03-09-2020, 07:55 AM
Bonjour,
voici pour débuter une poésie !
N'hésitez pas à commenter si vous le désirez !
Face à l’océan…
C’est face à l’océan, assis sur le sable de la dune, main dans la main, que nous regardons le coucher de soleil.
Une fois l’astre du jour englouti par les flots, nous nous embrassons.
J’étais dans mes pensées, je revoyais les étapes déjà franchies. Mes lèvres toujours collées à ses lèvres vermeilles.
Une petite brise océane s’était levée, pour nous inciter à nous lever.
Repensant à nos jeunes années, j’étais revenu sur les rivages de notre adolescence, assis sur la dune.
Le dernier rayon de soleil s’éteignit pour faire place à la nuit.
Le gout des ses lèvres vermeilles refaisait surface et s’imposait à moi comme une aiguille plantée dans le cœur.
La brise océane me rappelait qu’il était temps de tourner la page après ce départ.
De retour au sommet de la dune, assis face à l’océan, les mains vides, sans rien à tenir, je regardais le soleil s’enfoncer lentement dans les profondeurs marines.
Le ciel s’était teinté d’une couleur orangée qui s’étalait jusqu’à l’horizon.
La brise océane dégageait le ciel de ses quelques nuages laiteux, pour laisser place à la voûte céleste, où l’Étoile brillait.
A l’aube du dernier voyage, j’étais là, assis sur la dune, face à l’océan, les mains noueuses, le regard fixe, attendant patiemment l’extinction des lueurs du soleil.
La nuit s’avançait et s’emparait du paysage. Les étoiles s’allumaient les unes après les autres.
L’une d’entre elle brillait là haut, pour moi, me rappelant des lèvres vermeilles, ses lèvres vermeilles !
La brise océane m’emportait, pour le grand départ, vers l’étoile de mon cœur.
31-01-2017
Je vous embrasse !
Philou
voici pour débuter une poésie !
N'hésitez pas à commenter si vous le désirez !
Face à l’océan…
C’est face à l’océan, assis sur le sable de la dune, main dans la main, que nous regardons le coucher de soleil.
Une fois l’astre du jour englouti par les flots, nous nous embrassons.
J’étais dans mes pensées, je revoyais les étapes déjà franchies. Mes lèvres toujours collées à ses lèvres vermeilles.
Une petite brise océane s’était levée, pour nous inciter à nous lever.
Repensant à nos jeunes années, j’étais revenu sur les rivages de notre adolescence, assis sur la dune.
Le dernier rayon de soleil s’éteignit pour faire place à la nuit.
Le gout des ses lèvres vermeilles refaisait surface et s’imposait à moi comme une aiguille plantée dans le cœur.
La brise océane me rappelait qu’il était temps de tourner la page après ce départ.
De retour au sommet de la dune, assis face à l’océan, les mains vides, sans rien à tenir, je regardais le soleil s’enfoncer lentement dans les profondeurs marines.
Le ciel s’était teinté d’une couleur orangée qui s’étalait jusqu’à l’horizon.
La brise océane dégageait le ciel de ses quelques nuages laiteux, pour laisser place à la voûte céleste, où l’Étoile brillait.
A l’aube du dernier voyage, j’étais là, assis sur la dune, face à l’océan, les mains noueuses, le regard fixe, attendant patiemment l’extinction des lueurs du soleil.
La nuit s’avançait et s’emparait du paysage. Les étoiles s’allumaient les unes après les autres.
L’une d’entre elle brillait là haut, pour moi, me rappelant des lèvres vermeilles, ses lèvres vermeilles !
La brise océane m’emportait, pour le grand départ, vers l’étoile de mon cœur.
31-01-2017
Je vous embrasse !
Philou