CHAPITRE LXXXI 2/2
Burydan contempla son minet, corps lisse et doux, bite dure couchée contre son ventre, cuisses écartées...
- Que tu es beau, bébé... regarde l'effet que tu me fais... je bande comme un malade... j'ai tellement envie de toi...
- Moi aussi, maître, j'ai envie de vous...
Burydan se coucha de tout son long sur Rhonin et l'embrassa passionnément. Il se tortilla pour frotter son érection phénoménale contre la bite dure de Rhonin, le faisant gémir à chaque fois que leurs glands se frôlaient. Il commença à couvrir son cou et sa gorge de gros baisers mouillés et de grands coups de langues. Et Rhonin poussa de longs soupirs de plaisir.
''Il est doux... il est tendre... et j'aime ça... du moins, pour l'instant...'' il sentit son maître descendre progressivement. Il couvrait sa poitrine de baisers et...
- Hmmmm...
Burydan sourit. Il venait de happer un petit téton rose. Rhonin n'avait pas un gramme de muscle, les pectoraux ne se devinant que par deux petits tétons tout rose qui se détachaient parfaitement sur la peau laiteuse. Et Burydan commença à en lécher, suçoter et mordiller un tout en pinçant doucement l'autre entre deux doigts. Il passa de l'un à l'autre, les faisant gonfler et durcir, les pinçant entre ses lèvres, les aspirant dans sa bouche et les mordillant doucement de ses dents. Et Rhonin aimait ça, et le lui montra en gémissant.
''Personne ne s'est jamais occupé de mes tétons... que c'est bon... pourvu qu'il fasse ça un long, un très long moment...''
Et c'est ce que Burydan fit, passant de l'un à l'autre inlassablement. Une fois la poitrine luisante de salive, il repartit à ses pérégrinations lubriques.
Le ventre de son minet était d'une douceur indicible, la peau veloutée, et chaud. Chaud de la chaleur qui brûlait ses entrailles ? Peut-être pas encore. Burydan voulait faire brûler son esclave de désir. C'était sa mission, son but, sa quête. Il voulait voir, dans ses yeux bleus, le désespoir de ne pas encore sentir le sexe de Burydan aller et venir en lui.
Son maître léchait lentement son ventre et il ne pu retenir un petit
- Oh oui...
quand la langue de son mâle s'enfonça dans son nombril. Il creusa le ventre en disant :
- Oh, c'est bon maître...
Burydan sourit. Cette façon qu'il avait de l'appeler ''maître''. Il lécha le nombril de son minet un long moment avec application.
Il se retrouva en face de la bite de Rhonin Une belle queue de 15 ou 16 pouces, plutôt fine, d'un rose tendre. Le gland, joufflu, d'un rose un peu plus soutenu, pointait la tête hors du prépuce. Burydan caressa la bite de Rhonin du bout des doigts, en tirant un peu sur la peau douce pour dégager complètement le beau fruit mûr.
Rhonin frémit en sentant le bout des doigts de son maître caresser sa tige. Il n'aurait jamais imaginé bander à ce point avec un de ses clients. Il n'avait jamais été autant excité avec les autres. Il faut dire que aucun d'eux ne l'avait caresser comme Burydan venait de le faire. Les autres, trop impatients de le baiser, oubliaient les préliminaires et le prenaient sur le champs. Mais lui, son beau mâle, prenait son temps. Le caressait. L'embrassait et se montrait doux et prévenant. Et Rhonin se laissa aller, profitant de ce moment de douceur et de tendresse qu'il n'avait jamais connu.
Burydan ne s'attarda pas sur la queue raide de Rhonin Du moins pas encore. Il descendit et lécha lentement l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à l'aine, qu'il lécha également avec application. Rhonin gémit et Burydan vit sa bite agitée de soubresauts.
- Passe moi un oreiller, dit Burydan.
Rhonin obéit. Burydan plia le coussin en deux et le glissa sous les reins de son esclave docile. Petit cul tout rond offert, jolie petite bite palpitante, jolies petites couilles toutes rondes. Sur quoi se jeter en premier ?
Burydan s'approcha de l'entrejambe de son minet. Partant de la base de la raie de ses fesses, il remonta lentement le long du périnée, dessinant la couture de la pointe de sa langue. Rhonin gémit. Burydan répéta ce manège un long moment, alternant les léchouilles de la pointe puis de toute la largeur de sa langue, remontant de plus en plus haut et jouant avec les belles petites couilles de la pointe de son nez.
Les gémissements de Rhonin s'intensifièrent quand Burydan commença à lécher ses couilles. Lentement. Tout doucement. Une fois dégoulinantes de salive, il les avala, les goba, les suçota, les berça de sa langue. Il en recrachait une pour se jeter sur l'autre, avant de revenir à la première, encore et encore et encore. Les gémissements de Rhonin s'étaient transformés en petits cris que Burydan trouva terriblement excitants. Il sourit en regardant Rhonin empoigner les draps et plaça sa langue à la base de sa queue. Il remonta le long de la jolie bite raide et dure d'un long coup de langue, s’attarda un peu sur le gland, avant de redescendre et de remonter.
Rhonin prit appui sur ses avant bras pour regarder son maître. Il était en train de lécher sa queue et... Oh mes dieux ! Il venait de la prendre en bouche... Son maître, son mâle, était en train de le sucer. Lui, le soumis, se faisait sucer par lui, le dominant. C'était... bon... divin... phénoménal... et il se mit à crier comme un perdu...
Burydan enroulait sa langue autour du gland de Rhonin, puis engloutissait sa bite entièrement, en gorge profonde. Il attendait ainsi un petit moment et remontait en serrant bien les lèvres. Il laissait ressortir un petit bout du gland avant de l'aspirer de nouveau. Rhonin criait et était en transe. Il se tortillait en poussant des :
- Oh oui, maître... oh, c'est bon, maître...
Burydan suça son esclave avec application un long moment, alternant les rythmes, en prenant soin de ne pas faire jouir son petit minet. Il se délectait de sa belle petite queue, certes, mais avait envie de plus. Beaucoup plus.
Il recracha la bite brillante de salive et la reposa sur le petit ventre de Rhonin. Les yeux bleus le regardaient, luisants, exorbités.
- Tourne toi...
Rhonin s'allongea sur le ventre. Burydan plaça le coussin pour relever le petit cul de son esclave. Il écarta les fesses de Rhonin et se jeta sur l’œillet le lapant comme un affamé. Rhonin gémit, émit un petit hoquet de surprise quand la langue fut remplacée par un doigt fouineur, puis par un deuxième, qui l'ouvrait par degrés.
Burydan regarda le petit trou qu'il venait d'ouvrir de sa langue et de ses doigts. Et, alors qu'il pensait ça impossible, il banda encore plus fort. Il cracha sur le petit trou puis dans sa main pour bien lubrifié sa bite. Il approcha de son esclave, mit son gland sur la pastille, poussa tout doucement et pénétra Rhonin.
Son esclave émit un petit :
- Oh !
quand le gland de Burydan entra en lui. Rhonin n'avait jamais aimé la sodomie. Certes, il était là pour ça, pour se faire mettre comme une traînée et assouvir les fantasmes de ses clients, même les plus vils. Et la sodomie faisait partie de son travail. C'était même pour ça qu'on le louait. Mais il n'aimait pas ça. Ça faisait mal et ses clients le baisaient généralement comme des brutes en se foutant pas mal de ses cris de douleur. Certains étaient même excités en l'entendant souffrir. Mais là... Burydan... jusqu'à présent il lui avait fait des choses qu'aucun autre ne lui avait fait. Et Rhonin avait adoré ça. Son maître avait été doux, tendre, attentionné et prévenant... alors il décida de serrer les dents et de taire ses gémissements de douleur. Il lui devait bien ça...
Burydan pénétrait Rhonin, lentement, tout doucement. Il ne rencontra aucun obstacle dans sa progression, pas de crispation, pas de cri de douleur, rien. Et c'était ça qui l'inquiétait, Rhonin ne réagissait pas.
Son bas ventre s'écrasa sur le petit cul tout rond. Il était enfoncé profondément en Rhonin et resta ainsi un petit moment, en appui sur ses bras musclés. Il se recula de quelques pouces, en douceur, qu'il remit tout aussi doucement. Il commença à limer son esclave tout doucement, lentement, avec des mouvements de plus en plus amples. Et, enfin, Rhonin gémit.
Rhonin venait de gémir. Mais pas un gémissement de douleur, cette fois. Il avait ressenti les mêmes sensations que d'habitude, au départ. Le grosse bite qui le pénétrait et qui écartait les parois de son fourreau, la sensation de gêne et d'inconfort quand son maître se retrouva entièrement en lui. Et puis il y avait eu autre chose. Une nouvelle sensation. Les va et vient de son maître en lui, lents et doux, avait fait ressentir à Rhonin quelque chose d'inconnu. Des picotements, d'abord diffus, qui remontaient en agréables frissons. Au fur et à mesure que la bite de Burydan le limait, les picotements s'intensifièrent puis se densifièrent en agréables vagues de plaisir. Et Rhonin commença à aimer ces sensations. La douleur et la gêne passèrent au second plan et Rhonin commença à gémir... de plaisir...
Burydan sourit. ''Bon, il aime ça. C'est pas le moment de tout foirer, comme tu le fais d'habitude. Reste doux et tendre. Prends ton temps.'' et c'est ce qu'il fit.
Au fur et à mesure que le plaisir montait, il varièrent les positions. Rhonin se retrouva à quatre pattes, allongés sur le côté, sur le ventre, assis sur Burydan, changeant de position à chaque fois que le plaisir menaçait de les submerger. Burydan voulait que ça dure le plus longtemps possible.
Burydan était entre ses cuisses et l'embrassait fougueusement. Tous les sens de Rhonin était comblés. La vue des muscles massifs de son maître, ruisselants de sueur, l'odeur de cette sueur qui se mêlait à la sienne, les gémissements et les cris qu'ils poussaient à l'unisson, les siens aiguës et ceux de son maître, plus rauques, la douceur de la queue en lui, et le goût de leurs langues qui s'emmêlaient, et celle de la peau de Burydan, quand Rhonin étouffait ses cris en mordant son épaule.
Burydan aimait tout chez son petit esclave. Cette façon qu'il avait de s'abandonner totalement, son petit corps fluet couvert de sueur, ses cris à chaque coup de reins, ses mains qui caressaient Burydan, palpant ses muscles, ses pectoraux en particulier, ses cuisses enroulées autour de ses reins et ses talons appuyés contre ses fesses et qui l'invitaient à venir en lui encore plus profondément, la saveur de sa langue et de la peau fine de son cou mollet. Il était au Tiantang.
- Oh oui maître... ooooh....oohhh... c'est bon maître.... c'est bon ce que vous me faites, maître.... oui, baisez moi, maître.... baisez votre esclave.... ooooh... plus vite, maître.... s'il vous plaît.... plus vite....
Burydan accéléra ses coups de reins.
- Oh oui, maître.... oooohhhh.... encore..... plus fort.... par pitié, plus fort....
Burydan s'enfonça aussi profondément que possible en Rhonin
- Oh oui... oui.... oui....
Burydan se relava sur ses genoux. Il regarda Rhonin, qui s'abandonnait totalement au plaisir. Il le saisit par les hanches et l’empala sur sa queue.
- Branle toi, esclave, branle toi !
Rhonin saisit sa bite et se mit à se masturber frénétiquement.
- Oui, vas-y, branle toi bien comme il faut, je veux te voir jouir.
- Ooooh.... ooohhhhhh.... oooooooooohhhhhhhhh....
Et Rhonin jouit intensément, sa queue explosant en un geyser de foutre qui stria son petit corps fluet de plusieurs longs traits de sperme sirupeux.
Burydan se coucha sur lui, enfoui la tête dans son cou, lui donna un, deux, trois coups de reins puissants et jouit dans un grand cri rauque libérateur. Il se laissa aller sur Rhonin, le faisant s'enfoncer dans le matelas comme dans des sables mouvants.
Sa bite sortit des confins du corps de son minet après un long moment de pure extase. Burydan releva la tête et regarda Rhonin Sourire aux lèvres et yeux bleus brillants. Il lui caressa la joue et l'embrassa passionnément.
Il s'affala à côté de son esclave. Il était couvert de sueur et de sperme, et était bien... foutrement bien, d'ailleurs...
Rhonin bondit sur ses pieds, disparu dans une petite pièce attenante, et revint avec un linge humide. Il allait nettoyer son maître mais Burydan retint son poignet :
- Lèche d'abord...
Rhonin sourit, puis, de sa petite langue rose, il lécha le torse massif de son maître. Il passa ensuite le linge humide sur le corps de Burydan, puis sur le sien.
Burydan écarta les bras :
- Viens là bébé.
Rhonin ne se fit pas prier. Il se pelotonna contre son maître, posa sa tête sur l'un des énormes pectoraux et se mit à caresser le ventre bosselé. Burydan referma ses bras sur lui et le serra fort.
- Je... je vais bientôt m'endormir, maître, dit Rhonin après un petit moment.
- Et alors ?
- Eh bien, vous avez payé cinq simeris pour moi, alors si vous avez de nouveau envie de me...
- Dors, bébé, le coupa Burydan. Si j'ai envie de te faire de nouveau crier, je te réveillerai. Mais j'aime t'avoir dans mes bras. Alors dors tout ton saoul. Prends des forces, parce que je vais t'épuiser de plaisir avant l'aube. Tu verras, esclave tu demanderas grâce.
Rhonin sourit, couvrit de baisers le torse puissant de Burydan, se coucha contre ses pectoraux et s'endormit.
Burydan le réveilla en effet avant l'aube, lui fit l'amour intensément jusqu'à ce que Rhonin demande grâce, le fit jouir avec sa bouche et sa langue, avant de crapahuter jusqu'à son visage et se masturber frénétiquement, son sperme chaud striant la belle petite gueule de Rhonin.
La montre horloge sonna. Il était six heures, c'était l'heure pour Burydan de partir. Il se leva et s'habilla. Rhonin, toujours nu, lascivement couché sur le lit, le regardait. Cet homme lui avait appris qu'on pouvait prendre du plaisir dans les bras d'un client. Ou plutôt dans ses bras à lui. Il savait qu'un maître comme lui c'était rare.
Burydan s'approcha de son minet et lui déposa un petit bisou tendre sur les lèvres.
- Vous avez aimé, maître ?
- Je n'ai pas crié assez fort, ? répondit Burydan en souriant.
- Donc vous direz à dame Alduine que j'ai été un bon esclave bien docile ?
- Me le demandera-t-elle ?
- Oh oui, maître.
- Et que se passera-t-il si je dis le contraire ?
Rhonin baissa la tête et répondit, d'une petite voix :
- Eh bien elle demandera à deux de ses hommes de me fouetter jusqu'au sang puis de me prendre violemment pour m'apprendre à être un esclave bien obéissant...
Burydan pâlit.
- Ne t'inquiète pas, bébé, je dirai à dame Alduine la vérité : tu as été... phénoménal.
- Ainsi vous reviendrez, maître ?
- Il y a peu de chances, je pars demain pour la capitale. Et je ne sais quand je reviendrai ni même si je reviendrai...
- Ah, dit Rhonin, avec une telle note de déception dans la voix que le cœur de Burydan se serra. Vous savez, maître, de tous les clients que j'ai eu, vous avez été le plus tendre, le plus doux et le plus attentionné. Et vous êtes le premier avec qui je n'ai pas simulé le plaisir.
- Merci bébé. Et je te promets que, si je repasse par ici, je viendrai de nouveau faire l'amour à mon joli petit esclave...
Nouveau petit bisou tout tendre et Burydan sortit. Dame Alduine lui demanda comment avait été Rhonin, il lui répondit qu'il avait été parfait. Elle envoya un de ses hommes vérifier que Burydan n'avait pas abîmé la ''marchandise'' et Burydan retourna à son auberge.
Il se déshabilla. Il ne se lava pas, aimant sentir sur son corps l'odeur de la peau de Rhonin. Il aurait aimé sortir le petit minet des griffes de dame Alduine. Le prendre avec lui. Le racheter ? Les dieux seuls savent combien elle en demanderait de sa ''marchandise'', si même elle accepterait de s'en séparer. Burydan s'endormit, en repensant au plaisir de dingue qu'il avait pris entre les cuisses de son petit minet.