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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Version imprimable

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Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 17-11-2021

Wahou... quand on veut, on peut! Et ils purent, les loupiots qui n'ont plus rien des oisillons du décor. Et heureusement que les...petits oiseaux ne se sont pas envolés quand ils ont descendu leurs pantalons et sous-vêtements! C'est un drôle d'étendard "avec gland" qui s'est levé sur chacun d'eux!


Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 17-11-2021

(17-11-2021, 01:45 AM)KLO7514 link a écrit :Wahou... quand on veut, on peut! Et ils purent, les loupiots qui n'ont plus rien des oisillons du décor. Et heureusement que les...petits oiseaux ne se sont pas envolés quand ils ont descendu leurs pantalons et sous-vêtements! C'est un drôle d'étendard "avec gland" qui s'est levé sur chacun d'eux!
Poétique, métaphorique, allégorique, comme toujours ! Merci [member=156]KLO7514[/member]

[member=206]gaetanbg[/member] ou [member=28]Lange128[/member] - à vous la prochaine photo, messieurs !


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - MrsPoulain - 20-11-2021

Bonsoir tout le monde,
De passage ce soir après un certain temps d'absence, je rattrape les récits ratés (pas tant que ça, à mon grand étonnement, mais tous très appréciables, comme chaque fois), et en tant que collectionneuse de l'animal en question (le lion hein, pas le monsieur), je me permets de demander : l'un d'entre vous a-t-il des nouvelles de notre lion/animateur ?


Re : Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 20-11-2021

(20-11-2021, 12:51 AM)MrsPoulain link a écrit :Bonsoir tout le monde,
De passage ce soir après un certain temps d'absence, je rattrape les récits ratés (pas tant que ça, à mon grand étonnement, mais tous très appréciables, comme chaque fois), et en tant que collectionneuse de l'animal en question (le lion hein, pas le monsieur), je me permets de demander : l'un d'entre vous a-t-il des nouvelles de notre lion/animateur ?

Bonjour.

Question délicate, si j’avais des nouvelles je ne les donnerais pas sans son accord. Même si nous nous faisons du souci, je pense que nous devons respecter son désir de rester silencieux.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 20-11-2021

Jeremie  a donné une autre raison à son absence qui peut être temporaire, mais devenir inquiétante si elle se prolonge.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 21-11-2021

Nous avons aussi des inquiétudes pour un autre fidèle  des aventures de Florian-Surdoué qui reste trop silencieux depuis mi-octobre. Nous craignons vraiment pour lui-s'il n'est déjà pas trop tard!
Bien à vous tous quand même,
KLO.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 24-11-2021

Une participation, par mon intermédiaire (bien inutile) à l'image de l'auberge d'inspiration japonaise...

[Image: back-bar.jpg]

Je venais d'obtenir mon BEP dans l'hôtellerie et après avoir fait la saison dans l'hôtel où j'avais fait mon apprentissage , je recherchais une place de serveur . J'avais eu quelques touches favorables dans les environs mais je ne voulais pas rester ici dans cette campagne où je me morfondais comme tout . Je voulais bosser dans une grande ville où je pourrais aller au cinéma voir des films récents , sortir en boite et surtout ne plus cacher ma véritable sexualité .
Et oui j'étais gay et dur dur d'assumer ça à la campagne .
Jusqu'à présent ma vie sexuelle se résumait à peu de garçons . Il y avait d'abord eu Patrice , un gars de mon village , avec qui j'avais découvert la branlette , puis la branlette réciproque et comme il avait un an de plus que moi il m'avait aussi appris à embrasser et on s'était sucé aussi quelques fois .

L'école , c'est pas que ça me plaisait pas , enfin juste un peu . Aussi mes parents n'insistèrent pas quand je leur dis que je voulais faire un CAP . Je ne savais pas trop quoi choisir parce que je n'étais pas du tout manuel (sauf pour la branlette) . Et c'est un peu par hasard que je choisis de faire l'école hôtelière .
Il n'y avait pas de restaurant sur le coin , aussi l'école m'en proposa un qui était assez loin de la maison mais le restaurateur et hôtelier s'engagea à me loger avec d'autres employés . Mes parents acceptèrent . Et c'est ainsi que commença ma nouvelle vie . Et c'est ainsi qu'à 15 ans je quittais la maison de mes parents . Mon père me déposa un matin devant l'école hôtelière où je serai interne .
La première semaine se passa plutôt bien . On était 4 par chambre . Et j'avoue que mes colocataires étaient assez mignons même s'ils ne parlaient que de foot , de motos ou de voitures et de chattes et de gros seins . Nul n'est parfait!
Le premier soir c'est un peu timidement qu'on se déshabilla les uns devant les autres sauf Antoine qui se mit à poil avant d'enfiler son pyjama . Heureusement que j'avais gardé mon boxer parce que sinon mon érection aurait été bien trop visible . Et ce fut encore pire quand le lendemain il se leva parce que son pyjama faisait chapiteau de cirque .
J'allais vite fait aux toilettes pour pisser mais surtout pour me branler . Je ne devais pas être le seul à le faire parce que de la cabine d'à coté j'entendais provenir des gémissements discrets .
Une fois mon affaire faite j'allais à la salle de bain . Enfin la salle de bain c'est un bien grand mot . Car il y avait d'un coté du mur une dizaine de lavabos et de l'autre 5 box de douches fermés uniquement par un rideau opaque .
La dernière venait de se libérer et j'y allais . En passant devant celle du milieu dont le rideau était mal fermé , je pus voir Antoine qui se branlait en laissant l'eau ruisseler sur son corps . J'eus une érection immédiate . Du coup je fis comme lui mais je pris soin de bien fermer le rideau avant .
On alla prendre notre petit-déjeuner et les cours commencèrent .
La journée finie on remonta au dortoir et on se changea pour aller faire un foot . Et quand on revint on alla prendre une douche . Encore une fois c'est Antoine qui se mit à poil il entoura sa taille de sa serviette , prit ses affaires de toilette , un boxer propre et après avoir enfilé des claquettes il se dirigea vers les douches . À ma grande surprise Tom l'imita et Léo fit de même .
Étant très pudique j'enfilais ma serviette autour de ma taille mais je gardais mon boxer . Il me fallut attendre un peu car toutes les douches étaient occupées . C'est Antoine qui sortit nu de la sienne pour se sécher qui me dit

La place est libre , j'ai bien rincé mais fais gaffe quand même le sol risque d'être glissant .

Il me fit un clin d'œil et me mima la branlette .

Encore! Mais tu t'es déjà branlé ce matin!
Comment tu sais ça toi?

Merde , je venais de me griller tout seul!

Ce matin quand je suis allé me doucher , tu avais mal fermé le rideau de ta douche et je t'ai vu .
Alors comment tu le trouves mon monstre?
Ton monstre c'est vite dit . Je pense que la mienne est plus grosse .
À l'occasion , il faudra qu'on les compare .
Oui c'est ça , dans tes rêves .

J'entrais dans la douche et je tirais bien le rideau . Je me mis nu et je me lavais . Puis je rejoignis ma chambre où tous étaient allongés sur le lit en boxer . Ils parlaient jeux . Il n'y avait jamais eu de console de jeu à la maison parce que mes parents y étaient opposés . On ne regardait pas trop la télévision non plus . Avec mes frères et ma sœur on jouait à des jeux de société .
Après le repas on fit quelques pas dans la cours puis à 21 h on monta au dortoir . On discuta jusqu'à 22 h , heure de l'extinction des lumières . Peu de temps après un grincement régulier arriva du lit d'Antoine . Puis un autre de celui de Léo . Tom pouffa . Et c'est encore Antoine qui dit:

Oui Tom , Léo et moi on se branle , c'est quand même mieux au lit que dans les chiottes non?
Et comment tu sais que je me suis branlé dans les chiottes ce matin?
Juste que t'es pas discret quand tu gémis . Toi aussi tu as du te branler dans les chiottes Stan . Tu y es resté longtemps .
Ha , ha , ha! Tu crois que ça prend le temps de pisser de poser une pêche? Et qu'est-ce-que ça peut te foutre si Tom ou moi on s'est branlé dans les chiottes?
Ho c'est bon , calme ta joie . Si maintenant on peut plus discuter .

Il ne dit plus rien mais maintenant un grincement régulier venait des 3 lits . Je fis comme eux .
Le matin on se leva tous avec notre érection matinale et Antoine toujours lui recommença à se foutre de notre état .

Ça vous a pas suffit hier soir à ce que je vois? On s'en tape une?
Putain tu nous fais chier Antoine! T'as pas d'autre chose à dire de plus intéressant qu'à parler branlette?
Ho Stan si t'as tes règles faut le dire . Bon je file me doucher .

Il entoura sa taille de sa serviette et partit aux douches . J'y allais quelques minutes après lui . Il était dans l'avant dernière et comme la veille le rideau était mal fermé . Et bien sur il se branlait en en se caressant le corps . Les quelques secondes où je le regardais me firent un effet de ouf et sitôt entré dans la douche après avoir bien fermé le rideau je me branlais à mon tour .
Le reste de la semaine fut rythmé par les cours et nos branlettes bi voir tri quotidienne . Puis la semaine suivante j'attaquais à l'hôtel et au resto . C'était plutôt classe comme endroit et je partageais ma chambre avec un commis de cuisine de 18 ans qui n'était pas du tout mon genre . Et de toute façon il avait une copine qui elle aussi était serveuse au restaurant . Les 3 premières semaines on me fit faire des petits travaux .
Puis on retourna en cours . On parla de nos expériences respectives . Et bien sur Antoine se vanta d'avoir pécho une des serveuse dès le premier soir . Bien sur on le traita de mytho et il se fâcha . Bien sur dès l'extinction des feux le premier grincement de lit vint de son lit et bien vite il devint collectif .
Ça dura comme ça jusqu'après les vacances de Noël où Antoine et moi on rentra le dimanche soir au lieu du lundi matin . On n'était que tous les 2 à l'étage . J'allais prendre ma douche . Je me masturbais tranquillement quand le rideau s'ouvrit et Antoine rentra dans ma douche . Il bandait .

Hé , mais ça va pas non! Tu fais quoi dans ma douche?
Je viens comparer la taille de nos queues . En début d'année tu t'es foutu de moi . Alors je voudrais voir à quoi ressemble le tien .
Bon , maintenant que t'as vu , tu peux me laisser finir tranquille?

Il sourit et au lieu de sortir il m'attrapa la queue et commença à me branler en me massant les couilles . Et il me fit un clin d'œil . Je m'occupais de la sienne . À ma grande surpris il me roula une pelle tout en continuant à m'embrasser puis il se mit à genoux et me suça .

Je vais jouir Antoine .

Il se releva et m'appuya sur la tête . À mon tour j'allais le sucer . On recommença plusieurs fois ce petit jeu avant de jouir sur nos queues respectives . À partir de ce jour là , dès qu'on le pouvait , on s'isolait et on s'adonnait à nos petits jeux .
À la fin de l'année scolaire autant lui que moi on aimait se la mettre ou se la prendre dans le fion avec autant de plaisir . Notre couple dura ainsi les 3 ans de nos études avec je l'avoue quelques écarts pendant les vacances scolaires . On aimait baiser ensemble mais on n'était pas amoureux l'un de l'autre . Alors notre séparation ne fut pas un drâme .
J'étais retourné chez moi et je parcourais les petites annonces afin de trouver un travail . J'avais fait des extras un peu de partout dans la région , j'avais eu quelques propositions de CDD et même certaines en CDI mais sur le coin et je les avais refusées .

J'étais resté en contact avec Léo , Tom et bien sur Antoine qui sur Facebook me parlait de ses conquètes et de l'auberge (trop cool) où il travaillait . Ils cherchaient un serveur et il était sur que je conviendrait . Il m'envoya le lien du site web de l'auberge , celui de la petite annonce et comme l'auberge n'était pas loin de Paris , je décidais de postuler sans dire que j'étais ami avec Antoine .
Je reçus quelques jours après la date pour un entretien . Je pris ma moto que j'avais achetée avec mon salaire et les pourboires et je me rendis au rendez-vous .
L'auberge était au fond d'un grand parc . C'était une longère ancienne en forme de U . je me garais devant l'entrée et je poussais la porte . Pour être kitsch , c'était kitsch! Des tables en bois , un bar décoré de tableaux d'oiseaux . Un gars la quarantaine arriva par le couloir à la gauche du bar .

Bonjour jeune homme que puis-je pour toi?
Bonjour Monsieur , je suis Stan , enfin Stanislas et j'ai rendez-vous pour un entretien d'embauche .
Gaby , viens s'il te plait , notre rendez-vous est arrivé .
Il est comment?
Plutôt mignon , propre sur lui .

C'était quoi ce bordel? Où j'étais tombé? L'autre mec arriva . Il devait avoir la quarantaine aussi mais il était plus musclé que le premier . On s'assit à une des tables et ils commencèrent à me questionner sur mes études , mes expériences professionnelles …

Oui , tu pourrais convenir mais avant on voudrait t'avertir qu'une bonne partie de notre clientèle est composée de gays . Ça te pose un problème?
Heu non pas du tout .
Même si certains en profite quand tu les sers en te caressant?
Ça va jusque là?
Parfois ça arrive mais rarement et si le client insiste trop Gaby ou moi on vient lui dire de se calmer . Et en général ça suffit .
Dans ces cas là alors pas de souci . Ça m'est déjà arrivé dans les restos où j'ai servi . Mais c'était plus souvent des femmes que des hommes qui me le faisaient .
Et comment tu réagissais?
Je devenais tout rouge et la fois d'après quand je la servais je me tenais éloigné d'elle .
Et tu n'as jamais profité de l'occasion?
Non jamais .

La porte s'ouvrit dans mon dos .

Stan! Tu es venu et pourquoi tu me l'as pas dit?
Antoine , comment tu vas?

Il s'approcha de moi et me fit un gros câlin . Puis se retournant vers Gaby et Yves il dit:

Je vous présente Stan , c'est avec lui que j'étais à l'école hôtelière . Stan je te présente Gaby mon père et Yves son copain .
Pourquoi tu ne nous as pas dit que tu connaissais Antoine?
Parce que je voulais être embauché pour mes compétences et non pas par piston .
Avec Gaby on va aller discuter un peu et on revient te donner notre réponse . Tu peux commencer quand?
Le temps de retourner chez moi et de prendre mes affaires et de revenir . D'ici 2 jours je pense . Il faudra surement que je fasse 2 voyages pour charrier mes affaires avec la moto .

Ils s'en allèrent dans le couloir . Antoine s'approcha de moi et cette fois au lieu de m'étreindre , il m'enlaça et me roula une pelle à laquelle je répondis favorablement . Il se recula et me souffla à l'oreille:

Stan , je t'aime. Tu m'as trop manqué .
C'est vrai? Tu m'aimes?
Comme jamais je n'ai aimé personne . Je ne m'en suis rendu compte que depuis peu , quand je t'ai envoyé la petite annonce pour la proposition d'emploi . Je me suis mis à rêver qu'on pourrait travailler ensemble , qu'on pourrait recommencer à faire l'amour enfin si tu veux .

Pour toute réponse je m'approchais de lui et je lui rendis son baiser . Ce qu'on n'avait pas vu c'est que Gaby et Yves étaient revenus et qu'ils nous avaient vu nous embrasser . Un des 2 se racla la gorge et on se sépara . Gaby lança quelque chose à Antoine . C'était des clefs de voiture .

En fourgon , vous ne ferez qu'un voyage et comme demain c'est jour de fermeture vous avez le temps . On va se débrouiller sans toi aujourd'hui Antoine .

Antoine monta dans sa chambre préparer un sac vite fait , il me montra où garer ma moto et on partit . On arriva à la maison en milieu d'après-midi , je pris mes affaires et on repartit presque de suite après . On aurait pu rentrer à l'auberge vers minuit mais Antoine avait prévu autre chose .
On s'arrêta en route dans une petite auberge tenue par 2 femmes .
L'ambiance était feutrée et lorsqu'Antoine rentra la serveuse lui fit un grand sourire et vint lui faire la bise .

Stan , je te présente ma mère . Maman je te présente Stan , mon copain .

Sa mère me fit la bise et nous installa à une table . Le repas fut délicieux et la chambre confortable même si cette nuit là on dormit peu . On avait du retard à rattraper et notre amour à exprimer .
Après un petit-déjeuner copieux et tardif on reprit la route et on arriva à l'heure du repas . Yves et Gaby nous attendez dans la cuisine .

Montez les affaires de Stan dans sa chambre , on vous attend pour manger après .

On monta mes affaires et sans hésiter Antoine entra dans une chambre qui était la sienne .

Mais c'est ta chambre non?
Tu ne veux pas dormir avec moi?
Mais bien sur que si andouille! Je plaisantais .

Il m'embrassa et on descendit manger un repas tout aussi délicieux que celui de la veille au soir . Puis on remonta pour faire 'la sieste' parce que la route nous avait fatigué .
Et dès le lendemain je commençais mon nouveau travail . Je servais en salle avec Gaby tandis qu'Antoine et Yves œuvraient en cuisine .
Et le temps passa très vite parce que j'étais heureux et amoureux . Maintenant c'est Antoine et moi qui étions patrons parce que depuis l'an dernier Yves et Gaby avaient pris leur retraite .



Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 24-11-2021

Perso, ça m'a rappelé l'envie épisodique de passer une partie de mes études en internat, et le fantasme un peu ridicule d'y prendre des douches avec le garçon qui... plutôt qu'avec vingt-cinq mec qui, évidemment, jamais...  :Smile
La conclusion trop belle - et du coup, trop pas moi - m'a dans un sens permis de clôturer ce souvenir légèrement illusoire, et de me contenter d'une réalité plus terre-à-terre, mais pas moins moche au final  Smile
Clin d'oeil au père gay, qui forcément comprend, et admet ! Ca non plus, c'est pas évident parfois, je me dis...


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - KLO7514 - 24-11-2021

Mmhhh, très belle petite histoire de gens heureux. Comme quoi, faut pas trop croire ce que peut raconter un gars devant d'autres garçons vis-à-vis de ses conquêtes du "genre" opposé...Un célèbre humoriste disait "Je préfère avoir des remords que des regrets"...Je crois bien que les deux loulous, Stan et Tonio ne regretteront rien. Leur séparation a bien augmenté le désir du jeune Antoine.
Ah, pour conclure, une petite sucée du père Hugo, "Toto" pour sa maîtresse : «...et le désir s'accroît quand l'effet se recule» que des gens au courant traduisent par "...quand les fesses reculent". D'ailleurs, le même ne disait-il pas "Jusqu'à 40 ans, j'ai cru que c'était du bois" en parlant de son "p'tit robinet"...C'était un garçon plein de bon sens et d'énergie! Big Grin
Merci, Jérémie,
KLO.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - emmanolife - 24-11-2021

C'est très mignon, merci à l'auteur, et merci à Jérémie de faire le facteur.
Le texte serait probablement plus agréable à lire avec des tirets au début des dialogues, mais ça se comprend quand même.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - bech - 24-11-2021

Une histoire sympa. Stanislas a dit qu'il voulait être embauché pour ses compétences et pas par piston, mais la relation plus qu'amicale avec Antoine est sûrement un élément décisif pour l'embauche rapide.

En revenant avec les affaires de Stan, ils s'arrêtent à un autre hôtel tenu par la mère d'Antoine et une autre femme. Seraient-elles lesbiennes ?

Pour l'absence de tirets dans les dialogues, ça vient soit d'un auteur inhabituel dans cette série de récits, soit de quelqu'un qui veut masquer son style habituel.


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 25-11-2021

(24-11-2021, 11:47 PM)bech link a écrit :Pour l'absence de tirets dans les dialogues, ça vient soit d'un auteur inhabituel dans cette série de récits, soit de quelqu'un qui veut masquer son style habituel.
Pas tellement, le filon semble épuisé, je peux le dire, c'est gaetanbg  Wink

Que j'invite, comme Lange, à poster une photo, étant les premiers à avoir édité un récit sur chacun des deux clichés  Smile


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - Lange128 - 25-11-2021

Voici une nouvelle photo, nous acceptons évidemment les textes des retardataires. Je propose donc le thème de la fête foraine, sans que vous soyez obligés de reprendre les éléments de cette image, c'est juste une illustration.

[Image: feteforaineselection-dsc0002.jpg]


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 27-11-2021

[Image: back-bar.jpg]

Réponse tardive à l'image du resto japonais...

C'est hautement désespéré que Killian avait échoué à L'Héron rond, la fameuse brasserie de la place des Clopinettes, connue pour être un point de rencontre de la jeunesse du pays. Il y avait ses habitudes, certes, mais... là, il venait de se faire larguer par un genre de petite frappe qui lui avait au passage soutiré moult billets bleus.
Il décida donc de commander un litre de Stella Artois — sa préférée pour la consommation courante —, et il attendit... sans savoir quoi du tout.
Il comptait plus ou moins sur le spectacle de la salle pour lui changer les idées, et de fait, ça commençait à s'animer, céans.
Il était sur la banquette, et contre le mur en retour venait de s'installer un groupe qu'il n'avait jamais vu, trois garçons et quatre filles, le tout en belle humeur. Sur la banquette se posa un mec blond foncé, superbe bestiole semblant avoir une grande gueule et être de fait le meneur de la troupe. Il mit les bras autour du cou de deux des filles et commença à leur caresser les seins sans vergogne... Killian vit que les mains d'icelles avaient passé sous la table...
Il apprit vite que ce mec se faisait appeler « God », ou « Gode »... C'était sans doute la deuxième solution qui était la bonne, vu qu'on était en Wallonie... et probablement que ça signifiait « Godefroy », tout simplement !
Savamment mal coiffé, ce type était superbe... Baraqué, vêtu d'un débardeur échancré qui mettait sa musculature en valeur, il avait un sourire à faire mouiller les rombières, et des yeux à rendre folles les vieilles filles... avec juste ce qu'il faut de virile vulgarité pour plaire aussi aux garçons, sûrement !
Bref, il plut à Killian, qui en oublia provisoirement ses malheurs. On rigolait bien et bruyamment, à côté, et ma foi, Killian ne se rendit pas compte que on regard s'attardait sur cette jolie canaille plus souvent qu'à son tour...
Sa chope à demi-bue, il ressentit évidemment le besoin de se vider aussi... et alla gagner les vastes toilettes de l'établissement — on avait vu large, compte tenu des hectolitres de bière qui passaient dans le gosier de cette assoiffée clientèle.
Mais il y avait déjà du monde et Killian dut aller quérir le dernier pissoir, au fond de la grand salle carrelée de bleu pâle... avec des Mannekenpiss de toutes formes sur les murs.
— On pisse ensemble, j'en peux plus ! fit un grand mec qui le poussa un peu du coude en se défaisant.
Ciel ! C'était le mec, le... le Gode lui-même ! Qui sortit un beau morceau, au moins aussi imposant, à l'état mol, que celui de Killian : car ce fin et svelte jeune homme était fort bien équipé. Mais cette présence lui coupa la chique... tant il était fasciné par le bel engin que le mecton décalottait et recalottait avec un sens fort délicat de la mise en scène.
— Eh ben ? Tu pisses pas ? demanda le mec, qui lui y allait sans retenue. Ouf ! Ça fait du bien ! Allez, un effort, elle va pas te la mordre, ah ! ah !
Ayant fini, le mec lâcha :
— Bon, j'te dérange pas plus. Moi, c'est Godefroy. À plus tard ?
S'étant reculotté, il donna une tape appuyée sur la fesse de Killian, et alla se laver les mains. Il lui fallut encore à Killian de longues secondes avant de se lâcher... Revenu à sa table, il ne fut pas regardé par Godefroy, qui riait à gorge déployée, tout en pelotant... les deux autres nanas. M'enfin, alors qu'on s'était calmé, le temps de trinquer, Godefroy lui lança sans sourire un long et calme regard, qui le fit frissonner.
Drôle de situation ! Il voulait quoi, ce mec ? Et c'était qui, d'ailleurs, avec son côté gouape, et ses potes à la limite de la vulgarité ? Et surtout... Sans aucun doute, il était hétéro, et pas gêné pour trouver de la meuf !
Mais bon, Killian commençait à être un peu parti, n'ayant rien avalé que sa bière, et il recommença à mater le beau Godefroy. Qui désormais lui lançait de brefs regards à intervalles réguliers.
Un peu plus tard, Godefroy se leva et lui jeta un regard de plus en passant devant lui. Mécaniquement, Killian se leva et le suivit. Godefroy se posa devant le pissoir du fond et fit du geste venir Killian ; mais les autres étaient libres à cet instant.
— Ouais, je sais ! Mais on s'en fout, déclara Godefroy en voyant sa mine. T'as réussi à pisser, t't'à l'heure ?
— Ouais...
— C'est reparti. C'est drôle... j'ai l'impression que nos queues se ressemblent.
— C'est... gentil, mais... balbutia Killian, toi, t'es...
— Tu crois qu'elles pourraient devenir copines ?
— Hein ?
— T'affole pas : je suis pas un violeur en série ! T'as l'air sympa, c'est tout. C'est quoi, ton nom ? Prends ça, tiens !
Et le mec de sortir de sa poche un petit bout de papier avec un numéro de téléphone... tandis qu'il se décalottait de l'autre main avec une sensualité consommée.
— T'es pas obligé de pisser, fit le mec en baissant le ton — d'autres mecs venaient d'entrer. Moi... je suis un peu exhib... si je te choque pas.
— Non... au contraire ! fit Killian... malgré lui.
— T'es sympa. Tu m'appelles, hein ? Bon, je remonte : j'ai quatre coups à tirer, là !
— Hein ?
— Non, je rigole : deux seulement, termina Godefroy en posa la main sur la fesse de Killian, qu'il malaxa doucement. T'as vraiment une belle queue, tu sais ?
Et derechef de laisser là un Killian retourné... et incapable de pisser ! Lorsqu'il remonta, le groupe se levait ; Godefroy lui fit discrètement un clin d'œil et un sourire.
Il titubait presque, Killian, en rentrant chez lui. Il n'était que cinq heures et demie, ce samedi d'été-là, et il n'avait vraiment rien à faire... Désemparé, il décida d'aller plus loin dans la griserie et ouvrit une Leffe sa porte à peine refermée.
Et vite, il acheva de se soûler ! D'où lui vint le courage de composer le numéro de Godefroy... ne serait-ce que pour lui filer son propre numéro.
De fait, il dut laisser un message... où il débita son numéro, pour plus de sécurité. Puis il acheva de se soûler, et alla se doucher longtemps. Il aurait bien eu envie de se branler, mais les forces lui en manquaient. Et d'ailleurs il s'endormit.
Il fut réveillé vers neuf heures : Godefroy.
— Excuse-moi, j'ai pas le temps, là ! Mes potes veulent une touze, et... Je t'appelle demain ? Dix heures, ça va ? Killian, tu veux ?
Bien sûr qu'il voulait, le joli Killian ! Juste après, il fut convoqué par une copine et finit agréablement la soirée entre filles, à papoter chiffons en sirotant du porto blanc...
Dix heures pile, en ce rayonnant dimanche. Il avait finalement bien dormi, Killian, et même sa trique du matin était de première qualité... Dix heures une : appel de Godefroy.
— Coucou ! J'ai réussi à bien dormir après avoir niqué tout le monde... non, pas les mecs ! On peut se voir, là ?
— Ben oui, s'tu veux, fit un Killian peu habitué à ces manières de uhlan.
— J'apporte les croissants. Killian ?
— Oui ?
— Tu te touches pas, hein ?
— Mais... Non, non !
Killian se contenta donc de se caresser délicatement la hampe : son bel engin ne dégonflait pas, sans doute alimenté par les images de celui de Godefroy.
Un quart d'heure plus tard, il allait ouvrir, nu et bandant comme jamais... et le cœur battant !
— Oh p'tain ! T'es super beau, toi ! fit le rude Godefroy. Est-ce que... Oh, J'me déloque aussi !
Nu, Godefroy bandait avec un réel désir de bien faire... et de fait, on dut constater que ces deux chibres-là étaient de mêmes aspect, dimensions... et beauté.
— Pourquoi... Pourquoi t'es là ? demanda enfin Killian.
— Pourquoi tu m'ouvres à poil, et la queue en l'air ?... Ben... C'est que t'as l'air sympa et que... j'ai toujours eu envie de me faire un pédé.
— Ça commence mal, dit froidement Killian.
— Euh... C'est pas ça qu'y fallait dire, non !
— Plutôt pas, non.
— Oh, excuse-moi, Killian, excuse-moi ! C'était quoi ?
— J'ai jamais rien fait avec un garçon, et j'aimerais bien essayer avec toi... par exemple. Ou un truc encore plus gentil.
— Oh, Killian, excuse-moi ! Je suis une brute. Killian... t'as compris que... j'aimais le sexe, et... mes potes de touze sont plutôt bégueules, pour ça. Et toi... j'ai vu tout de suite que tu me matais, à L'Héron rond... c'est pourquoi... j'ai eu envie de te connaître... et quand je t'ai vu de près... vu ta queue... Oh ! Je sais pas parler aux mecs, je crois !
— T'embête pas, j'ai compris ! Est-ce que... Godefroy, tu me prends dans tes bras ?
Ainsi fut fait. Killian fut touché de voir cette jolie brute prendre un tel luxe de précautions, qui n'osait même pas lui mettre les mains sur les fesses !
— Je sais pas quoi te dire... murmura Godefroy.
— On n'est pas obligé de parler quand on fait l'amour... si c'est bien ce que tu veux ?
— Oh oui, oui ! Tu m'apprends, hein ?
Plus extravagante situation, sûr que Killian n'en avait connue ! Mais pour une fois qu'il avait la main, lui qui s'était toujours laissé faire...
— Embrasse-moi, souffla-t-il.
Godefroy s'exécuta aussitôt et avec ardeur. De cet instant, Killian sut que la partie était gagnée, car ce mec se donna sans réserve : oui, il aimait le sexe. Et savait embrasser !
Killian, oyant des bribes de mots, eut alors l'intuition que ce mec aimerait bien aussi commenter l'action... Et il làcha :
— Tu l'aimes, ma langue ?
— Oh ouais, ta langue !
— Partout ?
— Ouais, ouais...
— On se la met sur la rondelle ?
— Oh p'tain, t'es chaud, toi ! Ouais, sur la rondelle !
Ce fut sans hésiter le que superbe Godefroy s'empara de la rondelle de Killian, toute langue goulue en avant !
L'affaire dura un peu, avant que Killian déclarât :
— Même les gays font pas aussi bien que toi !
— Oh... Merci. J'aime ton cul, bébé.
— On se la met ?

...


Re : Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) - lelivredejeremie - 27-11-2021

— On se la met ?
— Euh, pour moi... je sais pas encore...
— On va le faire scientifiquement... et tu vas grimper au plafond, j'te promets !
— T'es sûr ?
— On commence par moi.
Attentif aux ordres de Killian, lui fit ce que demandé : langue, doigts, pénétration. Vif moment qu'iceluy ! Mais Killian lui interdit de jouir... avant qu'il s'occupât de lui.
Il ne mouftait pas, le beau sportif ! Mais il parut à Killian qu'il n'osait rien dire, alors... Alors Killian fit comme si tout allait de soi, et entama le divin processus. Peu à peu détendu, Godefroy laissa faire... sans oser le moindre commentaire.
Enfin, Killian osa pousser sa fine ogive contre le petit trou de Godefroy... qui était déjà bien ouvert. Ce qui se fit sans douleur et sans récriminations.
— Oh... gémit Godefroy, tu m'encules... Oui, encule-moi !
Vite au fond, grâce aux préparatifs et à la dose de gel, Killian murmura :
— Ça va, bébé, je te fais pas mal ?
— Non, prends-moi, prends-moi, bébé ! Baise-moi à fond !
Le ton était donné. Et cette expérience fut une réussite. Et lorsqu'il eut débordé, Killian souffla :
— P'tain ! T'as tenu une demi-heure... Génial ! T'aimes qu'on t'avale le jus ?
— Tu rigoles ? Pas une nana qui fait ça !
— Moi, si.
Cette dernière séquence ne fut pas la moins émouvante. Et Killian, désormais paré de toutes les audaces, se paya le luxe de recracher le jus de Godefroy sur les lèvres d'iceluy pour l'embrasser vivement.
— J'y crois pas... murmura Godefroy, quand on eut chacun avalé sa part de foutre. Y sont tous comme ça, les mecs ?
— On va loin quand on est bien avec l'autre, je crois... T'aimes le cul... et moi aussi. On a encore des trucs à faire.
— Oh !
On déjeuna, tout en faisant connaissance. Et en se caressant abondamment. Killian était aux anges, mais il s'efforça de ne le montrer pas. Au reste, Godefroy parlait ouvertement de ses bonnes fortunes, et donnait même des détails dont Killian se serait aisément passé, en savourant ses croissants...
Mais il parut qu'on se sentait bien. De plus, ce garçon évoquait, prudement, certes, de possibles prochaines fois... Killian marchait évidemment sur des œufs. Mais il eut la surprise d'entendre cet aveu du beau Godefroy :
— T'as vu mes potes ? Y m'excitent... Tu m'aiderais ?
Sûr qu'il allait pas refuser la mission, Killian ! Un brun et un châtain jolis, grands, bien faits et dans ses goûts... Miam ! La stratégie fut vite mise au point : Godefroy n'aurait qu'à dire qu'il s'était fait draguer, et qu'il tirait un mec... qui suçait bien. Ceci pour appâter ses deux clients sans les effrayer.
Les choses traînèrent un peu, cependant. Plus de deux semaines : ou c'était Godefroy qui ne savait pas vendre ? Entre-temps, on baisait tous les trois jours, en moyenne...
Enfin, l'un des deux, le brun Ludovic accepta de venir mater son pote... pour commencer. Rayonnant garçon au sourire engageant et à l'œil bleu, il était aussi assez déconneur, le verre de Leffe (y en avait plein une péniche de 85 m amarrée dans l'arrière cuisine) en main... mais se troubla quand Killian lui demanda doucement :
— T'aimes pas assez le cul, pour avoir pas voulu tout de suite mater ton pote de partouze avec un mec ? Chut ! Réponds pas ! Allez, Godefroy, on lui montre ce qu'on sait faire ! Et pis toi... tu te branles comme un enragé, hein ? Ou j'te suce tout de suite ?
— Euh... Non, non !... Faites...
Vite à poil, les deux stars de la soirée feignirent d'ignorer le néophyte... qui ne tarda pas à se toucher le paquet, puis à se désaper, par petits bouts. Son bout à lui, ne l'était pas, petit ! Une longue et fine épée lisse et droite...
— Putain ! Trop belle, ta queue, mon pote ! s'écria soudain Killian en relevant le museau de la fente de Godefroy, qu'il était en train d'explorer avec une science de spéléologue.
La suite fut que Godefroy encula gentiment Killian qui, sur le dos, fit signe à Ludovic de venir se faire sucer. Et ça marcha. Sauf que ce jeune homme sursauta, quand son enculeur de copain lui plaqua une main sur la fesse !
Killian ronronnait tout haut, tandis que les autres échangeaient des propos... heureusement réservés à cette fine compagnie :
— Y suce bien mon pote, hein ? feulait Godefroy.
— Ouais, p'tain, c'est bon !
— Tu vas v'nir le bourrer, hein ?
— Ouais, j'vais l'bourrer...
Et autres joyeusetés de la même farine. Le tout parvenant aux oreilles d'un Killian qui était aux anges, dans cette ardente configuration...
— Godefroy ! Tu laisses la place à Ludovic ? J'te bouffe le cul !
Ludovic n'eut pas de mal à se frayer un passage en le doux et bien humide intérieur de Killian... mais ouvrit de grands yeux quand il vit son pote s'asseoir sur le visage du fin enculé, et se pencher pour lui prendre les épaules en le regardant en face, avec un large sourire...
— P'tain ! C'est bon de se faire bouffer la chatte, mec !
Tout à son affaire, Ludovic n'eut pas l'occasion de répondre. Et même, Godefroy eut l'impression qu'il y allait avec encore un peu plus d'énergie, comme si ça l'excitait !
Donc les choses en étaient au meilleur degré de chaleur, toutes sources confondue... Sauf que le néo-enculeur ne voyait pas tout : et c'était que tandis qu'il se faisait fourrer gentiment, Killian doigtait efficacement le gars Godefroy... qui finit par beugler, en se retournant brusquement pour offrir sa rondelle à Ludovic :
— Oh, mec, tu me la mets, vite !
Voilà qui n'avait pas été prévu ! Il y eut un instant de flottement, là... mais Killian cria :
— Vite, vous êtes chauds, là, bourre-le !
Ludovic y alla sans plus de manières que ça, pensez ! Bien qu'habitué déjà depuis quelque temps aux intrusions de Killian, le trou de Godefroy restait ferme et musclé... et ça fit de l'effet au beau mandrin de Ludovic... qui ne se retint pas sur les décibels. Et déborda dans son copain avec force rugissements...
— Tu restes encore avec nous ? demanda doucement Killian. On pourra faire autre chose d'amusant, tu veux ?
Il sembla que le mecton n'osa pas refuser. Pour l'instant, Killian ajouta :
— Mais j'ai pas joui moi...
— Ludo, tu le suces ?
— Ben...
— Viens avec moi !
Et Godefroy d'attirer par la nuque le visage vers le bel et roide objet de Killian, qu'il lécha, soufflant ensuite :
— Tu fais comme moi : tu verras, ça vient tout seul, la technique !
Incapable de refuser, Ludovic suivit donc son initiateur en léchage, et pipe itou.
Il ne refusa pas l'obstacle, non ! Même quand il sentit un doigt de Godefroy venir lui caresser la rondelle... Mais pris par l'action, et la situation internationale, il lui était bien impossible de réagir...
— Ouais, pompe-le, vas-y, pompe-le bien, bébé ! commanda enfin Godefroy.
À ce moment de l'histoire, Ludovic n'avait plus besoin d'encouragements ! Qui eut cependant une surprise de plus : oh, putain ! Mais c'est que Godefroy lui bouffait le cul ! Ce jeune homme émit un immense gémissement, qui fit pouffer Killian. Mais Ludovic continua à pomper la jolie bite.