05-12-2020, 02:00 PM
CHAPITRE C
''Calidi et ipsum calida''
''Calidi et ipsum calida''
Derrière un comptoir en carrara blanc veiné de rose se tenait un garçon d'une quinzaine d'années, à première vue. Il avait des cheveux bruns qui tombaient en cascade sur ses épaules, était encore plus fin que Rhonin et avait un visage ovale qui lui donnait un aspect presque féminin.
D'une petite voix flûtée, il dit :
- Bonjour messieurs. Je me nomme Larry. Que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, nous voudrions prendre un bain.
- Bien sûr. Collectif ou privé ?
- Privé.
- Voulez-vous une estuvière pour vous aider dans vos ablutions ?
- Non, merci, nous nous en chargerons.
- Très bien. Voulez-vous louer des linges en spongiam ?
- Non merci, dit Burydan en tapotant sa besace, j'ai tout ce qu'il faut.
Burydan avait toujours eu quelque doute sur la propreté des linges des bains et préférait les siens, qu'il lavait lui-même avec de l'eau savonneuse et un peu d'esprit de vin pour bien les désinfecter.
- Cela fera cinq capokeis, dit Larry.
Burydan déposa cinq pièces sur le comptoir et Larry lui donna une petite clef.
- Prenez ce couloir et, tout au bout, ce sera la pièce numéro 9.
Burydan et Rhonin prirent donc le couloir et entrèrent dans la pièce numéro 9. Burydan poussa le verrou.
Petite pièce carrée aux murs blancs. Un lit en bois couvert de serviettes en spongiam, une chaise, un porte-manteau et un immense baquet en bois de forme ovale. Burydan sourit, le baquet était suffisamment grand pour deux. Il régnait une douce chaleur dans la pièce, sans doute diffusée par les tuyaux qui apportaient l'eau chaude.
- Eh bien, dit Burydan à Rhonin, qu'est-ce que tu attends ? Déshabille toi.
Rhonin sourit. Il savait que son maître adorait le voir se dévêtir, quand il ne lui arrachait pas lui même ses vêtements. Il retira d'abord ses chaussures. ''Bordel, se dit Burydan, même ses pieds m'attirent'', puis ôta sa chemise lentement. Burydan regardait son joli petit corps apparaître au fur et a mesure : ventre plat, doux et chaud, petits tétons roses, épaules toutes rondes, cou mollet et la belle petite frimousse de son petit esclave, un petit sourire aux lèvres. Rhonin dégrafa lentement son pantalon et l’abaissa par degrés. Le bas ventre apparut, le pubis puis la jolie queue qui pendait mollement entre ses cuisses, des cuisses et des jambes fines et fuselées. Rhonin, enfin nu, mit les mains dans le dos et se tortilla pour faire balancer sa bite.
Burydan, les yeux brillant de luxure, s'approcha de lui. Il caressa sa joue et l'attira pour un baiser langoureux, en prenant ses jolies petites fesses à pleine main. Et Rhonin ne put retenir un petit hoquet de plaisir quand son maître approfondit encore le baiser et qu'il sentit ses doigts se frayer un chemin entre ses fesses et caresser doucement son œillet.
Burydan rompit le baiser et se recula. Il fit courir le bout de ses doigts sur le corps de son minet : gorge, épaules, torses, tétons roses, ventre chaud, pubis, bite, couilles, aine gauche, aine droite et chemin inverse. Rhonin frémissait.
Burydan passa derrière son blondinet. Toujours du bout des doigts, il caressa le côté pile. Nuque, dos, reins, fesses, petit œillet ente les-dites fesses, et remonta lentement.
Il revint devant Rhonin et vit que son esclave commençait à bander.
Burydan s'assit sur la chaise. Il tendit une jambe.
- Enlève mes chaussures...
Rhonin s'agenouilla et enleva les chaussures et les chaussettes de son maître. Il lui caressa lentement les pieds et y déposa de gros baisers mouillés.
Burydan se releva et, d'un mouvement ample, enleva sa chemise. Rhonin le regarda en contre plongée et avala sa salive. ''Bordel, qu'il est beau. Fort. Viril. Puissant. Et que ses muscles me font bander...''
Burydan sourit, mit une main derrière la nuque de son minet et l'attira vers son ventre. Rhonin se mit à lécher les abdos noueux et le nombril de son maître, mais, ne pouvant résister, il leva les mains pour prendre ses pecs et les peloter comme un dingue, en prenant soin de faire glisser les tétons entre ses doigts. Burydan se mit à pousser des soupirs rauques.
Une fois son ventre bosselé brillant de salive et ses tétons durs et gonflés, il repoussa doucement la tête de Rhonin et lui dit :
- Enlève mon pantalon...
Rhonin, les doigts fébriles, dégrafa le pantalon de son maître et le fit glisser le long des ses jambes musclées. Il le lui enleva et se retrouva pile au niveau de son entrejambe, son sous vêtement déformé par une phénoménale érection.
Burydan mit de nouveau une main derrière sa nuque et attira le tête de son minet. Rhonin se mit à frotter son visage contre la bosse énorme, léchant et mordillant la queue qu'il devinait sous la fine étoffe. Quand Burydan repoussa Rhonin, son sous-vêtement était devenu presque transparent tellement Rhonin l'avait léché.
- Enlève mon sous-vêtement...
Rhonin enleva le dernier morceau de tissu qui cachait encore le corps sculptural de son bel étalon. Sa bite jaillit, dure et gonflée, entièrement décalottée, le gland luisant.
Rhonin la caressa du bout des doigts, aimant la voir tressauter sous son passage. Il releva ses grands yeux bleus et les planta dans les beaux yeux gris où flamboyait un feu de désir. Burydan appuya de nouveau sur la nuque de Rhonin :
- Allez, esclave, suce la grosse bite de ton maître...
Rhonin ouvrit la bouche et avala le gland joufflu de Burydan en une bouchée. Son maître ne s'attendait pas à ça, pensant que son minet allait lui lécher la bite avant de l'avaler, et ne pu retenir un :
- Oh putain !
Rhonin suçait le gland replet en salivant abondamment pour lubrifier la belle colonne de chair et la prendre de plus en plus profondément dans sa gorge. Nouveau :
- Oh putain !
de Burydan quand les lèvres de son blondinet se refermèrent sur la racine de sa bite, son gland compressé dans sa trachée. Alternant la profondeur et la vitesse de la fellation, Rhonin suça son beau mâle avec délectation et dextérité. La main de Burydan fourrageait dans ses cheveux dorés et ne faisait plus qu’accompagner ses hochements de tête. Rhonin, lui, caressait les couilles bien rondes et bien pleines de son maître du bout des doigts, pendant qu'il se branlait de son autre main.
- Vas-y bébé, suce la... Suce la bien... T'aimes ça, hein ? Oui, tu aimes sucer ma grosse bite... prends la bien à fond... oui, comme ça... oh putain que c'est bon... plus profond, je veux sentir mon gland au fond de ta gorge... oui, c'est ça... bon garçon... oh ce que tu suces bien bébé... Lèche moi les couilles... oui, vas-y, bouffe les... oh putain oui... allez, suce moi encore... suce la bien ma grosse queue avant que je te la mette tout au fond de ton petit cul...
Après un long moment où les soupirs rauques de Burydan s'étaient changés en gémissements tout aussi rauques, il retira d'un coup sa bite de la bouche de Rhonin. Elle dégoulinait de salive. Rhonin essuya ses lèvres écumeuses d'un revers de main et regarda son maître. Les joues rouges, un peu de sueur perlant à son front, yeux exorbités. Il prit Rhonin par les aisselles et le releva. Il attrapa Rhonin par les cheveux et l'attira à lui pour un baiser fougueux et avide.
Burydan, après avoir emballé son minet à pleine bouche en lui pétrissant les fesses, le souleva comme s'il ne pesait rien. Rhonin enroula ses cuisses autour des reins de son maître et celui-ci le coucha doucement sur le lit en bois.
allongé sur son petit minet, frottant son corps contre le sien, Burydan l'embrassait comme un dingue. Le baiser était devenu avide, exigeant, affamé, presque... brutal. Et Rhonin gémit quand leurs dents s'entrechoquèrent. Un gémissement de désapprobation. Lui, l'esclave docile et obéissant avait osé montrer à son maître qu'il n'aimait pas ça. Il regretta aussitôt cet audace qui lui avait échappé, et encore plus quand son maître rompit le baiser et le regarda intensément.
- Tu n'aimes pas, bébé ?
- Si... si maître, mentit Rhonin.
- Non tu n'aimes pas... excuse-moi, je me suis laissé aller... c'est que tu m'excites tellement... et j'ai tellement envie de toi... mais on va reprendre... plus doucement...
Burydan l'embrassa de nouveau mais avec une infinie douceur et une infinie tendresse. Rhonin n'en revenait pas, Burydan refrénait ses ardeurs parce que lui n'aimait pas et s'excusait même. Le maître qui présentait ses excuses à l'esclave. Le maître qui faisait tout pour que ce son esclave aime ça. Leurs langues se caressaient sensuellement et Rhonin se laissa totalement aller à ce plaisir suave, en sachant que son bel étalon allait l'emmener par degrés vers d'autres délices.