15-02-2024, 12:12 AM
Deuxième : 10 mots, Saint Valentin !
Torse nu, il avait aussi la quéquette à l'air, et ma fois, l'ensemble formait un tableau que n'eût pas renié Gustave Courbet... Car, dans son état comateux, le gars Victor ne celait rien de ses mirifiques beautés.
Ce sportif était bien velu de sombre, mais pas à l'excès, et son organe était des plus regardables... et Rémi l'appréciait hautement, Victor n'en faisant pas mystère. Même, il le voyait en érection de temps à autre, le matin...
Et là, ce rude enfant l'avait à demi-dure... Et même, Rémi put la voir bouger, et croître encore... Dubitatif un instant, il eut alors une idée démoniaque (enfin, digne d'un diablotin, au mieux !) et il sortit son portable pour filmer la croissance saccadée de ce superbe chibre...
Et quand le magnifique objet reposa sur le ventre velu de son coloc, auréolé d'une épaisse et sombre forêt qui le faisait rêver depuis longtemps, il le mitrailla sous tous les angles...
Il alla se poser dans sa chambre, et se mit en boxer avant de revenir au salon. Victor gisait comme un vieux polisson, une jambe sur le tapis, et la queue bien raide...
Rémi ne pouvait pas le laisser comme ça, et il décida de le réveiller. Il eut du mal, car les ronflements se transformèrent en geignements, mais la bestiole semblait bien endormie...
Il avait vu des tas de films où des mecs suçaient leur potes endormis, et il y songea bien... d'autant qu'il avait présentement une mignonne trique, mais... il ne l'osa pas.
Il secoua donc Victor derechef, et celui-ci finit par ouvrir un œil.
— Mmmm... Qui c'est ? C'est qui ?
Et de tendre une main... pour rencontrer la quéquette à Rémi, qu'il saisit.
— Oh p'tain ! Mais ça bande encore, asteur ? C'est qui ?
Tétanisé, Rémi n'osa répondre : la main de Victor sur sa bite... c'était Byzance ! Victor qui avait refermé son œil mais ne lâchait pas le paquet de Rémi... grommelant :
— T'as pas assez joui, mon cochon ? Oh ! Chuis pus en état de branler ni de faire quoi que ce soit !
Mais il poignassa assez la bite à Rémi pour qu'iceluy bandât complètement, maintenant ! Il poussa un énorme soupir, et fit un gros effort pour ouvrir les deux yeux :
— Oh p'tain ! Mais c'est toi ! Toi ! Mais qu'est-ce que tu fous là ?
Il ôta sa main, mais plus prompt que l'éclair, Rémi la lui replaqua au bon endroit... laissant la sienne dessus.
— Donc tu disait que t'avais branlé, hier soir ?
— Mais non, non !
— Si ! T'as branlé des bites dans une touze hétéro, c'est ça ?
— Mais... Oh, ma tête !
— Change pas de sujet, ou j'te laisse tomber pour toujours !
— Nooon !... Chais pas, moi, j'étais bourré ! J'ai p'têt' touché un mec, mais...
— Je ferai mon enquête : j'ai la liste des suspects !
— Pitiééé ! Tu vois bien que je vais mourir, là !
— Mais non, mais non ! Je m'occupe de toi. Et Rémi de reposer la jambe du mourant sur le sofa, puis de lui ôter le jean — Victor n'avait pas de dessous.
Puis il alla à la cuisine quérir les cachets salvateurs, et en profita pour virer son boxer.
— Allez, tu bois ça !
Puis il fila à la salle de bains prendre une serviette qu'il mouilla largement... et plaqua sur le beau rondin toujours ferme.
— Eh, qu'est-ce que tu fous ?
— Il sent la moule pas fraîche, ton harpon ! T'occupe pas, et bois !
Rémi nettoya énergiquement queue, parties et rondelle, essuya et se jeta dessus bouche ouverte et sans autre avis.
— Eeeeh !... Maiiiis !...
Mais Rémi était parti, et Victor dut avaler sa potion avant de refermer les yeux. Rémi, lui savait ce qu'il faisait, et voulait. Il s'y donna avec la plus belle ardeur du monde... et son patient ne tarda pas à geindre de la belle manière.
Et comme Rémi avait du retard à rattraper, il examina de la langue les endroits qu'il avait décrassés des humeurs femelles... et donc s'en donna à cœur joie un bon moment. Enfin, Victor annonça déborder... et Rémi le manipula avec une rare vivacité... tout en lui plantant un majeur dans le cul.
Victor hurla, mais il jouit comme jamais... Rémi souffla :
— J'imagine que t'as oublié comment on branle un mec ?
— Oooo ! geignit le mec.
— Laisse tomber, va ! Ça te reviendra... Allez, à la douche... avant de ranger le bordel ambiant !
Il était encore un peu flageolant, le Victor, mais devant la détermination de Rémi, il n'osa faire sa mijaurée, et suivit.
Rémi s'offrit encore la plaisir de savonner minutieusement sa splendeur de colocataire... qui avait l'air un peu con, en se laissant faire.
— Et tu restes à poil, pour ranger, hein ? T'es beau comme ça ! ajouta Rémi, pas mécontent d'abuser de la situation... lui qui avait si souvent souffert de fermer sa gueule quand Victor imposait des choses à l'appartement... comme des nanas à poil !
Et même il se paya le luxe de photographier son pote en train de balayer le salon, nu... Victor laissa faire, qui accepta cependant de poser.
S'il était amoureux de son pote, connu dès le lycée, il ne le pensait pas ; mais il l'avait toujours trouvé sexy en diable, et les derniers événements ne disaient pas le contraire.
Il l'envoya faire la sieste après lui avoir fourré quelques restes de la veille dans le gosier... et resta bien songeur, en repensant à ce qu'il avait eu le culot de faire !
Et comment Victor réagirait-il, une fois complètement dessoûlé ?
Pour l'instant un sonore ronflement issant de la carrée dudit le fit sourire... et il alla derechef photographier la superbe académie qui s'offrait à son admiration. Sans oublier les gros plans appropriés, comme bien vous pensez !
Il resta à poil pour s'occuper de ses affaires, la porte de sa chambre grand ouverte, évidemment. Une heure plus tard, un beuglement le fit passer chez Victor, qui émergeait et reprenait figure humaine.
— Oh p'tain... J'ai soif !
— De l'eau ?
— Euh... non, non... fit mollement Victor. Je crois qu'il reste une ou deux bouteille de bulles... et il paraît que c'est le bon moyen de soigner les gueules de bois... Tu... Tu voudrais ? Oh ! T'es à poil ?
— Toi aussi, alors je me suis dit... Bon, les bulles !
Rémi avait déjà repéré le reliquat, deux bouteilles, effectivement. Et il sortit deux coupes de cristal dépareillées issues de la collection familiale.
On alla trinquer sur le canapé du salon, et il y eut un silence, d'abord.
— Ça va-t-y mieux ? demanda enfin Rémi.
— Oh, merci... et merci aussi pour le reste ! Mais... pourquoi t'as fait ça ?
— Ben... longtemps que ça me taraudait et là, j'ai vu une occasion à saisir. Tu m'en veux ?
— Bien sûr que non ! Mais... je me sens tout con.
— Quand on est aussi beau que toi, on peut pas être vraiment con... fit Rémi avec un petit sourire.
— Oh... Tu m'enfonces, là !
— Me tente pas !
— Rémi ! Tu voudrais ça, aussi...?
— Je voudrai ce que tu voudras, mon pote !
— Ben... j'promets pas tout !
On but alors en silence, et Rémi murmura, sans rouerie :
— Je sais que t'es hétéro... et que j'y suis peut-être allé un peu fort ce matin... J'espère qu'on restera amis.
— Mais, Rémi, qu'est-ce que tu dis, là ? Aucun mec au monde ne te reprocherait ça, voyons ! Seulement... je peux pas te rendre des trucs pareils, tu devines...
On se regarda, presque ému. Et c'est en se demandant quel serait l'avenir de leur vie de colocation que Rémi regagna sa chambre, pour tenter d'y penser à autre chose.
En fin d'après-midi, on sonna, et deux lascars parurent à l'appart', Corentin et Hervé, deux loupiots que connaissait Rémi, et fieffés hétéros, qui s'installèrent au salon sans préavis, avec leur bouteille de bulles — mais vous savez qu'il en restait de la veille.
Rémi entrouvrit sa porte, à toutes fins utiles... et il fut promptement édifié ! Car les mectons déclarèrent véhémentement, après avoir fait sauter un bouchon :
— Alors, mon p'tit cochon, t'as pas oublié tes promesses d'hier soir, quand même ?
— Non, non... gémit un Victor que Rémi avait entendu plus vaillant. Euh... quoi, déjà ?
— Ceux que tu pouvais pas branler, tellement t'étais bourré, tu les suçais sous trois jours... et ceux-là, c'est nous !
— Euh... vous pouvez pas attendre un peu ?
— Le plus tôt sera le mieux, pour te libérer de ta dette de jeu ! Quand on sait pas jouer, on joue pas !
— Et quand on sait pas boire, on boit pas, compléta l'autre.
« Oh putain! songea Rémi, tout ouïe, je suis gâteux, ou j'ai bien entendu ? Je savais pas ça, nom de dieu ! Ah, le cochon ! »
Subitement, sa jolie tête connut un vif bouillonnement qui aboutit à cette conclusion : il tenait là l'occasion de sa vie, et à lui de ne pas la rater !
Pour l'instant, Victor gémissait lamentablement :
— Mais... Mais... Oui... j'le f'rai... mais laissez moi un peu de temps !
— Escroc ! Tu te rappelles qu'il y a des a témoins ?
— Oui... Pitié !
C'est alors que Rémi fit son entrée au salon, vêtu d'un seul boxer bien moulant, et qu'il déclara virilement :
— Salut les mecs ? Je peux picoler aussi ?
Une fois servi, il poursuivit... dans la froidure ambiante :
— Sans le vouloir, j'ai entendu votre conversation et... et je rachète la dette de Victor.
— Hein ? Mais comment ?
— Ben c'est simple : je vous suce à sa place, et je m'arrange avec lui pour le remboursement.
— Ha ! s'exclamèrent les deux mecs ensemble... qui restèrent un instant cois, se regardant, dubitatifs.
Corentin objecta cependant :
— Mais... c'est une dette personnelle, et...
— On voit que tu fais du droit, toi ! Mais on transige sur tout, tu le sais bien : si tu veux deux pipes au lieu d'une...
Corentin regarda Hervé... et ces mecs rigolèrent :
— Va pour deux !
— Donc on est d'accord qu'il n'y aura pas de cacophonie juridique autour de cette affaire ?
— Juré ! firent les deux autres, ravis. On fait ça quand ?
— Première livraison à signature... donc tout de suite !
Et sous l'œil effaré de Victor, les deux mecs se déloquèrent, et Rémi suça l'un en branlant l'autre, alternant les figures et les caresses à un rythme vif qui parut plaire... Enfin, il ordonna aux sucés de se mettre en position d'arroser le joli torse velu de leur copain, sous sa vigoureuse action...
— Deuxième livraison sous quinzaine ! claironna Rémi.
On picola alors en parlant de choses et d'autres, comme de vieilles et britanniques marquises... Et quand ces deux beautés s'en furent, c'est un Victor totalement effondré que Rémi ramassa au fond du vieux sofa.
— Excuse-moi, Victor... je me rends compte que j'ai négocié sans ton accord... et p'têt' que t'aurais voulu les sucer ? Si tu veux, je te les rends pour la deuxième pipe !
— Nooon, beugla le garçon, arrête !
— Tu en devais deux, donc tu en pompes un, et moi l'autre !
— Mais arrête, enfin ! cria Victor, je veux plus entendre ça ! J'te ferais ce que tu voudras, et basta !
— Bon ! On en reste là pour ce soir. On cause demain, ou n'importe quand, Victor ! Dors bien.
Mais Rémi n'oublia pas de saisir la bouteille de bulles des mectons, plus qu'à moitié pleine...
Et il s'enferma dans sa chambre, non sans s'assurer de quelques restes encore de l'orgie de la veille, au frigo...
Il n'était pas dix heures qu'on frappa, timidement. Il fit entrer Victor, qui était nu. Et tellement emprunté !
— Je veux pas te déranger, mais... te parler un peu.
— Autant que tu voudras, car... tu me dérangeras jamais assez !
— T'es fou ! Bon...
— Viens, dit Rémi, l'invitant près de lui sur son lit — il était nu aussi.
Où Victor reconnut ses conneries de la veille, ses excès qui l'avait poussé à accepter des défis idiots qu'il avait évidemment perdus, etc, etc...
— T'embête pas, va ! Tu me dois rien, et surtout pas des excuses ! Si... un truc : et si on vivait à poil, ici ?
— Ben... Oui, ce que tu voudras.
— Et pour finir... tu assisteras aux deux autres pipes, hein ?
Puis Rémi orienta la conversation sur d'autres sujets, et alla quérir encore des bulles... Vous savez qu'il en restait. On rigola bientôt, et la fin de la soirée arriva, où Victor n'osa refuser l'invite de Rémi à dormir avec lui.
Au matin, Victor fut éveillé par la bouche de Rémi, qui venait de se refermer sur son beau gland ogival. Sensation déjà connue... sauf que cette fois, Rémi avala tout.
— T'es fou ! feula Victor.
— On dit ça, si on croit des choses... Eh ben ! Si tu crois que je t'aime... j'peux te dire que t'as raison !
— Hein ?... Rémi... Mais...
— Mais t'es pas obligé de me marier tout de suite !
Soudain, et brusquement, Victor vint s'emparer de la bouche de Rémi.
Tableau !
Corentin et Hervé vinrent séparément récupérer leur dette de jeu... et plutôt gênés, en apparence... sous l'œil d'un Victor nu et qui se branlait en souriant doucement... Quand le second fut parti, Victor souffla à Rémi :
— C'est quand tu veux, garçon.
— Chut ! C'était mon cadeau, et tu ne me dois rien.
— Je veux te donner quelque chose !
— Peut-être... qu'on pourrait dormir ensemble, quand t'as pas de copine ?
Il en eut de moins en moins, des copines, le beau Victor... et voilà.
Lendemain de bringue
Il était pas glamour, glamour, le pourtant superbe Victor, vautré à demi-nu dans l'antique canapé du salon ce samedi matin-là, vers midi...
On était fin juin, et il s'était agi de fêter la fin de la seconde année de fac. Enfin... c'était une des fêtes prévues, car le but quasiment avoué ici était que ça se termine louchement... et apparemment, ça avait été le cas, du moins pour Victor !Torse nu, il avait aussi la quéquette à l'air, et ma fois, l'ensemble formait un tableau que n'eût pas renié Gustave Courbet... Car, dans son état comateux, le gars Victor ne celait rien de ses mirifiques beautés.
Ce sportif était bien velu de sombre, mais pas à l'excès, et son organe était des plus regardables... et Rémi l'appréciait hautement, Victor n'en faisant pas mystère. Même, il le voyait en érection de temps à autre, le matin...
Et là, ce rude enfant l'avait à demi-dure... Et même, Rémi put la voir bouger, et croître encore... Dubitatif un instant, il eut alors une idée démoniaque (enfin, digne d'un diablotin, au mieux !) et il sortit son portable pour filmer la croissance saccadée de ce superbe chibre...
Et quand le magnifique objet reposa sur le ventre velu de son coloc, auréolé d'une épaisse et sombre forêt qui le faisait rêver depuis longtemps, il le mitrailla sous tous les angles...
Il alla se poser dans sa chambre, et se mit en boxer avant de revenir au salon. Victor gisait comme un vieux polisson, une jambe sur le tapis, et la queue bien raide...
Rémi ne pouvait pas le laisser comme ça, et il décida de le réveiller. Il eut du mal, car les ronflements se transformèrent en geignements, mais la bestiole semblait bien endormie...
Il avait vu des tas de films où des mecs suçaient leur potes endormis, et il y songea bien... d'autant qu'il avait présentement une mignonne trique, mais... il ne l'osa pas.
Il secoua donc Victor derechef, et celui-ci finit par ouvrir un œil.
— Mmmm... Qui c'est ? C'est qui ?
Et de tendre une main... pour rencontrer la quéquette à Rémi, qu'il saisit.
— Oh p'tain ! Mais ça bande encore, asteur ? C'est qui ?
Tétanisé, Rémi n'osa répondre : la main de Victor sur sa bite... c'était Byzance ! Victor qui avait refermé son œil mais ne lâchait pas le paquet de Rémi... grommelant :
— T'as pas assez joui, mon cochon ? Oh ! Chuis pus en état de branler ni de faire quoi que ce soit !
Mais il poignassa assez la bite à Rémi pour qu'iceluy bandât complètement, maintenant ! Il poussa un énorme soupir, et fit un gros effort pour ouvrir les deux yeux :
— Oh p'tain ! Mais c'est toi ! Toi ! Mais qu'est-ce que tu fous là ?
Il ôta sa main, mais plus prompt que l'éclair, Rémi la lui replaqua au bon endroit... laissant la sienne dessus.
— Donc tu disait que t'avais branlé, hier soir ?
— Mais non, non !
— Si ! T'as branlé des bites dans une touze hétéro, c'est ça ?
— Mais... Oh, ma tête !
— Change pas de sujet, ou j'te laisse tomber pour toujours !
— Nooon !... Chais pas, moi, j'étais bourré ! J'ai p'têt' touché un mec, mais...
— Je ferai mon enquête : j'ai la liste des suspects !
— Pitiééé ! Tu vois bien que je vais mourir, là !
— Mais non, mais non ! Je m'occupe de toi. Et Rémi de reposer la jambe du mourant sur le sofa, puis de lui ôter le jean — Victor n'avait pas de dessous.
Puis il alla à la cuisine quérir les cachets salvateurs, et en profita pour virer son boxer.
— Allez, tu bois ça !
Puis il fila à la salle de bains prendre une serviette qu'il mouilla largement... et plaqua sur le beau rondin toujours ferme.
— Eh, qu'est-ce que tu fous ?
— Il sent la moule pas fraîche, ton harpon ! T'occupe pas, et bois !
Rémi nettoya énergiquement queue, parties et rondelle, essuya et se jeta dessus bouche ouverte et sans autre avis.
— Eeeeh !... Maiiiis !...
Mais Rémi était parti, et Victor dut avaler sa potion avant de refermer les yeux. Rémi, lui savait ce qu'il faisait, et voulait. Il s'y donna avec la plus belle ardeur du monde... et son patient ne tarda pas à geindre de la belle manière.
Et comme Rémi avait du retard à rattraper, il examina de la langue les endroits qu'il avait décrassés des humeurs femelles... et donc s'en donna à cœur joie un bon moment. Enfin, Victor annonça déborder... et Rémi le manipula avec une rare vivacité... tout en lui plantant un majeur dans le cul.
Victor hurla, mais il jouit comme jamais... Rémi souffla :
— J'imagine que t'as oublié comment on branle un mec ?
— Oooo ! geignit le mec.
— Laisse tomber, va ! Ça te reviendra... Allez, à la douche... avant de ranger le bordel ambiant !
Il était encore un peu flageolant, le Victor, mais devant la détermination de Rémi, il n'osa faire sa mijaurée, et suivit.
Rémi s'offrit encore la plaisir de savonner minutieusement sa splendeur de colocataire... qui avait l'air un peu con, en se laissant faire.
— Et tu restes à poil, pour ranger, hein ? T'es beau comme ça ! ajouta Rémi, pas mécontent d'abuser de la situation... lui qui avait si souvent souffert de fermer sa gueule quand Victor imposait des choses à l'appartement... comme des nanas à poil !
Et même il se paya le luxe de photographier son pote en train de balayer le salon, nu... Victor laissa faire, qui accepta cependant de poser.
S'il était amoureux de son pote, connu dès le lycée, il ne le pensait pas ; mais il l'avait toujours trouvé sexy en diable, et les derniers événements ne disaient pas le contraire.
Il l'envoya faire la sieste après lui avoir fourré quelques restes de la veille dans le gosier... et resta bien songeur, en repensant à ce qu'il avait eu le culot de faire !
Et comment Victor réagirait-il, une fois complètement dessoûlé ?
Pour l'instant un sonore ronflement issant de la carrée dudit le fit sourire... et il alla derechef photographier la superbe académie qui s'offrait à son admiration. Sans oublier les gros plans appropriés, comme bien vous pensez !
Il resta à poil pour s'occuper de ses affaires, la porte de sa chambre grand ouverte, évidemment. Une heure plus tard, un beuglement le fit passer chez Victor, qui émergeait et reprenait figure humaine.
— Oh p'tain... J'ai soif !
— De l'eau ?
— Euh... non, non... fit mollement Victor. Je crois qu'il reste une ou deux bouteille de bulles... et il paraît que c'est le bon moyen de soigner les gueules de bois... Tu... Tu voudrais ? Oh ! T'es à poil ?
— Toi aussi, alors je me suis dit... Bon, les bulles !
Rémi avait déjà repéré le reliquat, deux bouteilles, effectivement. Et il sortit deux coupes de cristal dépareillées issues de la collection familiale.
On alla trinquer sur le canapé du salon, et il y eut un silence, d'abord.
— Ça va-t-y mieux ? demanda enfin Rémi.
— Oh, merci... et merci aussi pour le reste ! Mais... pourquoi t'as fait ça ?
— Ben... longtemps que ça me taraudait et là, j'ai vu une occasion à saisir. Tu m'en veux ?
— Bien sûr que non ! Mais... je me sens tout con.
— Quand on est aussi beau que toi, on peut pas être vraiment con... fit Rémi avec un petit sourire.
— Oh... Tu m'enfonces, là !
— Me tente pas !
— Rémi ! Tu voudrais ça, aussi...?
— Je voudrai ce que tu voudras, mon pote !
— Ben... j'promets pas tout !
On but alors en silence, et Rémi murmura, sans rouerie :
— Je sais que t'es hétéro... et que j'y suis peut-être allé un peu fort ce matin... J'espère qu'on restera amis.
— Mais, Rémi, qu'est-ce que tu dis, là ? Aucun mec au monde ne te reprocherait ça, voyons ! Seulement... je peux pas te rendre des trucs pareils, tu devines...
On se regarda, presque ému. Et c'est en se demandant quel serait l'avenir de leur vie de colocation que Rémi regagna sa chambre, pour tenter d'y penser à autre chose.
En fin d'après-midi, on sonna, et deux lascars parurent à l'appart', Corentin et Hervé, deux loupiots que connaissait Rémi, et fieffés hétéros, qui s'installèrent au salon sans préavis, avec leur bouteille de bulles — mais vous savez qu'il en restait de la veille.
Rémi entrouvrit sa porte, à toutes fins utiles... et il fut promptement édifié ! Car les mectons déclarèrent véhémentement, après avoir fait sauter un bouchon :
— Alors, mon p'tit cochon, t'as pas oublié tes promesses d'hier soir, quand même ?
— Non, non... gémit un Victor que Rémi avait entendu plus vaillant. Euh... quoi, déjà ?
— Ceux que tu pouvais pas branler, tellement t'étais bourré, tu les suçais sous trois jours... et ceux-là, c'est nous !
— Euh... vous pouvez pas attendre un peu ?
— Le plus tôt sera le mieux, pour te libérer de ta dette de jeu ! Quand on sait pas jouer, on joue pas !
— Et quand on sait pas boire, on boit pas, compléta l'autre.
« Oh putain! songea Rémi, tout ouïe, je suis gâteux, ou j'ai bien entendu ? Je savais pas ça, nom de dieu ! Ah, le cochon ! »
Subitement, sa jolie tête connut un vif bouillonnement qui aboutit à cette conclusion : il tenait là l'occasion de sa vie, et à lui de ne pas la rater !
Pour l'instant, Victor gémissait lamentablement :
— Mais... Mais... Oui... j'le f'rai... mais laissez moi un peu de temps !
— Escroc ! Tu te rappelles qu'il y a des a témoins ?
— Oui... Pitié !
C'est alors que Rémi fit son entrée au salon, vêtu d'un seul boxer bien moulant, et qu'il déclara virilement :
— Salut les mecs ? Je peux picoler aussi ?
Une fois servi, il poursuivit... dans la froidure ambiante :
— Sans le vouloir, j'ai entendu votre conversation et... et je rachète la dette de Victor.
— Hein ? Mais comment ?
— Ben c'est simple : je vous suce à sa place, et je m'arrange avec lui pour le remboursement.
— Ha ! s'exclamèrent les deux mecs ensemble... qui restèrent un instant cois, se regardant, dubitatifs.
Corentin objecta cependant :
— Mais... c'est une dette personnelle, et...
— On voit que tu fais du droit, toi ! Mais on transige sur tout, tu le sais bien : si tu veux deux pipes au lieu d'une...
Corentin regarda Hervé... et ces mecs rigolèrent :
— Va pour deux !
— Donc on est d'accord qu'il n'y aura pas de cacophonie juridique autour de cette affaire ?
— Juré ! firent les deux autres, ravis. On fait ça quand ?
— Première livraison à signature... donc tout de suite !
Et sous l'œil effaré de Victor, les deux mecs se déloquèrent, et Rémi suça l'un en branlant l'autre, alternant les figures et les caresses à un rythme vif qui parut plaire... Enfin, il ordonna aux sucés de se mettre en position d'arroser le joli torse velu de leur copain, sous sa vigoureuse action...
— Deuxième livraison sous quinzaine ! claironna Rémi.
On picola alors en parlant de choses et d'autres, comme de vieilles et britanniques marquises... Et quand ces deux beautés s'en furent, c'est un Victor totalement effondré que Rémi ramassa au fond du vieux sofa.
— Excuse-moi, Victor... je me rends compte que j'ai négocié sans ton accord... et p'têt' que t'aurais voulu les sucer ? Si tu veux, je te les rends pour la deuxième pipe !
— Nooon, beugla le garçon, arrête !
— Tu en devais deux, donc tu en pompes un, et moi l'autre !
— Mais arrête, enfin ! cria Victor, je veux plus entendre ça ! J'te ferais ce que tu voudras, et basta !
— Bon ! On en reste là pour ce soir. On cause demain, ou n'importe quand, Victor ! Dors bien.
Mais Rémi n'oublia pas de saisir la bouteille de bulles des mectons, plus qu'à moitié pleine...
Et il s'enferma dans sa chambre, non sans s'assurer de quelques restes encore de l'orgie de la veille, au frigo...
Il n'était pas dix heures qu'on frappa, timidement. Il fit entrer Victor, qui était nu. Et tellement emprunté !
— Je veux pas te déranger, mais... te parler un peu.
— Autant que tu voudras, car... tu me dérangeras jamais assez !
— T'es fou ! Bon...
— Viens, dit Rémi, l'invitant près de lui sur son lit — il était nu aussi.
Où Victor reconnut ses conneries de la veille, ses excès qui l'avait poussé à accepter des défis idiots qu'il avait évidemment perdus, etc, etc...
— T'embête pas, va ! Tu me dois rien, et surtout pas des excuses ! Si... un truc : et si on vivait à poil, ici ?
— Ben... Oui, ce que tu voudras.
— Et pour finir... tu assisteras aux deux autres pipes, hein ?
Puis Rémi orienta la conversation sur d'autres sujets, et alla quérir encore des bulles... Vous savez qu'il en restait. On rigola bientôt, et la fin de la soirée arriva, où Victor n'osa refuser l'invite de Rémi à dormir avec lui.
Au matin, Victor fut éveillé par la bouche de Rémi, qui venait de se refermer sur son beau gland ogival. Sensation déjà connue... sauf que cette fois, Rémi avala tout.
— T'es fou ! feula Victor.
— On dit ça, si on croit des choses... Eh ben ! Si tu crois que je t'aime... j'peux te dire que t'as raison !
— Hein ?... Rémi... Mais...
— Mais t'es pas obligé de me marier tout de suite !
Soudain, et brusquement, Victor vint s'emparer de la bouche de Rémi.
Tableau !
Corentin et Hervé vinrent séparément récupérer leur dette de jeu... et plutôt gênés, en apparence... sous l'œil d'un Victor nu et qui se branlait en souriant doucement... Quand le second fut parti, Victor souffla à Rémi :
— C'est quand tu veux, garçon.
— Chut ! C'était mon cadeau, et tu ne me dois rien.
— Je veux te donner quelque chose !
— Peut-être... qu'on pourrait dormir ensemble, quand t'as pas de copine ?
Il en eut de moins en moins, des copines, le beau Victor... et voilà.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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