Récits érotiques - Slygame
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 23-02-2022

Merci du beau compliment, @lelivredejeremie !

Sais-tu que ta dernière proposition est une mignonne contrepèterie ?
(car oui, j'aime ça aussi...)



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 24-02-2022

Tripote, tripote... oui mais quoi donc? Un chiop? Moi pas avoir vu truc comme ça  Big Grin!


Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - stuka132 - 24-02-2022

(23-02-2022, 06:08 PM)Louklouk link a écrit :Merci du beau compliment, @lelivredejeremie !

Sais-tu que ta dernière proposition est une mignonne contrepèterie ?
(car oui, j'aime ça aussi...)

ahh  le celebre archeologue!!!!



Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 24-02-2022

(23-02-2022, 06:08 PM)Louklouk link a écrit :Sais-tu que ta dernière proposition est une mignonne contrepèterie ?
(car oui, j'aime ça aussi...)
Tripote un peu chaud ?


Re : Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - stuka132 - 25-02-2022

(24-02-2022, 11:24 PM)lelivredejeremie link a écrit :[quote author=Louklouk link=topic=55.msg12064#msg12064 date=1645632539]
Sais-tu que ta dernière proposition est une mignonne contrepèterie ?
(car oui, j'aime ça aussi...)
Tripote un peu chaud ?
[/quote]

tu vois  quand  tu veux mon renardeau .... hihihi



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Louklouk - 25-02-2022

Coucou @lelivredejeremie !
Elle serait mieux présentée ainsi :
" T'es vraiment trop, quand tu chipotes ! "
Note-la dans la liste de tes œuvres...



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 26-02-2022

Entre potes, faut rien se cacher. Là, au moins, c'est beaucoup plus clair! Merci Louklouk.
Y'aurait de la "gastro" dans l'air...Enfin dans l'air façon de parler : on ne repeint pas le plafond tous les jours!


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 26-02-2022

[Image: imgsrc.ru_31576964WUm.jpg]

Kévin ouvrit la porte de l'atelier... et se trouva nez à nez avec un garçon un peu plus âgé que lui, et nu.
— Bonjour ! fit le mec avec un large et engageant sourire, vous venez au cours ? Moi aussi... mais comme vous voyez, je suis le modèle !
— Euh... Non, non ! bégaya Kévin, fort surpris de cette ap¬parition... lui qui était si pudique, voire pudibond ! Je cher¬chais mon oncle et... Excusez-moi ! lâcha-t-il avant de battre précipitamment en retraite.
Il rougit tout seul de sa naïveté : bien sûr qu'il le savait, que son oncle Laurent donnait des cours ! Et il n'ignorait pas non plus qu'un nu se fait d'après nature...
Et si, à dix-huit ans tout juste (il venait d'avoir son bac), il avait évidemment vu ses condisciples aux vestiaires, il avait toujours évité de se laisser voir lui-même...
Seulement là, le mec était si près qu'il aurait pu le toucher.
— Quel con je suis ! finit-il par admettre in petto.
La mention Très bien qu'il avait obtenue lui avait permis de choisir ses vacances, pour la première fois... et c'était tombé sur Tonton Lolo, le plus jeune frère de sa mère, qui avait pile dix ans de plus que lui.
Laurent était le charme et la gentillesse mêmes, et pour cela adoré de tous. Mais surtout ! C'était l'artiste de la famille, un peintre et dessinateur de grand talent, qui à vingt-huit ans avait déjà exposé plusieurs fois à Paris, Genève et Bruxelles, pour ne citer que les plus grandes villes. Et avec succès.
Oncle et neveu avaient toujours été proches, sans pour au¬tant qu'on se confiât trop intimement. Si Kévin n'avait rien à raconter, il se doutait bien cependant qu'un aussi beau mec que son oncle ne devait pas passer toutes ses nuits seul...
Mais il n'avait jamais pu en savoir plus. Laurent était très entouré, de gens de tous genres, artistes, rapins (vieux : apprenti ou mauvais peintre), admirateurs de tous âges et de tous sexes. Après les avoir gentiment salués, Kévin se retirait prudemment dans sa vaste chambre.
Laurent vivait dans une belle villa récente, dans le Midi, et c'est donc là que Kévin passerait juillet et août. L'oncle était ravi, tout en ayant précisé que Kévin serait un peu livré à lui-même : Laurent travaillait beaucoup, et surtout l'été.
Et voilà que, arrivé d'hier, il tombait en plein dans le métier de peintre... et celui de modèle ! Encore heureux que je sois pas tombé dans le pot de peinture, se dit-il, se faisant sourire tout seul. Car ce qui réunissait l'oncle et le neveu était un joli sens de l'humour...
Il alla donc à la cuisine se faire un café, et il rêvassa en si¬rotant. La vue sur la campagne était magnifique, et le temps au beau fixe. Il ne vit pas le temps passer, et sursauta quand on entra, dans son dos.
— Lolo ? demanda-t-il spontanément.
— Ah ! Ah ! Non, moi, c'est Benoît. Pause-café !
Kévin se retourna, rougissant derechef, pour voir le beau modèle vêtu d'un peignoir non fermé et qui s'occupait de se faire un café. Le mec s'assit nonchalamment sur une chaise et surprit aussitôt le regard de Kévin...
— C'est mes poils, que tu regardes ? Obligation profession¬nelle ! J'ai beaucoup de poils, mais ils sont super fins, et ton oncle a voulu que je les garde : c'est pas la mode, mais il dit que c'est particulièrement difficile à rendre au dessin ou en peinture. Et d'ailleurs... je les aime bien, moi. Et voilà ! conclut le mec en tirant sur sa jolie touffe.
Derechef couleur poivron mûr, Kévin regarda ailleurs.
— Tu te rases, toi ? demanda Benoît.
— Euh... non, non !
— Par choix, ou parce qu'on te l'a pas demandé ?
— Oh, je... Non, on ne m'a rien demandé.
Et pour cause : il était puceau jusqu'au trognon, Kévin !
— Je l'avais fait quand j'avais ton âge, avant qu'on me dise que je ressemblais à une petite fille... ce qui m'a évidemment vexé ! Depuis... on m'a fait des compliments, sans me vanter. Toi, tu trouves ça comment ? demanda le garçon en se cares¬sant la toison de la poitrine à la touffe, et souriant.
— Ben c'est... euh... naturel.
— T'aimes pas ?
— Euh... Si, si ! fit Kévin, rerougissant.
— T'es poilu, toi ? insista le mec.
— Euh... ben... ça commence un peu...
— Faudra que tu montres ça à Tonton... Je devrais pas dire ça, moi : des fois qu'il t'embauche à ma place !
— Au turf ! dit alors la voix de Tonton, fini de jaboter !
— On parlait poils, chef !
— Tiens, tiens !
Kévin resta seul dans la cuisine, encore étonné... et troublé par cet étrange entretien. S'il était sensible au charme et à la beauté de Benoît, il ne le savait mie. Il n'avait jamais osé se demander s'il préférait les garçons aux filles... ou plutôt, il n'avait jamais voulu répondre à cette question. Et là... il devait bien admettre que la fine et délicatement velue nudité du gra¬cieux Benoît lui avait donné quelque émoi ès culottes !
Et même... il fila dans sa chambre pour se palucher avec ar¬deur. Il pratiquait cet exercice au moins deux fois par jour, mais les fantasmes qu'il utilisait étaient assez flous pour qu'il n'en tirât point de conclusion définitive...
En fin de matinée, on frappa chez lui : Benoît, nu toujours.
— Coucou ! J'me douche toujours en repartant... J'me suis dit que tu pourrais me montrer tes poils en te douchant avec moi ?
— Ah ! Euh... ben... bafouilla Kévin, archicoincé.
— Allez viens ! Promis, je dirai rien à ton oncle sur ton physique : je veux pas perdre ma place !
Benoît prit la main de Kévin et le tira vers la salle de bains, juste en face. Où Kévin fut bien obligé de se désaper, honteux comme jamais. Benoît le considéra avec attention.
— Ah oui ! Ça vient bien... j'veux dire pour l'implantation, et la forme et... tu vas pas tarder à être super sexy, toi ! Et puis t'es finement dessiné et... bien monté, je crois. Ah ! Ah ! Fais pas cette tête-là, ah ! ah !
Car Kévin avait l'air totalement ahuri, à ce moment. Benoît le poussa vers la douche italienne et fit couler l'eau. Bien que l'endroit ne fût pas exigu, Benoît frôla tout le temps Kévin, avec pour résultat qu'iceluy ne tarda pas à proposer sa belle arme à l'admiration des foules.
Longue et fine, lisse et bellement prépucée, la quéquette à Kévin était en vérité un remarquable objet. Benoît prit la main du jeune homme pour se la poser sur la bite :
— Aide-moi à monter, j'ai un p'tit temps de retard, là !
Retard vite rattrapé : Benoît l'eut raide aussitôt, oui ! Sa quéquette était un peu du même genre, mais un peu plus épaisse et à peine plus courte.
— T'es vraiment beau, tu sais ? affirma-t-il doucement, alors qu'on se tenait l'un l'autre. On se fait un p'tit plaisir, là ? Ajouta-t-il en commençant à manipuler Kévin.
À ce moment, Kévin n'avait plus le choix... et d'ailleurs, son cœur battait si fort qu'il craignit que l'autre l'entendît !
On se branla donc un moment sans se regarder, avant que Benoît relevât le menton de Kévin de sa main libre. Un ado¬rable sourire força Kévin à sourire aussi... et l'on accéléra un peu la manœuvre.
Ouh ! Il fut bon, ce moment-là ! On se gicla l'un sur l'autre, et Kévin reçut avec surprise un bisou de Benoît sur les lèvres.
— Boum ! Sympa, non ? fit Benoît.
— Oui, c'est...
On se sépara, avec la certitude de se revoir dès le lende¬main : on travaillait, céans !

— Comment tu le trouves, mon modèle favori ? demanda Tonton Lolo après ses cours de l'après-midi — des natures mortes.
— Très beau... mais je pense que tu l'as choisi pour ça, non ?
— Je te demandais si... comme être humain...
— Il est très sympa, oui. Gentil et simple comme tout. Il travaille souvent pour toi ?
— Deux jours sur trois en été, car j'ai beaucoup d'élèves.
— Et l'autre jour sur trois ? osa Kévin.
— Des filles, évidemment. Tu me diras aussi ce que tu en penses. Si tu en penses quoi que ce soit !
— Oh ! fit Kévin en rougissant.
— Excuse-moi, mon poussin ! Tu sais que tu dis tout ce que tu penses à ton vieil oncle, hein ?
— Tu n'es pas vieux, Tonton Lolo !
— Alors tu me dis tout !
— Euh... oui.
Bien sûr, qu'il avait envie d'en dire à l'oncle Laurent, le jeune Kévin ! Mais comment aborder ces sujets délicats ? Sa¬voir : une supposée orientation affective, et de supposés émois... C'est qu'il en était là, ce jeune homme, à qui la séance dans la douche avait donné un salutaire coup de fouet. Il savait maintenant que les garçons ne le rebutaient pas, bien au contraire ! Mais annoncer ça au Tonton... dont il ne connaissait les propres goûts... Pas simple, la vie.
La soirée s'annonçait calme, mais Laurent eut un appel et annonça recevoir un couple d'amis : libre à Kévin de rester ou d'aller regarder la télé dans sa chambre.
— C'est une bonne copine qui veut pousser son amoureux à faire du mannequinat, et qui pense qu'il devrait commencer par poser... C'est vrai qu'il est magnifique, ce mec, et gentil !
Kévin salua donc les amis de Tonton, accepta une flûte de bulles et se retira chez lui... non avoir gardé en tête : « Tu me montreras ça, mon gars, mon atelier dessine pas des mal foutus! » avait dit Laurent. « Sûr que tu vas pas être déçu ! » avait affirmé la nana, joli brin, au demeurant.
Comment l'esprit vient aux puceaux ! Pressentant un moment à ne pas rater, Kévin repéra les lieux d'un coup d’œil, prévoyant la suite.
Il ne fut pas déçu : alors qu'il n'entendait plus de conversation, il ressortit subrepticement de chez lui et se planqua pour mater le grand salon. La fille y était en train de photographier ou filmer les deux garçons, alors que son pote était nu, et se soumettait aux indications de Laurent, en matière de poses.
Ce Mathurin-là était un Antillais de la plus belle eau : sa peau chocolat au lait enveloppait une académie exceptionnelle, et effectivement, il avait tout du top model... et Tonton semblait ne pas s'y tromper, qui dirigeait ses gestes en le prenant ci où là... avant de caresser sa vaste touffe.
Là, Kévin n'en crut pas ses yeux : tandis que la nana continuait de mitrailler, le mec déshabilla promptement Laurent, et les deux mecs s'enlacèrent vivement.
Première fois que Kévin voyait son oncle en érection ! Et ce n'était un fétu d'opérette que ce chibre-là... quoiqu'il affichât deux centimètres de moins que celui du joli Noir.
Et ces mecs se mirent simplement à faire l'amour. Autant vous dire que les culottes de Kévin furent aussitôt emplies au maximum ! Sans réfléchir, il les baissa et s'empoigna ; et l'excitation soudaine fut si forte qu'il ne mit pas des plombes pour jouir... en gémissant faiblement.
Mais à ce moment, un petit blanc dans la bande son fit qu'on l'entendit, et que Tonton l'aperçut... pour lui faire signe de venir, en insistant. Coincé, Kévin remonta ses chausses et se montra. Il s'assit au bout du canapé tandis que son oncle était en train de bouffer ardemment la rondelle du bel Antillais.
Le spectacle le fascina, et encore qu'il vînt de jouir, il se tripota le gland à travers le tissu, sans égard pour la meuf qui prenait tout... Puis les choses passèrent au sérieux, et Laurent se fit défoncer par le mec, avant de lui rendre la pareille. Ce que Kévin n'aurait certes jamais prévu fut que les deux mecs vinrent se faire mutuellement jouir sur lui, après que Tonton lui eut fait signe de virer le t-shirt...
On ne traîna pas pour ouvrir des bulles, et Tonton décida de garder Mathurin pour la nuit : il poserait dès le lendemain, avec Benoît. La nana s'en fut sans tarder, et Laurent suggéra à Kévin d'ôter le bas... Comme il hésitait, ce fut Mathurin qui le déloqua. On fit la dînette, et Kévin, qui n'avait pas l'habitude de boire se mit bientôt à ricaner bêtement des chatouilles que Mathurin lui faisait, avec un immense sourire. Et puis... on regarda les photos et les films pris par la copine. Là, Kévin ne rigolait plus, car les caresses de Mathurin le firent bander.
Le regard d'abord fixé sur l'écran, il ferma enfin les yeux ; peut après il se sentait sucer — pour la première fois ! Mais il ne voulut savoir qui le faisait, tandis qu'il sentait quatre mains sur lui. Et bientôt une bouche sur la sienne... mais là, l'angle indiquait Laurent. Hors d'état de penser, il savoura donc aussi son premier baiser.
La séance ne faisait que commencer... car Tonton mena tout le monde à son grand lit, où l'on s'organisa pour se sucer en triangle. Nouvelle première pour Kévin ! Les choses s'enchaînèrent avec calme et tendresse, et il fut prié de percer Mathurin, puis Laurent, en qui il gicla sévèrement.
Sur un nuage, qu'il était le jeune Kévin ! Il dormit avec Mathurin, et lorsqu'on s'éveilla, celui-ci affirma qu'il devait jouir avant d'aller poser... Kévin ne se fit pas prier et suça gentiment. Quand Benoît arriva et qu'on lui exposa la situation, il affirma la même chose... et Kévin s'agenouilla devant lui avec un sourire angélique...
Bref, la vie privée du minet commençait bien. D'autant que, après la séance de pose, les deux modèles avaient repris des forces, et se mirent à bander dès la douche... où ils avaient prié Kévin. Vous devinez ce qui s'ensuivit. Laurent arriva peu après, après avoir renvoyé ses élèves.
Avec une nouveauté : on lui avait suggéré des poses plus... et il avait d'abord proposé de travailler d'après photos. Et donc il proposa à ces jeunes Messieurs de faire des photos, aussi. Y compris Kévin, jeune homme qui accepta en rougissant juste ce qu'il faut.
La séance de photos fut d'abord sérieuse... avant que le photographe se mêlât à ses modèles.
L'été fut un enchantement pour un Kévin qui devint un homme plus vite qu'il ne l'eût pensé ! Surtout... il dormit tout le temps avec Laurent, qui lui expliqua tout par le menu.
La primeur de sa fine rosette fut réservée au délicat Benoît ; puis ce furent Tonton et Mathurin qui y eurent droit... par ordre de taille ! Et dès la fin juillet, il posait comme un grand.
Ce fut d'ailleurs en cet exercice qu'il repéra, en août, un joli vacancier et apprenti qui s'avéra parisien comme lui, et avec qui il engagea une gentille petite romance, sous les regards bienveillants des trois autres.
Ce grand jeune homme passa au reste sa dernière semaine chez Tonton, et dut bien se mêler aux tumultueuses soirées qui s'y donnaient... sans s'en plaindre du tout.
Et quand on rentra, avait emmagasiné assez de souvenirs pour une décennie, et échangé des tonnes de serments...
Le travail en atelier, c'est bien ça qui forme la jeunesse !



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 26-02-2022

Où y a de la gêne, y a pas de plaisir et où y a du plaisir, y a pas de gêne, et y a même d'la joie. Et où y a des bulles, on sait qui a écrit le texte…



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 26-02-2022

Aaah ! L'élégance raffinée et toujours légère des textes de Louklouk, qui rend l'imparfait du subjonctif érotique  ;D

Puis la description des plastiques impliquées, sans avoir l'air d'y toucher plus que ça, j'imagine très bien les personnages, pas besoin d'imaginaire trop développé, c'est reposant pour l'esprit (moins ailleurs)  Wink


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 27-02-2022

Où l'on se rend compte de l'influence maritime qui, par ses effluves méditerranéennes  bien salées inclut justement tout le sel dans chacune des situations évoquées. Et de fait, elles n'en manquent pas.
Le p'tit Kévin aura bien profité de sa mention bachelière qu'il n'eût pas connue telle si le vilain qualificatif de "passable" lui fût affublé.
Une remarque me vient : et si Tonton Lolo avait établi ses quartiers aux bords assez mornes de la Baltique? Il est dit que ses eaux sont fort peu saumâtres : ce n'est pas "la-haut" que l'on verra de nombreux marais salants. Donc, peu de situations "salées" ! et peu d'occasions, aussi, de s'y faire ...dessaler! Sad 


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 28-02-2022

Coucou les gens,

Je livre l'ordre des auteurs par récit – Atelier de peintre. Ce qui donne comme "nominationnés" :
Et je m'amuse en imaginant la tête de ceux qui ont éliminés les "bons" auteurs  :o - ces voyous ont tous changé leur style habituel !!!  ;D

1 - [member=28]Lange128[/member]
2 - [member=168]lelivredejeremie[/member]
3 - @gaetantbg
4 - [member=87]Louklouk[/member]


Daniel, c'est ton tour… de repos, j’ai déjà la prochaine photo ! 8)

ACSH continuera demain avec : Le facteur se déniaise en tournée ! (N°3)



PS de rappel:  Défi hors-série, phrasette de départ :

[i]Je me relève tant bien que mal, ma tête pesant des tonnes. Je m’appuie contre le mur, constatant que mon équilibre est légèrement instable…[/i]

Vous avez jusqu’au 28 mars pour me les faire parvenir en MP.









Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 28-02-2022

Re-Coucou les gens,


Avis aux auteurs, lecteurs et lectrices, une petite PUB pour un nouvel arrivant sur Slygame, @Tinanic50, qui publie « job d’été » dans la section GAY. Allez y jeter un œil et faite vous une idée. Perso j’aime bien ! ;D

Mais n’oubliez pas de revenir, hein !!!  :o  Wink




Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 28-02-2022

Nouvelle photo:
[Image: toiles-4.jpg]
Le phare !


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - fablelionsilencieux - 01-03-2022

Hors-série / 3 : "Le facteur remplaçant se déniaise en tournée"


22 novembre 1915

Cher frère,

J’espère que cette lettre te trouvera en bonne santé et que tout se passe bien pour toi sur le front. Donne-nous de tes nouvelles plus souvent.

Quand tu es parti pour la guerre, la poste t'a remplacé par le père Louis. Mais à cause de sa jambe folle, il n'a pas pu assurer ta tournée très longtemps. On est resté quelques semaines sans facteur et comme je suis le plus âgé des jeunes dans les hameaux du coin, c'est moi qui allais chercher le courrier pour tous une fois par semaine.
Au début le receveur des postes refusait de me le donner mais le Maire est intervenu et j'ai pu prendre celui des personnes qui me l'avaient demandé. Cette situation a duré encore quelques semaines et sur l'intervention du Maire et du préfet, j'ai été nommé officiellement ton remplaçant. Et le receveur m'a dit qu'à 16 ans (enfin presque) je devais être devenu le plus jeune facteur de France.

Papa, Maman, les sœurs et frères t'embrassent et moi aussi. Prends soin de toi.

Ton frère Aristide.


oOoOo


3 janvier 1916

Mon cher frère,

J’espère que tu as reçu le colis qu'on t'a envoyé pour Noël. Ici tout le monde va bien et on espère qu'il en est de même pour toi.
Je t'envoie une photo de moi dans l'uniforme que l'administration des Postes m'a fourni et comme tu peux le voir j'ai aussi un vélo ! La tournée n'en est pas moins longue mais plus rapide.

Tout le monde t'embrasse

Ton frère Aristide.

oOoOo

15 février 1916

Mon cher frère,

J’ai tellement de choses à te raconter que je t'écris une longue lettre cette fois.

Il y a deux semaines je suis allé apporter la pension de veuve de guerre à la Marie, tu sais, celle de la ferme après le pont de pierre. Ses beaux-parents n'étaient pas là et son bébé dormait. Elle m'a fait entrer, je lui ai payé son mandat, elle m'a offert de m'asseoir et m'a payé un verre de vin.

Elle est partie dans la pièce d'à côté et est revenue complètement nue. Je suis devenu tout rouge (elle me l’a dit par après). Elle m'a fait lever et m'a embrassé sur la bouche tout en défaisant la ceinture de mon pantalon et elle a attrapé mon sexe qui était devenu dur comme l’acier. Elle me l'a branlé un peu et ça m'a fait jouir. Mais elle a continué à me branler et comme j'étais toujours dur elle m'a dit de la prendre là, sur la table de la cuisine. Elle s'est mise à gémir si fort que j'ai cru que je lui faisais mal et j'ai voulu arrêter mais elle m'a dit de continuer alors je lui ai obéi. Puis elle s'est mise carrément à crier son plaisir et ses contractions m’ont presque fait jouir à nouveau mais ça a réveillé son bébé. Elle est retournée dans la pièce et elle est revenue habillée avec son bébé. Je suis parti le sourire aux oreilles.
Je n'avais jamais eu de sexe mais qu'est-ce que c'est bon ! Et en plus, elle est très jolie comme femme mais elle n'est pas chanceuse parce que veuve à 20 ans avec un bébé de 6 mois, ça ne doit pas être facile.
J'y suis retourné hier. Elle était seule. Elle m'a fait entrer, je lui ai donné une lettre de son frère et elle m'a directement posé la main sur la braguette. Mon sexe est devenu dur instantanément et je l'ai prise sur le lit de sa chambre. Une fois encore elle s'est mise à gémir très fort et à crier. Et comme je n'avais pas joui j'ai continué à la baiser mais elle m'a fait me retirer avant pour ne pas tomber enceinte. Elle m'a fini à la main.
J'aime de plus en plus ce métier même si le froid vif me gèle jusqu'aux os.
Le valet de la ferme du Grand bois a été mobilisé. À la ferme il ne reste plus que la mère, les filles et le fils qui a mon âge. 

Je t’embrasse.

Ton frère Aristide.


oOoOo


9 mars 1916

Mon cher frère,

Tu es un cachotier !
Hier, j'ai apporté du courrier à la Marie mais comme sa belle-mère était là, on n'a rien pu faire. Puis je suis allé en apporter à la ferme du Grand Bois. Juste avant d'y arriver j'avais croisé la mère et les filles qui partaient au marché. Elles m'ont dit qu'il y avait le fils et que je n'aurai qu'à le lui donner.
J'ai frappé à la porte et le Gustave a demandé qui c’était. Quand je lui ai dit que c'était moi ‘’le facteur’’, il m'a dit d’entrer. Il était nu dans un baquet en train de se laver devant la cheminée.

– Tu tombes bien, viens m'aider à me laver le dos.
– Tu es sur ?
– Ton frère me le faisait.

Du coup je lui ai lavé le dos et quand il s'est retourné il bandait comme un âne. Je ne sais pas pourquoi mais moi aussi je bandais. Peut-être parce que je n’avais pas pu sauter la Marie et que j'avais envie de baiser. Il s'est mis à genoux, a défait ma ceinture, ouvert ma braguette, sortit ma queue raide et il l'a mise dans sa bouche et me l'a sucé comme un bonbon. Puis il est sorti de son baquet, est allé jusqu'à la table où il s'est appuyé dessus et m'a dit de venir.
Dans un pot qui était sur la table, il a pris un peu de saindoux, qu'il a tartiné sur ma bite et sur son cul puis il a mis mon gland sur son trou et m'a dit de pousser fort.
C'est rentré tout seul. Je l'ai arrangé un bon moment et il se branlait pendant. Il s'est mis à gémir comme la Marie et j'ai senti son cul qui serrait ma queue et ça m'a bien fait jouir. Il avait l'air content que ça se produise. Il s'est relevé et il m'a embrassé avec la langue. C'est bon aussi.
Puis on a discuté un peu. Il m'a dit que tu l'arrangeais aussi et que j'étais presque aussi doué que toi. Et avant de partir, il m'a donné une lettre à poster et tu sais quoi ?
Elle était pour lui et il m'a dit que c'était pour que je revienne le voir demain. Il aime se faire arranger et depuis que le valet est parti ça lui manque. Et il m'a dit aussi qu'une de ses sœurs, la plus belle voudrait bien que je l'arrange aussi de temps en temps parce que son mari lui manque.

Je t'embrasse

Ton frère Aristide.


oOoOo


12 juillet 1916

Mon cher frère,

Hier quand je suis rentré de ma tournée j'ai été convoqué chez le receveur. Il m'a reproché que mes tournées étaient trop longues et duraient trop longtemps.
Je lui ai dit que les gens des fermes éloignées me demandaient des nouvelles du bourg, me demandaient si j'avais des nouvelles de quelqu'un qu'ils connaissaient et que ça prenait du temps tout ça. Il m'a cru et m'a même félicité du service rendu.
Mais en vrai c'est parce qu’avec la Marie on a trouvé un coin secret où je peux la baiser tranquillement presque tous les jours sans que ses beaux-parents nous dérangent. Ensuite je m'arrête chez Gustave pour l'arranger lui aussi et son nouveau valet qui a 15 ans.
Pour la première fois hier j'ai sucé leurs queues. Ce n’est pas désagréable. Et le valet m'a foutu sa langue dans le cul - j’ai aimé. Puis le valet a enculé Gustave et m'a demandé de l'enculer lui. Il a joui très vite et je l'ai remplacé dans le cul de Gustave qui suçait le valet pour lui redonner de la vigueur et c'est là que la Henriette, tu sais, la sœur de Gustave, celle qui a 18 ans, nous a surpris.
Elle nous a dit de continuer, elle a relevé sa jupe et son jupon, elle a descendu sa culotte et elle a commencé à se caresser la chatte. Elle s'est mise à gémir de plus en plus et elle a joui en même temps que nous.
On s'est rhabillé et elle m'a accompagné un bout de chemin. Elle veut bien que je m'occupe d'elle mais elle veut rester vierge pour son futur mari. Elle m'a dit qu'elle allait m'apprendre à la caresser et comment faire pour bien la faire jouir en lui mangeant le sexe. Et elle m'a dit qu'elle me la laisserait lui mettre dans la bouche et dans le cul comme je le fais à son frère et au valet.

Je t'embrasse

Ton frère Aristide.


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28 octobre 1916

Mon cher frère,

Si tu savais comme tu me manques !
Les tournées sont de plus en plus longues et il y a de plus en plus de courrier à distribuer. Et mes arrêts sont de plus en plus fréquents et variés. Je n'arrive plus à les assurer tous.
En plus de la Marie, de Gustave, de sa sœur et de leur valet il y a aussi la servante et la maitresse de la ferme du ruisseau dont je dois m'occuper mais c'est sans compter les jumeaux du hameau du Plat que j'ai surpris un jour à la rivière alors qu'ils s'arrangeaient entre eux à tour de rôle.
Je ne sais pas qui a parlé de moi et des services spéciaux que je rendais mais depuis quelques temps je dois faire attention de ne pas être seul au risque de me faire caresser ou embrasser. Même la vieille qui tient l'épicerie a essayé de me coincer dans son arrière-boutique c'est pour te dire !
J'ai demandé au receveur pour changer de tournée mais il m'a dit que pour le moment ce n'était pas prévu, ni envisageable, et que les gens étaient contents de moi alors il n'en voyait pas l’utilité.
Il y a deux jours, je suis allé pour la première fois apporter du courrier au château. C'est le vieux garde-chasse qui m'a ouvert et qui m'a dit que madame la comtesse désirait me parler.
Elle voulait que je passe tous les jours que j'ai du courrier ou pas à lui donner parce qu'elle en aurait à poster. C'est une belle femme la quarantaine et avec elle il y avait son fils et sa fille qui sont jumeaux et d'une beauté éblouissante. Je ne sais pas lequel des deux je trouve le plus joli. Ils m'ont donné des lettres à poster et m'ont raccompagné jusqu'à la grille.

Je t'embrasse

Ton frère Aristide.
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3 décembre 1916

Mon cher frère,

Les jours se suivent et se ressemblent et les tournées durent presque toute la journée maintenant. J'ai une des plus longues et elle fait plus de 25 km. Mais j'ai eu une belle augmentation de salaire. Hélas, ça n'enlève rien à la fatigue que j'ai le soir en rentrant.
En plus je n'ai même plus mon vélo qui a été réquisitionné par l’armée. C'est à pied que je dois tout faire. Et à partir du mois prochain ce n'est pas une mais trois tournées différentes que je devrais faire !
Ça va me reposer le sexe de ne passer que deux fois par semaine chez certains.
Je crois que je suis tombé amoureux des jumeaux du château mais il ne s'est rien passé avec eux. Et heureusement parce que je ne pense pas pouvoir assumer plus que je ne fais déjà.
La Comtesse m'a laissé entendre qu'elle se sentait seule, très seule même et qu'elle aurait grand plaisir à ce que j'aille lui tenir compagnie le dimanche.
Du coup j'y suis allé le dimanche suivant et comme tous les autres elle ne voulait que du sexe. En revanche, contrairement aux autres, avant que je la prenne, elle m'a enfilé une sorte de chapeau sur le sexe pour qu'elle ne tombe pas enceinte comme elle me l'a précisé et quand je suis parti elle m'a donné une pièce de 5 francs en argent et elle m'a dit que j'en aurai une chaque fois que j'y retournerais.

Je t'embrasse

Ton frère Aristide.



Plusieurs mois après …...



20 décembre 1918

Mon très cher frère,

J’espère que tu te remets bien de ta blessure et que tu vas bientôt rentrer chez nous. Depuis que la guerre est finie c'est de la folie ici.
Quelques blessés sont déjà rentrés et au château, toute une aile a été transformé en hôpital enfin en maison de convalescence plutôt. Je leur apporte le courrier tous les jours. Et j'ai droit à mes 5 francs presque tous les jours aussi.
Et les choses ont bigrement évoluées avec les jumeaux. Le jeune comte m'a avoué qu'il m'aimait, sur les conseils de sa sœur. Elle aussi est amoureuse de moi d'après son frère. Tout cela en confidences sur l‘oreiller. Aussi, qu’ils aimeraient m’avoir que pour eux seuls.
Alors à partir de demain, je vais une dernière fois faire l'amour avec tous ceux et celles avec qui je le faisais jusqu'à présent et je ne me consacrerais qu'à eux dorénavant. Madame la comtesse m'a dit qu'elle était prête à me prendre à son service, pour le bonheur de ses enfants.

Je t'embrasse

Ton frère Aristide.


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5 janvier 1919

Mon cher frère,

Je sais par les parents que tu dois rentrer bientôt. Je ne les vois plus trop souvent parce que je suis parti à Paris avec la Comtesse et ses enfants.
Le receveur m'a dit que lorsque tu rentreras, tu reprendras la tournée. Alors je te joins une petite liste de ceux et celles dont je m'occupais et qui ne demanderont pas mieux qu'on s'occupe d'eux à nouveau.
Le petit comte est un garçon formidable, gentil et doux, avec qui j'adore faire l’amour. La petite demoiselle est une vraie furie au lit. Elle enrage de devoir garder sa fleur vierge pour son futur époux mais pour le reste, l'heureux garçon qu'elle épousera sera surpris par son savoir-faire.

Je t'embrasse 

Ton frère Aristide