07-01-2024, 05:48 PM
Troisième défi phrasette,
Vol de culottes à l'internat
— Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat...
En réalité, ce n'était qu'une affaire, qui avait disparu : son minislip — car le fin Dominique détestait les boxers, les qualifiant de « barboteuses »...Précisons que ce long, fin et blond garçon était plutôt bien pourvu... et qu'il se trouvait beaucoup mieux mis en valeur dans un minislip que dans une barboteuse...
« Ce serait donc vrai, que les internats sont des repaires de pédés ? » se demanda-t-il alors. Dominique venait de faire sa dernière rentrée ici, à dix-huit ans tout juste, ses parents ayant provisoirement migré en Australie, pour leurs affaires.
— Juste un an, mon chéri ! avait dit Maman, et tu pourras te faire plein d'amis, c'est sûr !
Dominique sourit en se remémorant cette phrase : car faute d'amis, il avait déjà un fan club... en deux jours !
Mais... puisqu'il n'y avait que des mecs en cette boîte huppée, il fallait bien que c'en fût un qui désirât s'enivrer de ses senteurs intimes... Il sourit derechef : il se demandait depuis longtemps comment ça suçait, un pédé... Un mec, quoi !
Lui qui avait dû abandonner un mignon harem pour venir se cloîtrer ici, il aimait plutôt bien le sexe... et il ne doutait pas que cela travaillât aussi ses condisciples. Bref, l'année menaçait d'être chaude, Réchauffement ou pas !
Restait à dégoter le voleur d'odeurs... Certes, il n'avait pas manqué de surprendre maint regard visant son bel objet, sous la douche... mais à moins qu'un gang d'amateurs de sniffe opérât céans, il fallait bien que sa culotte fût sous le nez d'un de ces mateurs !
Il se ceignit de sa serviette, et rentra à sa chambre, partagée avec un beau gars du nom de Martin, sportif engageant et sans manières.
— On m'a piqué mon slip !
— Ah ! Ah ! Ah ! Déjà ? C'est vrai qu'avec le matériel que tu te trimballes, t'as dû leur mettre le feu aux couilles ! Ah ! Ah ! Ah !
— Ça te fait rire ? fit Dominique, l'air faussement vexé.
— Nullement, nullement ! Mais bon... ça te donne une indication sur la suite des opérations... et de ton année ici.
— Hein ? Mais laquelle ?
— On est hétéros tous les deux... mais faute de meuf, une bouche avide est toujours la bienvenue, non ?
— Ben... tu crois ? fit Dominique, réprimant un sourire.
— Garanti ! Tu vois celle-là ? fit il en se prenant la queue (car il était à poil sur son lit), elle t'en donnerait des nouvelles ! Tu sais que c'est ma troisième année ici, alors...
Où Martin se raconta un peu : dans sa première année, il avait bien dû sucer des grands, mais son avantageux physique de sportif — et surtout ses poils déjà nombreux — lui avait vite permis de s'imposer. Cependant, il ne gardait pas un mauvais souvenir de ces choses... et avoua en reprendre une petite dose de temps à autre. Dominique laissa choir sa serviette et se saisit la bite :
— Les nanas disent tout le temps qu'elle est trop grosse pour être bien sucée...
— Y a pas un mec qui te dira ça, mon pote ! affirma Martin.
— J'ai plus qu'à attendre qu'on me viole, quoi...
— Tu prendrais ça pour un viol... si je te sautais dessus, la bouche grand ouverte ?
— Martin ?
— Oui, oui, je sais, je suis hétéro ! Mais ici... je suis devant le plus beau mec de la boîte, et le plus bandant... Tu veux ?
Dominique eut un geste indiquant qu'il ne savait... et Martin se jeta, comme annoncé, sur sa queue... qui réagit au quart de tour. Ah ! La belle pipe que celle-là ! Dominique ne bouda pas son plaisir, qui apprécia la technique de son hétéro de coloc' ! Et il emplit le gosier d'un Martin qui n'en recracha pas une miette... Il murmura, enfin :
— Pas sûr de te rendre ça, Martin...
— Beau comme t'es, tu prends, et tu rends pas. Et on t'adorera quand même.
Drôle de prédiction ! On causa, ensuite (il restait une demi-heure avant le dîner), et Dominique demanda enfin :
— C'est quoi, la vie ici ?
— En dehors des cours, c'est beaucoup de fantasmes et peu de sexe pour la plupart, et le contraire pour certains... voila ! T'aimerais quoi, toi ? Moi, je sais où je suis ! J'ai déjà repéré des petits nouveaux à qui je vais apprendre les bonnes manières...
— T'aimes le cul tant que ça ?
— Je suis exactement comme toi, et tous les autres : oui !
Dominique dut sourire et admettre in petto que lui aussi... et il fut content de partager sa carrée avec un tel garçon.
— Reste que faudra bien retrouver ton voleur de culotte ! Forcément un mec de l'étage, donc. Mais comme y sont tous plus ou moins pédés... et chauds à cent pour cent...
— Bof... Laisse tomber : après tout, c'est plutôt flatteur de penser qu'un mec s'endort en reniflant l'odeur de ma bite...
— Ah ! Ah ! Oui, t'as raison ! J't'adore, toi ! Mais moi, je préfère m'endormir avec le goût de ton jus sur la langue !
— Cochon !
— Attention : ici, c'est un compliment !
Il eut du mal à s'endormir, Dominique : ça faisait beaucoup, tout ça. Quand il s'éveilla, Martin était en train de s'astiquer vigoureusement, et il le regarda jouir.
— Oh, t'es là toi ? fit alors le branleur.
— Oui, un peu...
— Et tu te branles pas ?
— J'attends le parachutage de mon ONG préférée...
Martin sauta de son lit et emboucha dans la seconde le roide vit d'un Dominique qui gémit hautement. Décidément, il venait de se faire, sans lever le petit doigt, un admirateur enragé... et à domicile !
— Bon ! fit Martin en se léchant les babines, ayant tout avalé, je vais commencer mon enquête. et puis on ira se doucher ensemble, et je surveillerai tes fringues : faudrait pas que tu sois obligé de te faire livrer les p'tites culottes pas lot de vingt-cinq !
— T'es gentil, mais... je t'en demande pas tant.
— Sauf que j'ai envie de savoir, moi ! Et que je suis jaloux aussi... Je sniffe pas bon, moi ? Et quand on aura coffré le pervers sniffomane, on en fera notre esclave sexuel !
Dominique éclata de rire.
— C'est un internat, ou un camp de vacances, ici ?
— Écoute ça : c'est ce qu'on en fait, et grâce à ce vol providentiel, on va bien s'amuser... Tiens ! Première idée : et si on piquait aussi les slips des autres ? Histoire de foutre le bordel à l'étage... On va les rendre tous plus fous que nature, tiens ! Et va y avoir de la bite à l'air, dans l'canton ! Allez, on y va et on commence tout de suite.
Aux douches, Martin ne put certes surprendre le voleur de culottes, car Dominique y était allé avec sa seule serviette... mais il revint en douce avec deux trophées ; deux boxers chipés à de jolies brutes sportives, Victor et Christian, deux beaux mecs, velus déjà et fort engageants... contre lesquels on n'avait rien du tout, d'ailleurs. C'était pour le plaisir...
Dans la chambre, peu après, Dominique le trouva reniflant les culottes, et demanda :
— Alors ?
— Y dorment avec, ces cons-là ! Je sais pas si t'aimeras... Tiens !
Dominique dut respirer les mâles odeurs de ses condisciples, exercice qu'il n'avait pas prévu... Mais... rien de bien effrayant en ces frêles effluves... [alexandrin]
— Ben ouais... des p'tites odeurs de mecs... comme nous.
— On arrête, ou ?...
— Non, c'est une bonne idée. et on revole ces deux-là demain... afin de créer le scandale, et c'est là qu'on rigolera !
— Ah ! Je vois que tu comprends la tactique ! fit Martin, tout sourire. J't'adore, toi !
Ainsi fut fait... dès le soir-même, puisqu'on prenait céans deux douches par jour. Ayant oublié leur mésaventure du matin, les beaux sportifs avaient baissé la garde, et Martin réitéra son méfait. Il y avait du monde, et il disparut sans se faire remarquer.
— Oh putain ! s'écria le rude Victor, c'est qui la tête de con qui nous pique nos boxers ? J'vais l'buter, ce pervers !
— On m'a fait le coup, hier aussi. Alors je viens ici à poil. À mon avis c'est un gang de fétichistes, dit gravement Dominique. Alors soit on se commande des culottes bon marché par douzaines, soit y viennent nous renifler les couilles en direct !
— Ah ! Ah ! pouffa Christian, tu prends ça bien, toi !
— Ouais, ça me botte d'imaginer des mecs, ici, se branlant avec mon slip sous le pif !
Les autres, qui avaient été attirés par les cris de Victor, éclatèrent de rire.
— Ça n'empêche pas qu'on peut faire une enquête, en demandant à tout le monde : « Tu te branles avec les odeurs de qui, toi ? »
Nouvel éclat de rire général.
— Bref, tu t'en fous, quoi ?
— Ouais, j't'ai dit, ça m'excite même un peu... mais on pourrait peut-être se faire du fric avec ça : tant le slip du jour, tant celui de deux jours, etc...
Encore un succès pour Dominique ! On se sépara, mais Victor prit Dominique par le bras :
— T'es sympa, toi ! Tu viendrais pas boire un coup chez nous ? On a c'qu'y faut...
— Faut que je prévienne mon pote, Martin.
— Martin ? Alors tu l'invites aussi, on le connaît bien !
Rentré chez lui, Dominique demanda à Martin :
— Dis-donc, toi, tu m'as pas tout dit ! Il paraît que tu les connais bien, les deux autres ?
— Ben... J'avais dégoté un petit pour me faire sucer, et ça a fuité... sans jeu de mots... et on s'est retrouvé à trois à profiter de ses talents... Il est encore là c't'année, d'ailleurs...
On fut donc chez les deux autres, et le nom du joli Florent vint assez vite sur le tapis.
— Tu crois quand même pas que c'est lui qui nous pique nos affaires ? demanda Victor.
— Il est pas de l'étage... mais il a peut-être un complice ! fit Martin, l'air louche. On va le faire parler... mais pas la bouche pleine !
On pouffa et picola... et l'on finit par se branler de concert.
— Bref, l'enquête n'avance pas ! constata Martin quand on fut rentrés.
— On a juste trouvé des potes de branlette...
Le lendemain, Martin alpaguait le beau Florent, qui lui répliqua fermement :
— Maintenant, c'est plus le même tarif : je suce si on me suce...
— Oh ! Le p'tit cochon !
— À bonne école, avec de grands cochons comme vous !
— Tu viens chez moi ce soir ? fit calmement Martin.
Lorsque Florent parut, Dominique bandait ferme, attendu que Martin s'était employé à encourager le personnel... Le minet sourit, et demanda, avec un air vicieux :
— Tout le monde suce, ici ?
— À poil, et tu verras ! fit Martin, s'essayant à l'autorité.
Et Martin de s'agenouiller devant le beau vit du « p'tit »...
Or on frappa : Victor et Christian. Bien qu'à poil et la queue en l'air, Dominique sortit... au même moment que le surveillant de l'étage, joli mec sympa, qui logeait à côté :
— Ho ! Y se passe des choses, là ?
— Non, non, rien, deux mots, pas plus, Bertrand !
Le surveillant s'en fut en rigolant, et Dominique expliqua les nouvelles conditions du marché.
— Tu suces, toi ? demanda Christian.
— Je sais pas encore... Ouais, je crois... ça me chauffe !
— Tu fais quoi ? demanda Victor à son pote. Moi... oui !
— Euh... Je peux mater, seulement ?
On rentra donc. Martin et Florent étaient en plein soixante-neuf, et les deux autres, vite à poil, se prirent la pine, les yeux exorbités...
— Tiens, y a du monde que j'connais, là ! fit soudain Florent. Y suce super bien, Martin... et vous ?
— Mieux, évidemment ! fit un Victor au ton bravache.
— Oh p'tain ! Je sens qu'on bien s'amuser, c't'année !
Ainsi commença une séquence où l'on oublia vite fait les culottes volées... Au reste, Victor et Christian retrouvèrent les leurs devant leur porte un matin... et maculées de foutre. Martin avait eu cette idée, avant d'aller nuitamment les déposer... On en rigola avec les garçons, et la vie s'agrémenta vitement : puisqu'on suçait le suceur, on pouvait en faire autant des autres... Je vous donne à penser que la suite ne fut pas triste !
Début mai, Dominique allait à la douche, vêtu de sa seule serviette, comme toujours, quand il tomba sur une longue chose rouquine, un Joël au demeurant sympa quoique fort timide et, partant, plutôt solitaire ici.
— Hep, Joël ! Tu sais quoi ? Ton slip ressemble fortement à celui qu'on m'a piqué aux douches au début de l'année... J'peux voir la marque ? Oui, c'est bien ça... Tu le tiens d'où ?
Complètement troublé, le mec rougit fortement, et bafouilla, l'air terrorisé :
— Je... Je... Oh !... Je...
— Tu rien, laisse tomber ! J'm'en fous. Mais je vois que toi aussi, t'as du mal à tenir dedans en entier ! On va se laver ?
Où Dominique, qui avait ces derniers mois énormément progressé dans l'art des relations mondaines, caressa doucement Joël sous l'eau chaude... On était seuls alors.
— T'avais aimé me renifler ?
— Euh... Oui, c'était super.
— On recommence... tu veux ? Rends-moi çui-là, et je te le repasse dans deux jours... ou trois, ça va ?
— Oh, mais... fit le garçon, archigêné.
Ainsi fut pourtant fait... Mais Dominique alla plus loin : il vira Martin un temps, pour proposer à Joël :
— J'te file mon slip, mais... t'aimerais pas mieux me renifler en direct ? Ce serait sympa, non ? Et j'te sens aussi, tiens ! Tu sais, ça me fait plaisir que ce soit toi ! T'es beau, Joël ! Et sexy, vraiment. Et gentil, je crois. Et intelligent...
On entreprit donc l'entrereniflage annoncé. Qui amena deux belles érections. Et deux jolies crues, finalement.
Pourquoi Dominique ne mêla-t-il pas Joël aux jeux ardents qu'il pratiquait quotidiennement avec les autres ? Il eut envie de se réserver des moments d'intimité avec le timide mais attachant rouquin. Et puis... Joël était fin mais fort bien dessiné et... somptueusement monté... et il désira se le garder.
Certes, Joël fut vite au courant du reste, mais... les choses avancèrent, sans qu'on y pensât vraiment : il advint qu'on s'aima. La fin de l'année approchait, où l'on eut évidemment son bac. La suite se fit à deux, mais on n'oublia pas les amis de pension, les années suivantes !
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)