01-04-2024, 11:39 PM
Premier Défi 10 mots à utiliser:
pérégriner
incongrue
pudibonderie
ambages
extatique
mignonnerie
synchronicité
exaction
inconcevable
facéties
pérégriner
incongrue
pudibonderie
ambages
extatique
mignonnerie
synchronicité
exaction
inconcevable
facéties
Florentin pérégrinait volontiers de quartier en quartier, en ce début d'été dans la grand ville, où il était en vacances, faute de pécune pour aller villégiaturer ailleurs...
À vingt-et-un ans, c'était un joli brun élancé et pas musclé du tout ; son visage fin et régulier attirait les regards des nanas, et ses petites fesses soigneusement moulées dans des culottes adaptées... attiraient leurs mains.Mais il était exempt d'une incongrue pudibonderie, ce garçon-là, et se disait qu'un excès de mignonnerie ne pouvait nuire en société...
Or donc il déambulait dans un quartier branché de la vieille ville, et tomba sur une boutique nouvellement installée : « La Slipette ». On y vendait donc des p'tites culottes, comme vous l'aurez deviné... Et Florentin s'arrêta devant les vitrines fort colorées de l'endroit. En ce début d'après-midi, il n'y avait pas foule, aussi se vit-il interpeller par le marchand, qui parut à sa porte, une sorte de gravure de mode de vingt-cinq ans en bermuda flottant, et exposant sa splendide poilure sombre sous un gilet de cuir turquoise largement ouvert...
Le commerçant engagea la conversation, et Florentin, qui fantasmait depuis longtemps sur les petites choses en exposition céans, se laissa entraîner dans la boutique. Le mec n'était que le vendeur, le patron trônant derrière sa caisse.
Joli trentenaire souriant, dont Florentin se demanda fugitivement quels rapports il entretenait avec son employé...
Il apprit du vendeur que la maison avait ouvert deux mois plus tôt, et cherchait encore sa clientèle... Le garçon s'appelait Pierre-Luc, et proposa à Florentin d'essayer maint modèle.
— On peut ?
— Non. Sauf que... j'ai dégoté à Taïwan un truc que le patron a accepté : une sorte de slip jetable, moulant et ultra fin, sur quoi tu peux passer nos modèles. Alors si tu veux... on fait ça dans la pièce derrière.
Charmé par le passage au tutoiement, Florentin sourit en guise d'acquiescement... alors que le mec lui déclarait sans ambages :
— Tu sais, je suis hétéro, pour pas que tu t'imagines que je te drague...
— Moi aussi, va... enfin, en principe ! fit Florentin, qui ne résistait pas aux facéties, avec une grimace comique qui fit sourire l'autre.
L'hétéro de service se fendit tout de même d'un joli compliment :
— T'as un sacré joli p'tit cul, toi ! J'en vois pas mal ici, mais toi...
— Sympa !
On choisit des p'tites choses variées et bariolées, et l'on passa derrière. Où Florentin fut invité à se déloquer. Et même du haut !
— Tu te verras mieux en entier, affirma Pierre-Luc.
Où cet hétéro émit un petit sifflement : car Florentin était joliment équipé... ce qui avait quelquefois déplu, dans les alcôves. Sans afficher un regard extatique, Pierre-Luc montra un fort joli et admiratif sourire, quand Florentin passa le slip jetable... qui ne celait rien de ses beautés, étant évidemment transparent.
Il faut dire ici que Florentin n'en fut pas mécontent... Car ce garçon, qui n'avait d'autre expérience que celle des rouées donzelles qui l'avaient attiré dans leurs filets, avait aussi en arrière-pensée, l'idée que ses charmes pourraient briller ailleurs... et le mignon regard du vendeur lui donna une petite envie qui...
Pour l'instant, il passa moult strings, en se matant dans la psyché... où il voyait derrière lui Pierre-Luc lui regarder les fesses sans vergogne. Alors il osa :
— T'en mets, toi, des trucs comme ça ?
— Ben ouais, évidemment... Oh... J'te montre, tu veux ?
Et de baisser vite fait son bermuda, qui se fermait par un simple élastique... et de montrer un string de lycra super moulant aussi turquoise que son gilet de cuir, et laissant échapper de jolies forêts brunes...
— Ah ouais ! fit Florentin, épaté, en voyant le superbe morceau qui s'y devinait. T'es bien équipé, toi !
— Oh ! Je crois qu'on se vaut, non ?
— Sauf que t'es bien mieux poilu que moi... Superbe !
— T'aimes les poils ? Les nanas...
— ...Je suis pas une nana, coupa doucement Florentin.
On se regarda drôlement, et l'on ouït alors le patron héler son employé.
— Oui, chef, j'arrive ! cria Pierre-Luc. S'tu veux, t'attends là ? J'en ai pas pour longtemps...
— Non, je vais y aller. Je peux garder le truc jetable ? Ça me moule bien...
— Ouais, bien sûr ! Achète rien là... et reviens plutôt. À neuf heures, ce soir ? C'est là qu'on ferme, et...
— Ben... ouais, pourquoi pas ?
Pierre-Luc alla dans la boutique et Florentin se reloqua pour en sortir, non sans avoir échangé un gentil sourire avec Pierre-Luc, qui tentait de convaincre un client que le mari d'iceluy avait raison dans son choix...
Il n'était pas trois heures, et Florentin se demandait bien quelle serait l'issue de cette curieuse aventure...C'est qu'hétéro lui même, il avait rendez-vous avec un autre hétéro... Mais il tomba sur un groupe de potes qui l'entraînèrent, et se retrouva à se faire peloter par deux drôlesses sous la table d'une brasserie connue...
M'enfin, et quoique un peu allumé par les pintes de Leffe, il n'oublia pas son rendez-vous du soir, où il alla le ventre vide, décidé à être en possession de tous ses moyens, au cas où...
Il arriva à l'heure dite, et tomba pile sur Pierre-Luc. À qui il demanda :
— M'enfin... pourquoi t'as voulu qu'on se voie ce soir ?
— Ben... fit la belle bestiole, qui prit alors un air de petit garçon gêné, je sais pas... T'as l'air si gentil... et... je voudrais t'inviter chez moi, si tu veux...
— Oui, bien sûr ! s'exclama Florentin, charmé.
— En fait, c'est pour causer, un peu...
— Ben oui ! Mais moi, je sais pas tout !
— Oh ! Je veux seulement parler avec un gentil garçon...
— Ah ! C'est gentil aussi, ça !
Après cet édifiant échange de gracieusetés, on se transporta chez Pierre-Luc, tout près. Où Florentin fut obligé de demander un bout de fromage à Pierre-Luc, car celui-ci avait ouvert deux grandes Leffe fortes, et...
Pour l'instant, rien à craindre du garçon, qui était d'une adorable douceur... ce qui toucha Florentin, dans son début d'ivresse. On échangea quelques propos pour se raconter un peu l'un l'autre, puis Pierre-Luc lâcha soudain :
— T'as vu mon patron, hein ?
— Ouais... Il a l'air sympa, ce mec.
— Justement : il m'a embauché sans condition, mais je sens qu'il fantasme sur moi. Et je sais pas quoi faire...
— Ben... tant qu'il menace pas de te virer, fais ce que tu veux. S'il en arrive là... alors c'est toi qui vois. T'as pas d'expérience avec les mecs ?
— Non aucune... Toi ?
— Pareil. Quelques idées, parfois, j'avoue...
— Ouais, moi aussi... Tu te laisserais tenter par le patron, toi ? Moi, je sais pas... Il est plutôt beau gosse, mais...
— Faudrait le connaître... C'est vrai qu'il est super mignon, pour son âge, et si en plus il est gentil... Faudrait voir !
Pierre-Luc prit une vaste lampée, puis soupira.
— Est-ce que... ça te brancherait de voir d'autres strings ? Denis, mon patron, m'en a donné plein, afin que je fasse de la pub pendant mes moments de loisir...
— Ah ! Ah ! Ah ! Il a le sens du commerce, çui-là ! Et qu'est ce que t'es chargé de me vendre ?
Pierre-Luc vira ses fringues en une seconde, pour découvrir, en plus de ce que Florentin avait déjà vu, une quéquette à haute valeur ajoutée... Un superbe objet ressemblant d'ailleurs fortement au sien, avec peut-être quelques longueurs de plus... La Leffe aidant, il souffla :
— Ouh ! T'es pas dans l'besoin, toi !
— C'est pour ça que je suis prêteur ! rigola le garçon.
Qui ouvrit un grand tiroir pour en extraire une extraordinaire collection de fanfreluches destinées à exciter ses conquêtes, et les inciter à venir en acquérir autant dans son p'tit commerce... en suggérant que cela concernait surtout les autres amants d'icelles...
Et Pierre-Luc d'enfiler une ribambelle de toutes petites choses... exercice dont il ressortait d'évidence que ce jeune homme était à la fois fort bien monté, et vivement poilu...
Dès le début, Florentin avait été prié d'essayer ces frivolités... après avoir ôté le slip d'essayage qu'il avait remis... ce qui avait fait sourire le beau Pierre-Luc.
Or donc arriva que Pierre-Luc passa un p'tit truc jaune... vraiment p'tit. À un rire de Florentin, il demanda :
— Tu vois ça comment, toi ? montrant sa bite coincée là.
Et Florentin d'y aller franco, pour tenter de mettre en bonne place le bel objet... qui ne tenait évidemment pas là-dedans, et qui se transforma vite fait en superbe mandrin...
Dieux, l'inconcevable engin que Florentin eut alors en main !
— Excuse-moi, murmura Pierre-Luc.
— On pardonne tout à ces beautés-là, tu sais ?... Mais tu vas plus rentrer dans rien, là, c'est sûr ! pouffa Florentin.
— Et toi ? objecta Pierre-Luc en regardant la bite de Florentin, qui avait quitté le précédent modèle, et qui commençait à bander joliment...
— Ben... j'vais essayer de t'égaler, peut-être ?
— Ah ! Ah ! Présomptueux, avec ça ! Voyons...
Et ayant viré son ministring jaune d'or, Pierre-Luc s'empara de la queue presque raide d'un Florentin qui acheva sa métamorphose du jour... Au sifflement de Pierre-Luc, Florentin sut qu'il ne déméritait point.
— Ben... J'crois qu'on se vaut, non ? On regarde ?
Et Pierre-Luc de poser la bite contre celle d'un Florentin qui eut un frisson. et de fait , on se valait, à deux millimètres près, en faveur de Pierre-Luc.
Qui, mesure faite, ne lâcha point le chibre de Florentin, et même se mit à bouger un peu les mains... Pas ce qui allait affaiblir ces roideurs-là ! On baissait les yeux, cependant.
— J't'embête ? souffla enfin Pierre-Luc.
— Oh non, non...
Alors Pierre-Luc prit la main de Florentin pour la poser sur son beau rondin, et... vous devinez la suite. On s'entrebranla doucement d'abord, puis avec vivacité, et l'on termina, un quart d'heure plus tard, par une double crue magistrale, avec une remarquable synchronicité... qui fit sourire ces jeunes gens, qui se regardèrent enfin. Pierre-Luc murmura :
— Tu me pardonne cette...
— ...quoi ?
— ...exaction, peut-être...
— Ah ! Ah ! Malgré ton arme de guerre, t'as pas une tête de malfrat, j'te rassure !
On se doucha, tendrement, puis Pierre-Luc invita Florentin à la dînette. On était resté nu, et l'on parla de tout et de rien, dans une ambiance presque complice. Et ce fut tout naturellement qu'on s'alla coucher dans le lit de Pierre-Luc.
— J'en reviens pas, d'avoir fait jouir un mec ! commença-t-il, après qu'on eut éteint.
— Moi, non plus... et en même temps, c'est sans doute pas un exploit !
— Tu prends ça bien, toi ?
— Ouais. T'es... sympa, beaucoup et... beaucoup beau.
— Ça veut dire que tu...
— Que je ferai ce que tu voudras... surtout si tu veux recommencer !
— Oooh... Pourquoi pas ?
— Tout de suite ? fit Florentin en posant la main sur la quéquette à Pierre-Luc.
On alla plus loin, cette fois, puisqu'on se tortilla l'un contre l'autre avec une jolie ardeur... et qu'on en vint à s'embrasser, vivement aussi, d'ailleurs. Il ne fallut pas des ères avant qu'on se suçât, de plus. Pour finir, Florentin exigea qu'on rallumât pour se gicler chacun sur la gueule de l'autre...
— P'tain, c'était bon ! constata Pierre-Luc avant qu'on s'allât doucher.
— Ouais, on a bien fait de venir !
On remit ça au mitan de la nuit, puis au matin, avec une ardeur renouvelée. Surtout... il y eut lors des gestes de tendresse. Et l'on décida de se revoir... pas plus tard que tout à l'heure.
Or donc Pierre-Luc travaillait, ce dimanche après-midi. On passa une tendre matinée, puis Florentin accompagna Pierre-Luc à la boutique : Florentin voulait acheter quelque chose, ne serait-ce que pour servir aux intérêts de Pierre-Luc devant son patron.
Mais, alors qu'on était passé dans la pièce d'essayage « spécial », le patron parut, alors que ces garçons en étaient à se rouler un fort bavouilleux patin, Florentin étant tout nu.
— Ah ! Je vois que la clientèle n'a qu'à bien se tenir !
— Oh, patron, je vais t'expliquer !... s'écria Pierre-Luc.
— Rien du tout ! Je comprends tout seul ce que je vois, quand même ! Et je vous envie, allez... Bonne vente, mon gars ! fit le patron en se retirant, hilare.
On décida d'écourter les effusions, et Florentin se décida pour une petite chose minimaliste qui fit sourire le patron :
— Adorable ça, effectivement. Au plaisir de vous revoir, Monsieur ! Et même... juste pour une visite de courtoisie !...
Les garçons apprécièrent l'ironie et se séparèrent... provisoirement. Car il parut dès lors qu'on n'avait plus envie de se quitter... Et les jours suivants, Florentin parut chaque soir à La Slipette, pour quérir son nouvel ami en fin de service... sous les regards amusés du patron.
Le vendredi suivant, alors qu'on avait bien avancé sur le chemin de la connaissance mutuelle, Pierre-Luc suggéra :
— Est-ce que tu crois... qu'on pourrait inviter Denis à l'apéro, demain soir ? Il est adorable avec moi, et je voudrais le remercier...
— En ma présence ?
— Il t'aime bien, tu sais ?
Florentin ayant accepté, on organisa un apéro dînatoire... sans oser parler d'autre chose. Où parut le patron, tout sourire... et porteur de deux bouteilles de champagne... et d'un lot de nouveautés qu'il venait de recevoir.
Après quelques lampées de bulles, il proposa à ses hôtes de les essayer. Lesquels ne firent pas leurs mijaurées et se déloquèrent incontinent. Avant que Florentin demandât :
— Et toi, chef, t'en fais pas autant ?
Denis dévoila sa fine et jolie plastique... comme un fort mignon objet tout droit et fin qui plut tout de suite... et le reste ne posa subséquemment aucun problème à personne. Chaude, qu'elle fut, la suite... et les garçons y apprirent de nouvelles techniques de Denis, ce soir-là, comme ensuite... car cet homme-là avait de la science, et tellement à donner!
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