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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 14-06-2023

Un hétéro plus tellement "téro" ...hé hé ! Pauvre Marie-Paulette ! Elle, au moins, ne devrait pas sourire en pensant. Mais qu'y faire? Si Christophe a franchi son rubis-c.n, difficile de revenir en arrière avec les aléas si bien jacta estés.
Je pencherai assez pour notre -très- prolifique ami, coutumier du fait.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 14-06-2023

Au delà des caractéristiques techniques évidentes relevées à juste titre par Bech, il y a la tendresse de l'approche, la délicatesse, le choix offert à Christophe de participer au plaisir qui lui est offert, mais sans idée de retour imposé, jusqu'à sa décision personnelle de le faire, c'est respectueux, comme ça devrait toujours l'être, sans chantage affectif, trop récurrent, parfois...
Pour tous ces éléments, mesdames et messieurs du jury, je vous demande de condamner le sieur Louklouk aux travaux forcés à perpétuité de rédaction de ses nombreux futurs récits sur Slygame !


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 20-06-2023

[Image: 58604.jpg]
quatrième "feu de camp"



La semaine au lycée avait été particulièrement exigeante et je n'avais qu'un idée, c'était de me reposer à ne rien faire.

Je faisais partie d'un groupe très uni où garçons et filles se côtoyaient joyeusement, flirtaient avec un plaisir évident sans que les choses aillent véritablement trop loin si l'on excepte certaines soirées un peu alcoolisées ou parfois un couple bien innocent s'éloignait quelque peu pour bénéficier de plus de tranquillité.
Cette fin d'après-midi, nous nous sommes dispersés plus rapidement que d'habitude chacun en ayant vraiment sa claque.

Dominique était le dernier venu dans notre classe de terminale et il n'était pas encore véritablement intégré d'autant que sa timidité naturelle ne facilitait pas les contacts. Une ou deux fois, alors qu'il s'apprêtait à rentrer seul chez lui tandis que nous allions partir boire une bière, je lui avais suggéré de se joindre à nous. Une fois il avait accepté mais l'expérience n'avait pas été très concluante pour lui, les autres fois il avait fait valoir un empêchement quelconque.

On était à mi-juin et la journée avait été chaude et je me réjouissais de profiter de la piscine du vieux couple de voisin lorsque, timidement, Dominique s'approcha de moi et me proposa de profiter de cette belle soirée qui s'annonçait pour aller camper le weekend au bord du lac, un coin qu'il avait découvert il y a peu et qu'il avait beaucoup apprécié. J'avoue que cela ne me faisait pas trop envie car, je l'ai dit, j'étais vraiment fatigué. Devant mon refus, il parut tellement triste que cela me fit de la peine. En plus je ne le connaissais que par le lycée et je ne me voyais pas vraiment passé tout le weekend avec un quasi inconnu, même si c'était un garçon a priori assez sympathique pour le peu que j'en connaissais. Et soudain, je me suis souvenu que mes parents devaient déjà avoir quitté la maison familiale car ils allaient rendre visite à des amis qui revenaient tout juste des USA et qui habitaient à trois - quatre heures de route. La perspective de me retrouver seul me fit reconsidérer sa proposition et nous sommes allés boire un jus de fruit dans le bar tout proche où il put alors développer son idée. Tout son matériel de camping était déjà prêt, pour deux personnes car, comme il me le dit, bêtement il n'avait pas envisagé un refus, tellement il avait été fasciné par la beauté du coin qu'il avait découvert.

C'est comme ça que je me suis retrouvé à peine une heure plus tard dans la petite voiture de sa mère, bien chargée du matériel, avec des provisions assez alléchantes, de boissons diverses et de tous les extras pour passer de bons moments. En arrivant, je compris son emballement pour cette petite plage de sable, agréablement ombragée et avec une vue superbe sur les collines avoisinantes. Je manifestais sans réserve ma satisfaction, l'installation de sa petite tente se fit rapidement et en moins de temps qu'il faut pour le dire, il avait allumé un feu pour faire griller des saucisses et des légumes. Incontestablement, il avait l'habitude de ce genre de sortie et en le regardant s'agiter, je vis qu'il rayonnait d'un plaisir qui me fit chaud au cœur. Au fond, j'allais passer un excellent weekend, ma fatigue s'était envolée, je me réjouissais vraiment de me baigner dans l'eau qui était très claire et de faire mieux connaissance de ce garçon, un peu bizarre il est vrai mais très sympathique et qui devenait de plus en plus ouvert. Je crois, et il me l'a dit, qu'il était heureux d'avoir trouvé un ami dans ce lycée ce qui faciliterait son assimilation qui, jusqu'à ce jour n'avait pas été très facile.

La nuit n'était que peu dérangée par les éclairages de la civilisation de sorte que nous bénéficions d'un ciel où le nombre d'étoiles était, me semble-t-il, beaucoup plus nombreuses que d'habitude. À un moment un minuscule croissant lunaire commença à émerger de l'horizon. J'étais comme hypnotisé par ce spectacle féérique auquel le feu jouait un rôle non négligeable avec des flammèches qui jaillissaient par moment du brasier encore incandescent et décrivaient des ombres phantasmagoriques, presque surnaturelles.

La fraicheur nocturne qui commençait à se faire sentir nous incita à nous rapprocher encore du feu et surtout à l'entretenir. Dominique était assis par terre dans une position très relaxe, le dos s'appuyant contre un jeune arbre. Je ne sais ni quand ni comment, mais j'étais blotti contre lui, entre ses jambes largement écartées pour me faire de la place. J'étais vraiment très bien et je profitais sans équivoque de la proximité de nos deux corps. Il faut dire que ce contact de mon corps avec celui d'un garçon était quelque chose de tout-à-fait nouveau pour moi car normalement ce sont les rondeurs féminines qui épousaient mon corps. J'étais un peu déconcerté par la moindre douceur de la peau sur laquelle je reposais car ma tête était calée dans le creux de son épaule et sur sa poitrine couverte, elle, d'un léger et doux duvet de poils blonds. Mais ce qui à la fois me troublait et m'enchantait, c'était une odeur, un parfum que je n'avais jamais détecté à ce jour, celle d'un jeune mâle. Et une main étonnement légère se promenait sur ma poitrine et excitait mes deux tétons dont les pointes étaient largement durcies. Toutes ces nouvelles sensations ne me laissaient pas indifférents et c'était plus tôt le malaise qui dominait car ma raison d'hétérosexuel me disait clairement de prendre mes distances de Dominique, que ce n'était pas pour moi et que c'était encore moins ce que je pouvais souhaiter.

Et pourtant, je ne bougeais pas, je tâchais même d'accentuer le contact de mon dos avec sa poitrine. Je remarquais également qu'il avait tendance à donner de petits mouvements à ses cuisses ce qui avait pour effet qu'à un moment donné je sentis clairement comme une barre dans mon dos, d'abord sans réaliser ce que cela pouvait être jusqu'au moment où, avec ma main, je cherchais à enlever ou tout au moins à déplacer cette gêne. C'est alors que je pris brusquement conscience que ce que je touchais n'étais rien d'autre que le pénis de mon nouvel ami. Horrifié, je m'écartais brusquement. Je n'étais plus vautré mais assis, toujours entre ses jambes lesquelles m'enserraient et m'empêchaient de me lever.

-      Pourquoi veux-tu te lever, est-ce que tu n'es pas bien, est-ce que nous ne sommes pas bien ? La soirée est douce, le calme est reposant
-      Oui, bien sûr mais j'ai senti ton sexe, je m'excuse vraiment, je ne voulais pas ça, tu sais je ne suis pas homo, moi.
-      Je sais bien, mais on peut se sentir bien ensemble. Il me semble que tu ne détestes pas la proximité de nos corps, il me semble même que tu apprécies ma main qui…
-      Oui, enfin non, ah je ne sais plus ce que je dis. Mais je sais que je ne peux pas…
    Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Alors qu'il parlait avec cette douceur qui le caractérisait, sa main était descendue très bas sur ma poitrine, à la limite de mon boxer. Je me cabrais, je cherchais à m'échapper tout en ne faisant rien pour vraiment interrompre son manège que mon esprit repoussait. En tentant une nouvel fois de me lever, ma main cherchait à écarter ses jambes. Il n'opposa aucune résistance, je ne m'y attendais pas, je perdis l'équilibre. Je me raccrochais à lui et, sans le vouloir, j'entraînais son maillot. Son sexe était là, visible, tendu. Ma main était toute proche de ses testicules. J'étais comme paralysé, je contemplais pour la première fois un organe masculin de si près, je le trouvais beau. Dominique me regardait, il avait saisi une de mes mains et l'avait glissée sur son sexe pendant quelques secondes avant de la retirer.

Le sourire tellement charmeur de Dominique affaiblissait ma détermination d'échapper à ce besoin tellement humain de chercher à découvrir l'inconnu, même si celui-ci est paré de l'interdit. Et donc, je restais là où j'étais bien alors même que mes défenses physiques s'effondraient l'une après l'autre : ma braguette était ouverte depuis longtemps, mon boxer blanc était largement visible avec en relief une barre bien dessinée au bout de laquelle une tache humide apparaissait, mes jambes, écartées, devaient laisser entrevoir, à l'entrée de la jambe du sous-vêtement, une petite boule bien remplie

-      Viens, on va aller se coucher. Ne crains rien, je ne ferai rien que tu ne souhaites pas. J'essaierai tout au plus de te faire comprendre qu'entre deux garçons il peut se passer de très beaux moments sans qu'on soit obligatoirement homo pour autant.

Il y avait un moment que je voyais l'entrée de notre petite tente qui était tout à la fois attirante par le plaisir qui pourrait éventuellement en émaner et effrayante par la certitude que c'était pour moi un lieu de perdition dans lequel je ne devais en aucun cas m'aventurer. Dominique s'était levé alors que je restais immobile, il me tendit la main pour m'aider à me relever, une main que je ne saisis pas. Je le sentis un instant perplexe devant mon attitude passive mais j'avais esquissé un sourire, assez minable je pense, mais qui le réconforta. Il se saisit de ma main, tira doucement mais fermement pour me mettre debout. La traction qu'il exerçait me fit partir en avant, ma poitrine heurta la sienne un bref instant. Mais j'étais debout, devant la porte de tissu ouverte qui laissait entrevoir deux matelas pneumatiques l'un à côté de l'autre et deux duvets qui avaient été unis par leur fermeture éclair. Je tentais une dernière manœuvre pour échapper à la tentation qui devenait de plus en plus forte et c'est Dominique qui me devança

-      Je sais que tu as peur de l'inconnu mais dans la vie il y a des moments où il faut oser faire le pas, sinon on risque de le regretter toute sa vie en se disant "mais pourquoi n'ai-je pas tenté le coup de faire ce que j'avais envie de faire ?"
-      Mais je n'ai rien envie de…
-      Mais tu n'as rien à faire, tu n'as qu'à te laisser faire, je me charge du reste. Oublie tout, fais le vide dans ta tête et profite de cette expérience, car ce n'est qu'une expérience et rien d'autre, rien de plus.

Tout en cherchant à me rassurer et à me convaincre de ne pas rester stupide, je me retrouvais allongé sur notre couche commune. Dominique avait enlevé son bermudas, il était en slip avec une grosse protubérance sur le devant. Il était assis à mes côtés, me prodiguait de très légères caresses sur tout le corps qui réagissait par des secousses ou des tremblements. Je sais que j'étais terriblement crispé et pourtant je me laissais faire avec un plaisir qui avait tendance à prendre le dessus sur mon angoisse. Il devait être nu car à un moment donné il porta son slip vers mon nez "respire mon odeur, c'est la mienne, il n'y que moi qui en ai une pareille". Et oui, j'obéissais, je respirais et j'ai aimé cette odeur, son odeur. Sans avoir prononcé un seul mot, il m'avait totalement déshabillé et j'avais mon boxer à portée de main. Je le saisis et le portais à mon tour sur sa figure, il respira profondément, plusieurs fois

-      Tu sais, quoiqu'il arrive, je n'oublierai jamais ce parfum qui émane du plus profond de toi-même

et ce disant, se penchant très lentement en direction de mon sexe, érigé et luisant, il l'embrassa avec une infinie légèreté tout en murmurant "c'est l'origine de ton parfum".

Je ne sais pas, je ne sais plus, ou je ne veux pas savoir ce qui s'est passé ensuite. J'ai vaguement souvenir d'un moment de félicité… de bonheur parfait, d'une langue qui jouait avec la mienne, de mains qui se promenaient sur tout mon corps. Je me souviens que mon membre était dans un endroit tiède et humain où je me suis déversé avec une jouissance indescriptible et que, simultanément, j'ai entendu comme un râle jouissif au moment où mon bas-ventre et ma poitrine devenaient poisseux.

Le lendemain, le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque nous nous sommes réveillés. Nous nous sommes regardés, sans dire un mot mais Dominique lisait sur mon visage comme dans un livre ouvert : j'avais certes aimé, je lui étais reconnaissant mais je n'étais pas prêt pour le grand saut.

Dès années plus tard…

Dominique est mon meilleur ami, celui qui connait tout de moi.
Alors que nous étions étendus sur le sable de la Vendée, il me dit soudain "tu sais, je n'ai jamais oublié ton odeur". Je l'ai embrassé légèrement et j'ai murmuré "moi non plus !"



RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 20-06-2023

Fort suggestif, ce conte : on en...mangerait presque. Nos deux p'tits jeunes "de terminale" ont une façon bien agréable de...terminer leur année scolaire. Et en un pareil endroit enchanteur, c'est encorre mieux. Se laisser tenter sous tente, quoi de mieux?
Merci à l'auteur.
KLO.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 20-06-2023

Hmmm… Qu’on ne me dise pas que 'je' n’a pas voulu ce qui est arrivé, même si au début, sa curiosité pouvait encore juste plafonner au niveau du subconscient... Avant qu’il s’abandonne, dans un état second, enfin, s’il faut le croire… ¬‿¬
Sauf rechute occasionnelle, il n’aura donc jamais basculé complètement vers l’autre amour, mais ils se seront mutuellement trouvé un ami, c’est pas loin d’être aussi important.
L’usage de l’imparfait - étrange pour moi, au lieu du passé simple, sinon du présent - me font penser à stuka132 (encore, je sais, mais ça finira bien par être lui un jour Wink )


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 04-07-2023

Joyeuse fête nationale à tous les  Américains !
[Image: Gay-4th-of-July-Events.jpg]


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 04-07-2023

Je suis tellement conditionné (ou tellement pas encore bien réveillé) que j'ai cru qq secondes à un nouveau défi photo 0.0


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 04-07-2023

Quelle idée lelivredejeremie de te lever vers 7 H du matin en plein mois de juillet. Mais peut-être que tu bosses.

Lorsque Fab a mis la photo pour l'Independence Day, ce n'était que le 3 juillet dans tous le États-Unis d'Amérique.

Sinon, pour revenir sur les prostics et ne pas faire comme tout le monde, je propose Lange128 comme auteur possible du récit N° 2 avec comme outsider éventuel lelivredejeremie qui dans ce cas aura bien caché son jeu.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 07-07-2023

[Image: MFfsYQualRa_kangourounu.jpg]
premier kangourou:

 — C’est un peu idiot d’avoir brouillé l’image, ça fait hentaï, ou porno japonais, ai-je dit.
— Surtout que la surface est abusée, les kangourous en ont une petite, genre jeune carotte, lisse et pointue, les femelles ne doivent pas rigoler.
— Je dois absolument googler un zizi de kangourou, ça va me prendre la tête, je ne dormirai pas.
— Oh, mais fais-toi plaisir, là, la comparaison sera à mon avantage ! Quant à dormir ensuite… disons que j’ai plutôt envie de te faire découvrir le Temps du Rêve des Aborigènes, avec mon Serpent Arc-en-Ciel, si tu vois…
J’ai tapoté l’écran de mon portable, pour découvrir un outil ridiculement court et mince.
— Tu avais fait la même recherche ?
— Pas exactement, non, juste une conversation post-coïtum sur l’oreiller, avec Cameron, un zoologue de l’université de Perth rencontré sur une plage de Pattaya.
— Les ladyboys thaïlandais ne te suffisaient pas ?
— Bof, je préfère les mecs plus… mec, du coup, la bite et les seins sur le même corps…
— Sinon, les Australiens sont aussi coincés que les Japonais ? ai-je demandé, pour ramener la conversation sur un thème moins scabreux.
— Sais pas, je pense qu’eux, c’est plus religieux que culturel, ils sont protestants, a répondu Bastien… Note, a-t-il ajouté, ne voulant pas abandonner le sujet, c’est le seul Australien que j’aie connu, et il ne l’était pas du tout, ni religieux, ni le moins du monde coincé du cul, il avait même le rectum plutôt avide. Et le… recto très avantageux, à l’inverse de ses foutus marsupiaux, du moins à l’état flaccide, sauf que, bon, frustrant au final.
— Mais tu es un top, toi, cent pourcent actif !
— J’étais jeune et curieux, puis Cameron, en tout cas au repos, il faisait une fois et demi ma taille, et… Ho ! T’es toujours avec moi, là ? Tu as les yeux dans le vague.
— Une fois et demi… ai-je murmuré, rêveur.
— Mais jamais trop rigide. Et peu d’endurance… Après, pour ce que tu as dit de moi, je ne suis pas vraiment cent pourcent…
— Ah ? Hmmm… Mais aussi, pour ce que toi, tu viens de dire, perso, l’endurance…
— Pense à autre chose… Aux femelles kangourous, tiens, qui s’embêtent un peu pendant l’acte ! T’inquiète, je trouverai bien mon plaisir.
 
J’avoue, j’ai imaginé qu’il simulerait, pour me faire plaisir, ou me donner confiance en moi, avant de perdre la notion de temps, et d’envahir – peut-être un peu trop mécaniquement - son corps, pour reprendre pied dans la réalité en sentant des mollets se serrer sur ma taille, sa main agitée sur sa virilité, jusqu’à envoyer des gouttelettes nacrées sur ses abdos.
 
En silence, j’ai remercié les lapins géants des terres australes, avant de m’abandonner en lui.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 09-07-2023

Coucou les gens,

Je livre l'ordre des auteurs par récit de "feu de camp"
Ce qui donne comme "nominationnés" :

1 - @lelivredejeremie
2 - @Lange128
3 - @Louklouk
4 - @Nostalgique


@lelivredejeremie, c'est ton tour, j’attends ta photo (en MP) ou tu me dis – Je passe ! et je puise dans mon stock.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 10-07-2023

À noter que je n'ai pas été surpris d'être pronostiqué comme auteur du récit N° 2.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 10-07-2023

Le choix de @lelivredejeremie, la prochaine photo:

[Image: image_10195_1-Vikings.jpg]
"viking"


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 14-07-2023

Joyeuse fête nationale à tous les Français !
[Image: 14-juillet-Yann-Caradec.jpg]


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 14-07-2023

Un très grand merci à notre ami «d'Outre-Quiévrain» pour la splendide image de la célèbre Tour embrasée à l'occasion de notre fête. Je te souhaite, cher Fabrice, de regarder sur «La 2», ce soir, le concert devant la Tour puis le spectacle pyrotechnique qui terminera la soirée.
Bien à toi, KLO.


RE: Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - stuka132 - 14-07-2023

merci l ami Fauve!!!!!
bonne fete Nationale a tous...