi en avant, bébé...
Rhonin se pencha et Burydan lui savonna le dos et les reins.
- Lève toi...
Burydan lui savonna énergiquement les mollets et les jambes. Remonta le long de ses cuisses, savonna ses fesses et glissa ses doigts dans sa raie. Petit couinement quand ses doigts caressèrent son œillet
Burydan se leva à son tour et vint se coller à Rhonin. La blondinet sentit la bite dure de son maître venir se nicher entre ses fesses. Burydan prit un gant en spongiam et frotta le petit corps de son esclave, n'omettant aucune parcelle de peau. Il lui mit une petite claque sur les fesses et dit :
- Et voilà. Tout propre...
Burydan se recoucha dans la cuve. Rhonin fit de même, face à lui. Il écarta largement les cuisses et dit :
- A vous maître...
- Je vais t'écraser bébé...
Rhonin se contenta de sourire et écarta les bras. Burydan sourit en hochant la tête et se mit entre les cuisses de son blondinet.
Rhonin savonna son maître avec application. Les cheveux, les épaules larges, les bras, les avant bras, il lui fit relever le gauche, caressa du bout des doigts son aisselle, jusqu'à ce que son maître frémisse, fit la même chose avec le droit, descendit le long des flancs épais, caressa son ventre bosselé et remonta vers ses énormes pectoraux gonflés. Il les savonna un peu plus que nécessaires, ne pouvant se rassasier de leur fermeté. Il descendit doucement, savonna le pubis et prit la bite de son maître dans son poing. Elle était dure et gonflée. Il lui savonna le sexe avec application, décalottant la grosse queue pour bien nettoyer le gland joufflu, prit les couilles de son maître dans sa paume, faisant gémir Burydan.
- Penchez vous en avant, maître...
Burydan obtempéra. Rhonin savonna son dos noueux et ses reins.
- Levez vous maître...
Burydan se leva et Rhonin lui savonna énergiquement les mollets, les cuisses et les fesses. Il se releva et prit un gant en spongiam quand Burydan dit :
- Tu as oublié de savonner un endroit...
- Lequel, maître ?
Burydan prit sa main et la dirigea vers son entre fesses. Rhonin resta interdit. Jamais il n'avait pensé avoir accès à cette partie de l’anatomise de son bel étalon.
- Alors, esclave, qu'est-ce que tu attends ? Savonne ton maître.
Rhonin savonna donc le sillon de son maître, faisant gémir Burydan quand ses doigts caressèrent son œillet
- Bon garçon, dit Burydan. Maintenant, frotte...
Rhonin frotta avec le gant en spongiam le corps de son beau mâle, n'omettant aucun pouce carré de peau.
- Et voilà, maître, vous êtes propre comme un simeris neuf...
Rhonin se recoucha dans la cuve et Burydan se mit en face de lui. La cuve était assez longue, mais ils durent tout de même emmêler leurs jambes pour pouvoir s'étendre. Et Burydan eut une idée.
Il saisit le pied gauche de Rhonin et se mit à le masser tout doucement. Il savait que son minet adorait se faire léchouiller ses petits petons, mais ce n'est pas ça que Burydan avait derrière la tête. Il reposa le pied gauche et massa lentement le droit. Rhonin le regarda faire, dubitatif. Il aimait qu'on s'occupe de ses pieds, certes, mais il avait espéré que son maître les caresse de sa langue. Où son maître voulait-il en venir ?
Il le comprit très vite quand Burydan, joignant ses mignons petits pieds, glissa sa bite dure entre. Il commença à aller et venir entre les plantes de pieds de Rhonin qui le regardait, stupéfait. C'était la première fois que son maître faisait ça. Et ça l'excita. Burydan n'eut plus besoin d'aller et venir, Rhonin faisant lui même le va et vient. Il branlait lentement son maître, caressait sa queue d'un de ses pied puis reprenait la bite dure entre les deux encore et encore. Les soupirs de Burydan se changèrent en gémissements rauques au fur et à mesure que le plaisir montait.
Burydan saisit les pieds de Rhonin et accéléra le mouvement.
- Oh oui... oh putain... aaahh... aaaahhhh... aaaaaahhhhh !!!
Burydan jouit intensément et envoya quatre longues giclées de sperme qui flottèrent bientôt à la surface de l'eau.
Burydan prit à peine le temps de retrouver vent et haleine et dit d'une voix rauque :
- Lève toi...
Rhonin obéit, son maître se mit à genoux dans la cuve et se jeta comme un affamé sur sa bite. Le voir se masturber avait fait bander Rhonin et Burydan se délecta littéralement de sa belle colonne de chair, agrippé fermement à ses jolies petites fesses. Il le suça comme un dingue pendant de longues minutes.
- Oh oui maître... oh, c'est bon maître... oh c'est bon ce que vous me faites maître... oh je vais jouir maître... je vais jouir... aaahhh... aaaahhh... aaaaaahhhh !!!
Son foutre gicla comme de la lave en fusion au fond de la gorge de son maître, qui avala tout sans en perdre une goutte.
Rhonin, les jambes en mianhua, tomba à genoux face à Burydan qui l'embrassa fougueusement. Et Rhonin aimait sentir le goût de son sperme sur la langue de son bel étalon. Le goût de l'esclave dans la bouche du maître...
Burydan vida la cuve, ils se rincèrent à l'eau claire et se séchèrent à l'arrache- peau.
Burydan caressa le corps de son minet et dit :
- Nous avons tous les deux besoin d'un bon barbier... tu es piquant comme hérisson... et je ne suis pas mieux...
- Pardonnez-moi, maître...
- Pardon de quoi ? C'est la nature, non ? A moins que tu ne tires dessus pendant mon sommeil ?
Petit rire espiègle de son minet. Il enroulèrent un linge autour de leurs reins et Burydan tira sur un cordon qui pendait à côté de la porte. Quelques secondes plus tard on frappa à l'huis.
- Entrez !
Une jeune fille apparut.
- Monsieur a sonné ?
- Oui. Pourrais-tu demander au barbier de venir ?
- Bien sûr monsieur.
Quelques minutes plus tard on frappa de nouveau.
- Entrez !
Un homme entra. Il était trapu, les épaules larges, une formidable moustache relevée aux bords barrait sa face. Il devait avoir la cinquantaine et était suivi d'un jeune garçon d'une vingtaine d'années.
- Bonjour monsieur. Vous avez demandé un barbier ?
- Oui da.
- Je me nomme Will Kinsonn et voici mon apprenti, Gilles Hett.
Ils s'approchèrent de Burydan et de Rhonin, mirent deux chaises pliantes et commencèrent à affûter leurs rasoirs sur un morceau de cuir.
- Alors, dit Will, rasage total ou partiel ?
- Partiel. Pour moi ce sera le ventre, en laissant une petite ligne de poil de mon nombril à mon sexe. Le-dit sexe, les testicules, le périnée, les fesses et l'entre fesses, les aisselles et la barbe.
- Très bien et pour...
- Pour mon petit page, tout. Laissez juste son duvet sur les bras, une petite ligne de poils de son nombril à son sexe et son pubis.
- Très bien, mettons nous au travail.
Avec dextérité Will et son apprenti rasèrent leurs deux clients. Lavés et rasés, Burydan et Rhonin ressortirent des étuves et retournèrent à l'auberge. Ils mangèrent un dîner copieux et délicieux et remontèrent dans leur chambre. Burydan se déshabilla et se coucha, regardant Rhonin se mettre nu. Son petit minet vint se pelotonner contre lui et ils commencèrent à se câliner.
Rhonin pensa que, son maître ayant jouit deux fois dans l'après-midi, et lui également, ils ne feraient que dormir cette nuit. Mais c'était mal connaître Burydan. Ses caresses devinrent de plus en plus sensuelles et ciblées, et il fit de nouveau l'amour à son petit esclave.