13-12-2023, 07:52 AM
Coucou les gens,
Un récit de Noël hors-concours : c'est le texte de Tom Frack pour qui je servait de bêta-lecteur et de qui je n'ai plus de nouvelles depuis la COVID 19. Il publiait ses récits sur feu Gai-Éros. Ayant toujours ses écrits dans mes cartons, je vous livre celui-ci:
Un récit de Noël hors-concours : c'est le texte de Tom Frack pour qui je servait de bêta-lecteur et de qui je n'ai plus de nouvelles depuis la COVID 19. Il publiait ses récits sur feu Gai-Éros. Ayant toujours ses écrits dans mes cartons, je vous livre celui-ci:
Un conte de noël
Par Tom Frack
Il faisait très froid et la neige tombait drue depuis le matin. Les derniers rayons du soleil tentaient vainement de traverser l’épaisse couche de nuages, mais perdaient déjà leur ultime bataille contre la nuit. Partout dans les rues l’esprit de noël régnait en maître. Des foules entraient et sortaient des magasins, les bras chargés de paquets enrubannés multicolores. La joie et l’excitation de cette veille de fête éclairaient les visages aussi brillamment que les illuminations des rues.
Au milieu du tohu-bohu incessant, une fillette se promenait entre son père et sa mère, les tenant chacun par la main. Elle semblait heureuse malgré des vêtements aussi élimés que ceux de ses parents qu’elle entraînait de vitrine en vitrine, éblouie par les beaux objets qu’elles recelaient.
Malgré son beau visage, son père avait la mine sombre car il savait qu’il ne pourrait rien offrir à sa fille pour noël. Son cœur s’alourdit encore plus lorsqu’il vit sa femme s’agenouiller devant son enfant et lui expliquer que le père noël ne passerait probablement pas cette année.
— Je sais, répondit la fillette. Il ne sait pas que nous avons déménagé.
Déménagé… Il pensait que quitter la Pologne pour la France lui permettrait d’offrir une vie meilleur à sa famille, mais après six mois, ses rêves s’étaient éteints et presque plus rien ne restait du petit pécule qu’il avait mis de côté pour s’installer. Tout au plus pourrait-il payer un mois de loyer supplémentaire au marchant de sommeil qui leur louait une miteuse et glaciale petite chambre au dernier étage d’un vieil immeuble décrépi.
Pourtant sa grand-mère l’avait lu dans les cartes ! Son avenir était ici, elle le lui avait assuré !
« Et c’est quand tu t’y attendras le moins que tu recevras l’aide dont tu auras besoin. Tu ne devras pas la refuser, quel qu’en soit le prix » avait-elle terminée sa prédiction d’une voix sévère. Mais l’aide… il l’attendait toujours !
Sa femme leva les yeux vers lui et la tristesse qu’il y lu lui brisa le cœur. Bon dieu ! Que pouvait-il faire ! Il avait tout essayé pour trouver du travail, mais mis à part quelques menus travaux par-ci par-là, payés de la main à la main, aucun contrat ne s’était présenté.
— Ne t’inquiète pas ma chérie, il saura où nous trouver.
Les mots étaient sortis de sa bouche sans même qu’il ne s’en rende compte et il ne prit conscience de les avoir dits qu’au moment où il croisa le regard horrifié de sa femme.
Pourtant il n’eut aucune envie de les reprendre. Il était père maintenant et chef de famille ; il devait agir comme tel. Il adressa un sourire confiant à sa jeune épouse ; il l’aimait tant. Leur rencontre et leur amour était un miracle et il allait tout faire pour la voir sourire à nouveau.
— Rentrez toutes les deux. Je vais faire en sorte que le père noël sache où nous trouver.
— Que comptes-tu faire, Jacek, lui dit discrètement sa femme.
— Ne t’inquiète pas mon amour, lui répondit-il en la prenant dans ses bras. Je vais tout arranger.
Elle se laissa aller contre lui, cédant à son baisé. Puis il embrassa sa fille sur le front et les regarda disparaître dans la nuit.
***
La caisse du crédit municipal occupait les deux étages d’une grande bâtisse moderne en plein centre-ville. Jacek n’hésita pas avant d’en franchir l’entrée et de gagner la file d’attente. Jamais il n’aurait pensé trouver tant de monde à cette heure, mais il ne devait probablement pas être le seul à avoir besoin d’argent. Il regarda la montre qu’il portait au poignet. C’était tout ce qui lui restait de son père, mort alors qu’il était tout jeune. Lui-même l’avait reçu de son père qui la tenait de son père. Elle était ancienne et de bonne facture. La mettre en gage lui serrait le cœur mais le bonheur de sa fille n’avait pas de prix.
Perdu dans sa contemplation, il ne vit pas l’homme approcher et ne prit conscience de sa présence à côté de lui qu’au moment où il s’adressa à lui.
— C’est un magnifique objet que vous avez là.
Il sursauta et resta un instant ébahi devant l’homme qui le dominait de plus d’une tête.
— Euh… oui... merci, bredouilla-t-il. Elle appartenait à mon père.
Pourquoi avait-il dit ça ? Il n’en avait probablement rien à faire.
Il détailla son interlocuteur, complétement halluciné par ce qu’il voyait.
L’homme avait une cinquantaine d’année et une épaisse tignasse aussi blanche que sa barbe fournie. Mais le plus choquant était probablement le costume de père noël qu’il portait et qui peinait à rester fermé sur son corps apparemment très musclé. Sa veste de velours rouge bordée de fourrure blanche laissait entrevoir un torse musclé et velu tandis que son pantalon fait de la même matière et fermé par une ceinture à grosse boucle, semblait prêt à craquer.
— Une bien belle montre qu’il est dommage de mettre en gage.
La voix, grave et profonde, perturba Jacek.
— Oui… mais je n’ai pas le choix. C’est pour ma fille, vous comprenez. Elle aussi à droit à un vrai noël.
— C’est très généreux de votre part. Chaque enfant devrait avoir droit à son noël. Moi-même, je distribue des cadeaux aux plus démunis.
— Oh… d’où votre déguisement.
— En effet.
— Mais. Que faites-vous ici ? Vous ne semblez pas manquer d’argent.
— Non, en effet. Mais il m’arrive de venir ici pour essayer d’aider mon prochain. Ses voleurs du crédit municipal sont loin de donner leur juste prix aux choses. Venez me voir si vous n’êtes pas satisfait de ce qu’ils vous offrent.
Et sans lui laisser le temps de répondre, il s’éloigna et sortit du bâtiment.
Il n’avait pas vu le temps passé et c’était maintenant à son tour. L’homme qui lui faisait face derrière la vitre de sécurité ne lui adressa même pas un sourire.
— Qu’avez-vous à mettre en gage, demanda-t-il d’une voix monotone au travers de l’hygiaphone.
— Ma montre, répondit Jacek en mettant le bijou dans le passe-document.
Il retira vivement ses doigts comme l’homme activait le mécanisme de sa main gantée de latex. Il prit l’objet et l’examina avec attention, ne lâchant qu’un bref « oui » puis un « dommage ».
— 50, lui dit l’homme sans ambages.
— C’est impossible, elle vaut beaucoup plus ; elle est très ancienne.
— Ancienneté ne rime pas obligatoirement avec valeur, débita l’homme de sa voix toujours monotone, comme s’il entonnait un adage mainte fois répété.
— Mais…
— C’est à prendre ou à laisser. Vous bloquez la file, décidez-vous.
— Je… non…
— Comme vous voudrez. Suivant, cria-t-il tout en reglissant la montre dans le passe-document.
Jacek la récupéra d’une main tremblante. Il se sentait sonné. Il pensait avoir trouvé la solution pour offrir un vrai noël à sa fille… il avait échoué… encore…
Le pas lourd, il sortit du bâtiment, totalement étranger à ce qui l’entourait. Il tenait toujours fermement sa montre entre ses doigts comme l’objet le plus précieux du monde. Qu’allait-il faire maintenant ?
— Combien vous ont-ils proposé ?
La voix grave le fit de nouveau sursauter. L’homme en costume de père noël se trouvait de nouveau devant lui, toujours aussi grand et massif.
— 50, articula-t-il péniblement d’une voix rauque, la gorge serrée par le désespoir.
— Pfff… je vous l’avais dit… des voleurs…
— Je… oui… j’aurais peut-être dû les prendre… je n’ai pas d’autre option…
— Des options, il y en a toujours plus que ce que l’on pense.
— Je ne pense pas.
— Je peux peut-être vous aider…
— J’en doute mais merci quand même.
— Je ne plaisante pas. Comme je vous l’ai dit, j’aime aider les gens. J’ai la chance de disposer d’assez d’argent pour vivre largement. Un héritage, vous comprenez. Et il est normal que j’en fasse profiter ceux qui n’ont pas eu ma chance.
Jacek le regarda, soupçonneux. Un bon samaritain ? Il avait du mal à y croire. Mais sa chance tournait peut-être ? Peut-être était-ce l’aide de la prédiction de sa grand-mère ?
— Comment pourriez-vous m’aider ?
— Je peux vous prêter l’argent dont vous avez besoin.
— Me prêter l’argent ? Mais contre quoi ? Ma montre ?
— Vous pourrez me la laisser en gage, si cela vous rassure, mais vous n’y serez pas obligé. Pourquoi ne pas aller discuter de tout ça au chaud, j’habite à deux pas d’ici. Ça ne vous engage à rien.
Jacek hésita, mais la voix sévère de sa grand-mère résonna dans ses oreilles « Tu ne devras pas la refuser, quel qu’en soit le prix ». Était-ce cela ?
— Je… oui. Pourquoi pas.
Pour la première fois, un mince sourire étira les lèvre du père noël.
— Suivez-moi.
***
Jacek fut presque surpris de ne pas être conduit jusqu’à un traineau tiré par des rennes. Au lieu de cela, ils ne marchèrent que quelques minutes avant de franchir le porche d’une résidence sécurisée.L’entrée était tout en marbre et d’une propreté impeccable, si bien que Jacek hésita presque à y pénétrer.
— Venez, et ne craignez rien ; ils nettoient tout le temps.
Ils pénétrèrent dans un ascenseur puis l’homme en costume rouge activa le mécanisme au moyen d’une clé. L’ascension fut rapide et ils débouchèrent directement sur un vaste appartement. La décoration y était moderne et chaleureuse ; tout y était propre et bien rangé.
— C’est… très beau.
— Oui. C’est ce que tout le monde dit.
Jacek cru lire de la tristesse sur le visage de l’homme mais l’expression passa bien vite. Il le suivit dans un salon meublé d’un vaste canapé d’angle.
— Asseyez-vous, je vous en prie. Voulez-vous boire quelque chose.
— Euh, un verre d’eau, s’il vous plait.
— Mettez-vous à l’aise, je reviens.
Jacek s’assis et posa son manteau usé à côté de lui. Une douce chaleur régnait dans l’appartement ; rien à voir avec la chambre glaciale qu’il occupait avec sa famille.
— Votre accent m’est familier, repris l’homme en revenant avec deux verres d’eau. Il avait ouvert sa veste et Jacek resta interdit devant la musculature dessiné de son torse.
— Euh… Pologne… bredouilla-t-il.
— Très joli. J’ai toujours aimé les accents de l’est. Vous vous appelez comment ?
— Jacek.
— Humm… très joli.
L’homme s’était assis à côté de lui et Jacek pouvait sentir la chaleur du corps viril contre le siens.
— Euh… merci.
Il se sentait ridicule d’avoir si peu de conversation, mais les choses devenaient… bizarre.
— Tu sais ce que tu fais là Jacek, n’est-ce pas ?
La voix de l’homme lui semblait encore plus grave, ronronnante et il se raidit comme il posait une main sur sa cuisse.
— Je… que…
— Allons Jacek, détends-toi. Je peux t’aider. Je peux être la solution à tout tes problèmes. Laisse-toi faire.
L’homme avait maintenant posé une main sur sa nuque tandis que l’autre se rapprochait de son entre-jambe. Jacek essaya de se relever mais l’autre le maintint fermement.
— De l’aide vient toujours au moment où on s’y attend le moins.
Ces mots résonnèrent bizarrement dans la tête du jeune polonais tant ils ressemblaient à la prédiction de sa grand-mère.
— Mais… que… non…
Mais son refus fut brutalement étouffé par la bouche de l’homme qui se plaquait sur la sienne. Jacek se sentit emporté par le corps massif et se retrouva sur le dos, une masse musculeuse le maintenant fermement. Les lèvres sur les siennes étaient chaudes et une langue râpeuse cherchait à les ouvrir. Il tenta de se libérer mais le corps pesait trop lourd sur le siens. Il se tortilla, s’agita puis brusquement manqua d’air. Il ouvrit la bouche et la langue épaisse bondit en avant et entreprit de fouiller méthodiquement sa bouche, cherchant la sienne qui tenta d’esquiver.
Jamais il n’avait été embrasser de la sorte. Avec sa femme, leurs baisers étaient toujours doux et pleins d’amour et il n’avait guère eu d’autres expérience. Jamais on ne l’avait embrassé de manière aussi vorace. L’homme plaquait son bassin contre le sien, frottant une tige épaisse contre son ventre. Il se sentait écœuré… non… mais…
D’une main l’homme défit son pantalon et Jacek sentit une main large et caleuse s’emparer de sa verge.
— Humm, tu bandes mon ange.
— Non… je… oooohhhh !
Ses protestations se muèrent en gémissements alors que la bouche de l’homme se refermait sur son sexe et l’aspirait goulument.
— Kurwa.
La sensation de la langue chaude et râpeuse de l’homme sur sa queue fit littéralement disjoncter son cerveau. Jamais on ne lui avait rien fait de tel. Il se mit à gémir bruyamment sans même s’en rendre compte et de plus en plus fort comme la langue glissait sur ses testicules et toujours plus bas…
Quand l’homme lui releva brutalement les jambe et le plia en deux, il ne trouva même pas la force de réagir, surtout lorsque la langue l’assaillit de nouveau, forant cette fois un passage dans son anus.
Il avait chaud, se sentait incapable de la moindre pensé cohérente. Des vagues de sensations le submergeaient à chaque nouveau coup de langue tandis que des doigts le pénétraient à présent.
Il savait qu’il aurait dû se débattre, se sauver ; mais il en était incapable.
Sans réagir, il se laissa retourner sur le ventre. L’homme s’allongea sur lui, une main sur son ventre nu. Mais à quel moment l’avait-il déshabillé ? Lui portait pourtant toujours son costume rouge…
— Respire bien fort mon ange. Je veux t’entendre crier mon nom. Je m’appelle Nicolas ; tu t’en souviendras ?
— Que je… AHHHHH !!!
Une violente douleur le percuta. Son anus était en feu. Il tenta de s’extirper de la masse de muscles qui l’écrasait, mais il en fut incapable. Un barreau bouillant se frayait un passage en lui, lentement, mais irrémédiablement.
Une main se posa sur sa bouche pour le bâillonner tandis que Nicolas lui murmurait des paroles apaisantes à l’oreille.
— Oui mon ange. Je sais que je suis gros ; très gros même. Et tu es si serré. Mais ne t’inquiète pas. une fois que le trou sera fait, jamais je ne le laisserai se refermer. Tu verras tout le plaisir que je vais t’apporter. Je sais que tu en sens chaque centimètre et que vingt centimètres, ça peut être très long. Mais tu es si souple et si ferme à la fois. Oh oui mon ange, on y est presque. Je sens mon ventre toucher ton dos, encore un peu… Oui… j’y suis… là… tout au fond.
Nicolas l’enserra dans ses deux bras et ils restèrent ainsi un long moment ; aucun des deux hommes ne voulant bouger. La bouche de l’homme mordillait sa nuque et Jacek haletait doucement. Il se sentait plein, rempli et étiré.
— Tu vibres mon ange, je peux le sentir autour de ma queue. La prochaine fois, je te la donnerai à sucer. Tu vas voir, tu vas aimer. Je vais t’apprendre. Je suis sûr que tu es doué pour ça. Ta bouche sera parfaite et ta gorge m’accueillera tout entier.
Jacek aurait voulu lui crier que non, mais au même moment, il sentit le mandrin qui le remplissait commencer à bouger. Il crut un bref instant que la douleur allait se déchainer en lui mais comme l’homme poussait pour revenir il appuya sur une zone étrange qui lui fit perdre la tête.
— Oui… ça, c’est ta prostate mon ange.
Et de nouveau il appuya dessus.
— Tu aimes ça, mon ange. Dis-moi que tu aimes ça si tu veux que je recommence. Je veux te l’entendre dire !
La voix de Nicolas était douce mais exigeante.
— Je…
— Dis-le mon ange. Dis que tu veux que je te prenne.
L’homme frôlait la zone qui lui faisait tant d’effet sans réellement la toucher. Jacek se sentait tourmenté, frustré de se voir refuser ce plaisir. Mais jamais il ne supplierait un homme de le prendre.
« Tu ne devras pas la refuser, quel qu’en soit le prix ».
De nouveau, la voix de sa grand-mère résonna dans sa tête. Était-ce cela ?
— Pitié ! croassa-t-il comme un nouvel effleurement menaçait de lui faire perdre définitivement la tête.
— Dis-le ! ordonna Nicolas. Demande-moi de te baiser. Supplie-moi !
— Jam… ! Ahh… ! Kurwa ! Baise-moi !
— Redis-le ! Crie-le ! Crie mon nom !
Alors, toute retenue abandonna Jacek.
— Baise-moi ! Nicolas je t’en supplie ! Baise-moi !
— Avec plaisir mon ange.
Alors l’homme sortit entièrement de son corps puis le pénétra de nouveau, l’emplissant totalement. Il se mit à alterner, de petits mouvements et d’autres plus amples, surprenant toujours Jacek qui n’arrivait pas à appréhender l’étendue des sensations qu’il ressentait. Puis Nicolas se déchaina et se mit à le pilonner. Le corps de Jacek peina à supporter l’exigeant corps massif mais il tint bon malgré tout.
Combien de temps durèrent leurs ébats ? Aucun des deux homme ne le sut réellement, mais quand la jouissance frappa Nicolas, il se libéra puissamment dans le ventre de son amant avant de s’affaler de tout son poids sur lui.
Le corps de Jacek, comme en état de choc, tremblait et ,sous lui, il sentait la nappe visqueuse et chaude du sperme qu’il avait déversé plusieurs fois. Qu’avait-il fait ?
— Ne regrette rien mon ange, lui murmura Nicolas à son oreille.
Nicolas était toujours en lui ; et toujours dur. Mais il trouvait presque cela normal.
— Je…
— Chut mon ange. Ne dis rien. On va se préparer puis on ira chercher ta femme et ta fille. Vous viendrez vivre ici. Il y a largement la place. Tu dormiras avec moi et ta femme l’acceptera mon ange. Crois-moi. Et nous élèverons ta fille tous ensemble et tous les enfants que tu auras. Tout ce que tu as m’appartient maintenant.
Jacek ne sut que répondre tant la proposition lui paraissait surréaliste mais Nicolas ne lui laissa pas voix au chapitre. Comme dans un rêve, il se laissa mener dans la douche et habiller. Puis ils se rendirent dans la chambre miteuse où l’attendaient sa femme et sa fille. Sa fille bondit de joie en voyant le père noël entrer. Son père avait tenu parole. Mieux même ; il avait amené le père noël avec lui !
Nicolas pris sa femme à part et ils parlèrent longuement seul à seul et lorsqu’ils revinrent, elle était radieuse.
— Tout est réglé, mon ange. Rentrons à la maison.
Et ensemble ils rentrèrent et vécurent heureux ; et jamais plus le trou de Jacek ne se referma.
THE END
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